Bonjour à vous.
Oui, il est vrai que la concentration fut difficile ce jour là.
Allez, la suite et fin...
Je vous remets dans le contexte.
Ma femme rendait visites aux entreprises. Et dans une de celles-là, l'un des responsables avait un bureau qui surplombait un peu l'atelier avec une vitre à hauteur de poitrine pour qu'il puisse au besoin jeter un œil sur les chaînes de production. Et, lorsqu'il recevait ma femme à son bureau, il venait derrière elle et en profitait pour la peloter jusqu'à lui empoigner les seins, descendre entre ses cuisses et "l'obliger" à rester accoudée au bureau pour lui passer la main aux fesses, voire la retrousser... Mais, à ses dires, elle ne l'avait pas laissé aller plus loin (elle avait toujours la crainte que quelqu'un la voie depuis l'atelier ou rentre inopinément dans le bureau.)
Ce jour là, comme elle avait très envie et qu'elle le savait dans de bonnes dispositions, elle avait enlevé sa culotte dans sa voiture et était allé à son bureau, mine de rien !
Il s’effaça pour la laisser entrer dans son bureau. Elle s'est dirigée vers sa place habituelle en prenant soin de regarder s'il n'y avait personne dans l'atelier et resta debout devant le bureau en y posant un dossier, disons, ...de circonstances !
Remarquant son jeu (car elle savait être enjouée et il y avait du soleil), il se mit tout de suite derrière elle en l'empoignant par la taille. Elle se défendit mollement en lui disant qu'elle craignait qu'on les voies, mais il la rassura en lui répondant qu'il n'y avait plus personne à 18h15... et lui empoigna les seins en plaquant son ventre sur ses fesses.
Arghhh, elle s'accouda au bureau pour qu'on ne l’aperçoive pas de l'atelier (au cas où, car elle n'était quand même pas très tranquille), et les fesses tendues, il commença à la peloter sur sa longue robe puis entrepris de lui remonter.
Surpris qu'elle n’a pas mis de culotte, il s'enhardi en lui disant "ah, petite salope, tu n'as pas mis de culotte, ça m'excite comme un âne, tu sens" "oh oui !!!"... et il lui retroussa complètement sa robe sur le dos en se délectant de voir ses fesses offertes !!! Il lui mit l'une ou l'autre claque pour lui donner de la couleur, lui écarta les fesses pour jouir du spectacle le salaud, et lui mis la main dans la fente puis les doigts dans la chatte, se les mouillant pour que ça glisse mieux, bien que ça ne fut pas très nécessaire. Il marqua un temps d'arrêt pour sortir sa queue, se frotta dans sa raie humide et entre ses lèvres trempées, puis l'enfonça à fond.
Elle le savait très excité et elle commençait à se caresser la chatte, quand il allait et venait en lui criant : "ah, tu les aimes les queues de..., hummm j'adore ton cul, t'es bonne, arghhh, je vais tout te lâcher petite garce, t'en mettre plein la chatte" et il se lâcha rapidement et abondamment en lui serrant la taille, et s'affala sur son dos, haletant comme un buffle... " Il se retira doucement s'essuya (je suppose) dans le bas de sa jupe (comme le laissaient penser les traces que j'avais pu identifier dans le bas), puis laissa descendre sa jupe jusqu’en bas et lui mis carrément la main entre les fesses, imprimant ainsi ses traces de sperme au niveau des fesses que j'avais pu également identifier (un feu d'artifice)...
Il y eu du bruit dans un bureau voisin, et ma femme ne demanda pas son reste et pris congé dignement, mais avec le feu aux joues, et les cuisses encore collantes... et attendit d'être dans sa voiture pour s'essuyer avec un mouchoir qu'elle laissa entre ses jambes jusqu'à la maison et qu'elle mis dans son vide poche en arrivant.
Vous imaginez qu'avec cette histoire, j'étais dans une forme olympique et que nous avons vite terminé au lit où nous avons joui de concert. A la suite de quoi, elle s'endormi rapidement, épuisée de sa journée... et moi, je me suis relevé, car je me demandais encore où elle avait pu mettre sa petite culotte, et je suis allé vérifier dans sa voiture trouvant le mouchoir, encore durci et collant, odorant, et sa petite culotte dans le vide poche. Hummm, trop bon !!!
Un de mes souvenirs impérissables
