- 28 juil. 2014, 10:01
#1631106
J’ai raconté ma découverte du candaulisme et un résumé de ma nouvelle vie.
C’est l’un de ses épisodes que je me propose de vous relater aujourd’hui.
Se laisser aller devant moi n’était plus un problème pour Corinne même si elle m’avouait qu’elle était plus à l’aise sans moi.
Ce soir j’étais invité. Nous allions rejoindre son « ami » du moment. Il s’agissait de B, un jeune Turc de 25 ans, pas très beau mais bien membré, et surtout très endurant. Du moins c’est ce qu’elle m’avait dit.
Pendant les 50 kms qui nous séparaient du village où vit B, Corinne me dit à plusieurs reprises qu’elle n’était pas sure que B serait d’accord pour que je regarde. Elle l’avait senti réticent, un peu coincé. En fait il était amoureux d’elle et s’était imaginé que la réciproque était vraie, que Corinne me quitterait pour lui etc… Apprendre qu’il n’en était rien le mit un peu mal.
A notre arrivée à l’entrée du village elle l’appela pour qu’il nous guide. En fait il nous attendait à l’entrée du village, sur un parking de station service. Corinne descendit de la voiture et devant moi, dans la lumière des phares, lui sauta au cou et l’embrassa à pleine bouche. J’en avais déjà une gaule terrible. Elle n’était effectivement plus gênée que je regarde et même au contraire, elle semblait en éprouver plus d’excitation encore.
Elle discuta quelques instants avec B, sans doute pour finir de le convaincre. Il se décida enfin à s’approcher et monta à côté de moi dans la voiture, Corinne derrière. Première déception. J’aurais préféré qu’il monte derrière et commence à la caresser pendant le trajet. Bon. On attendra alors.
Il me guida jusqu’à chez lui. Il habitait un petit appartement au second étage d’une petite maison de ville. Propre et pas si petit, c’était bien un appartement de jeune célibataire.
B me proposa un verre. Je pris un whisky. Il fit de même et Corinne préféra un coca. Nous étions assis face à face, Corinne et moi côte-à-côte dans un petit canapé, et B en face sur une chaise. La conversation avait un peu de mal à démarrer. En même temps, nous n’étions pas là pour discuter.
Corinne ne tenait plus. Sans rien dire elle se leva et alla de poser à califourchon sur les jambes de B, face à lui. Elle passa ses bras autours de son cou et l’embrassa. Puisqu’il n’osait pas démarrer les hostilités, elle prit donc l’initiative. Je vis les main de Corinne chercher la queue de B, ou plutôt c’est ce que j’imaginais. Elle n’avait pas quitté sa jupe. Son chemisier était ouvert mais elle n’avait rien retiré. Je vis ses fesses bouger de haut en bas lentement mais à mon grand désespoir je ne pouvais rien voir, juste imaginer. Elle avait dû sortir la queue de B et écarter sa culotte pour se l’enfiler. Elle était entrain de le baiser sans bruit, et sans grands mouvements, mais c’était bien ça, elle le baisait.
Elle m’avait dit plusieurs fois qu’elle était impatiente de sentir sa queue bien au fond. Et bien voilà, on y était. Et pour le spectacle il faudra attendre…
Je n’ai pas chronométré mais 2 minutes pas plus se sont écoulées avant qu’elle se relève. Il a pris sa caché sa queue entre ses mains et s’est dirigé vers la salle de bains. Corinne est revenue vers moi tout sourire et se rajustant. Elle me dit « il a joui mais t’inquiètes pas c’est pas fini ». je dis alors à Corinne que j’aurais aimé qu’elle ôte sa jupe avant pour que je puisse voir son cul pendant qu’il la prenait. Elle ôta sa jupe devant moi, descendit sa culotte pleine de sperme, défit son chemisier, et rejoint B, nue, dans la salle de bains.
Je suivis à distance. Visiblement il n’osait pas en sortir. Il était debout, toujours habillé, les mains posées sur le lavabo, les yeux dans le vague. Corinne le pris par l’épaule pour le retourner, défit la ceinture de son pantalon pour le baisser à mi-cuisses, lui caressa un peu le sexe qui bandait à nouveau. Elle prit sa place contre le lavabo et lui tendit ses fesses, sans rien dire. B ne se fit pas prie et commença à s’approcher d’elle par derrière, lui embrassa le cou, lui passa les mains sur les seins et descendit jusqu’à son sexe trempé. Corinne passa sa main derrière et le guida entre ses cuisses. Elle prit une position plus cambrée pour qu’il la pénètre. J’étais derrière, légèrement de côté. Je pouvais voir Corinne de face dans le miroir, et même temps que les fesses de B qui avançaient et reculaient, ses couilles pendantes dans le vide aller et venir. Quel pied. S’il était timide au début, ça ne dura pas. Il commença à se lâcher pour la baiser violemment, la limer comme un malade. Il était sur le point de jouir, et dit à Corinne « arrêtes je vais jouir ». il se retira, ou du moins il essaya. Corinne l’avait pris par les fesses en se redressant pour qu’il reste en elle et lui dit « vas-y lâche toi, jouis dans ma chatte ». B ne se fit pas prier. Je vis ses couilles remonter en même temps qu’il râlait. Il venait de lui envoyer une seconde décharge. Je retournais m’assoir, abasourdi. Je me suis branlé dans une feuille de sopalain avant qu’ils reviennent au salon.
Au risque de me répéter, toute cette histoire est vraie. Y compris les détails. Voulez-vous la suite de cette soirée ?
C’est l’un de ses épisodes que je me propose de vous relater aujourd’hui.
Se laisser aller devant moi n’était plus un problème pour Corinne même si elle m’avouait qu’elle était plus à l’aise sans moi.
Ce soir j’étais invité. Nous allions rejoindre son « ami » du moment. Il s’agissait de B, un jeune Turc de 25 ans, pas très beau mais bien membré, et surtout très endurant. Du moins c’est ce qu’elle m’avait dit.
Pendant les 50 kms qui nous séparaient du village où vit B, Corinne me dit à plusieurs reprises qu’elle n’était pas sure que B serait d’accord pour que je regarde. Elle l’avait senti réticent, un peu coincé. En fait il était amoureux d’elle et s’était imaginé que la réciproque était vraie, que Corinne me quitterait pour lui etc… Apprendre qu’il n’en était rien le mit un peu mal.
A notre arrivée à l’entrée du village elle l’appela pour qu’il nous guide. En fait il nous attendait à l’entrée du village, sur un parking de station service. Corinne descendit de la voiture et devant moi, dans la lumière des phares, lui sauta au cou et l’embrassa à pleine bouche. J’en avais déjà une gaule terrible. Elle n’était effectivement plus gênée que je regarde et même au contraire, elle semblait en éprouver plus d’excitation encore.
Elle discuta quelques instants avec B, sans doute pour finir de le convaincre. Il se décida enfin à s’approcher et monta à côté de moi dans la voiture, Corinne derrière. Première déception. J’aurais préféré qu’il monte derrière et commence à la caresser pendant le trajet. Bon. On attendra alors.
Il me guida jusqu’à chez lui. Il habitait un petit appartement au second étage d’une petite maison de ville. Propre et pas si petit, c’était bien un appartement de jeune célibataire.
B me proposa un verre. Je pris un whisky. Il fit de même et Corinne préféra un coca. Nous étions assis face à face, Corinne et moi côte-à-côte dans un petit canapé, et B en face sur une chaise. La conversation avait un peu de mal à démarrer. En même temps, nous n’étions pas là pour discuter.
Corinne ne tenait plus. Sans rien dire elle se leva et alla de poser à califourchon sur les jambes de B, face à lui. Elle passa ses bras autours de son cou et l’embrassa. Puisqu’il n’osait pas démarrer les hostilités, elle prit donc l’initiative. Je vis les main de Corinne chercher la queue de B, ou plutôt c’est ce que j’imaginais. Elle n’avait pas quitté sa jupe. Son chemisier était ouvert mais elle n’avait rien retiré. Je vis ses fesses bouger de haut en bas lentement mais à mon grand désespoir je ne pouvais rien voir, juste imaginer. Elle avait dû sortir la queue de B et écarter sa culotte pour se l’enfiler. Elle était entrain de le baiser sans bruit, et sans grands mouvements, mais c’était bien ça, elle le baisait.
Elle m’avait dit plusieurs fois qu’elle était impatiente de sentir sa queue bien au fond. Et bien voilà, on y était. Et pour le spectacle il faudra attendre…
Je n’ai pas chronométré mais 2 minutes pas plus se sont écoulées avant qu’elle se relève. Il a pris sa caché sa queue entre ses mains et s’est dirigé vers la salle de bains. Corinne est revenue vers moi tout sourire et se rajustant. Elle me dit « il a joui mais t’inquiètes pas c’est pas fini ». je dis alors à Corinne que j’aurais aimé qu’elle ôte sa jupe avant pour que je puisse voir son cul pendant qu’il la prenait. Elle ôta sa jupe devant moi, descendit sa culotte pleine de sperme, défit son chemisier, et rejoint B, nue, dans la salle de bains.
Je suivis à distance. Visiblement il n’osait pas en sortir. Il était debout, toujours habillé, les mains posées sur le lavabo, les yeux dans le vague. Corinne le pris par l’épaule pour le retourner, défit la ceinture de son pantalon pour le baisser à mi-cuisses, lui caressa un peu le sexe qui bandait à nouveau. Elle prit sa place contre le lavabo et lui tendit ses fesses, sans rien dire. B ne se fit pas prie et commença à s’approcher d’elle par derrière, lui embrassa le cou, lui passa les mains sur les seins et descendit jusqu’à son sexe trempé. Corinne passa sa main derrière et le guida entre ses cuisses. Elle prit une position plus cambrée pour qu’il la pénètre. J’étais derrière, légèrement de côté. Je pouvais voir Corinne de face dans le miroir, et même temps que les fesses de B qui avançaient et reculaient, ses couilles pendantes dans le vide aller et venir. Quel pied. S’il était timide au début, ça ne dura pas. Il commença à se lâcher pour la baiser violemment, la limer comme un malade. Il était sur le point de jouir, et dit à Corinne « arrêtes je vais jouir ». il se retira, ou du moins il essaya. Corinne l’avait pris par les fesses en se redressant pour qu’il reste en elle et lui dit « vas-y lâche toi, jouis dans ma chatte ». B ne se fit pas prier. Je vis ses couilles remonter en même temps qu’il râlait. Il venait de lui envoyer une seconde décharge. Je retournais m’assoir, abasourdi. Je me suis branlé dans une feuille de sopalain avant qu’ils reviennent au salon.
Au risque de me répéter, toute cette histoire est vraie. Y compris les détails. Voulez-vous la suite de cette soirée ?