- 24 juin 2014, 01:07
#1610275
Ca s'est passé ces derniers jours, et y'aura jamais de photos, j'ai juste besoin de le raconter...ça purge:
Voilà le beau temps et ça provoque des retours de flamme de ma petite chèrie, Val…
Ce que je vous raconte a quelques jours et j’ai du mal à m’en remettre…En fait ça m’obsède tant que j’espère que vous le raconter va un peu faire tomber la pression, et calmer ma tendinite au poignet…
Nous avons la cinquantaine et sommes ensemble depuis 20 ans. Nous avons pratiqué le candaulisme à des niveaux variés, étant donné mes fantasmes et ma capacité à les assumer d’une part , et les besoins et l’audace de madame, d’autre part…
Mais depuis deux/trois ans c’était nada ou presque rien. Lors de notre dernière aventure Val était tombée très amoureuse, ce qui était difficile et délicieux en même temps. Une relation très forte, sexuellement épanouissante pour tout le monde…. Le monsieur prenait plaisir à me faire cocu, a inventer des scénarii humiliant pour moi…Mais, j’ai commis une maladresse, il a su que j’étais complice, ça a énervé Monsieur, et Monsieur a rompu, de façon brutale…Affreux pour val, super malheureuse, a souffert comme une bête, m’en a beaucoup voulu et elle a décidé que c’était terminé les conneries…Elle était vraiment folle de ce connard…compliqué tout ça.
Bon les conneries pas tout à fait terminées quand même…Déjà elle continue à me traiter comme sa chose, à me faire faire toutes les tâches, à me parler comme à un dogue, à me gifler constamment pour un oui, pour un non, à m’humilier devant mes amis, ma famille, mes relations de boulot… Je sais qu’il y a quand même eu des trucs, qu’elle a baisé avec d’autres, c’est trop fort pour elle, mais moi, officiellement je n’en sais rien…et de toutes façons c’était rare, et vite fait bien fait…Quand à la baise entre nous c’est au mieux une fois par mois,, elle ne jouit pas, le reproche à mon petit sexe et mes maigres performances…ce qui me met en joie, kan m^me…j’ai droit à de petites branlettes, des éjaculations chronométrées, et de temps en temps le droit d’utiliser ma langue pour la faire jouir.
Et puis depuis quelques temps le truc du cocufiage remonte, revient, elle l’évoque, me dit qu’elle pourrait recommencer à voir des mecs, que je vais bientôt être à nouveau bien cocu…qu’elle a été conne d’arrêter, etc…
Bref, je la sens de plus en plus excitée.
Arrive vendredi dernier. Le soir, après que j’ai couché les gosses et tout, elle me fait mettre à poil, puis à genoux sur la table, mains attachées dans le dos. Elle s’asseoit sur une chaise en dessous de moi, sur le côté…Bine confortablement assise, elle a une vue et une prise en main imprenable sur ma petite bite tendue. Et là, mes amis, elle me branle en me massacrant la bite, serrant à mort, tirant la peau, passant ma pauvre queue entre deux doigts hyper serrés, trifouillant l’urètre….interdiction d e me plaindre…Et elle, racontant d’un air détaché, qu’en fait elle m’avait cocufié avec machin, avec truc, pendant telle soirée, etc….qu’elle allait me faire beaucoup plus cocu, que je l’avais toujours frustrée, que j’étais minable, nul en baise etc…Elle me branlait à fond, puis arrêtait juste avant que je jouisse, en se moquant de moi, en me regardant secoué de spasmes, vains, douloureux, inutiles… Puis deux fois, trois fois elle m’a fait éjaculer, lachant ma queue à la première goutte de sperme, me laissant me répandre sur la toile cirée, sans vraimeent aller au bout du plaisir, me giflant à toute volée juste après, pour avoir taché ses vêtements…
Bonheur total.
Le lendemain matin, plage (on habite en bord de mer). Trop génial, bain de mer, soleil, bouquin, détente… elle me parle de sexe, ce qui était devenu rare, évoque les bons moments passés, que des trucs qui me font instantanément bander…
Et puis on va boire un verre à la terrasse de cet hôtel, un hôtel un peu luxe, qui donne sur cette plage qu’on aime tant….je m’assois en face d’elle, moi face à la mer…Elle est tellement belle. Elle a une jupe blanche, un peu froufroutante, qui descend sous ses genoux et en haut un chemisier blanc sur son maillot….Les autres tables sont derrière moi, aucun obstacle entre moi elle et la plage…Je sais que malgré le poids des ans, tous les mecs la regarde, elle a tellement l’air salope…c’est grave.
On discute, on est heureux, repus de soleil, et moi ma bite me fait super mal, dans ce maillot de bain qui serre et frotte, avec le sable ffffftttt… c’est trop bon.
Après coup, quand je repasse ce moment dans ma tête, je vois bien qu’elle ne m’écoutait pas vraiment et qu’on était pas sur la même longueur d’ondes…
A un moment elle part aux toilettes. Ils sont d’ailleurs super luxe ces toilettes, larges, propres, en vrai ou faux marbre, design… On aime bien y aller…Mais enfin quand même c’est long, un peu…C’est même très long…Quelque chose cloche….Elle doit avoir un problème…Ca fait combien 10Mn ? 1/4 d’heure ? même pour une grosse comm…mais heureusement juste quand je vais me lever elle arrive…
Elle se place à côté de moi, debout, se penche sur moi et m’embrasse langoureusement…mais c’est bizarre, ce goût sur ses lèvres…ce serait pas…Elle détache ce baiser et parle à mon oreille « mets tes doigts dans ma chatte, tout de suite, et obéis »…Décharge électrique, le cœur à 160bpm…Je remonte sous la jupe tout en l’embrassant, oh ce gout, je reconnais…mes doigts arrivent à sa chatte, plus de maillot de bain, et c’est humide, à vrai dire gluant, trempé…
Et là dans mon oreille, langoureusement, amoureusement : « maintenant tu vas prendre tout ce que tu peux du sperme qui est dans ma chatte sur tes doigts, puis enlever tes doigts et les lécher complètement, doigt après doigt, que je vois bien… »…
Je suis abasourdi, en érection totale et affreusement douloureuse, les doigts dans la chatte, il faut que je les retire, mais discrètement, l’air de rien, mais obéir… c’est trop… Dés l’opération réussie, val va à nouveau s’assseoir en face de moi…plus de soutien gorge et on voit au travers son chemisier ses seins tout durs,…Elle remet ses lunettes de soleil… j’ai les doigts gluants …je m’éxécute, doigts après doigts, c’est encore chaud… mais qui est ce qui a baisé ma femme ? ai-je envie de hurler à la terrase de ce putain d’hôtel. Mais je lèche, j’avale, elle se régale de ma gêne et de ma honte….
Elle se penche vers moi et dit, « c’était trop bon, il m’a prise à fond, debout, juste comme j’aime…Il m’a traité comme une chienne…c’est un vrai mec lui, pas un suceur de sperme ».
Là, un mec s’approche de la table et je me dis, putain, incident diplomatique, elle en a trop fait on va se faire jeter de l’hôtel, scandale. Pas du tout, en fait . Le mec genre beur, plutôt pas mal, faut bien dire.
Elle me présente : « Fares/ Christophe, Christophe/fares…oh mais je suis bête tu connais déjà un peu fares…en tout cas le goût… » Je suis rouge comme une tomate et c’est pas un coup de soleil…Enchanté, fares…dis je me raclant la gorge…Je suis bouche bée de l’audace de val. Fares a un petit sourire, mais je vois bien qu’il est un peu géné lui aussi. Il dit à Val en s’asseyant : tu m’avais dit qu’il serait d’accord, mais ça….j’en reviens pas
Dés qu’il est assis….Elle l’embrasse aussitôt, langoureusement, longtemps, je vois sa main sur son pantalon blanc à la hauteur de sa bite…. Elle arrête le baiser et dit bien fort : « tu vois on peut faire ce qu’on veut il est complétement à mon service »
Puis ils reprennent leurs caresses et baisers, chuchotent et rient…sous mes yeux à moi.. Je tourne la tête et voit plusieurs visages intrigués ou rigolards…mais au moins je connais personne. Puis Val dit :
« Bon Christophe, fares ne peut pas rester, il travaille. Il vient ce soir à la maison, à 18h00. On a pas eu le temps dans ces stupides chiottes de bien nous amuser…Ce sera tout à l’heure… Tu as que quatre heures pour nettoyer toute la maison, changer les draps, faire les courses, préparer à manger.Tu ne voudrais pas mal recevoir nos invités ?
- Moi : Non..non..bien sûr.
- Val : Ah tu achèteras des capotes aussi, grande taille..hein ?
- Moi : Oui, d’accord. Tout ce que tu voudras
- Fares : J’y crois pas… (à Val) t’en fais ce que tu veux.
Après quelques minutes du même genre, échange de N°s etc… fares s’en va.
Val me détaille toutes mes tâches, elle, elle doit faire du shopping (« donnes ta carte, vite »), passer chez l’esthéticienne, etc…
« Interdiction de te branler, c’est clair ? »
Elle sait que j’obéis.
Je la pose en ville et fonce faire le ménage, les courses, et tout, il est déjà 14h00.
A son retour, elle s’enferme dans la salle de bains, puis ressort avec une tenue qu’elle vient d’acheter, un petit déshabillé en satin rouge, culotte assortie, c’est super… Elle est trop énervée et excitée…Horny comme disent les ricains…Elle envoie texto sur texto, en reçoit autant…J’ai pas le droit de savoir. Elle ne tient pas en place alors que l’heure approche, me maltraite, refuse de me dire ce qui s’est passé dans les toilettes…. Elle me dit juste qu’elle avait flashé sur fares qui était assis juste derrière nous. Il ne cessait pas de la regarder. Quand elle s’est levé , il l’a suivi aux toilettes, l’a rejoint dans les escaliers qui y descendait….j’ai su la suite plus tard : Il n’a rien dit, lui a juste pris la main est entré dans les toilettes des hommes, et sans lui parler ni rien, l’a mise à genoux, et ouvert son pantalon blanc dont a émerér la plus épaisse bite qu’elle ait vue…Il avait bon goût (pour le sperme je confirme)…Quelques instants après, il l’a soulevée et baisé raide droit contre le mur des chiottes…. Il a joui en elle avant de lui dire le premier mot….Et puis en se rajustant ils ont parlé qq minutes…Il a posé des questions sur moi, elle lui a expliqué.
Bref, au comble de la nervosité tous les deux…arrive 18h00… Il sonne en bas…l’interphone déconne. Val me dit d’aller le chercher. J’ouvre la porte, on échange quelques mots convenus. On prend l’ascenseur. Arrivé à l’appartement Val ouvre la porte. Elle me met la main sur la poitrine et me dit : « toi tu restes là »
Moi : « Quoi ? sur le palier ? Tu déconnes ? »
Elle (après une gifle) : fares ne souhaites pas que tu sois là et que tu mates comme un pervers. Tu restes sur le palier et tu en bouges pas. Tu attends, C’est compris ?
Fares est mort de rire, me pousse sur le côté, entre, embrasse ma femme et me referme la porte au nez d’un coup de pied.
Je suis resté sur ce palier 2h00…Sans rien entendre ou presque, quelques rires, et de lointains gémissements. Sauf que ça a pas raté…La voisine, jeanne, cette punaise, amie de ma femme à qui Val raconte sa vie, est sortie et m’a vu là, comme un con, assis devant ma porte… Elle me dit : « elle t’as foutu dehors, ou t’as perdu tes clefs ? «
« Dehors » j’ai répondu…Elle est écroulée…et là comme fait exprès on entend un gémissement plus que suspect….
« Ca vient de là ? » me dit jeanne….
« Non, non, elle est seule…. »
Jeanne n’y croit pas visiblement, et elle tourne les talons, avec un bien distinct « encore cocu, alors… » Cette fois je sais qu’elle est au courant de tout….et je la croise tous les jours ou presque…
Quelques minutes après. C’est fares qui vient ouvrir la porte. Il me dit que je peux entrer. « Moi je m’en vais, dit il… je rentre chez moi. Mais t’inquiètes pas on va se revoir souvent…. »
Je referme la porte. Val m’appelle. Je vais dans la chambre. Elle me dit de m’allonger sur le lit. Là elle monte sur moi, attrape le haut du lit pour se tenir bien solidement . Elle pose sa chatte sur ma bouche. Elle est enspermée à fond, la chatte est rouge, le cul dilaté…Et elle se frotte sur ma bouche et mon nez, et commence le récit des deux dernières heures…
Et ma bite tendue comme un arc, qui me fait mal, et qui n’a pas encore joui….
Voilà le beau temps et ça provoque des retours de flamme de ma petite chèrie, Val…
Ce que je vous raconte a quelques jours et j’ai du mal à m’en remettre…En fait ça m’obsède tant que j’espère que vous le raconter va un peu faire tomber la pression, et calmer ma tendinite au poignet…
Nous avons la cinquantaine et sommes ensemble depuis 20 ans. Nous avons pratiqué le candaulisme à des niveaux variés, étant donné mes fantasmes et ma capacité à les assumer d’une part , et les besoins et l’audace de madame, d’autre part…
Mais depuis deux/trois ans c’était nada ou presque rien. Lors de notre dernière aventure Val était tombée très amoureuse, ce qui était difficile et délicieux en même temps. Une relation très forte, sexuellement épanouissante pour tout le monde…. Le monsieur prenait plaisir à me faire cocu, a inventer des scénarii humiliant pour moi…Mais, j’ai commis une maladresse, il a su que j’étais complice, ça a énervé Monsieur, et Monsieur a rompu, de façon brutale…Affreux pour val, super malheureuse, a souffert comme une bête, m’en a beaucoup voulu et elle a décidé que c’était terminé les conneries…Elle était vraiment folle de ce connard…compliqué tout ça.
Bon les conneries pas tout à fait terminées quand même…Déjà elle continue à me traiter comme sa chose, à me faire faire toutes les tâches, à me parler comme à un dogue, à me gifler constamment pour un oui, pour un non, à m’humilier devant mes amis, ma famille, mes relations de boulot… Je sais qu’il y a quand même eu des trucs, qu’elle a baisé avec d’autres, c’est trop fort pour elle, mais moi, officiellement je n’en sais rien…et de toutes façons c’était rare, et vite fait bien fait…Quand à la baise entre nous c’est au mieux une fois par mois,, elle ne jouit pas, le reproche à mon petit sexe et mes maigres performances…ce qui me met en joie, kan m^me…j’ai droit à de petites branlettes, des éjaculations chronométrées, et de temps en temps le droit d’utiliser ma langue pour la faire jouir.
Et puis depuis quelques temps le truc du cocufiage remonte, revient, elle l’évoque, me dit qu’elle pourrait recommencer à voir des mecs, que je vais bientôt être à nouveau bien cocu…qu’elle a été conne d’arrêter, etc…
Bref, je la sens de plus en plus excitée.
Arrive vendredi dernier. Le soir, après que j’ai couché les gosses et tout, elle me fait mettre à poil, puis à genoux sur la table, mains attachées dans le dos. Elle s’asseoit sur une chaise en dessous de moi, sur le côté…Bine confortablement assise, elle a une vue et une prise en main imprenable sur ma petite bite tendue. Et là, mes amis, elle me branle en me massacrant la bite, serrant à mort, tirant la peau, passant ma pauvre queue entre deux doigts hyper serrés, trifouillant l’urètre….interdiction d e me plaindre…Et elle, racontant d’un air détaché, qu’en fait elle m’avait cocufié avec machin, avec truc, pendant telle soirée, etc….qu’elle allait me faire beaucoup plus cocu, que je l’avais toujours frustrée, que j’étais minable, nul en baise etc…Elle me branlait à fond, puis arrêtait juste avant que je jouisse, en se moquant de moi, en me regardant secoué de spasmes, vains, douloureux, inutiles… Puis deux fois, trois fois elle m’a fait éjaculer, lachant ma queue à la première goutte de sperme, me laissant me répandre sur la toile cirée, sans vraimeent aller au bout du plaisir, me giflant à toute volée juste après, pour avoir taché ses vêtements…
Bonheur total.
Le lendemain matin, plage (on habite en bord de mer). Trop génial, bain de mer, soleil, bouquin, détente… elle me parle de sexe, ce qui était devenu rare, évoque les bons moments passés, que des trucs qui me font instantanément bander…
Et puis on va boire un verre à la terrasse de cet hôtel, un hôtel un peu luxe, qui donne sur cette plage qu’on aime tant….je m’assois en face d’elle, moi face à la mer…Elle est tellement belle. Elle a une jupe blanche, un peu froufroutante, qui descend sous ses genoux et en haut un chemisier blanc sur son maillot….Les autres tables sont derrière moi, aucun obstacle entre moi elle et la plage…Je sais que malgré le poids des ans, tous les mecs la regarde, elle a tellement l’air salope…c’est grave.
On discute, on est heureux, repus de soleil, et moi ma bite me fait super mal, dans ce maillot de bain qui serre et frotte, avec le sable ffffftttt… c’est trop bon.
Après coup, quand je repasse ce moment dans ma tête, je vois bien qu’elle ne m’écoutait pas vraiment et qu’on était pas sur la même longueur d’ondes…
A un moment elle part aux toilettes. Ils sont d’ailleurs super luxe ces toilettes, larges, propres, en vrai ou faux marbre, design… On aime bien y aller…Mais enfin quand même c’est long, un peu…C’est même très long…Quelque chose cloche….Elle doit avoir un problème…Ca fait combien 10Mn ? 1/4 d’heure ? même pour une grosse comm…mais heureusement juste quand je vais me lever elle arrive…
Elle se place à côté de moi, debout, se penche sur moi et m’embrasse langoureusement…mais c’est bizarre, ce goût sur ses lèvres…ce serait pas…Elle détache ce baiser et parle à mon oreille « mets tes doigts dans ma chatte, tout de suite, et obéis »…Décharge électrique, le cœur à 160bpm…Je remonte sous la jupe tout en l’embrassant, oh ce gout, je reconnais…mes doigts arrivent à sa chatte, plus de maillot de bain, et c’est humide, à vrai dire gluant, trempé…
Et là dans mon oreille, langoureusement, amoureusement : « maintenant tu vas prendre tout ce que tu peux du sperme qui est dans ma chatte sur tes doigts, puis enlever tes doigts et les lécher complètement, doigt après doigt, que je vois bien… »…
Je suis abasourdi, en érection totale et affreusement douloureuse, les doigts dans la chatte, il faut que je les retire, mais discrètement, l’air de rien, mais obéir… c’est trop… Dés l’opération réussie, val va à nouveau s’assseoir en face de moi…plus de soutien gorge et on voit au travers son chemisier ses seins tout durs,…Elle remet ses lunettes de soleil… j’ai les doigts gluants …je m’éxécute, doigts après doigts, c’est encore chaud… mais qui est ce qui a baisé ma femme ? ai-je envie de hurler à la terrase de ce putain d’hôtel. Mais je lèche, j’avale, elle se régale de ma gêne et de ma honte….
Elle se penche vers moi et dit, « c’était trop bon, il m’a prise à fond, debout, juste comme j’aime…Il m’a traité comme une chienne…c’est un vrai mec lui, pas un suceur de sperme ».
Là, un mec s’approche de la table et je me dis, putain, incident diplomatique, elle en a trop fait on va se faire jeter de l’hôtel, scandale. Pas du tout, en fait . Le mec genre beur, plutôt pas mal, faut bien dire.
Elle me présente : « Fares/ Christophe, Christophe/fares…oh mais je suis bête tu connais déjà un peu fares…en tout cas le goût… » Je suis rouge comme une tomate et c’est pas un coup de soleil…Enchanté, fares…dis je me raclant la gorge…Je suis bouche bée de l’audace de val. Fares a un petit sourire, mais je vois bien qu’il est un peu géné lui aussi. Il dit à Val en s’asseyant : tu m’avais dit qu’il serait d’accord, mais ça….j’en reviens pas
Dés qu’il est assis….Elle l’embrasse aussitôt, langoureusement, longtemps, je vois sa main sur son pantalon blanc à la hauteur de sa bite…. Elle arrête le baiser et dit bien fort : « tu vois on peut faire ce qu’on veut il est complétement à mon service »
Puis ils reprennent leurs caresses et baisers, chuchotent et rient…sous mes yeux à moi.. Je tourne la tête et voit plusieurs visages intrigués ou rigolards…mais au moins je connais personne. Puis Val dit :
« Bon Christophe, fares ne peut pas rester, il travaille. Il vient ce soir à la maison, à 18h00. On a pas eu le temps dans ces stupides chiottes de bien nous amuser…Ce sera tout à l’heure… Tu as que quatre heures pour nettoyer toute la maison, changer les draps, faire les courses, préparer à manger.Tu ne voudrais pas mal recevoir nos invités ?
- Moi : Non..non..bien sûr.
- Val : Ah tu achèteras des capotes aussi, grande taille..hein ?
- Moi : Oui, d’accord. Tout ce que tu voudras
- Fares : J’y crois pas… (à Val) t’en fais ce que tu veux.
Après quelques minutes du même genre, échange de N°s etc… fares s’en va.
Val me détaille toutes mes tâches, elle, elle doit faire du shopping (« donnes ta carte, vite »), passer chez l’esthéticienne, etc…
« Interdiction de te branler, c’est clair ? »
Elle sait que j’obéis.
Je la pose en ville et fonce faire le ménage, les courses, et tout, il est déjà 14h00.
A son retour, elle s’enferme dans la salle de bains, puis ressort avec une tenue qu’elle vient d’acheter, un petit déshabillé en satin rouge, culotte assortie, c’est super… Elle est trop énervée et excitée…Horny comme disent les ricains…Elle envoie texto sur texto, en reçoit autant…J’ai pas le droit de savoir. Elle ne tient pas en place alors que l’heure approche, me maltraite, refuse de me dire ce qui s’est passé dans les toilettes…. Elle me dit juste qu’elle avait flashé sur fares qui était assis juste derrière nous. Il ne cessait pas de la regarder. Quand elle s’est levé , il l’a suivi aux toilettes, l’a rejoint dans les escaliers qui y descendait….j’ai su la suite plus tard : Il n’a rien dit, lui a juste pris la main est entré dans les toilettes des hommes, et sans lui parler ni rien, l’a mise à genoux, et ouvert son pantalon blanc dont a émerér la plus épaisse bite qu’elle ait vue…Il avait bon goût (pour le sperme je confirme)…Quelques instants après, il l’a soulevée et baisé raide droit contre le mur des chiottes…. Il a joui en elle avant de lui dire le premier mot….Et puis en se rajustant ils ont parlé qq minutes…Il a posé des questions sur moi, elle lui a expliqué.
Bref, au comble de la nervosité tous les deux…arrive 18h00… Il sonne en bas…l’interphone déconne. Val me dit d’aller le chercher. J’ouvre la porte, on échange quelques mots convenus. On prend l’ascenseur. Arrivé à l’appartement Val ouvre la porte. Elle me met la main sur la poitrine et me dit : « toi tu restes là »
Moi : « Quoi ? sur le palier ? Tu déconnes ? »
Elle (après une gifle) : fares ne souhaites pas que tu sois là et que tu mates comme un pervers. Tu restes sur le palier et tu en bouges pas. Tu attends, C’est compris ?
Fares est mort de rire, me pousse sur le côté, entre, embrasse ma femme et me referme la porte au nez d’un coup de pied.
Je suis resté sur ce palier 2h00…Sans rien entendre ou presque, quelques rires, et de lointains gémissements. Sauf que ça a pas raté…La voisine, jeanne, cette punaise, amie de ma femme à qui Val raconte sa vie, est sortie et m’a vu là, comme un con, assis devant ma porte… Elle me dit : « elle t’as foutu dehors, ou t’as perdu tes clefs ? «
« Dehors » j’ai répondu…Elle est écroulée…et là comme fait exprès on entend un gémissement plus que suspect….
« Ca vient de là ? » me dit jeanne….
« Non, non, elle est seule…. »
Jeanne n’y croit pas visiblement, et elle tourne les talons, avec un bien distinct « encore cocu, alors… » Cette fois je sais qu’elle est au courant de tout….et je la croise tous les jours ou presque…
Quelques minutes après. C’est fares qui vient ouvrir la porte. Il me dit que je peux entrer. « Moi je m’en vais, dit il… je rentre chez moi. Mais t’inquiètes pas on va se revoir souvent…. »
Je referme la porte. Val m’appelle. Je vais dans la chambre. Elle me dit de m’allonger sur le lit. Là elle monte sur moi, attrape le haut du lit pour se tenir bien solidement . Elle pose sa chatte sur ma bouche. Elle est enspermée à fond, la chatte est rouge, le cul dilaté…Et elle se frotte sur ma bouche et mon nez, et commence le récit des deux dernières heures…
Et ma bite tendue comme un arc, qui me fait mal, et qui n’a pas encore joui….