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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1608445
- « allo, chéri ? »
- « oui »
- « il vient de partir… »
- « alors ? «
- « qu’est-ce qu’il est timide ! »
- « raconte… »
- « on se met sur la terrasse, je lui sers un café et je m’installe en face de lui en ayant pris soin de bien mettre en avant mon décolleté »
- « et… »
- « j’amène la discussion sur le terrain de l’esthétique en le complimentant sur sa ligne et je lui dis que je réfléchis pour me donner une deuxième jeunesse »
- « hum hum… »
- « il me dit qu’il ne comprend pas pourquoi je dis ça que je suis très bien – il aurait pu dire belle quand meme – et blablabla… »
- « ok et… »
- « ni une ni deux, je lui demande si je ne devrais pas me faire refaire la poitrine, que mes seins sont plus petits qu’avant… Là, je le regarde droit dans les yeux et je le vois changer de couleur. Je me dis que si je lui montre mes seins maintenant il va me faire une syncope ».
- « bon t’as pas osé lui montrer, c’est ça ? »
- « non, je le sentais pas »
- « je comprends »
- « il me répète que je suis très bien comme ça et il a vite changé de sujet en voulant que je lui montre les travaux qu’on voulait faire dans la maison »
- « il est pas pd au moins ton pote ? »
- « il est marié, et fidèle j’ai l’impression… » ;)
#1647757
Suite à la petite annonce que j’avais passée avant les vacances, nous avons fini par trouver la perle rare… Mais je vous passe les détails du casting pour ne retenir que la soirée de rencontre.
Nous sommes donc en une fin d’après-midi d’été, en semaine, et avons rendez-vous à quelques kilomètres de notre domicile, chez notre mystérieux complice avec qui nous avons échangé pendant plusieurs semaines. Rendez-vous fut pris à l’heure des amuses bouches et des verres qui s’entrechoquent. Et ce n’est pas sans une certaine anxiété que nous carillonnons à la porte de notre hôte, celui-ci ne daignant pas se déplacer, nous gratifiant simplement d’un lointain « c’est ouvert entrez ! ». Sic…
Nous pénétrons alors dans l’antre du loup que nous apercevons dans le fond de son jardin occupé à je ne sais quoi. Bref, il se dirige vers ma belle qui me précède de quelques mètres. Il se présente et lui fait de deux bons bisous sur les joues comme si c’était une vieille copine. J’ai le droit ensuite à la poignée de main, virile, chaleureuse sans excès. Notre lascar est physiquement conforme à ce que je m’attendais, beau gosse, sportif, bonne présentation. Il nous explique très vite qu’il est seul cette semaine car femme et enfants sont en vacances à l’autre bout du pays. Ce qui explique notre présence ici… Ma belle semble rapidement sous le charme, et après 3 ou 4 verres de champ, elle semble même à l’aise et plutôt prête à passer une bonne soirée, ce qui n’était pas forcément le cas avant de venir. A 22h30, les sujets de discussions classiques semblent épuiser, c’est le moment pour lui de sortir son arme secrète : le spa ! Il nous invite à le rejoindre dehors et nous montre son jouet : un jacuzzi d’extérieur positionné à l’abri des regards dont il a judicieusement eu la bonne idée de programmer l’eau à 37 degrés.
Pendant qu’il enlève la couverture du spa, j’ôte tous mes vêtements et me glisse nu comme un vers dans la cuve d’eau bouillonnante. Je les informe que « c’est délicieux ». Notre nouvel ami se dirige alors à l’intérieur de sa maison pour récupérer bouteille et verres. Ma belle le suit…
Ils reviennent quelques minutes plus tard, tout d’abord lui avec de quoi s’abreuver, elle, un peu plus tard, blottie dans un peignoir bien trop grand pour elle. Il se déshabille entièrement et viens me rejoindre, c’est alors que Madame se met face à nous, ôte sa sortie de bain et expose à notre vue ses seins et le reste de son corps bronzés par le soleil d’été. Elle enjambe alors doucement la structure gonflable pour s’installer confortablement entre nous. Je ne remarque pas à ce moment-là si elle a gardé un string ou pas. Je n’ai d’ailleurs pas le temps de me poser de questions, puisque ma belle attrape ma queue sous l’eau avec sa main gauche pendant que je devine sa main droite en faire de même avec le membre de notre hôte du soir. Elle nous branle simultanément, se penchant tour à tour à gauche puis à droite pour nous embrasser sur la bouche.
Le contact de l’eau chaude, le silence, la douceur de la nuit, l’alcool à portée de mains… La soirée se déroule à merveille. Nous la couvrons de caresses et de baisers. Ma belle nous suce plusieurs fois et nous lui faisons prendre chacun un orgasme clitoridien à l’aide de nos langues… A suivre.
#1668603
Après cette mise en bouche, si je puis m’exprimer ainsi, nous voilà de retour dans le salon dont la lumière est curieusement devenue tamisée, vêtus de simples peignoirs et quelque peu saisis dans nos ardeurs par la fraicheur de cette nuit estivale. Mais qu’à cela ne tienne, notre hôte fait alors sauter un nouveau bouchon d’une bouteille de champagne et emplie nos verres de ce délicieux liquide. Les coupes s’entrechoquent de nouveau et bien vite la température de la pièce grimpe allègrement après qu’il ait ôté sa sortie de bain juste avant de s’assoir aux côtés de ma chère et tendre. Je n’avais jusqu’ici pas remarqué son énorme paire de couilles, mais maintenant que je suis assis en face de lui et qu’il offre à ma vision son service 3 pièces, je dois dire que je suis impressionné. Sa queue est raisonnablement longue alors que visiblement il ne bande pas encore complètement, sensiblement plus fine que la mienne, mais ses couilles, mon Dieu, c’est vraiment saisissant… Je dois dire que l’idée me traverse alors de les lui lécher. Une autre fois peut être.
Madame est assise à côté de lui et entrouvre alors tout naturellement son peignoir après avoir posé son verre sur la table de salon. Installé face à eux, je devine sa poitrine à travers l’échancrure de son déshabillé. Elles sont superbes : elle et sa poitrine… Ses petits seins tout bronzés pointent joliment alors qu’elle affiche un large sourire de satisfaction en me regardant.
C’est alors, qu’il passe sa main sous la parure de bain afin de l’ouvrir totalement et de montrer ma femme nue à nos deux paires d’yeux sous le charme. Rasée de près et dans la pénombre on devine à peine qu’elle a encore des poils pubiens. Les mains de mon nouvel ami se baladent alors sur chaque cm² de peau de L : coup, bras, mains, ventre, épaule, seins, cuisses, jambes, rien n’est oublié. Ma belle pendant ce temps oscille entre deux réactions : nous dévisager tour à tour et fermer les yeux pour s’abandonner un peu plus. Bien sûr je n’en perds pas une miette. Le spectacle est ravissant. Je bande quasiment sans discontinuité depuis un bon moment maintenant mais j’ai l’impression que je pourrais tenir toute la nuit.
C’est alors qu’il se lève et lui présente sa queue au visage. Pas surprise pour un sou, elle lui prend le sexe à un puis à deux mains, et le suce goulument en lui malaxant régulièrement ses énormes testicules qu’elle a même du mal à tenir entre ses doigts. Je les regarde s’adonner à ce plaisir charnel avec une satisfaction inouïe et une totale admiration. Ils sont beaux ainsi nus et prenant du bon temps et ils le savent. Je ne vais pas tarder à les rejoindre… à suivre.
#1669027
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Merci pour vos messages en MP ! En attendant de vous raconter la suite de cette folle soirée, voici ma belle, n'hésitez pas à commenter... ;)
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#1672629
Oui, ils s’éclatent visiblement… Mon complice d’un soir a les yeux braqués sur sa queue qui elle-même se fait littéralement avaler par ma femme ! Wouahou… Le spectacle à moins de deux mètres est saisissant.
Dans cette semi pénombre, j’ouvre à mon tour mon peignoir pour me dorloter l’entre jambes, m’arrêtant régulièrement sur mes parties génitales, histoire de me dire que décidément mes couilles sont ridicules comparées aux balles de tennis de mon nouvel ami. Mais cela m’excite pourtant, allez savoir pourquoi ? D’ailleurs ma belle l’a bien compris : elle masse régulièrement ces testicules qui lui sont présentées comme une offrande, les étirant, soupesant, malaxant avec une dextérité déconcertante.
C’est alors que je décide de me lever et de les rejoindre. Je me dis que si je la tripote un peu, cela devrait l’aider à décoller. Je me mets alors au-dessus d’elle, une main s’occupant de ses seins et l’autre lui chatouillant son joli petit minou. J’ai rapidement la terrible impression qu’elle ne m’a même pas remarqué. Elle continue d’engloutir cette queue et désormais ces couilles avec une voracité que je ne lui connais pas. Prendrait-elle du plaisir ainsi ? En tout cas, mon complice, lui, a l’air aux anges. Il sourit largement et effectue de petits grognements sourds qui ont l’air de faire leur effet sur ma salope de femme. Celle-ci a les yeux grands ouverts ce qui, la connaissant, est plutôt signe de plaisir.
C’est alors que je décide de la pénétrer en missionnaire avec la réelle intention de lui faire voir que moi aussi je suis en forme. Mais quelques vas et viens plus tard, toujours rien de son côté, son bas ventre n’effectuant aucun mouvement si ce n’est les légères pressions subies par mes coups de boutoirs. Niveau sensation c’est apparemment le néant total pour elle. Elle est absorbée par ce qu’elle a entrepris depuis maintenant un bon ¼ d’heure. Je commence alors à comprendre ce qu’elle cherche et vous aussi, amis lecteurs, vous le devinez sans doute : une éjaculation faciale… Pas besoin d’attendre bien longtemps, je vois à la grimace de notre hôte que la sève remonte à la surface à la vitesse grand V. Je n’aurai pourtant pas le plaisir de voir de mes yeux le sperme d’un inconnu envahir le visage de ma femme ce soir. Elle continue de pomper telle une forcenée, ne laissant pas une goutte s’échapper de sa bouche, avalant jusqu’à la dernière gorgée. Je continue ma besogne, mais je dois dire que je suis plus accaparé par le spectacle qui se déroule devant moi. Je décide cependant d’accélérer le mouvement, histoire de repartir à égalité. Quelques nouveaux aller-retours et j’éjacule à mon tour, dans un vagin totalement insensible à ma présence pendant que l’autre sort sa queue de la bouche de ma femme avec une délicatesse moyenâgeuse… Le retour sur terre est dur. Comment vais-je gérer cela ?
à suivre…
#1887596
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Petit jeu avec un collègue

En congé maladie suite à un accident de voiture qui m’a obligé à rester chez moi pendant près de deux mois cet hiver, je me suis livré à un petit jeu avec un collègue de travail qui m’a beaucoup amusé et excité.
Que je vous explique : chaque semaine, j’ai fait venir chez moi mon jeune collaborateur Max, un joli garçon célibataire d’une trentaine d’années, pour m’apporter des documents de travail et faire un point de visu sur les dossiers en cours. Ce petit rituel est rapidement devenu pour moi une source d’amusement au fur et à mesure de nos rencontres hebdomadaires. La 1ère semaine où j’ai mis en place mon « petit jeu », j’avais pris soin de disposer dans mon salon, lieu de nos rendez-vous, un cadre photo sur un meuble. Installé à moins de 3 mètres, j’ai pris soin d’installer mon interlocuteur face au meuble en question de façon à ce qu’il voit bien le cadre que j’avais installé là rien que pour lui. Je décidai de scruter ses réactions à la vue de la photo représentant mon épouse souriant avec un décolleté XXL. Concentré sur nos échanges ou peut être intimidé par la situation, je me rendis compte, alors que notre entrevue se terminait au bout de 30 minutes, que Max n’avait rien remarqué. Non résigné et décidant de le raccompagner jusqu’à la porte, je le fis passer devant moi de façon à ce qu’il soit pratiquement obligé de voir le cadre et là je vis dans son regard, l’espace d’une demie seconde, un vif intérêt et une réelle surprise en découvrant l’œuvre qui lui était proposée. Je décidai de faire comme si de rien n’était et lui souhaitait une bonne semaine, sentant tout de même le trouble qui venait de l’envahir. Il balbutia un au revoir et promîmes de nous revoir dans 7 jours. Je rangeais le cadre et sa photo content de mon coup.
La deuxième semaine, je décidai de remplacer le cadre en question par un miroir. On allait voir ce qu’on allait voir… Dès qu’il entra dans le salon, il posa quasiment instantanément ses yeux sur l’endroit du meuble où une semaine plus tôt, un visuel de ma femme exposait à la vue de tous la naissance de sa superbe paire de seins. Max resta de marbre mais, s’assis à la même place que la semaine passée, et je le surpris à plusieurs reprises à jeter un œil vers le miroir pour constater peut-être qu’il n’avait pas eu la berlue la dernière fois qu’il était venu me rendre visite. Bien sûr, vous imaginez que mon petit jeu commençait à m’amuser. J’étais bien décidé à poursuivre l’expérience.
Les semaines 3 et 4 je décide de mettre à chaque fois une photo différente de ma femme, un peu plus habillée cette fois, mais toujours souriante et sacrément sexy. Je sens que son intérêt croit au fil des séances, comme s’il attendait fébrilement le reste de la semaine pour ce moment où il découvre une nouvelle photo. Il est temps de passer à la vitesse supérieure.
Semaine 5 : même jour, même heure. Ding dong ! Voilà mon visiteur. Cette fois, j’ai enlevé le miroir et remis le cadre de la première fois. Mais la photo n’est plus la même. Cette fois, c’est une nouvelle photo de ma femme, mais en noir et blanc, très esthétique, où elle se languit sur un lit en petite tenue. Bien sûr, je remarque son rapide coup d’œil à la photo et ne manque pas de lui faire remarquer aussitôt dans un large sourire : « je te présente ma femme… tu ne la connais pas je crois ?» en lui signalant par le geste l’endroit où était posé le cadre. Je sens sa confusion et sa gêne à sa façon de chercher à éclaircir sa voix : « hum, hum… oui, enfin non ». Profitant de son trouble, j’enchaine : « elle est très sportive et plutôt bien conservée tu ne trouves pas ? ». Cette fois, il part dans une espèce de gloussement forcé et parvient juste à me répondre : « c’est clair ! ». Il parvient quand même à enchainer : « super photo en tout cas, bravo ! ». Et moi de lui répondre du tac au tac : « ah non, celle-là c’est un ami qui l’a prise. Mais si tu veux, je peux te montrer les miennes… ». Confus et étonné, il détourne le regard mais parvient à glisser presque en marmonnant :« Euh, pourquoi pas… ». « Travaillons d’abord, tu veux bien ? » lui répondis-je d’un ton assuré. A la fin de notre entrevue, je le raccompagne en feignant de ne plus souvenir de ma promesse. Je lui souhaite une bonne semaine et je ne peux m’empêcher de lui dire sur le pas de la porte : « ah oui, pense à apporter les photos du projet K la semaine prochaine. Dis donc, on en a à voir des photos la semaine prochaine… ». Il se retourne et rit franchement à cette répartie me faisant bien comprendre par là qu’il a compris l’allusion. Mais il n’y aura pas de rendez-vous semaine 6. J’ai repris le travail deux jours plus tôt. Max m’a vu arrivé ce jeudi matin, m’a laissé prendre place dans mon bureau avant de venir me saluer. Après les amabilités d’usage et avant de quitter la pièce il me lance « j’ai les photos du projet K au fait, quand tu veux pour les regarder ensemble… ».
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