- 08 mai 2014, 21:08
#1580589
suite
Ah les plages de sable fin, les palmiers, les cocotiers.
Notre hôtel est génial. La suite est spacieuse et, comment dire, tropicale, mais climatisée ...
Céline est en ravissement. Elle s’habitue au luxe. Ses angoisses et ses soucis, envolés.
Sa beauté ( sincèrement réelle ) la rend objet de toutes les tentations.
Ici, elle peut, sans problème bronzer les seins nues, dans son mini slip de bain.
L’accouchement a, légèrement, élargi son bassin et ses hanches, son fessier n’en est, encore que plus attirant.
Sa peau, très blanche est a peine hâlée. Elle est belle.
Depuis 2 jours, nous sommes sur un nuage ... de bien être.
Je l’attends, elle se prépare, je suis au bord de la piscine, je sirote mon jus de fruits, glacé.
Elle se plante devant moi :
« Alors, bel homme, comment suis-je ? »
Même si vous ne me croyez pas, je vais quand même vous la décrire, dans le désordre, en gardant le meilleur pour la fin.
Chaussures noires, talons moyens, laissant voir ses pieds.
Haut, simplement fait d’un soutien gorge, noir, garni de dizaines de minuscules traits blancs. Le bas du soutien gorges est complété d’un tissu collant, noir, transparent. Un peu trop petit, sans doute, car sa poitrine semble vouloir en sortir.
Sur ses épaules, un voile transparent, gris foncé, couvre l’ensemble.
Une minijupe, noire, évasée, lui arrive un peu plus haut que mi-cuisses.
« Vénus et Aphrodite, réunies, dis-je, subjugué. »
« Et tu n’a pas tout vu ... »
Joignant le geste à la parole, elle se tourne, se penche en avant et je vois, ébahi, ses fesses nues, sans slip, ni string.
J’imagine donc, qu’elle est chaude pour la soirée…
Il est 21 heures, nous dînons chez notre restaurateur favori où les crustacés sont la spécialité.
Bien qu’habitué aux regards, appuyés des gens qui la croisent, je suis toujours fier.
Et le regard des sénégalais, m’amuse.
J’ai loué une voiture avec chauffeur, dès notre arrivée. Je dis donc au chauffeur de nous emmené dans une boite, afro européenne, comme il en existe quelques unes.
Nous entrons, il est proche de minuit. Il y a de la musique africaine ...
On nous propose une table que nous refusons, préférant, une table moins près de la piste, mais plus intime.
Le serveur nous guide, alors, vers un box, légèrement surélevé, clos par des vitres fumées à mi hauteur. L’endroit est agréable et confortable, avec table basse et fauteuil en demi cercle.
Il nous dit :
« C’est un box V.I.P, les consommations y sont majorées de 30%, et uniquement servies en bouteille, ça vous convient ? »
« Parfait, jeune homme, dis-je, c’est parfait, apporte nous ton meilleur champagne. »
Je lui glisse 10.000 fcfa, et le garçon me remercie avec un grand sourire.
Nous buvons notre champagne, bien glacé, Céline est tout contre moi. Nous regardons les danseurs et les danseuses. La musique est érotique, sensuelle. Le noir et le blanc se mélange.
Le serveur, vient nous visiter de temps en temps.
Céline décide enfin d’aller danser. Elle ne me demande pas de la suivre. Elle me connaît bien. Elle sait que j’adore, l’observer.
Elle danse sur une musique européenne, puis sur une musique africaine ensuite.
C’est plus compliqué ... mais elle essai de s’y adapter. Et plusieurs noirs, tente en se bousculant de danser avec elle, de capter son attention.
Un y parvient, plus que les autres, qui continuent leur approche.
Pantalon blanc, chemise jaune. Il paraît, la trentaine, mais avec les noirs, il est souvent difficile de donner un âge précis.
Je crois comprendre, qu’il tente de lui expliquer les pas de danse et les mouvements.
Céline rie aux éclats
Je sais que le noir ne lui est pas indifférent. Il est musclé. Svelte, toutefois.
Puis, contre toute attente, elle s’arrête et plante là, son cavalier.
Elle vient s’asseoir et boit d’un seul trait sa coupe de champagne.
Je la sens un peu tendue. J’essai de comprendre, sans lui poser de questions.
Le serveur vient nous remettre une bouteille.
En coin, je l’observe. Elle regarde la piste et son ex-cavalier. Elle le suit du regard.
Alors je comprends tout.
Elle a envie, elle crève même d’envie, je suis même sûr que sa chatte doit être inondée, mais voilà, il est noir. Il est noir et Céline n’a jamais eu de rapports sexuels avec un noir. Son esprit doit bouillonner, tout comme son corps, d’ailleurs.
Je lui prends la main, comme pour la rassurer, mais ne dit rien d’autre que :
« Sur un piano, les touches sont blanches et noires, elle donnent une merveilleuse musique »
Elle me regarde, sans comprendre, mais je sais qu’elle va y penser ... j’ai mon plan.
Je m’excuse et lui dit que je vais aux toilettes.
L’obscurité me favorise. Je trouve notre serveur et lui remets un autre billet, dans la main.
« Tu vois le type qui danse, avec un pantalon blanc et un chemise jaune ? »
« oui, patron »
« Discrètement, dis lui qu’il est invité dans le box, par sa cavalière de tout à l?heure »
Il comprend et me sourit de ses dents blanches.
Je reste dans l’obscurité et regarde le manège.
Le serveur a fait la commission. L’homme regarde vers le box et s’y rend, suivi du serveur.
L’homme entre et le serveur, zélé, ferme la porte et retourne le panneau « do not disturb »
Le serveur revient et me dit :
« C’est ok, patron »
« Merci, c’est parfait »
Je reste là un bon quart d’heure et je retourne au box, j’ouvre doucement la porte.
Spectacle garanti.
Le noir et Céline sont dans les bras l’un de l’autre et s’embrasse goulûment.
Le noir me voit et cesse immédiatement en se dégageant de Céline.
Je tente de la rassurer, mais il n’a pas l’air de l’être.
Je lui dis que je suis le mari de Céline mais que je peux me retirer sans problème, s’il le souhaite.
Il devient calme tout à coup. Céline qui a comprit me sourit et confirme la chose.
L’amitié est scellée. Nous buvons et ils vont danser.
Céline revient et me dit :
« Chéri, tu as bien retournée la situation »
« Oui, mais, toi, tu es comment ? »
« J'avais une appréhension mais c’est passé, tu as bien manigancé, mon cher mari »
« Le vice et la complicité, c’est ma spécialité »
« Oui, mais maintenant, il ne veut plus lâcher. Il m’a demandé de me débarrasser de toi, qu’est-ce que je fais ? »
« Fais comme tu veux, si tu veux ... le garder, dis lui que tu t’en débarrasses ... moi je prends un taxi et je rentre à l’hôtel, je me cacherais dans le bureau et toi tu rentres avec le chauffeur, qu’en dis tu. ? »
« C’est génial, génial ... mais non, et la clé ? »
« Merde, c’est vrai ... ( réflexion ) J?ai trouvé. Je vais expliquer au groom que je suis rentré avant toi et que je suis fatigué, je vais lui demander de fermer la porte et de la remettre à la réception pour que tu puisses enter sans me réveiller, voilà tout. »
« Parfait, ok »
Un énorme bisous scella notre plan ... Je pensais que la langue du noir avait fouillé la bouche de ma femme. C’était bon.
Je suis parti et j’ai fais comme prévu, sans problème.
Une heure plus tard, caché dans le bureau, j’ai entendu la porte s’ouvrir.....
A suivre...


Ah les plages de sable fin, les palmiers, les cocotiers.
Notre hôtel est génial. La suite est spacieuse et, comment dire, tropicale, mais climatisée ...
Céline est en ravissement. Elle s’habitue au luxe. Ses angoisses et ses soucis, envolés.
Sa beauté ( sincèrement réelle ) la rend objet de toutes les tentations.
Ici, elle peut, sans problème bronzer les seins nues, dans son mini slip de bain.
L’accouchement a, légèrement, élargi son bassin et ses hanches, son fessier n’en est, encore que plus attirant.
Sa peau, très blanche est a peine hâlée. Elle est belle.
Depuis 2 jours, nous sommes sur un nuage ... de bien être.
Je l’attends, elle se prépare, je suis au bord de la piscine, je sirote mon jus de fruits, glacé.
Elle se plante devant moi :
« Alors, bel homme, comment suis-je ? »
Même si vous ne me croyez pas, je vais quand même vous la décrire, dans le désordre, en gardant le meilleur pour la fin.
Chaussures noires, talons moyens, laissant voir ses pieds.
Haut, simplement fait d’un soutien gorge, noir, garni de dizaines de minuscules traits blancs. Le bas du soutien gorges est complété d’un tissu collant, noir, transparent. Un peu trop petit, sans doute, car sa poitrine semble vouloir en sortir.
Sur ses épaules, un voile transparent, gris foncé, couvre l’ensemble.
Une minijupe, noire, évasée, lui arrive un peu plus haut que mi-cuisses.
« Vénus et Aphrodite, réunies, dis-je, subjugué. »
« Et tu n’a pas tout vu ... »
Joignant le geste à la parole, elle se tourne, se penche en avant et je vois, ébahi, ses fesses nues, sans slip, ni string.
J’imagine donc, qu’elle est chaude pour la soirée…
Il est 21 heures, nous dînons chez notre restaurateur favori où les crustacés sont la spécialité.
Bien qu’habitué aux regards, appuyés des gens qui la croisent, je suis toujours fier.
Et le regard des sénégalais, m’amuse.
J’ai loué une voiture avec chauffeur, dès notre arrivée. Je dis donc au chauffeur de nous emmené dans une boite, afro européenne, comme il en existe quelques unes.
Nous entrons, il est proche de minuit. Il y a de la musique africaine ...
On nous propose une table que nous refusons, préférant, une table moins près de la piste, mais plus intime.
Le serveur nous guide, alors, vers un box, légèrement surélevé, clos par des vitres fumées à mi hauteur. L’endroit est agréable et confortable, avec table basse et fauteuil en demi cercle.
Il nous dit :
« C’est un box V.I.P, les consommations y sont majorées de 30%, et uniquement servies en bouteille, ça vous convient ? »
« Parfait, jeune homme, dis-je, c’est parfait, apporte nous ton meilleur champagne. »
Je lui glisse 10.000 fcfa, et le garçon me remercie avec un grand sourire.
Nous buvons notre champagne, bien glacé, Céline est tout contre moi. Nous regardons les danseurs et les danseuses. La musique est érotique, sensuelle. Le noir et le blanc se mélange.
Le serveur, vient nous visiter de temps en temps.
Céline décide enfin d’aller danser. Elle ne me demande pas de la suivre. Elle me connaît bien. Elle sait que j’adore, l’observer.
Elle danse sur une musique européenne, puis sur une musique africaine ensuite.
C’est plus compliqué ... mais elle essai de s’y adapter. Et plusieurs noirs, tente en se bousculant de danser avec elle, de capter son attention.
Un y parvient, plus que les autres, qui continuent leur approche.
Pantalon blanc, chemise jaune. Il paraît, la trentaine, mais avec les noirs, il est souvent difficile de donner un âge précis.
Je crois comprendre, qu’il tente de lui expliquer les pas de danse et les mouvements.
Céline rie aux éclats
Je sais que le noir ne lui est pas indifférent. Il est musclé. Svelte, toutefois.
Puis, contre toute attente, elle s’arrête et plante là, son cavalier.
Elle vient s’asseoir et boit d’un seul trait sa coupe de champagne.
Je la sens un peu tendue. J’essai de comprendre, sans lui poser de questions.
Le serveur vient nous remettre une bouteille.
En coin, je l’observe. Elle regarde la piste et son ex-cavalier. Elle le suit du regard.
Alors je comprends tout.
Elle a envie, elle crève même d’envie, je suis même sûr que sa chatte doit être inondée, mais voilà, il est noir. Il est noir et Céline n’a jamais eu de rapports sexuels avec un noir. Son esprit doit bouillonner, tout comme son corps, d’ailleurs.
Je lui prends la main, comme pour la rassurer, mais ne dit rien d’autre que :
« Sur un piano, les touches sont blanches et noires, elle donnent une merveilleuse musique »
Elle me regarde, sans comprendre, mais je sais qu’elle va y penser ... j’ai mon plan.
Je m’excuse et lui dit que je vais aux toilettes.
L’obscurité me favorise. Je trouve notre serveur et lui remets un autre billet, dans la main.
« Tu vois le type qui danse, avec un pantalon blanc et un chemise jaune ? »
« oui, patron »
« Discrètement, dis lui qu’il est invité dans le box, par sa cavalière de tout à l?heure »
Il comprend et me sourit de ses dents blanches.
Je reste dans l’obscurité et regarde le manège.
Le serveur a fait la commission. L’homme regarde vers le box et s’y rend, suivi du serveur.
L’homme entre et le serveur, zélé, ferme la porte et retourne le panneau « do not disturb »
Le serveur revient et me dit :
« C’est ok, patron »
« Merci, c’est parfait »
Je reste là un bon quart d’heure et je retourne au box, j’ouvre doucement la porte.
Spectacle garanti.
Le noir et Céline sont dans les bras l’un de l’autre et s’embrasse goulûment.
Le noir me voit et cesse immédiatement en se dégageant de Céline.
Je tente de la rassurer, mais il n’a pas l’air de l’être.
Je lui dis que je suis le mari de Céline mais que je peux me retirer sans problème, s’il le souhaite.
Il devient calme tout à coup. Céline qui a comprit me sourit et confirme la chose.
L’amitié est scellée. Nous buvons et ils vont danser.
Céline revient et me dit :
« Chéri, tu as bien retournée la situation »
« Oui, mais, toi, tu es comment ? »
« J'avais une appréhension mais c’est passé, tu as bien manigancé, mon cher mari »
« Le vice et la complicité, c’est ma spécialité »
« Oui, mais maintenant, il ne veut plus lâcher. Il m’a demandé de me débarrasser de toi, qu’est-ce que je fais ? »
« Fais comme tu veux, si tu veux ... le garder, dis lui que tu t’en débarrasses ... moi je prends un taxi et je rentre à l’hôtel, je me cacherais dans le bureau et toi tu rentres avec le chauffeur, qu’en dis tu. ? »
« C’est génial, génial ... mais non, et la clé ? »
« Merde, c’est vrai ... ( réflexion ) J?ai trouvé. Je vais expliquer au groom que je suis rentré avant toi et que je suis fatigué, je vais lui demander de fermer la porte et de la remettre à la réception pour que tu puisses enter sans me réveiller, voilà tout. »
« Parfait, ok »
Un énorme bisous scella notre plan ... Je pensais que la langue du noir avait fouillé la bouche de ma femme. C’était bon.
Je suis parti et j’ai fais comme prévu, sans problème.
Une heure plus tard, caché dans le bureau, j’ai entendu la porte s’ouvrir.....
A suivre...