- 15 nov. 2013, 17:23
#1461999
2013-Nov-14. Ma soirée avec un amant occasionnel.
J'avais tchaté avec un "jeunot" de 30 ans qui voulait juste parler mais au fur et à mesure il m'a chauffée en me disant qu'il avait une énorme envie de moi.
J'ai d'abord dit qu'il était largement en dehors de mes critères d'âge. Et la discussion suivant, Luc m'a dit "après tout pourquoi tu ne lui céderai pas s'il manifeste une telle envie. Il est jeune, élancé, musclé et à 30 ans beaucoup plus vigoureux et endurant. Profites en tu ne pourras que vivre une expérience forte."
Nous avions RDV chez lui hier soir, à castres, à 21h00. On a pris un coca tous les 3 assis sur le canapé en parlant de sexe et de motivation.
Puis au bout d'un petit quart d'heure il m'a entrainée dans sa chambre, Luc restant au salon devant la télé (c'est un petit T2 avec une kitchenette comme cuisine). Les portes sont restées grandes ouvertes.
Dès les premiers soupirs et les premiers halètements, Luc est venue faire la "chouette" dans l'encoignure de la porte.
Il nous a vus sur le lit :
- moi à plat dos cuisses ouvertes encore avec ma guêpière d'où s'échappaient déjà mes nichons, ma culotte et mes bas. - Jérôme torse nu, à genoux entre mes jambes tenait juste écarté le fond de ma culotte pour alterner entre me sucer la chatte et mon clito ; et me branler avec 2 doigts inquisiteurs et un pouce à la recherche de mon clito.
Après de longues minutes il m'a mise complétement nue et oté son jean et son slip dans la foulée. Nos vêtements en pagaille, déjà mélangés au pied, il a repris une <<fouille au corps>> complète sur mes cuisses, mon ventre, ma chatte, mes nichons, tout partout comme un Vichnou avec ses 6 bras et 6 mains. Puis en s'allongeant il m'a attirée vers lui en me caressant la nuque et le dos et poussé ma tête vers sa bite.
Ma bouche à 3 cm de son gland j'ai ouvert la bouche et attendu qu'il soulève un peu les reins pour me le mettre dans la bouche. Quand j'ai eu son goût de mâle dans dans ma bouche je me suis mise à le pomper goulûment. Sa queue était raide, ferme, dure comme une promesse de ce qui m'attendait
Il m'a interrompue au bout de quelques minutes en disant que je lui faisait effet diable et qu'il ne fallait pas que j'insiste au risque de <<gâcher la marchandise>> et qu'il fallait qu'on ralentisse pour garantir la suite.
Il a repris son manège entre me suçant et branlant alternativement quand ce n'était pas les deux : deux doigts qui pilonnaient ma chatte et une bouche qui faisait un suçon sur mon clito pour l'offrir au tittillement de sa langue agile.
J'ai du jouir 3 au-moins je pense. Puis il m'a dit "je vais te baiser maintenant" que pouvais-je répondre d'autres que "oui prends-moi, pénètre moi maintenant".
C'était le signal pour Luc qui s'est avancé dans la chambre; à sorti une capote emballée (sans latex) de la poche de sa chemise.
Il a déchiré l'emballage et au 3/4 sorti la capote de son emballage pour la tendre à Jérôme, dans le bon sens de déroulage, prête à l'emploi.
Il se tenait à genoux, assis sur ses talons, entre mes cuisses largement écartées genoux légèrement relevé pour lui présenter ma chatte dans la meilleure position qu'il soit pour qu'il ma la fourre jusqu'à la garde.
Jérôme sa pris la capote entre 2 doigts, laissant l'emballage dans la main de Luc qui l'a mis dans sa poche. Je le regardais, impatiente, reins cambrés, emballer sa queue et dérouler la capote sur sa bite, ferme et droite, dressée vers son nombril.
Toujours sur ses talons il s'est penché vers moi pour reprendre sa branlette et ses suçons sur ma chatte, m'arrachant à nouveau des soupirs et des gémissements de plaisir.
Ça n'a pas loupé j'ai eu un nouvel orgasme. Il en a profité pour se projeter en avant et se coucher entièrement sur moi. J'ai senti tout à la fois, son corps écraser le mien, peser lourdement sur mon ventre, sur mes nichons ; et dans le même mouvement m'enfoncer queue jusqu'au plus profond de ma chatte, m'arrachant un cri entre extase et douleur.
Cette "brûlure" à peine éteinte il s'est mis à me labourer à grands coups de reins. Luc s'est placé contre le mur au fond du lit. Il voyait tout, mes jambes relevées au plus haut enserrant le haut des cuisses de Jérôme, sa queue qui ressortait de ma chatte pour y replonger aussitôt, ses couilles seules restant visibles venant buter contre mes grandes lèvres.
Je ressentais une jouissance que j'ai rarement connue. Complétement esclave de ses effets, je m'accrochais frénétiquement à son cou, ses épaules, arrivant à soulever les miennes du lit tellement je me crispais par ces plaisirs décuplés.
Inconsciemment je terminais chacun de ses coups de reins par des coups de talons sur le haut de ses cuisses, comme pour gagner le petit centimètre qu'il lui restait à enfoncer.
J'étais comme la mer et son ressac. L'orgasme m'envahissait comme la vague monte sur la grève pour redescendre dans une écume bouillonnante, avant qu'une nouvelle vague de jouissance m'arrache autant de gémissements, pour ne pas dire de cris de plaisir.
Je l'ai entendu me dire "tu mouilles tellement que j'ai peur de déraper". J'ai seulement pris conscience à ce moment là que ma cyprine mouillait abondamment le haut de mes cuisses, et aussi s'écouler entre mes fesses jusqu'à tremper la couette sur laquelle nous étions allongés.
Les coups de reins ne ralentissaient que le temps qu'il reprenne sa positon et un peu de souffle avant de reprendre de plus belle.
Ça a duré, duré, duré ...
... je ne saurai pas dire combien de temps, jusqu'à ce que haletante, le souffle court, le ventre en feu, je l'entende murmurer par 2 fois à mon oreille "je vais jouir".
Je lui ai dit "oui, vient maintenant, jouis au plus profond de moi ...".
De mes mains caressantes, je flattais sa nuque, ses épaules, comme autant d'encouragements à se répandre en moi.
J'encourageais chacun de ses grognements de jouissance, chacun des soubresauts de ses reins qui ponctuait chaque rasade de sa semence par des murmures à son oreille "jouis, jouis ..." ; jusqu'à ce qu'il s'apaise haletant doucement pesant de tout son poids sur moi, son corps "lourd comme un cheval lourd" (merci Johnny)...
Juste un regret, ce n'est pas moi qui suis le calice de sa semence mais un petit sac de plastique qui sépare nos sexes de quelques microns (mais en attendant de futurs tests de dépistage, la prudence oblige).
Quand mon amant (ou mari) a joui et reprend son souffle, vautré sur mon ventre et ma poitrine, j'adore sentir dans ma chatte, sa bite perdre lentement sa turgescence et sa jute en refluer par légères saccades, empoissant mes poils pubiens, le haut de mes cuisses et la raie de mes fesses.
Sans cette phase je me sens toujours un peu frustrée. Il me manque la <<preuve>> matérielle et odorante de l'orgasme de mon amant.
Finalement il s'est couché sur le coté, je me suis blottie contre lui, ma tête sur son épaule virile, pour prolonger ces instants charnels, fusionnels.
Il a retiré la capote et me la tendue pour que je la noue mais surtout le prétexte pour que je puisse constater que tout le fond la plombée par une belle quantité <<d'un liquide blanchâtre et onctueux>>.
Je l'ai nouée avant de la tendre à Luc pour qu'il aille la jeter dans la corbeille. Il s'est dirigé vers la salle de bain, la capote pleine de mon <<adultère consenti> dans sa main.
Il a soigneusement refermé la porte de la chambre derrière lui pour retourner au salon, s'asseoir sur le canapé et regarder sagement la télévision en attendant que nous réapparaissions de la chambre.
Toujours aussi délicat et prévenant, il sait se faire discret.
Après que tout soit revenu au calme, il sait que j'aime rester quelques minutes dans une vrai intimité tout contre mon amant, toujours nus comme 2 vers, pour échanger quelques caresses, quelques « mimi mouillés » sur les lèvres, quelques mots doux pour un retour au repos graduel et pour lui assurer ma gratitude et de tout le plaisir et la jouissance qu'il m'a donnés
Ensuite nous nous sommes rhabillés pour retourner au salon.
Luc s'est levé pour me prendre dans ses bras, dans lesquels je me suis blottie, levant mes lèvres vers les siennes pour qu'il me roule une « pelle des familles » qui veut dire je t'aime tellement mon Adelyne, ma Femme.
Heureuse les femmes qui ont un mari aussi prévenant et compréhensif que le mien, qui sait que la sexualité féminine est si complexe qu'un seul homme ne peut nous en faire parcourir toute la diversité et la plénitude.
Mon Homme qui veut que je puisses en découvrir le plus de facettes possibles et qui m'a amenée pour cela, progressivement et patiemment d'une pruderie effarouchée le jour de notre mariage vers un libertinage empreint de mélangisme, d'échangisme mais surtout de candaulisme, le triolisme ; autant masculin que féminin.
Mon Homme qui m'a appris à vivre ma sexualité libérée (et débridée), sans honte, ni complexes et encore moins de culpabilité.
J'avais tchaté avec un "jeunot" de 30 ans qui voulait juste parler mais au fur et à mesure il m'a chauffée en me disant qu'il avait une énorme envie de moi.
J'ai d'abord dit qu'il était largement en dehors de mes critères d'âge. Et la discussion suivant, Luc m'a dit "après tout pourquoi tu ne lui céderai pas s'il manifeste une telle envie. Il est jeune, élancé, musclé et à 30 ans beaucoup plus vigoureux et endurant. Profites en tu ne pourras que vivre une expérience forte."
Nous avions RDV chez lui hier soir, à castres, à 21h00. On a pris un coca tous les 3 assis sur le canapé en parlant de sexe et de motivation.
Puis au bout d'un petit quart d'heure il m'a entrainée dans sa chambre, Luc restant au salon devant la télé (c'est un petit T2 avec une kitchenette comme cuisine). Les portes sont restées grandes ouvertes.
Dès les premiers soupirs et les premiers halètements, Luc est venue faire la "chouette" dans l'encoignure de la porte.
Il nous a vus sur le lit :
- moi à plat dos cuisses ouvertes encore avec ma guêpière d'où s'échappaient déjà mes nichons, ma culotte et mes bas. - Jérôme torse nu, à genoux entre mes jambes tenait juste écarté le fond de ma culotte pour alterner entre me sucer la chatte et mon clito ; et me branler avec 2 doigts inquisiteurs et un pouce à la recherche de mon clito.
Après de longues minutes il m'a mise complétement nue et oté son jean et son slip dans la foulée. Nos vêtements en pagaille, déjà mélangés au pied, il a repris une <<fouille au corps>> complète sur mes cuisses, mon ventre, ma chatte, mes nichons, tout partout comme un Vichnou avec ses 6 bras et 6 mains. Puis en s'allongeant il m'a attirée vers lui en me caressant la nuque et le dos et poussé ma tête vers sa bite.
Ma bouche à 3 cm de son gland j'ai ouvert la bouche et attendu qu'il soulève un peu les reins pour me le mettre dans la bouche. Quand j'ai eu son goût de mâle dans dans ma bouche je me suis mise à le pomper goulûment. Sa queue était raide, ferme, dure comme une promesse de ce qui m'attendait
Il m'a interrompue au bout de quelques minutes en disant que je lui faisait effet diable et qu'il ne fallait pas que j'insiste au risque de <<gâcher la marchandise>> et qu'il fallait qu'on ralentisse pour garantir la suite.
Il a repris son manège entre me suçant et branlant alternativement quand ce n'était pas les deux : deux doigts qui pilonnaient ma chatte et une bouche qui faisait un suçon sur mon clito pour l'offrir au tittillement de sa langue agile.
J'ai du jouir 3 au-moins je pense. Puis il m'a dit "je vais te baiser maintenant" que pouvais-je répondre d'autres que "oui prends-moi, pénètre moi maintenant".
C'était le signal pour Luc qui s'est avancé dans la chambre; à sorti une capote emballée (sans latex) de la poche de sa chemise.
Il a déchiré l'emballage et au 3/4 sorti la capote de son emballage pour la tendre à Jérôme, dans le bon sens de déroulage, prête à l'emploi.
Il se tenait à genoux, assis sur ses talons, entre mes cuisses largement écartées genoux légèrement relevé pour lui présenter ma chatte dans la meilleure position qu'il soit pour qu'il ma la fourre jusqu'à la garde.
Jérôme sa pris la capote entre 2 doigts, laissant l'emballage dans la main de Luc qui l'a mis dans sa poche. Je le regardais, impatiente, reins cambrés, emballer sa queue et dérouler la capote sur sa bite, ferme et droite, dressée vers son nombril.
Toujours sur ses talons il s'est penché vers moi pour reprendre sa branlette et ses suçons sur ma chatte, m'arrachant à nouveau des soupirs et des gémissements de plaisir.
Ça n'a pas loupé j'ai eu un nouvel orgasme. Il en a profité pour se projeter en avant et se coucher entièrement sur moi. J'ai senti tout à la fois, son corps écraser le mien, peser lourdement sur mon ventre, sur mes nichons ; et dans le même mouvement m'enfoncer queue jusqu'au plus profond de ma chatte, m'arrachant un cri entre extase et douleur.
Cette "brûlure" à peine éteinte il s'est mis à me labourer à grands coups de reins. Luc s'est placé contre le mur au fond du lit. Il voyait tout, mes jambes relevées au plus haut enserrant le haut des cuisses de Jérôme, sa queue qui ressortait de ma chatte pour y replonger aussitôt, ses couilles seules restant visibles venant buter contre mes grandes lèvres.
Je ressentais une jouissance que j'ai rarement connue. Complétement esclave de ses effets, je m'accrochais frénétiquement à son cou, ses épaules, arrivant à soulever les miennes du lit tellement je me crispais par ces plaisirs décuplés.
Inconsciemment je terminais chacun de ses coups de reins par des coups de talons sur le haut de ses cuisses, comme pour gagner le petit centimètre qu'il lui restait à enfoncer.
J'étais comme la mer et son ressac. L'orgasme m'envahissait comme la vague monte sur la grève pour redescendre dans une écume bouillonnante, avant qu'une nouvelle vague de jouissance m'arrache autant de gémissements, pour ne pas dire de cris de plaisir.
Je l'ai entendu me dire "tu mouilles tellement que j'ai peur de déraper". J'ai seulement pris conscience à ce moment là que ma cyprine mouillait abondamment le haut de mes cuisses, et aussi s'écouler entre mes fesses jusqu'à tremper la couette sur laquelle nous étions allongés.
Les coups de reins ne ralentissaient que le temps qu'il reprenne sa positon et un peu de souffle avant de reprendre de plus belle.
Ça a duré, duré, duré ...
... je ne saurai pas dire combien de temps, jusqu'à ce que haletante, le souffle court, le ventre en feu, je l'entende murmurer par 2 fois à mon oreille "je vais jouir".
Je lui ai dit "oui, vient maintenant, jouis au plus profond de moi ...".
De mes mains caressantes, je flattais sa nuque, ses épaules, comme autant d'encouragements à se répandre en moi.
J'encourageais chacun de ses grognements de jouissance, chacun des soubresauts de ses reins qui ponctuait chaque rasade de sa semence par des murmures à son oreille "jouis, jouis ..." ; jusqu'à ce qu'il s'apaise haletant doucement pesant de tout son poids sur moi, son corps "lourd comme un cheval lourd" (merci Johnny)...
Juste un regret, ce n'est pas moi qui suis le calice de sa semence mais un petit sac de plastique qui sépare nos sexes de quelques microns (mais en attendant de futurs tests de dépistage, la prudence oblige).
Quand mon amant (ou mari) a joui et reprend son souffle, vautré sur mon ventre et ma poitrine, j'adore sentir dans ma chatte, sa bite perdre lentement sa turgescence et sa jute en refluer par légères saccades, empoissant mes poils pubiens, le haut de mes cuisses et la raie de mes fesses.
Sans cette phase je me sens toujours un peu frustrée. Il me manque la <<preuve>> matérielle et odorante de l'orgasme de mon amant.
Finalement il s'est couché sur le coté, je me suis blottie contre lui, ma tête sur son épaule virile, pour prolonger ces instants charnels, fusionnels.
Il a retiré la capote et me la tendue pour que je la noue mais surtout le prétexte pour que je puisse constater que tout le fond la plombée par une belle quantité <<d'un liquide blanchâtre et onctueux>>.
Je l'ai nouée avant de la tendre à Luc pour qu'il aille la jeter dans la corbeille. Il s'est dirigé vers la salle de bain, la capote pleine de mon <<adultère consenti> dans sa main.
Il a soigneusement refermé la porte de la chambre derrière lui pour retourner au salon, s'asseoir sur le canapé et regarder sagement la télévision en attendant que nous réapparaissions de la chambre.
Toujours aussi délicat et prévenant, il sait se faire discret.
Après que tout soit revenu au calme, il sait que j'aime rester quelques minutes dans une vrai intimité tout contre mon amant, toujours nus comme 2 vers, pour échanger quelques caresses, quelques « mimi mouillés » sur les lèvres, quelques mots doux pour un retour au repos graduel et pour lui assurer ma gratitude et de tout le plaisir et la jouissance qu'il m'a donnés
Ensuite nous nous sommes rhabillés pour retourner au salon.
Luc s'est levé pour me prendre dans ses bras, dans lesquels je me suis blottie, levant mes lèvres vers les siennes pour qu'il me roule une « pelle des familles » qui veut dire je t'aime tellement mon Adelyne, ma Femme.
Heureuse les femmes qui ont un mari aussi prévenant et compréhensif que le mien, qui sait que la sexualité féminine est si complexe qu'un seul homme ne peut nous en faire parcourir toute la diversité et la plénitude.
Mon Homme qui veut que je puisses en découvrir le plus de facettes possibles et qui m'a amenée pour cela, progressivement et patiemment d'une pruderie effarouchée le jour de notre mariage vers un libertinage empreint de mélangisme, d'échangisme mais surtout de candaulisme, le triolisme ; autant masculin que féminin.
Mon Homme qui m'a appris à vivre ma sexualité libérée (et débridée), sans honte, ni complexes et encore moins de culpabilité.