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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1573308
Le narrateur, Yann :

âgé de 38 ans, je suis fonctionnaire de l’Éducation Nationale.
Réservé et insouciant, rapidement il m'es apparu qu'entre une carrière sportive incertaine et un emploi aussi riche en qualités humaines qu'en temps libre, le choix était vite réglé.
Mesurant 1,85m pour 80kg, mon corps connaît peu à peu les tourments des années qui passent : l'embonpoint entre autre. De l'intérêt de notre société où la femme est déjà sensible à la psychologie de l'homme avant son physique ; au contraire des hommes...
La femme étant sensuelle, l'homme est sexuel : même si mon corps s'ouvre de plus en plus aux caresses et aux massages, ma principale zone érogène est mon pénis. Des plus classiques : 19 cm de long, 3 cm de large. Rocco S. est tranquille avec moi.
Quant à ma vie sexuelle, elle est assez joyeuse. Plus d'une dizaine de femmes avec qui j'ai partagé un lit, des aventures assez torrides ont même émaillé ce parcours. Néanmoins, cela toujours été assez classique car je n'ai pu porter mes demandes d'originalité. Un couple qui est ensemble depuis longtemps peut y arriver. Parfois.


Steph :

âgée de 35 ans, cette jeune femme est fonctionnaire.
Issue d'une famille bourgeoise, elle a toujours suivi les études voulues, a bénéficié des activités qu'elle voulait. Une vraie princesse qui obtient souvent ce qu'elle souhaite.
D'une taille d'1,70m et d'un poids de 52 kg, elle est aussi élancée que gracieuse. Ses cheveux bruns, longs habillent un visage souriant, pétillant. Ses yeux en amandes, sa bouche bien dessinée la rendent belles. Sans oublier un corps sensuel : une poitrine 90B avec des seins fermes, des aréoles bien dimensionnées, un ventre plat, un fessier brésilien, des jambes fines finies par de belles chevilles.
Après une vie intime des plus classiques, à savoir 3 compagnons avec qui les relations ont été sérieuses, elle s'est mis en ménage avec Yann. Le couple est ensemble depuis 10 ans et a 2 enfants.
Volontaire dans la vie, active auprès des autres, elle se montre aussi attirée par une vie au foyer plus calme. Cependant, les enfants grandissants, le temps passant, son tempérament extraverti l'a pousse à vouloir redynamiser sa vie.
#1573310
La lumière se diffuse délicatement par le Velux légèrement entrouvert. La chaleur qui émane doucement de l'extérieur se propage dans la pièce. Allongé dans le lit, encore chaud de la nuit passé, je sens par les pores de ma peau les effluves de la nuit passée. Ma tête bien calée dans l'oreiller, je sens un léger frisson me parcourir du fait d'un léger coup de vent dans la pièce. Seul à l'étage, je sens les palpitations de ma verge, fermement tenue par ma main. Je m'honore comme il se doit : je passe ma main libre sur mon corps, partant de mon thorax, caressant mon ventre, descendant jusqu'à mon périnée. Je me branle avec délice. Et solitude. Je repense à ce rêve fait cette nuit...



*-*-*-*-*-*-*-*-*


« la retraite, pas le sarkophage ! », « la droite mérite une bonne gauche ! », « en grève jusqu'à la retraite ! ».

Entre le tumulte des voix et la musique entraînante, je me dis que le temps est radieux en ce jour de grève. Tous dans la rue, sous le soleil, nous sommes ensemble pour témoigner et manifester notre désaccord avec la politique de N.S. Le climat, tendu avec les forces de l'ordre, est par contre convivial avec nos camarades. Tapes amicales d'inconnues, sourires joyeux de proches, tout est réuni pour que notre cri nous fasse au moins du bien. Car, de là être entendu...

Ce qui est aussi vrai dans cette matinée joyeuse et rebelle, c'est que les marques de soutien n'oublient pas de profiter de la beauté de celle qui est mienne. Avec sa jupe bleue, son haut blanc à bretelle légèrement transparent, la partie vestimentaire classique ne souligne que d'autant plus le teint hâlé de sa peau, la pétillance de son regard, la gourmandise qui se dégage de sa bouche. De surcroît, avec sa silhouette fine et sa grande taille, elle est remarquable. En marchant à ses côtés je ne pouvais m’empêcher de remarquer avec amusement le regard de tous les hommes que nous croisions.

Steph de me dire :
« tu ne trouves pas que certains slogans sont coquins ? »
tu penses auxquels ?
De lui répondre
regarde celui-là : «  la retraite c'est pour baiser, pas pour se faire baiser » ou bien celui-ci « rembourser la vaseline ».
c'est vrai... mais il n'y pas que les slogans qui sont coquins. Tu as vu le regard de cet homme là ?
Oui. Je crois qu'il n'est pas indifférent. »

Je connais son regard. Elle commence à se montrer intéressé par cet homme. Certes, il n'est pas spécialement remarquable (sauf son regard qui dévore littéralement ma femme) : la quarantaine, les cheveux mi-longs et bouclés. Mais il a ce petit quelque chose de courageux, de cru.
De nous voir le regarder, il se faufile entre quelques manifestants et se joint à nos côtés. Nous nous saluons (il fait une bise à Steph) et il se présente. Nicolas. Très maladroitement, il essaye de savoir si nous nous sommes pas vus à la manifestation précédente. Surtout, je vois son regard survoler le haut de Steph, d'apercevoir les coutures de son soutien-gorge. Et surtout, il devine que celui-ci est transparent. Bon, les tétons pointés à travers les mailles du tissu aident aussi à deviner. Nos yeux se croisent pendant que Steph marche et crie.

« on va boire un coup ?, de leur proposer.
C'est vrai qu'il fait chaud, dit Nicolas. Bonne idée !
D'accord
, dit-elle, malicieusement. »

Nous quittons le cortège. Le long du cours Romestang, sous quelques arbres qui s'ouvrent à l'été, nous nous installons. Pendant que nous discutons de tout et de rien, je la vois regarder avec curiosité cet homme. Discrètement, lentement, elle se penche vers lui, feignant de prendre son sac, pour favoriser le regard qui s'appesantisse sur ses seins. Nicolas n'en perd pas une miette. Tout en se redressant, elle me regarde en souriant. Avec une de ses jambes, elle frôle mon mollet puis celui de notre illustre inconnu. Une fille libre, décidée, qui sait ce qu’elle veut et qui prend ce qui lui plaît quand ça lui plaît, voilà ce que Steph me donnait à voir. Ce qui ne me déplaît pas pour autant.
Pendant quelques minutes, nous discutons de choses et d'autres. Je vois Steph apprécier cet homme : son torse puissant, son ventre un peu rond, ses yeux coquins.

Cela vous dit d'aller à mon bureau, histoire de couper un peu avec ce brouhaha incessant ?, de leur proposer. Un ange passe...
pourquoi pas, de répondre ma femme.
Avec plaisir, dit l'homme.

Nous nous levons, réglons et partons. Mon bureau est à quelques minutes à pied d'ici. Vu que nous sommes samedi, je sais qu'il n'y aura personne. Donc, du calme, de l'isolement. D'autant plus que je vois Steph prendre ma main. Et celle de Nicolas. Je tends ma bouche vers son oreille et je lui glisse que je la sens dynamisée par cette journée. Et, en creux derrière, je vois le sourire de notre comparse.
#1573753
En arrivant, nous nous installons autour de la table de travail. L'ambiance est chaude, silencieuse, arrêtée. Steph propose d'aller chercher de l'eau. Je dis alors à Nicolas de regarder et de profiter. Ses yeux se scindent entre l'excitation et le rêve éveillé. Dès le retour de Steph, je lui dis de rester debout. Elle me regarde : son tempérament latin n'aime pas les ordres mais le plaisir d'être guidée lui plaît aussi. Dorénavant.
Je lui dis alors de poser son haut. Elle tergiverse un instant, nous regarde fièrement. Puis, d'un geste ample, elle dépose son top. Nous voyons alors le fameux soutien-gorge blanc, transparent, qui laisse voir ses deux bouts de seins tendus, excités, érigés. Je luis dis alors de venir vers nous et de nous enlever nos T-shirts. En se penchant vers Nicolas, je le vois humer et dévorer du regard cette poitrine; quant à moi, pendant qu'elle me déshabille en me traitant de libidineux, je dégrafe son soutien-gorge. J'avais raison sur son excitation car ses seins restent altiers. Je lui dis alors de reculer. Je lui ordonne alors de faire tomber la jupe. Elle défait le bouton, bouge son bassin et laisse négligemment tomber ce tissu. Qui laisse voir alors un petit string blanc aussi simple que transparent ! Je luis dis de se retourner, de nous faire voir son cul si doux et arrondi. Elle s'exécute. Je lui ordonne alors de poser ce bout de tissu, de se pencher et de nous donner à voir son con, ses douces lèvres. Du coin de l'œil, je vois Nicolas rouge de plaisir, souffler d'impatience. Steph descend son string avec ampleur et lenteur et, avec la même économie de geste, se baisse. Puis passe une main sur sa chatte, l'ouvre un peu afin de nous montrer l'humidité qui l'habite. Nicolas se lève, vient à elle, la retourne, l'embrasse. Je vois alors Steph l'embrasser langoureusement, caresser son pantalon, tout en me jetant des œillades perverses. Il lui embrasse le cou, la nuque, les seins; ses mains voyagent entre les reins et les fesses, passent férocement sur sa petite chatte. Steph souffle, gémit, se baisse : elle ouvre le pantalon, le descend avec le slip, caresse la bite de Nicolas et commence à prendre le gland dans sa bouche experte ès pipes. Elle lèche le jus qui coule et tient ces bourses dans ses mains.

Pour l'instant, je reste à l'écart et je profite. Ma femme est une salope et j'aime ça. Quand je la vois comme cela, cela me picote de plaisir tout en me tirant un peu le ventre. Ma possession s'exprime pleinement car elle libre de faire ce que je veux... Sa beauté, sa crudité, son expertise excite Nicolas et m'apporte un plaisir sexuel. Je me déshabille, et je me caresse en la voyant. Elle me regarde avec concupiscence. Elle veut que je vienne. Attends ma Belle, attends...

Nicolas a une bite en feu, un visage marqué par le plaisir intense de baiser Steph. Il la redresse, l'embrasse, la caresse. Il la prend, la retourne puis commence à lui embrasser le dos, les fesses. Le sexe. Il passe ses doigts dans ses plis, commence à mettre la langue et lui dévore totalement la chatte et le cul. Je vois ses doigts faire des allers-retours dans son intimité. Steph geint de plaisir, commence à devenir crue. Nicolas n'en peut plus. Il prend la capote que je le lui tends, au bon moment, se l'enfile et enfile Steph avec rudesse. Le calme avant la tempête ! Pendant que l'épée retourne dans son fourreau, je vois le regard de ma femme réaliser qu'une nouvelle bite l'a pénètre. Moment fugace de cette rencontre physique où elle s'emboîte avec un autre. Je vois ses fesses bouger au rythme des coups de reins de Nicolas, ses seins partir de l'avant à l'arrière. Elle me regarde et son regard est torride. Je m'approche et lui tends mon gland pour qu'elle recueille aussi mon sexe dans sa bouche. C'est bon de voir un homme la besogner pendant qu'elle me suce. Elle se redresse alors, retire le phallus de Nicolas. Elle m'embrasse pendant que je lui caresse les seins. Ses yeux commencent à devenir extatiques car nous sommes là pour lui donner du plaisir.
Elle se retourne alors, allonge Nicolas sur la table, l'enjambe et s'empale sur lui. Je suis au première loge de ce spectacle toujours exceptionnel ! Je vois son con s'ouvrir et gober la verge de Nicolas. Ses fesses s'ouvrent aussi, sa petite rose me faisant des appels coquins. Son bassin s'élève et descend, tel un marteau-pilon érotique. Ses lèvres vaginales écartées ruissellent de plaisir. Je vois les mains de Nicolas prendre possession des fesses de Steph, appuyer sur son périnée tout en lui caressant les seins. Elle monte de plus en plus, cognant frénétiquement le bassin de Nicolas. Son râle et le ralentissement qui suit montre qu'elle a jouit. Cette position d'Amazone la fait toujours vite partir. Nicolas reste sur sa faim, moi aussi malgré ce spectacle épique !

Steph vient à moi, éreintée. Elle m'embrasse délicatement. Nous nous caressons pendant que Nicolas reste coi. Il vient derrière elle, elle se retourne, lui caresse les cheveux. Je me frotte contre le cul de ma femme. Elle comprend. Doucement, elle se baisse et commence à nous sucer. Rapidement, Nicolas jouit sur les seins de Steph; elle me regarde et je sais qu'elle me donnera quelque chose de plus. Sa tête fait des va-et-vient et je l'avertis que je vais jouir. Elle s'arrête, ouvre sa bouche, tend la langue et accueille mon sperme dans sa bouche.... Elle recrache un peu sur ma bite, avale un peu.

Elle se redresse, m'embrasse, me glisse qu'elle m'aime.

Nicolas, qui s'est assis pour profiter du spectacle, applaudit. Et de me dire qu'il m'envie. Steph éclate de rire !

Après cette rude journée de manifestation, nous quittons Nicolas. Il souhaite absolument nous laisser son numéro mais, tout en lui indiquant le plaisir d'un one-shot, Steph lui prend la main, le regarde et le remercie. Elle lui embrasse sa joue gauche. Et nous le quittons.



A suivre... si cela vous dit ;)
#1577105
merci pour ces retours. C'est agréable et gentil !

Voici la suite.


*-*-*-*-*-*-*-*-*

La contraction de ma queue dans ma main s'accélère. Je sens le sperme venir, mon corps est envahi par ce souhait de libération et, en même temps, je regrette déjà que cela s'arrête. Putain, que c'est bon de jouir. Surtout en pensant au côté salope de ma femme.
Sur mon ventre, je sens un liquide chaud, mon pouls commence à ralentir, je sens les contractions de mon corps se relâcher. Je me sens bien. Et seul aussi.

J'ai du mal à comprendre ce qui m'excite. Généralement, un homme est amoureux de sa femme et, tel son domaine, il souhaite qu'il ne soit pas envahi par d'autres personnes. Puis, les années passent et le regard porté sur celle qui est à ses côtés quotidiennement se fait plus tendre mais moins complice, passant de l'amour à l'amitié génitalisée. A ce moment-là, beaucoup s'ennuient, d'autres filent vers l'adultère. Et moi, qu'est-ce que je veux ? Déshabiller Steph devant un autre homme, la voir le sucer, se faire prendre et que je participe aussi, avec allégresse !

Tout a s'est révélé à moi, à nous, lors cet après-midi...


*-*-*-*-*-*-*-*-*

Nous sommes de sortie, profitant enfin du soleil qui remontre tant sa couleur que sa chaleur. En cette belle fin de journée, nous avons envie de passer du temps ensemble, sans enfant. De surcroît, Steph peut enfin mettre des courts habits car son tatouage est enfin cicatrisé. Le long de sa jambe gauche remonte une liane végétale, qui part de sa cheville pour aller derrière la cuisse. En écho plus fin, un piercing nasal habille son visage. Nouvelle saison, nouvelle femme, nouveaux atours ?!?!

En voiture, je ne peux que constater le plaisir d'avoir une belle femme. Sa robe verte l'habille à merveille, soulignant avec justesse le charme de mon épouse. Ses chaussures à talons dessinent ainsi d'autant plus la longueur que la finesse de ses jambes.

Je vois Steph me sourire. Je lui fait part de mes réflexions. Elle me répond qu'elle m'imaginait plus perspicace. Je lui dit alors que j'ai remarqué, sans pouvoir profiter de ce beau moment, qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle prend alors son regard courroucé et me réponds avec fraîcheur et force : «  si ce n'était que ça !! ». Elle remonte alors sa robe et je vois alors apparaître quelques poils de sa toison pubienne et, surtout, ses lèvres douces et charnues, encadrant une fente de volupté. Oh la coquine !!

Nous voilà arrivés à Lyon. Nous laissons notre véhicule près du quai Claude Bernard et filons directement le long des berges aménagées du Rhône. Ce lieu, frais et ensoleillé, comporte de nombreux endroits agréables où se poser ; rendez-vous de tous les lyonnais, c'est toujours l'occasion de voir de jolies femmes. Et de voir le regard des hommes sur ma femme m'excite toujours autant. Quant à Steph, elle reste de marbre. À l'extérieur du moins. En effet, en marchant, je ne peux m'empêcher de passer ma main de ses reins vers ses fesses, et de ne sentir aucun tissu sous sa robe me plaît. Et les frémissements de Steph me laissent subodorer le partage de sensations.
Profitant du spectacle de la lumière du soleil qui descend derrière les collines de Fourvière, nous décidons de nous asseoir sur un coin de verdure. Je vois des hommes, seuls ou en couple, passés devant nous et envoyer des regards curieux vers nous. Je décide alors de me lever et d'aller le long du Rhône, voir si des poissons sont visibles. Steph fait le choix de rester assise, pour dorer et profiter de ce beau temps. Une fois là, après quelques instants consacrés à ce passe-temps, je me retourne et regarde ma femme. Qu'est-ce qu'elle est belle ! Sa sexualité ne me laisse pas indifférent mais, surtout, son esthétisme fait d'elle véritablement une belle femme. Elle me regarde, souris. Je la vois alors lever une de ses mains vers le haut de sa robe, observer si le moment est propice et elle ouvre son décolleté pour laisser apparaître un téton tendu. En même temps, mais plus fugacement, elle écarte ses jambes. Ses poils visibles, ses lèvres ensoleillées me font bander de suite.

De retour vers elle, je m’assois et l'embrasse avec amour. Je la remercie. Son sourire est franc et massif.

Nous discutons alors de tout et de rien, des aventures scolaires de nos enfants, de nos joies et déceptions professionnelles, de la famille. À un moment, je lui fais part que je suis un des hommes les plus heureux qui soient. Même si tout n'est pas parfait, surtout la dichotomie entre mes envies sexuelles et ce que nous vivons. Puis, puis... mais, je vois alors un voile traverser son regard. Je sens un trouble la posséder. Je regarde Steph et je lui fait part que je sens un malaise...
#1578204
« - je dois t'avouer quelque chose, me dit-elle
- de quoi ?
- J'ai eu une aventure

- ..., je reste sans voix. Ma tête et mon esprit vacillent. Mais, de quoi parles-tu ?!
- Depuis quelques mois, j'ai senti naître en moi un mouvement si fort... J'avais envie de sexe comme cela ne m'était jamais arrivée.
- Oui. J'ai bien vu ces derniers week-end. C'était exceptionnel. Mais, qu'est-ce qui c'est passé ? Avec qui as-tu... couché ?
- Attends s'il te plaît. Avant ça, je veux que tu comprennes ce qui s'est passé. 
»

Je nous vois, tous les deux, côte à côte. Les gens passent en souriant, ignorant superbement ce qui se passe. Les hommes toujours avides d'elle, moi insensible aux charmes des femmes qui passent. C'est stupide mais je suis un homme coupé en deux à cet instant : priant pour qu'elle m'aime encore, des flash passent dans ma tête me la montrant seule avec un autre. Étonnamment, j'en bande. Et j'ai peur.

« -Tu m'écoutes Yann ?
-oui, oui,
lui dis-je.
- J'avais le corps en feu. Tu l'as vu sur ce week-end où je me suis offerte à toi et à tes désirs les plus bizarres. Je ne sais pas pourquoi mais cette envie transpire à travers moi. Malgré moi, je sentais cette flamme toujours aussi forte. Je mouillais régulièrement et je sentais toujours le désir poindre en moi. Je voyais bien que cela dégoulinait de moi car les hommes me regardaient. Comme maintenant.
- Oui je vois... . Je veux savoir !
- Je suis partie en formation à Paris il y a peu. Durant ces journées de travail, j'ai sympathisé avec un homme.
- Tu veux parler d'Olivier ?
- Oui.
- C'EST avec lui que tu as baisé ?
- Arrête avec ces mots … mais, oui, c'est lui.
- Putain, je le sentais. Quand tu en parlais, je voyais bien qu'il y avait quelque chose. Tu fuyais mes questions et mes remarques te déplaisaient. Mais pourquoi ??
- je ne sais pas. Sa gentillesse, son côté charmant et gentleman. Vraiment, j'ai senti des sentiments forts, comme des vagues, venir à moi. Et , comment dire …
- c'est pas vrai...
- je l'ai apprécié, lui aussi. Je le voyais dans ces yeux que je lui plaisait. Et, à moi aussi il me plaisait. Je ressentais des sentiments moins forts qu'avec toi mais, mais... il m'attirait physiquement.
- Je veux tout savoir !
- Arrêtes, tu te fais mal.
- Écoute, je suis assez grand pour savoir ce que je peux supporter. J'ai l'impression que mon univers s'écroule et pour le sauver, peut-être, je veux absolument tout savoir. J'ai besoin de comprendre, de voir. Pour savoir ce que je dois faire. Ce que nous devons faire.
- Yann, je t'aime. Je veux rester avec toi !
- Dis-moi ce qui s'est passé.
- Mais...
- tout de suite !
- OK, d'accord... Après la journée de formation, le mercredi, Olivier m'a proposé d'aller boire un verre dans un bar. J'ai tout de suite sentie que cela pouvait déraper. Mais je voulais y aller car je sentais que ça me ferait du bien. Nous avons parlé de tout : nos familles, nos métiers, nos envies d'avenir. A ses yeux qui pétillaient, je voyais qu'il n'était pas indifférent. A un moment donné, il m'a proposé une cigarette, nous sommes alors sortis et, pour l'allumer, il m'a serré les mains. Nous nous sommes regardés et, je ne sais pas mais l'énergie entre nous était palpable.
- Mais, tu l'aimes ?
Lui dis-je.
- Non. Plus. Sur l'instant, j'avais vraiment le béguin pour lui. Nous sommes retournés au bar. Et là, il m'a proposé de venir à son hôtel. Comme ça, sans raison. Et j'ai dit oui.
- Putain. Mais tu savais bien ce qui allait se passer !
- Oui
, me dit Steph, avec des yeux tristes mais vivants.

J'avais toujours rêvé de la perdre un peu. Sentir le monde m'échapper car elle serait devenue pétasse. D'y être confronté aujourd'hui me bouleverse. J'aime avec douleur cette frustration. Un nœud se forme dans mon estomac. C’est douloureux et en même temps ça me procure du plaisir. D'imaginer ceci attise la perte tout en me procurant une sensation érotique. Mais la jalousie veille à mes côtés, me submerge.

- Continue.
- Oui
, dit-elle en essuyant une larme. Quand nous sommes arrivés dans sa chambre, j'ai eu peur de ce qui allait se passait. Olivier l'a senti et il m'a pris dans ses bras. Il est grand et fort, je me suis sentie protégée, accueillie avec chaleur. J'ai levé la tête, nos regards se sont croisés et, et... nous nous sommes embrassés.
- Je veux tout savoir. Surtout si cela te gêne.
- Arrête.
- Non Steph, tu fais ce que je te dis.
- Comme tu veux Yann... il a alors saisi mon visage à deux mains et nos lèvres, nos langues se sont mêlées, langoureusement. Je sentais la force émaner de lui, ses cheveux bruns en bataille. J'avais follement envie de le posséder et qu'il me possède. Je lui ai retiré ses habits et j'ai commencé alors à le sucer. Tellement il était excité qu'à ma grande surprise, il a joui. De suite.
- Dans ta bouche ?
- …
- dans ta bouche ?!
- Oui.
- T'as pas fait semblant. Tu le sais ?
- Oui
, me dit-elle. Et frontalement de rajouter, j'aime ça, dans ces moments-là.
- Ah oui
.. Je suis estomaqué. Ma femme n'est plus la même. Est-ce encore ma femme ?
- Après qu'il ait joui dans ma bouche, il n'est pas resté coi. Il m'a relevé et en deux secondes, j'étais nue devant lui. Tu sais quoi, j'ai vu dans ces yeux qu'il voulait me prendre vraiment. Il m'a jeté sur le lit, m'a écarté les jambes et il m'a fait un cuni... mon corps ondulait au rythme de sa langue, ses doigts, épais, m'ont fouillé l'intérieur à la recherche de toutes mes zones sensibles. J'haletais de plaisir et je voyais sa queue durcir. Ce que je ne t'ai pas dit, c'est que sa bite est grosse. Pas trop longue mais épaisse. Je la voyais et j'avais envie de la sentir en moi car je savais qu'il me ferait jouir.

En l'espace de deux minutes, nos places se sont inversées. Je la tenais dans ma main et mes insinuations l'ont transformée. D'attaquée, elle devenait offensive. J'avais voulu savoir, j'allais savoir.

- Et à ce moment-là, j'ai pensé à toi. Pas à ta bite, parce qu'elle est pas mal. Mais aux nombreuses fois où tu m'as dit que tu pourrais comprendre que j'aille ailleurs. Et plus j'y pensais, plus je me disais qu'il fallait en profiter. J'ai raison, ça te plaît ce que je te dis ?
- … Oui Steph, ça m'excite. Je te déteste de l'avoir fait sans moi mais, mais je ne suis pas indifférent à cette histoire.
- Je le savais. Tu aimes bien tout contrôler mais là, c'est mon moment. Alors profite.


Des obsessions me traversent l'esprit. Imaginer cette scène me donne une érection monumentale et en même temps, je suis abattu d'avoir été trompé et laissé seul.

- Après qu'il m'ait chauffé comme jamais, je me suis laissée faire. Et je lui ai dit. Il m'a alors retourné et il m'a prise par derrière. Mon corps tremblait de plaisir, sous ses coups de butoir. Ma chatte était rouge de chaleur et je sentais qu'il durerait. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche... Olivier me baisait rudement. Je gémissais de plaisir et cela attisait son va-et-vient. Pendant que d’une main il me tenait fermement par les hanches, il se servait de l’autre pour me tirer les cheveux et me forcer à me cambrer. Je sentais encore mieux sa bite dans ma chatte et j'aimais ça. Son souffle rauque, ses mains puissantes... Je me suis défait alors de cette position et Olivier a continué à me prendre en missionnaire. C'était bon. Pendant qu'il continuait ses mouvements de bassin, nos bouches restaient collées l'une à l'autre. Mon corps frissonnait de plaisir et je sentais des vagues de bonheur rouler à travers moi. J'ai adoré lui caresser le dos, descendre et saisir ses fesses, pour les attraper et le faire venir encore plus profondément en moi. Et nous avons joui tous les deux, j'ai senti sa bite se contracter pendant que ma chatte l'englobait... c'était fort et bon comme moment. Alors, tu es content de savoir ?
- Je suis sur le cul. Je t'en veux. Tu viens de mettre un coup dans notre couple si fort... et en même temps, je dois admettre que cela me plaît. Vous avez fait quoi après ?
- Rien. A peine parlé. Je me suis lavée et je l'ai quitté. Pour te rassurer, après, quand nous nous sommes revus, c'était comme avant.
- Non, ce n'est pas comme avant. Il t'a vu nue, tu lui as donné ton intimité. Et tu m'as trompé.
- Oui. Je deviens peut-être celle que tu souhaitais ?
- Peut-être...
#1581976
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et c'est à partir de cette histoire que nous avons eu une véritable discussion autour de notre sexualité. Sans changer le fond de notre fonctionnement, priorité aux enfants, l'importance accordée aux autres, nous avons pu définir nos souhaits respectifs. Pour ma part, je voulais de la transparence, de l'action sexuelle commune et que je dirige ; quant à Steph, elle voulait ne pas faire d'activités dégradantes, n'allez qu'avec de belles personnes, à tous les sens du terme, et que notre sexualité ne soit ni dévorante ni oppressante.



*-*-*-*-*-*-*-*-*


Chauffailles, le XX février 20XX



Nous arrivons dans une maison fait de bric et de brocs. Quelques sculptures traînent de-ci de-là dans le jardin. Il se dégage une ambiance bohème, tout est fait de la main d'un seul homme car cet univers porte une empreinte propre.
La porte d'entrée ouverte, nous pénétrons dans le hall. Je vois Paul sortir la tête de l'embrasure de la cuisine :
« - bienvenue ! Dit-il avec un sourire chaleureux ».

Il vient à nous, embrasse Steph, me serre vigoureusement la main. Son regard est volontaire à notre égard. C'est lui la raison de notre venue.

Il y a quelques semaines, il a accueilli Steph, seule, pour une séance photo de nue artistique. Au fur et à mesure de la séance, elle s'est lâchée, jouant avec effronterie de sa nudité pour donner à voir son sex-appeal. Des poses suggestives, des jeux de regards, une chaise comme support aux jeux de jambes, une guêpière qui prend toute sa dimension. Autant de très belles photos que d'invitations à la débauche.
A son retour, en voyant les premières images, Steph n'a pas cillé; fière d'avoir accompli cette séance, je ne lui ai pas caché ma surprise. La voir aussi chienne lubrique avec un autre homme, séparé par un appareil photo aussi ténu que symbole phallique, j'en suis resté étonné. Elle m'a dit avoir découvert des sensations qu'elle ne connaissait pas, que s'être offerte à ce regard durant cet instant lui a donné une rage d'être une Femme, dans sa globale féminité.
De fil en aiguille, Paul a échangé par mails avec Steph et a construit avec elle la suite de ce projet. Secrète, elle m'a juste indiqué qu'après une séance individuelle comme celle-ci, l'histoire n pouvait que s'écrire que comme elle s'écrira...

Après avoir échangé quelques minutes sur les joies de la vie à la campagne, en Saône-et-Loire, Paul nous invite à nous asseoir. En nous servant un café, il nous présente en quelques minutes le projet. Il souhaite photographier avec beauté la crudité d'un couple qui fait l'amour. Ne souhaitant pas avoir à faire à des professionnels, il a recherché un couple nature et vierge d'expériences libertines. Après la séance avec Steph, photogénique et sensuelle, il a évoqué ce projet. Il sait, d'après ma femme, que je suis plutôt ouvert à ce type d'aventure mais que mon expérience est proche de la poussière. Il me regarde, franchement, et me demande mon avis. Au fond de moi, je suis tiraillé par une appréhension de basculer dans un ailleurs inconnu et, en même temps, ma verge creuse un tunnel dans mon ventre. Je regarde Steph, part dans une introspection aussi longue que douteuse, puis admet que l'expérience artistique me plaît. Et que la dimension sexuelle ne me laisse pas indifférent. J'interroge Steph du regard et elle nous dit qu'elle souhaite aussi vivre cette aventure, avec moi, surtout après la première série de photos. Paul sourit de notre innocence. Il se lève et nous invite à le suivre dans son studio...

Nous arrivons alors dans une pièce sombre, éclairé par des projecteurs qui créent une ambiance contrastée. Il nous informe qu'il va sortir quelques minutes, le temps pour nous de nous changer. En effet, comme j'ai pu le constater, Steph a prévu quelques habits de circonstances. Dès Paul sortit, je lui demande si elle prête à vivre cette situation qu'elle a toujours refusé. Elle me regarde. Puis, avec douceur, elle dit vouloir m'offrir un cadeau inoubliable. Et avec plus de sensualité, elle ne me cache pas que sa première séance de photos lui a donné des envies... plus affirmées. Elle m'embrasse langoureusement pour clore le sujet, se retourne, se baisse et me donne un sac d'habits. Pendant que je me déshabille pour enfiler un ensemble blanc, sans sous-vêtements, je la vois se mettre nue, mettre une robe violette aussi courte qu'une robe puisse l'être, avec un string violet, le tout sans aucun autre habit.

Paul revient alors dans la salle. Il prend son appareil et avant de le régler, nous regarde. Son regard m'ausculte professionnellement; quant il arrive à ma chère et tendre, je vois ses yeux exprimés des envies plus humaines. Il commence alors, à nous photographier, faisant des clichés désinvoltes servant à nous familiariser avec cette situation exceptionnelle.

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