- 03 mai 2013, 23:21
#1346465
Je ne sais comment gérer la situation. Nous prenons le déjeuner dans un silence pesant. 10 mn montre en main, tout le monde se lève et débarrasse la table. Al nous annonce qu'il est déjà tard et qu'il va prendre sa douche avant le départ. si tu t'étais levé plus tôt, au lieu de baiser ma femme, tu ne serais pas en retard. Bien fait pour ta gueule. Solange met la vaisselle dans la machine à laver la dite-vaisselle. Je m'approche tel un félin, souplesse et silence. Les mains sur les hanches, je l'attire à moi. Je frotte mon sexe contre le sien. Je descends mon short. "je ne vais pas sentir grand-chose, tu sais". ? . Je bande comme un fou, la pénètre d'un coup. Elle est large comme mon garage! "Tu vois, j'avais raison". DE toute façon elle doit sentir, puisque qu'elle mouille comme rarement. "Tu te sens bien dans les restes de Al? Je peux te dire qu'il m'en a mis quelques litres...". Décidément, j'ai droit à tout. Tant pis, je la baise et me vide en elle. "J'ai plus qu'aller me laver".
Merde, elle va dans la salle de bains... Je m'approche de la porte de la salle de bains, colle mon oreille et tente d'écouter. Le bruit de la douche couvre le moindre bruit. Je bande à nouveau. J'essaie d'ouvrir la porte mais elle est verrouillée. La douche s'arrête enfin. Un bruit. Des murmures. Des grognements. Des halètements. Ca y est encore reparti. C'est un animal, ce mec. Dans quel état je vais récupérer ma petite femme, si je la récupère... Putain, j'arriverais jamais à la faire jouir après tout ce con de taureau lui a fait.
Des bruits dans l'escalier, Annie! Tout juste le temps de retourner dans la cuisine. "Génial cette balade. Ca détend et ça m'a permis de bien réfléchir... Tu me sers un café?". Avec plaisir. Elle est rayonnante comme je ne l'ai plus vue depuis très longtemps. Je la regarde différemment. Elle a un grand décolleté. J'ose y plonger un regard, furtif.
Solange arrive de la douche, lavée, peignée et surtout habillée. AL a dû descendre directement à sa chambre.
Demi-heure après, AL et Annie sont prêts au départ. A mon grand soulagement, les au-revoirs sont soft. Quoique, Annie étant dans la voiture, Solange, à l'abri du coffre ouvert, met la main dans le caleçon de Al. Putain, barre-toi!
Le repas du midi est infernal. Seul avec Solange je ne sais quoi dire. Fatigués nous décidons de faire une petite sieste avant de reprendre nos travaux. Elle se déshabille et comme toujours vient se blottir contre moi, en veillant à bien caler ses seins contre mon torse. Je bande comme un fou, mon coeur va exploser tant il bat fort. Je la caresse. Je la mets sur le dos dans l'espoir de ... "Non, s'il te plait, pas maintenant. J'ai mal partout". Ben je fais quoi, je suis au bord de l'explosion. Tant pis, donne-moi tes fesses. "Alors sois très doux, parce qu'Al a essayé de me pénétrer et il m'a fait mal." Quoi il t'a sodomisé? "Non, il n'a pas réussi à rentrer". Ah, c'est bien, tu m'as réservé ce privilège! "Non, il est trop gros, je n'ai pas réussi à l'accueillir". Bon ben, moi j'y vais. "Ah, oui, ça rentre et c'est moins douloureux". Normal, je suis doux et précautionneux. "Oui mais pas que...". Je la pénètre puis la baise comme un fou. C'est bizarre, je trouve qu'elle a changé. Elle s'abandonne, s'ouvre au maximum, mieux elle s'offre... J'ai l'impression de la (re) découvrir.
Epuisé, je m'allonge et elle, revient contre moi, se blottit contre moi. Elle me caresse le sexe tout doucement... Je crains la comparaison. Elle doit le sentir, le deviner "vous êtes tous les deux différents. Lui, il est énorme. Toi tu es fin et long. Ne cherche pas à l'égaler. J'ai juste besoin d'un peu de temps pour me ré-habituer à toi".
Merde, elle va dans la salle de bains... Je m'approche de la porte de la salle de bains, colle mon oreille et tente d'écouter. Le bruit de la douche couvre le moindre bruit. Je bande à nouveau. J'essaie d'ouvrir la porte mais elle est verrouillée. La douche s'arrête enfin. Un bruit. Des murmures. Des grognements. Des halètements. Ca y est encore reparti. C'est un animal, ce mec. Dans quel état je vais récupérer ma petite femme, si je la récupère... Putain, j'arriverais jamais à la faire jouir après tout ce con de taureau lui a fait.
Des bruits dans l'escalier, Annie! Tout juste le temps de retourner dans la cuisine. "Génial cette balade. Ca détend et ça m'a permis de bien réfléchir... Tu me sers un café?". Avec plaisir. Elle est rayonnante comme je ne l'ai plus vue depuis très longtemps. Je la regarde différemment. Elle a un grand décolleté. J'ose y plonger un regard, furtif.
Solange arrive de la douche, lavée, peignée et surtout habillée. AL a dû descendre directement à sa chambre.
Demi-heure après, AL et Annie sont prêts au départ. A mon grand soulagement, les au-revoirs sont soft. Quoique, Annie étant dans la voiture, Solange, à l'abri du coffre ouvert, met la main dans le caleçon de Al. Putain, barre-toi!
Le repas du midi est infernal. Seul avec Solange je ne sais quoi dire. Fatigués nous décidons de faire une petite sieste avant de reprendre nos travaux. Elle se déshabille et comme toujours vient se blottir contre moi, en veillant à bien caler ses seins contre mon torse. Je bande comme un fou, mon coeur va exploser tant il bat fort. Je la caresse. Je la mets sur le dos dans l'espoir de ... "Non, s'il te plait, pas maintenant. J'ai mal partout". Ben je fais quoi, je suis au bord de l'explosion. Tant pis, donne-moi tes fesses. "Alors sois très doux, parce qu'Al a essayé de me pénétrer et il m'a fait mal." Quoi il t'a sodomisé? "Non, il n'a pas réussi à rentrer". Ah, c'est bien, tu m'as réservé ce privilège! "Non, il est trop gros, je n'ai pas réussi à l'accueillir". Bon ben, moi j'y vais. "Ah, oui, ça rentre et c'est moins douloureux". Normal, je suis doux et précautionneux. "Oui mais pas que...". Je la pénètre puis la baise comme un fou. C'est bizarre, je trouve qu'elle a changé. Elle s'abandonne, s'ouvre au maximum, mieux elle s'offre... J'ai l'impression de la (re) découvrir.
Epuisé, je m'allonge et elle, revient contre moi, se blottit contre moi. Elle me caresse le sexe tout doucement... Je crains la comparaison. Elle doit le sentir, le deviner "vous êtes tous les deux différents. Lui, il est énorme. Toi tu es fin et long. Ne cherche pas à l'égaler. J'ai juste besoin d'un peu de temps pour me ré-habituer à toi".