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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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par Phil67
#1499529
YANNCOCU a écrit :pour illustrer..

De bien belles illustrations!!!!

Vivement une suite 8-)
par YANNCOCU
#1499642
Merci pour vos posts..
Cette fois je ne sais par ou commencer, par aujourd'hui et remonter dans le temps? revenir des mois en arrière, et raconter ce que Jenny m'a dévoilé en partant du début de son aventure avec Eric( encore un!)? Elle ne m'a certainement pas tout dit, et encore moins en détails, dois je m en tenir à ce qu'elle m'a dévoilé ou exprimer mon ressenti? Je ne sais pas encore par quel bout prendre ce récit...
Il faut savoir que son amant ( son maître, mais je ne me suis pas fait encore à l'idée de l'appeler comme elle), partage son temps entre laFfrance et l'étranger, tout comme moi donc, et qu'il l'offre lors de ses absences...il m'a lui même expliqué qu'il ne la confie qu'à des amis surs, expérimentés et que je n'ai donc rien à craindre à ce sujet. Lorsqu'il n'est pas présent, elle doit lui rendre compte de ses rendez vous, des séances auxquelles elle participe, et pour m'éclairer elle m'a fait lire quelques uns des mails qu'elle lui a adressés, que je vais donc vous partager pour que vous découvriez ce que j'ai découvert :
En voici un, Jenny raconte à Eric....

"J'avais donc rdv dans un restaurant avec un homme que je n'avais jamais rencontré auparavant..Par téléphone il m'avait indiqué comment je devais me présenter, une robe légère et des escarpins, vu la météo il m avait rappelée pour me permettre de porter un imperméable si j'en possédais un..J'avais donc opté pour un ciré blanc..dessous aucun sous vêtement je devais être nue sous le ciré. Aucun maquillage hormis les lèvres peintes en rose très clair.
Il était attablé sous la terrasse couverte et m'ayant reconnue il me fit signe de le rejoindre.
Je ne devais pas le regarder dans les yeux, garder les yeux baissés, ne pas parler sans qu'il ne me le soit demandé, ne pas croiser les jambes.
Il m'a invité à m'asseoir à son coté et a glissé une main très haut sur ma cuisse, par réflexe j'ai failli resserrer les jambes car du coup on pouvait apercevoir mon ventre nu, il a perçu mon mouvement et tout de suite il a exercé une pression avec sa main en chuchotant un tsss..tsss...autoritaire.
Puis il a fait signe au serveur à qui il a commandé une bouteille de vodka en précisant sans glace.
Il a rempli mon verre et m'a dit «bois»...J'ai avalé deux ou trois gorgés mais il m'a dit de le finir et m'a resservi aussitôt après s'être servi lui même.
Il m'a expliqué que j'allais être punie sévèrement et que je devais savoir pourquoi, j'ai fait oui de la tête, il a rempli mon verre pour la troisième fois puis il a fait signe au serveur.
Ce dernier s'est approché de notre table et sans que l'homme ne lui dise rien, il m'a dit « si vous voulez bien me suivre, les toilettes sont à l'étage»...Ils ont échangé un regard entendu et il m'a précédé jusqu'à l'intérieur de l'établissement puis il m'a indiqué un escalier dans le fond de la salle, il m'a invité à le gravir, me suivant de prés.
Arrivé en haut, le serveur a ouvert la porte des toilettes, il m'a laissé y entrer, s'y est glisser aussi et a refermé derrière lui en fermant le verrou.
Là, son ton et son regard avaient changé, il m'a dit «assieds toi et pisses», je me suis sentie rougir comme une cruche, il a insisté «allez dépêches toi et ouvres ton imper je veux voir tes nichons et ta chatte»...Il m'a regardé faire tout en me pinçant les seins, puis il a sorti sa queue, une queue assez courte, large et noueuse, il m'a dit que je le faisais bander grave et que j'allais le sucer. Il était debout devant moi, juste à la hauteur de mon visage, il m'a attrapé par les cheveux et il s'est rapidement soulagé dans ma bouche, puis il s'est regraphé et il est parti.
Je me suis repeignée, j'ai rincé mon visage, en traversant le restaurant j'avais l'impression que tous les regards convergeaient vers moi, je me demandais si je dégageais une odeur de sperme...
J'ai retrouvé l'homme , il m'a regardé me rapprocher avec un sourire satisfait.
Nous sommes allés jusqu'à sa voiture, un 4x4 noir, nous nous sommes assis à l'intérieur,
il m'a demandé d'ouvrir mes cuisses, il a enfoncé ses doigts dans mon ventre puis dans ma bouche en me disant que j'étais bien une vraie salope. Qu'on le lui avait dit. Et qu'il me trouvait belle. Puis il m'a demandé si j'avais faim et j'ai dit oui.
Il a démarré et nous avons roulé à peine quelques minutes, il a garé sa voiture dans un grand parking désert en bord de mer, devant des escaliers qui descendent vers un restaurant. Il a ouvert le coffre, il m'a ôté le ciré et a jeté sur mes épaules une grande cape noire tenue par un fin cordon de tissu autour du cou.
Le restaurant était fermée par une porte vitrée, on nous a vu certainement car on est venu nous ouvrir. La salle était vide hormis une table d'une douzaine de personnes, il y avait trois couples et des messieurs seuls, sans me présenter l'homme a salué tout le monde puis s'est assis en bout de table, je suis restée debout à ses cotés.
Personne ne me regardait, ils mangeaient, l'homme s'est fait servir une viande et m'a dit,» je crois que tu avais faim..c'est dommage»,il a raconté la scène des toilettes de tout à l'heure, jusqu'au désert je suis restée comme ça, je ne savais pas trop comment me tenir, j'essayais de ne regarder personne non plus, puis une femme a dit «on peut mieux voir» et l'homme a défait le cordon, la cape a glissé par terre.
Il y a eu quelques commentaires, admiratifs ou grivois, les deux serveurs amenaient les cafés, quelqu'un a demandé s'il pouvait m'utiliser, l'homme s'est levé et m'a emmenée jusqu'à sa place, c'est difficile de décrire ce que je ressens dans ces moments la, le type a tiré sa chaise,il m a dit de mettre mes mains sur la table, il a caressé mes fesses, passé sa main entre mes jambes, une femme lui a demandé si j'étais prête, il a répondu que oui, que ma chatte semblait très douce et était délicieusement mouillée, puis il s'est introduit en moi, lentement, je sentais qu'il voulait profiter pleinement de ce ce premier contact, il m'avait pris par les hanches, j'avais la tête qui tournait un peu, la faim, la vodka et puis j'étais nue au milieu d'inconnus tous vêtus, appuyée sur une table, tous ces visages tournés vers moi, le type m'a attrapé les cheveux, me besognant plus fort et il s 'est déversé longuement en grognant.
Il s'est retiré sans me lâcher les cheveux, il m a fait me mettre a genoux en me disant de le nettoyer..
Puis sa femme s'est levée, elle m 'a pris par la main et m'a amené aux toilettes, je sentais la semence couler sur mes cuisses. Devant le lavabo, elle m a caressé les seins, j'ai horreur qu'une femme me touche, elle m'a caressé le ventre puis a lécher ses doigts, elle a ouvert le robinet, passé la main sous l'eau et m'a rincé a plusieurs reprises, le sexe et les cuisses.
Elle m' a embrassé tout en promenant ses mains sur mon corps, en me disant que cela faisait longtemps qu'elle était amoureuse de moi, j'ai réalisé soudain que je la connaissais, c'est l'épouse d'un ancien collègue de travail de mon mari, il y a quelques années ils étaient venus diner à la maison, c'est toujours très surprenant et gênant de voir des gens connus dans ce contexte. Son mari venait de me baiser et elle était en train de me branler avec gourmandise, mais elle recula en me disant que je n'aimais pas les filles, que cela se sentait, j'ai compris qu'elle était déçue à son visage soudain fermé et elle me ramena sans un mot à la table.
Une pièce plus petite part de la grande salle, devant le comptoir d'un bar, tout en longueur le plafond est bas et voutée, des canapés confortables sont disposés tout au long des murs, tout le monde s'y est installé, les serveurs ont amené des bouteilles de champagne, quelqu'un a dit «doit on l'attacher ou elle est docile?», l'homme a dit que j'encaissais bien, un autre a dit qu'il adorait quand elles essaient de fuir les coups, j'ai vu quelqu'un prendre une caméra et commençait à filmer, l'homme du restaurant s'est approché de moi avec un fouet court a la main ou un martinet long, en tous cas il y avait plusieurs lanières assez larges, il l'a promené sur mon ventre puis il s 'est reculé en tournant autour de moi, il m a dit de lever les bras, de poser mes mains sur ma nuque, et il a commencé à frapper, le dos, les fesses, les cuisses, pas très fort, j'ai entendu quelqu'un demander qu'il me rougisse bien la croupe, il a concentré ses coups sur mes fesses, presque méthodiquement, à intervalle régulier jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir de gémir ou de crier après un coup..J'essayais de ne pas bouger, ne pas leur montrer que j'évitais les coups, ne pas leur donner ce plaisir.
Je sais que les lanières larges sont destinés à rougir, à faire mal sans ouvrir les chairs, je serrais les dents pour ne pas hurler.
Presque à chaque fois, quand la douleur monte, je me demande ce que je fais là, il y a toujours un moment ou je me dis que c'est la dernière fois, que je n'accepterais plus çà, Eric m'a expliqué que c'était une réaction normale pour l'instant.
Ensuite on m'a fait allonger à plat ventre sur un pouf au milieu de la pièce, il a tendu une badine en demandant qui voulait commencer, la femme de tout a l'heure s'est levée en disant moi. Elle s'est penchée face à moi, a soulevé vers elle mon visage en m'attrapant par les cheveux et elle m'a embrasser rageusement en me mordant les lèvres. Puis elle s'est placé derrière moi et j'ai eu l'impression que tout le monde retenait son souffle.
Puis j'ai hurlé. Au premier coup j'ai eu l'impression qu'elle m'avait déchirée, elle y était allé de toutes ses forces, on m'a tenu par les bras et un homme s'est assis sur mon dos, il n'y avait plus de bruit, juste le son de la badine cinglant l'air puis la douleur foudroyante, et encore, ca recommençait, une dizaine de coups, j'étais en larmes, celui qui me tenait les bras scrutait mon visage d'un air sadique, puis çà a cessé, on ma lâché, je suis restée allongée, j'avais des sanglots, j'espérais que c'était fini.
On m'a passé une crème sur les fesses, on m'a mis un collier avec une laisse et la femme m'a trainé a quatre pattes vers un canapé où elle s'est assise, j'ai du la lécher.
Elle m'a dit de m'appliquer. Si je ne voulais pas qu'elle recommence.
Quelqu'un m'a claqué les fesses, la crème devait avoir des effets anesthésiant car je n'avais pratiquement pas mal, puis on m'a pris aux hanches et on m'a baisée, la femme me disait de mettre la langue dans sa fente, de bien boire, j'ai joui quand le mec a giclé.
Un autre a pris sa place, le troisième et le quatrième m'ont sodomisée.
Ensuite on m'a fait mettre debout au centre, les mains sur la nuque et on a placé des pinces sur mes seins, la femme m'a ramené aux toilettes pendant qu'on leur servait des coupes de champagnes..Elle ne m'a pas lavé cette fois, elle m'a fait mettre a genoux sur le coté de la cuvette et elle est sortie en ricanant. Au bout d'un moment un homme est entré, il s'est défait et m'a dit de lui tenir la bite pendant qu'il pissait. Quand il a terminé il m'a dit d'ouvrir la bouche pour que je le nettoie..J'ai attendu ensuite, plusieurs sont venus uriner de la même façons, il y en a un qui m'a fait le sucer et s'est soulagé sur mes seins....
Ensuite l'homme m'a emmené chez lui, dans la voiture il m'a parlé comme si de rien n'était, je me suis permis de mieux l'observer, il doit à peine avoir vingt ans ou guère plus.
Au bout d'un moment il m' a mis un bandeau sur les yeux. On a encore roulé puis il m' a guidé, il a ôté le bandeau, j'étais dans une grande chambre très moderne, il m'a dit de me mettre nue et de m'allonger sur le lit, il m'a à nouveau passé de la crème sur les fesses, puis il a fait couler un bain en me disant que cela me ferait du bien. Après çà il m'a fait assoir au bord du lit, il a pris un bâton de rouge à lèvres et il a délicatement ourlé ma bouche, puis mes mamelons.
Il a mis des bracelets en métal à mes poignets et mes chevilles. Il a relié mes chevilles par une barre de fer et mes poignets par une lourde chaine assez longue. Il m'a bâillonnée avec une boule dans la bouche et m'a attachée par la chaine à un crochet au mur, me disant de m'asseoir sur un fauteuil et de me reposer..Il s'est mis sur son bureau et à écrit sur son ordinateur un assez long moment.
Puis il est revenu vers moi et il a ôté mon bâillon, il m'a giflé d'un coup, plusieurs revers, chaque fois, il me caressait la joue presque tendrement, je le regardais dans les yeux, il me re giflait en me disant «détournes le regard, je veux voir tes larmes », c'est un réflexe quand on me gifle mes yeux coulent mais çà m'énerve, après quelques gifles j'ai baissé les yeux..
Il a pris des photos, il m a demandé d'ouvrir la bouche et de sortir ma langue, il a passait sa main sur ma bouche et m'a barbouillé le visage de rouge à lèvres tout en me giflant de temps en temps et en prenant des photos, il me disait que j'étais belle comme ca, que j'étais belle quand je pleurais, ensuite il s'est occupé de mes seins, il a commencé par les giflés à leur tour, puis il s'est mis à genoux devant le fauteuil et a pris chacun de mes seins entre ses doigts et à serrer de plus en plus fort, en tournant. Ensuite il a pris des pinces à linge et il les posait sur mes tétons et les arrachait sèchement, il les soupesait, les caressait, posait les pinces, les giflait...
Il s'est arrêté, il a fait roulé le fauteuil prés de son bureau, la chaine à mon poignet était tendue au maximum, il s'est remis devant son ordinateur un petit moment, puis il m a fait mettre les fesses tout au bord du fauteuil, les jambes sur les accoudoirs, il m' a un peu branlée et progressivement il m'a fistée. Il ressortait, appuyait une main sur mon pubis, de l'autre massait vigoureusement quelque part dans l'intérieur du vagin, puis me fouillait profondément, puis ressortait et massait de ses doigts jusqu'à me faire gicler de plaisir, tendue comme un arc, dégorgeant de toute la tension accumulée,
plusieurs fois de suite, me laissant pantelante.
Il se servit un verre d'eau, se mit à nouveau sur son ordi.
Puis il me fit mettre à genoux sur le fauteuil, dans une position inconfortable à cause de la barre entre les chevilles, le buste appuyé contre le dossier, la tête vers le bas.
Il fit tourner le fauteuil plusieurs fois sur lui même, puis il me donna sa queue à sucer, ou plutôt il utilisa ma bouche, il s'enfonçait loin, en me disant que j'étais une bonne chienne, il tournait le fauteuil et il me dit qu'il allait me casser les reins, que si çà ne tenait qu'à lui je ne serais prise que de cette façon. Il s'enfonça en moi, sans aucune difficulté, sa grosse queue est pourtant longue et épaisse, mais mes muscles devaient être complètement relâchés et il me demanda de dire ce que j'étais, ce qu'il me faisait, il devint de plus en plus grossier, je le sentais de mieux en mieux, de plus en plus dur, la c'était vraiment très bon...Il cessa, faisant tourner le fauteuil et il reprit ma bouche, s'enfonçant et ressortant hyper lentement, comme pour mieux en profiter,il rejetait mes cheveux en arrière pour mieux profiter du spectacle de mes lèvres autour de son pieu, il recommença à m'insulter tout en gémissant, en grognant, puis il sortit presque entièrement sa queue, laissant juste le gland à l'entrée de ma bouche qu'il me dit d'ouvrir bien grand, il attrapa la base de sa queue d'une main et il déchargea son foutre sur ma langue, les jets frappant ma gorge, son jus coulant entre mes lèvres...
Il a prit des photos en gros plan de mon visage, puis il est retourné sur son ordinateur, il l'a éteint, il m'a détachée et m'a dit de m'allonger dans le lit...Il s'est couché contre moi en chien de fusil et plus tard il m'a fait l'amour très délicatement..."

voila, un autre suit..
par YANNCOCU
#1499644
Un second....;

"Je suis dans le taxi, la course est réglée d'avance, comme vous me l aviez dit j'ai le plug en moi, je demande au chauffeur de me prévenir un peu à l'avance pour pouvoir l'ôter.
Quand il me dit que nous sommes bientôt arrivés, je me soulève légèrement et le fait glisser, le chauffeur ralentit, je croise son regard dans le rétroviseur, il n'ose rien dire ni tenter....
J'arrive chez le couple, il n'y a qu'eux pour l'instant.
Ils sont habillés normalement, ils me reçoivent dans un salon, la femme me sourit gentiment, elle me propose à boire, lui me demande des nouvelles de mon mari, on prend quelques coupes de champagne en parlant de tout et de rien, tout juste ne s'excusent ils pas de leur attitude de l'autre soir!
Au bout d'un moment le mari me demande si je n'ai rien oublié, j'hésite, le ton de sa voix a changé soudainement, il ne me laisse pas le temps de répondre «qui t'a donné la permission de nous regarder dans les yeux, non mais je rêve», la femme se lève, se met devant moi, attrape mon menton «ce n'est peut être qu'un petit moment d'égarement, tu crois qu'on peut l'excuser, elle est tellement mignonne?», puis s'adressant à moi «tu vas m'embrasser maintenant, en me montrant que tu adores ça, on va faire l'amour toi et moi et je veux que tu sois une vraie petite chatte amoureuse, c'est toi qui va prendre des initiatives, si tu fais ça bien je te promets que ce soir tu vas être bien baisée mais que personne ne te fera de mal, viens...»
«je n'ai jamais fait l'amour avec une fille» dis je en me souvenant combien elle est capable de cruauté.
«tu es délicieuse, j'adore dépuceler..»
Elle me caresse les cheveux, elle approche son visage, je me lance,je colle mes lèvres aux siennes, tout de suite elle mêle nos langues, elle respire un peu vite, je n'aime pas son contact, sa peau, sa main sur mon cou, mais elle embrasse bien, elle chuchote à mon oreille de faire comme elle, elle défait les boutons de ma robe et je la déshabille en même temps qu'elle me met nue, elle me dit de lui caresser les seins, ils sont petits mais joliment faits, d'instinct je lui fais comme j'aime qu'on me fasse, elle gémit, elle dit oui comme çà, elle nous fait glisser sur le divan, on roule l'une contre l'autre, collée l'une à l'autre, je n'aime toujours pas qu'elle me touche, son odeur, mais ses caresses sont précises et à tout prendre je préfère ça à la badine.
Elle se met tête bêche, elle me lèche les chevilles, les pieds, je fais pareil, puis elle remonte, elle est sur moi, place ses cuisses de part et d'autres de mon visage, elle me présente sa chatte, je sens sa respiration sur la mienne, je sais qu'il faut que je la lèche pour un soixante neuf au féminin, ses lèvres sont ouvertes, la chair moirée est brillante de ses sécrétions, elle ne fait rien , je sens qu'elle attend, je soulève légèrement la tête, colle mes lèvres, passe ma langue doucement, elle a un goût un peu fort, je sens sa langue m'ouvrir, passer le long de ma fente, remonter, elle attrape mon clitoris, ça l'excite, elle coule dans ma bouche, sa langue est d'une précision diabolique et elle s'y prend divinement avec mon petit bouton que je sens durcir, je m'applique à lui faire la même chose et soudain elle en oublie ses caresses, elle se relève à genoux, elle frotte son ventre contre mon visage, je la lèche du mieux que je peux, elle gémit « oui comme ça ma chérie, tu vas me faire jouir» , ses mouvements se font désordonnés et soudain elle crie.
«J'avais tant envie de toi» , elle est accoudée tout contre moi, sa main vagabonde sur mon ventre, mes seins et mes cuisses, elle me regarde dans les yeux en souriant, elle m'embrasse doucement, elle me caresse les cheveux, puis elle s'attarde sur mes seins, elle les cajole avec la paume de sa main jusqu'à ce que mes tétons se dressent, elle sourit, elle les pince doucement, les fait rouler entre pouce et index, me dit que j'ai une poitrine magnifique, que ma peau est douce, elle tire un peu plus sur mes pointes me faisant passer des frissons dans le dos, «humm je vois que tu aimes ça», puis elle les prend en bouche, un après l'autre, sa main descend entre mes cuisses, elle me branle toujours très habillement, alternant la pénétration de ses doigts et des caresses arrondies autour de mon clito, je ne peux retenir un gémissement, «oui c'est sa ma petite chatte , laisses toi aller», elle m'observe, elle scrute sur mon visage les traces de la montée de mon plaisir, ses caresses se font plus pressantes, elle me baise avec trois ou quatre doigts pendant que son pouce masse mon bouton et très vite moi aussi je crie.

Son mari s'approche avec deux coupes de champagne, il me dit de baisser les yeux en me donnant la mienne, je réalise qu'il est nu et qu'il bande, «ça y est, tu es heureuse? tu l'as eu ta petite chienne..» «oui, depuis le temps..mais toi aussi tu la veux non?» , J'ai la bizarre impression qu'ils parlent entre eux, de moi,comme si je n'étais pas la, ils commentent la finesse de mes attaches, la douceur de ma peau, surtout entre les cuisses,
la cambrure de mes reins, la longueur de mes jambes, le goût de ma salive, le velours de ma chatte, elle se met à le sucer, à quelques centimètre de moi, il a une très belle queue, je la vois grossir encore, durcir encore sous les lèvres de son épouse, puis il la repousse doucement et s'allonge sur moi, il m'ouvre les cuisses, c'est elle qui l'introduit en moi, je feule doucement quand il s'enfonce, je le ressens terriblement bien, sa queue épaisse coulisse contre mes parois, se fraye un passage jusqu'à ce que nos pubis se touchent.
Puis il commence de lents va et vient qui m'ouvre progressivement à lui, son corps et tout contre le mien, il frotte son ventre contre le mien, caresse son torse sur mes seins, ses coudes de part et d autre de moi, comme sa femme tout à l'heure il m'observe, puis il m'embrasse dans le cou, je passe mes bras autour de lui, mes cuisses autour de ses hanches, il maitrise parfaitement ses gestes, il fait très très bien l'amour, accélérant ou ralentissant comme s'il me connaissait par coeur, comme s'il savait exactement quoi faire, il me dit que je suis bonne, qu'il est bien dans ma chatte, la femme approche son visage du mien,lui il se soulève en tendant ses bras, s'appuyant sur ses mains, elle prend mes lèvres, glisse sa langue, l'enfonce loin contre mon palais, elle salive dans ma bouche, sa langue tournoie, ses doigts roulent mes tétons, soudain une vague brulante déferle de mes reins à mon sexe et je jouis longtemps, ils n'arrêtent pas, elle avec ses doigts et dans ma bouche, lui en me possédant encore, prolongeant ma jouissance.
Encore à demi inconsciente je réalise qu'on me passe des menottes, l'homme me prend dans ses bras, sa femme nous précède, elle ouvre une porte et nous entrons dans une sorte de salon sans fenêtre, il me pose sur un immense sofa d'angle, il passe autour de mon cou un collier métallique, y clipse une longue chaine reliée à un crochet fixée dans le sol au centre de la pièce. Puis ils sortent sans un mot.
Je reste seule un long moment, je suis nue hormis mes bas mais il ne fait pas froid, au contraire, les murs sont couverts d'une épaisse moquette rouge sauf un miroir qui prend tout un coté et me renvoie mon image. Pour tout mobilier, il y a un banc posé au milieu , une grande armoire et un coffre de bois. Le sol est le plafond sont parquetés, de nombreux anneaux y sont fixés à espace régulier, j'ai l'impression que je suis là depuis des heures, je n'ai pas de montre et rien ne me permet de me repérer dans le temps.
La longueur de la chaine me permet d'aller et venir dans le salon, le parquet craque sous mes pas, mais pieds nus, je peux me déplacer discrètement, je tourne en rond sans but, plus pour faire quelque chose que pour me dégourdir les jambes. Au plus le temps passe au plus une angoisse m'étreint, j'imagine le pire, me demande ce qu'ils ont l'intention de faire, pourquoi c'est si long, où sont les autres personnes, je me remémore la scène surréaliste de tout à l'heure, je ne m'attendais pas du tout à ce qu'on me fasse l'amour comme ça, ni à finalement prendre du plaisir avec elle, tous les deux ont fait preuve d'une telle gourmandise, j'ai senti que leur désir remontait à loin, à cette époque où nous nous fréquentions sans imaginer qu'un jour nous pourrions avoir des relations sexuelles et encore moins dans un cadre sado-masochiste.
Je remarque que la clé de l'armoire est dans la serrure, je m'approche et après avoir tendu l'oreille pour m'assurer qu'on ne venait pas, je l'ouvre. Je découvre horrifié tout un attirail effrayant, devant mes yeux, impeccablement alignés ou suspendus, des pinces, des aiguilles, des chaines, des godes, des plugs, des anneaux, des bougies, des cravaches, fouets et badines, des foulards, des colliers et bracelets en acier, un véritable enfer...
Je me dis que pour une fois, cette sensualité qui m'a joué tant de mauvais tours, en me permettant de dépasser mon aversion pour les femmes va m'éviter quelques sévères désagréments, j'en frissonne, je sens encore la morsure cruelle de la badine sur ma croupe. J'imagine que je vais être utilisée par plusieurs hommes, sans ménagement certes et cette évocation suffit à provoquer une onde de chaleur dans mes reins, j'ai soudain envie qu'on me pénètre, besoin de me sentir remplie.
Du temps s'écoule encore, je m'impatiente, ils abusent, pour qui se prennent ils à la fin, j'ai soif, faim, envie de faire pipi... je m'apprête à appeler quant enfin la porte s'ouvre.
La femme entre la première, elle est vêtue comme une grande prêtresse sadique, des cuissardes, un serre taille et un soutien gorges en cuir, des gants noirs remontent jusqu'à mi bras, son mari la suit, tout en noir également, un pantalon en cuir et un tee shirt,
elle me tend une bouteille d'eau fraiche, je bois au goulot, ça fait du bien, elle m'ordonne de la terminer entièrement tandis que l'homme vient vers moi avec un sac rempli de cordes.
Je dois m'allonger à plat ventre sur le banc, au bout de quelques minutes je me retrouve tendue en demi cercle, les bras en arrière, les coudes reliés aux genoux, cuisses très écartées, le cou tiré vers les épaules, attachée au banc par une corde autour de la taille.
La position est d'un inconfort absolue, je grimace mais je ne peux remuer d'un pouce ni tourner la tête ni rien, je vois tout cependant dans le grand miroir mural face à moi.
Je me sens totalement à leur merci et exposée aux regards des gens qui entrent par petits groupe de deux ou trois, je reconnais certaines personnes, présentes l'autre soir dont le jeune homme avec qui j'étais arrivée, quelques autres déjà aperçus dans des soirées similaires et quelques inconnus, en tout une quinzaine d'hommes et trois couples, on apporte des chaises, chacun s'installe, je croise le regard d'un homme petit et malingre qui me dévisage et j'ai l'impression de rougir de la tête aux pieds, il tient plusieurs boutiques de fringues dans la région et nous nous habillons depuis des années, mon époux et moi dans un de ces magasins, au fil du temps nous avons sympathisé, sa courtoisie me semblait naturelle au vu des sommes que j'ai dépensées chez lui, jusqu'au jour ou il s'est fait beaucoup trop entreprenant et que j'avais du le remettre vertement à sa place...
Depuis j'évite ostensiblement sa boutique et la, je désespère de me trouver en sa présence dans cette situation...Mon coté exhibitionniste à sa limite, tant qu'il s'agit d'inconnus l'humiliation est excitante mais pas être comme cela face à des gens que je connais...
La maitresse de maison vient se mettre devant moi, elle me présente un martinet à trois lanières avec un sourire carnassier, «  tu as la peau trop fragile, on va utiliser des instruments qui n'entaillent pas » siffle t elle, « mais vous aviez dit.. », « tu ne m'as pas cru tout de même » dit elle en éclatant de rire, déclenchant l'hilarité générale, « vous aviez promis... », elle me fait taire en enfonçant le manche du martinet dans ma bouche, je la fusille du regard, je suis furieuse, elle m'ordonne de baisser les yeux, je donnerai cher pour qu'on me détache, pour lui faire regretter de m'avoir pris pour une conne, je me plaindrai à eric, c'est injuste, elle ne me fait pas peur avec sa tenue de carnaval, si mes yeux était des lance flammes, elle brulerait vive, elle me tire les cheveux, j'affronte son regard, elle me dit qu'elle adore ça quand on lui résiste.
Elle fait signe à un des hommes d'approcher, il m'a déjà eu lors d'une soirée, elle défait le ceinturon qu'il porte autour de la taille et le lui rend, il fait le tour du banc, vient se placer derrière moi et frappe un coup sec entre mes cuisses, la douleur est brutale, vive, il frappe à nouveau, et je dois serrer les dents sur le manche du martinet pour ne pas crier, elle me tient toujours par les cheveux, elle lui dit, encore, plus fort, la douleur m'arrache un gémissement, elle a un sourire mauvais, »baisses les yeux, soumets toi », mes yeux se remplissent de larme, elle sait qu'elle va gagner, elle lui fait signe de frapper encore, et encore, « bientôt tu vas me supplier d'arrêter » , elle retire le martinet, à chaque coup je me tend comme un arc, j'ai l'impression que mon sexe à tripler de volume, un autre coup achève ma résistance, je dis « non, s'il vous plait, arrêtez », « mieux que ça » dit elle, elle fait signe à l'homme de continuer tout en plaçant mon visage entre ses cuisses. Sans qu'elle me le demande, je comprends, je ferai n'importe quoi pour que ça s'arrête, pour ne plus sentir l'atroce brulure sur mes lèvres, je la lèche, elle est trempée, «c'est bien petite pute».
Le type des boutiques vient auprès d'elle, il lui parle à l'oreille, on détache la corde qui me tient au banc, on défait quelques liens, on me fait mettre sur le dos, en travers du banc, puis on rattache mes poignets avec mes chevilles, seul mon dos appuie sur le banc, j'ai la tête renversée en arrière qui touche presque le sol, des liens partent de mes genoux vers le plafond, je sais que ma posture est obscène mais j'ai dépassé le stade de la honte, j'ai juste peur d'avoir encore mal, je ne m'appartiens plus et ça m'excite quelque part au plus profond de moi. On manipule mon corps, on me positionne, me touche, j'aime être comme ça, la femme ricane au dessus de moi, elle est perverse et cruelle, elle me domine et j'aime ça, tous ces gens autour jouissent de ma soumission et j'aime ça, je suis comme dans un état second, comme souvent lors de séances que je subies et j'obéis quand le vendeur de fringues me dit d'ouvrir la bouche, sa queue est comme lui, fine et longue, il l'enfonce d'un coup jusqu'à la garde, bute contre le fond de ma gorge dans un mouvement qui me soulève le coeur, je ferme les yeux pour ne pas voir ses couilles velues et la raie de ses fesses aller et venir chaque fois qu'il baise ma bouche, il se retire à peine quand je suis prêt de vomir, me laisse à peine reprendre mon souffle, et se renfonce, ma salive me coule sur les joues, le long de son membre, entre dans mon nez, il se retire «  je vais te défoncez le cul », il m'encule d'un coup sec, je crie, un autre prend sa place dans ma bouche, il donne de petits coups de reins très rapides, il me martèle la gorge avec son gland, il me pince cruellement les tétons, l'autre se déverse dans mes reins, à longues giclées, un autre prend sa place au moment ou ma bouche reçoit des jets de sperme brulant, on se relaie entre mes reins et dans la bouche, je dégorge de sperme, je pense à l'expression trou à bites, c'est ce que je suis la...
Plus tard on défait mes liens, on me fait mettre debout, je m'accroche au bras de celui qui me tient, mes jambes flanchent, j'ai du sperme séché dans les narines, dans les yeux et plein les cheveux, je me sens souillée, à l'intérieur, entre mes fesses, on me bouscule, on me pousse, on me traine jusqu'à un coin du salon où l'on me suspend par les bras au plafond, on fixe des bracelets à mes chevilles et on m'écartèle au moyen de cordes reliés à des anneaux de par et d'autre, je suis ouverte presque à l'équerre, les bras tirés au dessus de ma tête et on me laisse un moment comme cela, les invités se restaurent, se désaltèrent, un couple baise sur le sofa, d'autres commentent la soirée, la femme aux cuissardes me caresse la croupe , elle me dit «tu es une bonne petite», son mari s'affaire entre mes cuisses, ils place des pinces sur mes grandes lèvres auxquelles il suspend des poids, les gens se rapprochent intéressés, puis il prend un énorme gode noir, il le tient par un manche et par un fil le branche à une prise, il le positionne entre mes lèvres et l'engin se met à vibrer, il l'appuie sur mon clitoris sans bouger et très vite cela me déclenche un orgasme, il l'enfonce dans ma chatte, me pistonne sans ménagement, j'ai l'impression d'avoir un moteur dans le ventre, puis à nouveau sur le clitoris et très vite un nouvel orgasme, en même temps je reçois des coups de martinet sur les cuisses et sur la croupe, puis la maitresse de maison passe des gants de chirurgien elle se place devant moi, son visage est à hauteur de mes seins, se main se croche dans ma chatte, elle m'ouvre avec une facilité déconcertante, j'ai l'impression que son bras entier me possède, je sens le sentiment de toute puissance qui l'anime et elle a raison, je lui appartiens en cet instant, elle pourrai faire de moi ce qu'elle veut, «vas y ramones la cette chienne » « défoncez la » « regardez elle jute « , et j'explose, je hurle, je suis fontaine, et ça n'en finit plus..."
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par xgreg038
#1499716
délicieuse sensation que le récit de vos deux enccontres, Et que dire de ces illustrations.
Merci de nous régaler de vos avantures.
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par alfan
#1499789
YANNCOCU a écrit :
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:o l'une des plus belle, ou la plus belle femme du forum.
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par 1assaad
#1506208
alfan a écrit :
YANNCOCU a écrit :
IMG0021 (2).jpg



:o l'une des plus belle, ou la plus belle femme du forum.



Je suis entièrement d'accord avec toi...elle est sublime!!!!!!
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par erwin92
#1506442
YANNCOCU a écrit :
065_65.JPG
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la perfection des formes et des courbes. Et cette "rivière parisienne" tout en haut des cuisses. Si indiscrète et si pratique... Serrer les cuisses devient vain, puisque l'accès aux lèvres du sexe reste libre grâce à cette particularité anatomique. La rivière parisienne est presque toujours le signe d'une sensualité de feu. ce que vos photos et vos récits viennent confirmer.
Merci de partager tout ça avec nous.
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par SonMari
#1511772
J'ai adoré nos échanges, excitants,...
Une femme superbe, un cocu intrigué et intriguant... Un complicité sans failles...
Au plaisir de partager à nouveau avec vous.
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par alis95300
#1551437
Super topic, magnifique blog! Bravo et merci!
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