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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par pat87
#1514895
Je me regardais dans le miroir de la chambre, à la fois honteux et très excité. Christine, ma femme, à côté de moi affichait un sourire narquois.

" Alors petite pute, tu te plais ? " me dit-elle.

"Oui maîtresse" réussi-je a bredouiller.

L'image que me renvoyait le miroir était pour le moins déconcertante; jugez par vous même...

Moi, Patrick, 48 ans, bedonnant, et surtout, uniquement vêtu d' un porte-jarretelles rouge et noirs, d'un string et d'un soutien gorgé assorti, et mon petit sexe entièrement rasé, enfermé dans une cage de chasteté.

"Parfait, ravie que ça te plaise, car dorénavant tu ne porteras plus que des sous-vêtements féminins sous tes costumes de cadre supérieur. Quand à la cage, moi seule deciderai quand tu pourras la retirer. Tu voulais être soumis, et bien crois moi tu vas l'être !"

Je baissais les yeux et lui murmurais :

"Oui maîtresse."


Cependant, il me semble nécessaire de revenir une soirée en arrière, à la genèse de cette histoire totalement réelle.


Ce vendredi soir là, après avoir fait l'amour avec ma femme, Christine, nous étions tous les deux affalés sur le lit, elle attendant une suite, moi reprenant mon souffle. C'est elle qui engagea la conversation, espérant ainsi me redonner de la vigueur :

"Et si tu me parlais de tes fantasmes ? Dis moi tout..."

Après un petit temps de réflexion, je lui declarais :

"Je ne suis pas sur que tu apprécie..."

"Vas-y " répondit-elle d'une voix ferme.

"Alors voilà, mon fantasme absolu, c'est d'être feminisé, soumis et cocu; mais également que tu m'humilie à cause de la taille de mon sexe"

J'ettendais, penaud, une fin de non recevoir, et pourtant quelle ne fut pas ma surprise:

"C'est vrai que de ce côté, tu n'as pas été gâté par la nature ! Finalement, te faire cocu pourrait être sympa, et je n'en tirerais que du plaisir. Alors ok, mais c'est moi qui prend les choses en main !! Pour commencer, tu vas me lécher, j'ai besoin de jouir, et ce n'est pas ta petite nouille et tes quatre misérables allers-retours de tout à l'heure qui m'ont satisfait. Allez, au boulot p'tite bite !!!"

Humilié mais super excité, je plongeais entre ses jambes, et commençais à lécher cette chatte que j'aime tant, goûtant pour la première fois à du sperme, le mien.

 Après quelques minutes de ce traitement, ma femme gemissait de plaisir.

"Ouiii p'tite bite, p'tit cocu, tu me fais enfin jouir..."

Après avoir repris ses esprits, elle saisit ma petite queue dressée.

"Mais tu bandes p'tit cocu, ça t'excite on dirait. Regarde, comme elle est toute petite, elle tient entièrement dans ma main. Elle est vraiment minuscule."

Je n'en pouvais plus, je jouissais comme jamais, me répendant dans la main de ma divine épouse.

"Eh bien, le moins que l'on puisse dire, c'est que ça te fait de l'effet. Pour ta peine, tu vas me lécher les doigts, tu connais déjà le goût de ton sperme non ?"

Et elle éclata d'un grand rire.


Après cette dernière épreuve, nous sommes endormis.


Le lendemain matin, au petit déjeuner, ma femme m'annonça que nous allions faire les boutiques cet après midi. Je pris acte, ne sachant pas ce qui m'attendait.


Après le déjeuner, nous sommes allé dans un grand magasin du centre ville, direction le rayon lingerie. Ma femme passa de présentoirs en présentoirs, choisissant de la lingerie très sexy. En arrivant à la caisse, elle me tendit l'ensemble de ces sous-vêtements, et dit assez fort pour que la caissière entende :

"Tiens paye chéri, après tout c'est pour toi ! Moi, je ne fais pas du 44, juste un petit 38!"


Je ne savais plus où me mettre, et je dû payer sous le sourire moqueur de la caissière.


Une fois ces courses achevées, je dû encore supporter une épreuve. Elle avait tout prévu et se prenait maintenant vraiment au jeu.

"Maintenant, p'tit cocu, on va aller t'acheter une cage de chasteté, comme ça ti seras vraiment en mon pouvoir absolu."


Nous nous rendimes donc dans un sex-shop, afin d'en faire l'achet. Encore une fois, je dû moi-même payer les achats, sous le regard moqueur du gérant de l'établissement, à qui m'a femme avait demandé moult conseils.


Rentrés à la maison, ma femme me demanda de me déshabiller afin d'effectuer les premiers essais de lingerie.

 Après avoir passé le premier string, elle décrèta que mes poils pubiens étaient forts disgracieux, et m'ordonna d'aller à la salle de bain, où elle entreprit de me raser entièrement le pubis, les testicules et l'anus.


"Voilà qui est mieux. On dirait un petit zizi de garçonnet, ou bien un gros clito."


Sous cette nouvelle humiliation, je sentais mon sexe de nouveau durcir.


"Ah non ! Ça suffit ! Il va falloir que ça cesse ! Va chercher la cage, tu vas l'etrenner."


Après m'avoir passé sous l'eau froide, elle m'emprisonna dans cette cage en plastique, mit le cadenas en place, et passa la clef dans la chaine qu'elle porte autour du Coup. Elle soupesa l'ensemble, et caressa mes testicules, me procurant de nouveau une forte excitation, mais ma petite queue était prisonnière de la cage de chasteté et je ne pouvais bander. J'étais extrêmement frustré.


Je du passer le reste de la journée ainsi acoutré, à subir les moqueries de celle qui devenait indéniablement ma maitresse.


L'heure du dîner arrivant, je dû préparer le repas pour ma maîtresse. Lorsqu'elle eut fini son dîner, elle me demanda d'aller sur internet lui trouver un site de chat vidéo.

 Je lui en proposais plusieurs, et elle finit par en choisir un qui, semble-t-il, lui convenait, puis s'adressant à moi :

"Tu peux disposer, je n'ai plus besoin de toi. Va donc dans le salon regarder la télé."


Je la laissais à contre-coeur, mais encore une fois très excité. Son chat dura deux bonnes heures, puis elle réapparut au salon :

"Finalement, ce soir je sors. Je file me préparer. Va m'attendre dans la chambre."


A son retour dans la chambre elle s’est changée et a mis ce qu’elle avait de plus sexy (guêpière noire et rouge transparente, bas noirs, string assortis, petit top et jupe très courte).


Vers 23H30 elle est sortie de la maison, puis est immédiatement re-rentrée et face à moi a retiré sa culotte en me disant qu’elle n’en avait pas besoin.


L’attente fut très longue et terriblement excitante. Vers 3H elle m’appela de son portable, sans parler. Je l’entendais gémir et encourager celui qui était en train de la baiser. Je ne pouvais qu’écouter et ne pouvais me masturber; la frustration ajoutait à l’excitation de la situation.


Finalement elle est rentrée à 5H du matin, l’air ravie, épanouie et heureuse. Elle s’approcha de moi, allongé sur notre lit, souleva sa jupe et posa sa chatte trempée sur mon visage en disant :


« Lèche petite bite ! C’est le sperme de mon amant qui dégouline ! Il avait une bite énorme, comparé à ton ridicule petit bout de peau molle ! Tu aimes minable ? Profites en car c’est tout ce dont tu as droit pour l’instant !»


Je n’y croyais pas, mon fantasme de cocu soumis se réalisait enfin. Et de quelle manière !


Après l’avoir nettoyé avec ma langue, je lui demandais de me raconter.


Elle m’expliquât que ce n’était pas un mais trois amants qu’elle avait eût pendant la nuit.


Chacun l’avait pénétré recto verso, et un avait jouis dans sa bouche, chose qu’elle m’a toujours refusée, tout comme la sodomie d’ailleurs. J’étais frustré et excité comme un fou.


Pour compléter mon « bonheur », elle refusa de faire l’amour avec moi, et refusa de me retirer la cage de chasteté. Je devais rester ainsi frustré jusqu’à ce qu’elle décide de me libérer.


J’ai dû attendre ainsi le soir pour pouvoir jouir de ses aventures qu’elle prit un malin plaisir à me raconter de nouveau.


Puis la vie reprit presque comme avant, à ceci près que j'étais toujours encagé, et que je ne portais plus que de la lingerie féminine sous mes vêtements masculins, et que la nuit je dormais en nuisette. Bien sûr, elle me demandait un cunnilingus tous les soirs, mais n'accordait aucune attention à mon envie de jouir.


Ce n’est que le Samedi suivant qu’elle me dit dans l’après-midi : « Ce soir, je te prépare une surprise…. ».


Craignant le pire, mais étant très excité, je lui donnais mon accord.


Après le dîner, elle alla se préparer, et se para des ses plus beaux dessous sexy ; une guêpière transparente rose seins nus et des bas noirs, et encore une fois pas de culotte. Par-dessus, elle mit un caraco noir très sexy, laissant deviner la pointe de ses seins, et un mini kilt, qui permettait, lorsqu’elle se penchait un peu de voir le haut de ses bas et surtout l’absence de toute culotte et une partie de son importante toison. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Lorsqu’elle fut prête, elle m’ordonna de m’allonger nu sur le lit de la chambre d’amis, et m’attacha à celui-ci avec des bas, bras et jambe écartés. Puis elle m’enjamba et frotta son sexe sur mon visage en me disant : « C’est tout ce dont tu as droit, petite bite, le reste sera pour mes camarades de jeux de la soirée ! » Puis elle m’abandonna là, impuissant, avec mon érection contenue par ma cage, ne pouvant rien faire d’autre qu’attendre.


L’attente fut longue, car partie vers 22H30, elle revint un peu après 3H du matin, et au bruit, je compris vite qu’elle n’était pas seule ! Elle avait ramené un homme à la maison ! Très vite ils sont passé dans notre chambre, et je ne pu qu’imaginer ce qui se passait en écoutant, car d’où j’étais, attaché sur le lit, je ne pouvais rien voir. J’avais en fin compris pourquoi elle avait laissé la porte de la chambre d’amis entrouverte. Ainsi, je l’ai entendu crier de plaisir pendant plus de deux heures. Tout y est passé, et elle prenait un malin plaisir à commenter bruyamment les exploits de son amant d’un soir. Elle le suça, il la lécha, puis la pénétra longuement recto verso, avant finalement de se vider une fois dans sa chatte et une fois dans son cul. Elle criait de plaisir comme jamais auparavant.


Lorsque sa conquête fut partie, elle vint dans la chambre d’amis, et une nouvelle fois enjamba mon visage en me disant : « Alors sous-homme, t’as aimé, parce que moi j’ai adoré ! Ce soir, c’est quatre mecs qui m’ont baisé comme une putain, et ils ont tous éjaculé dans ma chatte et mon cul, sauf un que j’ai sucé jusqu’à la dernière goutte ! Maintenant à ton tour, nettoie bien mes deux trous, et applique toi à me faire jouir si tu veux que je t’autorise à te branler ! »


C’est donc avec application que je léchais ses deux trous. Le sperme de ces inconnus me coulait dans la bouche, mais je n’avais pas le choix, je devais lécher et avaler.


Finalement, c’est elle qui décida de me branler, mais avec la cage ! A peine avait elle pris mes petites couilles en main que je sentais couler, jouissant sans bander tant mon excitation était grande. « Eh ben mon salaud, dit-elle, on peut dire que ça t’excite ! Lèche mes doigts que tu as osé souiller avec ton sperme ridicule ! »


Depuis ces deux soirs, elle a eût d’autres amants, dont un régulier maintenant, qui est bi, et que je dois sucer avant et après qu’il la prenne. Pendant qu’ils s’amusent ensemble, je dois retourner dans la chambre d’amis et attendre que l’on m’appelle. Je n’ai plus jamais eût de rapports avec Isabelle, qui se refuse systématiquement à moi pour ce réserver pour des grosses bites, et qui entretien ma frustration avec un plaisir sadique !

Mais ça c'est une autre histoire.


A suivre....

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