- 14 juil. 2014, 00:44
#1623154
Ma femme aime se chauffer avec des récits érotiques avant de...
Je lui en ai donc écrit quelques-uns, en rapport avec ses fantasmes les plus inavouables, et pour ce 14 juillet, je vous fais cadeau de l'un d'entre eux, en espérant que vous l'apprécierez autant qu'elle :
Kamel et Valentine parcouraient les routes tortueuses de l'Atlas marocain depuis l'aube. Ils appréciaient la luminosité qui rendait le paysage des montagnes du Rif encore plus spectaculaire qu'en pleine journée. Ils n'hésitaient d'ailleurs pas à faire quelques haltes pour prendre quelques clichés de vacances. Soudain, vers dix heures, Valentine, qui conduisait, aperçut deux motards marocains dans son rétro. Les policiers lui faisait signe de s'arrêter sur le bas-côté. Elle ralentit et se cala contre une falaise escarpée. Personne n'empruntant jamais ces pistes montagneuses, elle ne gênait pas la circulation le long de cette route montagneuse située en plein cœur du Rif. Ils descendirent tous les deux, s'approchèrent du véhicule en ôtant leur casque, la main sur le revolver. Au volant, Valentine coupa le moteur et ouvrit la fenêtre.
- Bonjour madame, vous êtes française ?
- Oui.
- Vos papiers s'il vous plait. Monsieur aussi ?
- Oui, c'est mon ami.
Elle tendit son permis de conduire et son passeport, puis le passeport de Kamel. Valentine et Kamel avaient tout juste vingt ans, et ils s'offraient leur premier séjour en amoureux à l'étranger. Kamel, un beau brun bouclé à la peau mate, avait des origines algériennes, tandis qu'elle, blonde et élancée, avait un physique plus scandinave.
- Qu'est-ce que vous faites au Maroc ? Fit le plus âgé des policiers, en feuilletant les papiers.
- Du tourisme, répondit Valentine.
- Du tourisme ou du commerce ? Sortez du véhicule !
Le jeune couple s'exécuta, tout en redoutant de sortir sous le soleil écrasant de l'Atlas. Leur voiture de location avait l'avantage d'être climatisée. Valentine était confiante : elle n'avait rien à se reprocher.
- Mettez les mains sur la tête ! On va vérifier. Les touristes dans le Rif, on sait bien ce qu'ils viennent chercher !
Le jeune couple s'exécuta. Le plus âgé des policiers resta à l'écart tandis que le plus jeune entreprit de palper le pantalon de Kamel. En fouillant ses poches, il en sortit, comme par magie, un morceau de haschisch d'une trentaine de grammes. Il s'empressa de l'exhiber fièrement devant son supérieur, de trente ans son aîné.
Aussitôt, Kamel protesta, jurant de son innocence, mais le jeune policier le menotta à la portière de la voiture.
- Arrêtez ! On ne fume pas ! C'est pas à lui !
Le jeune policier lui ordonna de rester les mains sur la tête, ce qui commençait à devenir très pénible avec la chaleur.
- Je vais te fouiller aussi, pour vérifier que t'en caches pas toi aussi.
Valentine surprit le regard lubrique du vieux policier lorsque son collègue commença à promener les mains sur sa robe légère, s'attardant ostensiblement sur sa poitrine et ses fesses. La sueur faisait coller le tissu contre sa peau, ce qui rendait tout ça très désagréable à la jeune fille.
- Je crois qu'elle n'a rien, elle, finit par lancer le jeune policier.
- Tu crois, tu crois... Vérifie !
- Vous croyez ? Fit, en hésitant, le jeune.
- Les femmes sont vicieuses ! Elles savent où cacher ce qu'elles veulent cacher !
En entendant ces mots, Valentine sentit la température monter de plusieurs degrés d'un seul coup. Elle transpirait, tremblait de peur, et voyait son petit ami, impuissant, menotté, qui devait assister à son humiliation. Aucun homme ne l'avait jamais touchée avant Kamel, il y a avait un an de cela.
Le jeune policier glissa la main sous sa jupe, palpa un moment sa culotte.
- Salauds ! Hurla soudain Kamel. Vous n'avez pas le droit !
Le gradé s'approcha de lui, l'observa d'un air amusé et lui sortit :
- La loi c'est nous ici, petit connard ! Je peux t'envoyer en prison dès ce matin, te faire péter le cul par des types trois fois plus épais que toi, et envoyer ta jolie copine blanche se faire violer par des gouines pleines de morpions dans nos geôles... ou alors, si tu es malin, tu fermes ta gueule et peut-être que vous éviterez tout ça.
Kamel baissa la tête et ferma les yeux. Le jeune policier en profita pour remonter ostensiblement la main en haut de ses cuisses, jusqu'à s'immiscer sous la culotte de la jolie blonde. Un doigt pénétra brusquement dans sa vulve. Elle eut un hoquet qu'elle réprima difficilement. Elle demeura stoïque, préférant encore cet outrage à la perspective des cachots marocains. Le jeune flic s'enhardit et introduit deux doigts qu'il commença à faire aller et venir dans la chatte de Valentine.
- Vérifie bien tout ! Donne moi sa culotte ! Ordonna le gradé.
- Oui Monsieur ! Elle est épilée, Monsieur !
Le flic s'agenouilla et descendit entièrement la culotte de la jeune femme afin de l'apporter à son supérieur. Ce dernier la contempla, l'étira, en sentit l'intérieur et dit :
- Les françaises sont vraiment des cochonnes !
Il s'approcha de Valentine, l'observa dans les yeux et lui demanda :
- Tu sais que tu es une salope ? Une culotte trempée comme ça...
- C'est la chaleur, je, je...
Elle commença à sangloter.
- Allons, allons... Meskina... Il ne faut pas pleurer. Moi je suis gentil, quand on est gentil avec moi.
Il sortit sa matraque et l'enfonça d'un coup sec dans le vagin de la jeune femme qui poussa un hurlement.
- Arrêtez !!! Hurla Kamel.
- Toi je t'ai dit de te taire, ou alors tu nous encourages ! On va lui faire découvrir le plaisir du Rif à ta jolie blonde ! Tu préfères que je la mette dans ton cul la matraque ?
Interloqué et impuissant, Kamel se boucha les oreilles et ferma les yeux.
Le gradé commença un lent mouvement de va et vient avec sa matraque. Valentine ignorait si c'était dû à la sueur ou à autre chose, mais la matraque allait et venait sans provoquer de douleur physique. Le policier effectuait par moment des mouvements de rotation qui la faisait sursauter. Elle fermait elle aussi les yeux, pour ne pas voir le visage de ses bourreaux, mais ces derniers prirent cette attitude comme un encouragement.
- Elle a l'air d'aimer ça, lança le jeune policier.
- Oui, je t'ai dit : les françaises sont des chiennes ! Regarde !
Il sortit la matraque trempée du vagin de Valentine et la braqua sous son nez.
- Lèche ça petite Française !
Les mains sur la têtes, le vagin brûlant, le soleil... Valentine crut qu'elle allait s'évanouir lorsque l'officier força sa bouche avec la matraque souillée. Elle eut plusieurs haut-le cœur mais elle nettoya de sa langue aussi bien qu'elle le put, la matraque du policier.
- Maintenant, petite chienne, c'est dans ton cul la matraque !
- Non, je vous en supplie, implora Valentine en imaginant avec terreur la déchirure que pouvait provoquer cette volumineuse matraque en pénétrant son anus.
- Alors tu vas t'amuser avec : tu la remets dans ta chatte et tu fais ta chienne de Française !
Elle hésita un moment mais préféra l'humiliation à la douleur. Elle se saisit de la matraque, la dirigea entre ses cuisses et l'introduit de nouveau dans son vagin. Elle suivit les ordres lui intimant d'aller plus ou moins vite dans ses va-et-vient, en fonction des désirs de ses bourreaux. Elle dut même gémir et simuler un orgasme pour satisfaire les deux hommes de loi.
Le vieil officier entreprit soudain de lui caresser le clitoris avec rudesse, tout en lui mordillant l'extrémité des seins, lui causant une profonde gêne. Ses seins étaient relativement petits, ce qui est commun chez les femmes élancées, mais extrêmement sensibles. Ses tétons peinaient à supporter la succion avide du policier. Personne n'avait touché ses parties intimes avec une telle rudesse et, bien malgré elle, son corps n'y était pas insensible. Le frottement de la matraque avait lubrifié son sexe, et l'objet y glissait maintenant très facilement. Elle continuait machinalement à l'enfoncer et la retirer, comme elle en avait reçu l'ordre, en écartant bien les jambes.
- Maintenant, tu vas nous montrer comment tu suces ton copain ! Ordonna brutalement l'officier en chef, en dégrafant son pantalon d'uniforme.
Il en sortit une verge de longueur appréciable, très épaisse, qui fit reculer Valentine. C'en était trop ! Elle refusait de sucer ce vieil inconnu !
- Vas te faire foutre, salopard ! Hurla-t-elle comme dans une délivrance.
Ce hurlement ne calma pas les ardeurs des policiers. Le gradé demanda aussitôt à son cadet d'appeler le poste de police pour signaler l'interpellation de deux dangereux trafiquants de drogue.
- Précise qu'il leur faut « le traitement local », lança-t-il en ricanant.
- Noooon ! Supplia-t-elle, en même temps que Kamel.
- Alors tu vas nous sucer tous les deux et avaler. Si je vois la moindre goutte s'échapper de ta bouche, tu iras dans nos cachots. Tu sais, ici, nos femmes n'aiment pas le goût du sperme, contrairement à vous, les occidentales. Le mien a un arrière-goût de cumin. Tu devrais apprécier ! Lança fermement le vieil officier.
Les larmes aux yeux, Valentine tendit la matraque aux policiers puis se mit à genoux contre les cailloux brûlants de la piste montagneuse. Elle ferma les yeux et ouvrit la bouche.
Aussitôt, une odeur d'urine provoqua un mouvement de recul. L'hygiène n'était pas le fort de ce gradé, manifestement. Elle avança doucement la langue et commença à titiller le gland du policier, en insistant sur le frein, comme Kamel le lui avait enseigné ces derniers mois. Les conseils de son ami semblaient judicieux car l'officier afficha rapidement une raideur étonnante pour un homme de son âge.
- Je te l'avais dit qu'elles suçaient super bien ! Ricana l'officier à destination de son coéquipiers dont la bosse qui enflait le pantalon dévoilait l'émoi.
- Viens la toucher, viens ! On ne s'amuse pas tous les jours dans ces montagnes ! Profites-en Younes !
Le jeune homme dégrafa son pantalon, laissant apparaître un vit énorme, pour ne pas dire monstrueux, courbé vers la gauche. Très courbé à gauche. Il s'approcha de Valentine et commença à caresser ses petits seins, maladroitement, tel le puceau qu'il était probablement. Ce faisant, son sexe reposait sur l'épaule de la jeune Française. Une grosse goutte de sperme s'échappait de son gland turgescent. Pendant ce temps, l'officier en chef avait entrepris de tenir fermement la jeune femme par la tête et d'enfoncer sa verge aussi profondément que possible dans sa gorge. Cette manœuvre donnait à Valentine une violente envie de vomir, d'autant que le sexe était long et sale. La bave s'écoulait sous son menton sous se traitement de choc. Le jeune homme plaqua soudain sa main gauche sur le sexe de Valentine et commença à le caresser de haut en bas, presque avec douceur, ce qui lui fit partiellement oublier le traitement infligé par le gradé.
Ce-dernier ne tarda pas à éjaculer dans sa bouche un sperme abondant, brûlant et épais. Valentine, se souvenant des menaces de l'officier, prit grand soin d'avaler tout le liquide malgré le dégoût que cela lui inspirait, elle qui n'avait jamais pu avaler le sperme de on petit ami. espérant que cela mettrait fin à son humiliation.
Si le gradé se remettait en silence de ses émotions, c'était maintenant l'énorme gland du jeune policier qui frappait à ses lèvres. Lui aussi voulait connaître l'extase entre les lèvres roses de la jeune blonde. Elle ouvrit la bouche à s'en décrocher la mâchoire pour accueillir son énorme vit.
- Chef, je peux la mettre dans sa chatte !?
- Demande-le-lui ! Si elle accepte, tu peux. Sinon, c'est les gouines et les morpions pour elle et le cul cassé pour son jeune ami.
- Madame, je peux vous mettre la bite dans la chatte ? Demanda, d'un air penaud, le jeune policier.
Valentine n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour répondre, au vu de l'alternative qu'on lui offrait.
- Oui... Allez-y... Souffla-t-elle.
- Oui pour quoi, demanda le gradé. On ne veut pas être accusé de viol. Tu veux que mon jeune collègue te saute ?
- Oui, murmura-t-elle... Je veux bien...
- Je veux bien quoi ? Hurla l'officier.
- Je... Je veux me faire sauter par cotre collègue.
- Très bien. Mon portable vient d'enregistrer cette belle déclaration d'amour. Tu peux y aller Younes ! Fais-toi plaisir, ordonna son supérieur.
Kamel manqua d'arracher la portière du véhicule en assistant à la scène, se déchirant profondément les poignets à cause des menottes.
- Bandes d'enculés ! Je me plaindrai ! Vous êtes des pourris !!!
L'officier en chef s'avança vers lui et lui dit doucement :
- Ta copine a envie de mon collègue. Tu l'as entendue !? Elle veut se faire empaler par sa bite de dromadaire. Il va la faire hurler, tu sais ! Si tu es d'accord, on va la mettre à genoux et elle va bien se cambrer pour l'accueillir...
- Mais ça va pas ? Hurla Kamel, les larmes aux yeux.
- Demande gentiment à Younes de baiser ta copine, sinon, la douleur que tu connaîtra dans les prochains jours te fera regretter celle-ci. Et puis, ici, il n'y a que Younes et moi. Au commissariat de Zatmir, on est douze. Pense à la santé de ta copine...
Les mots eurent beaucoup de mal à sortir, mais Kamel, étouffant sa colère, grinça :
- Mets-toi à quatre pattes Valentine... Et sautez ma copine, qu'on puisse enfin se casser d'ici et rentrer dans un pays civilisé.
Valentine éclata en sanglots en entendant ces mots, et se mit dans la posture que tous, semblait-il, voulaient qu'elle prenne. Younes s'agenouilla derrière elle et, à sa grande surprise, introduisit la langue dans sa vulve. Résignée, et plutôt heureuse d'échapper à l'énorme braquemart du jeune marocain, elle apprécia ce moment de douceur, jusqu'à en ressentir un plaisir coupable. Les doigts du jeune homme fouillaient son vagin, caressaient ses lèvres, l'électrisant de spasmes qu'elle eût préféré réprimer. Un gémissement soudain vint même trahir son désarroi. Kamel ouvrait à présent des yeux écarquillés en voyant sa belle prendre du plaisir dans une telle situation, elle qui était plus proche de l'iceberg que de la braise en matière de relations sexuelles. Il sentit monter une irrésistible érection, alors que sa campagne se balançait sous les coups de langue du policier. Contre toute attente, Valentine s'abandonnait progressivement à la honte et au plaisir. La langue du jeune inconnu pénétrait en elle, écartait ses lèvres, tandis que sa bouche aspirait sa vulve, provoquant des réactions de plus en plus ostensibles chez la jeune fille.
Il cessa soudainement son activité, et elle sentit quelque chose de long et épais déchirer son vagin. Elle mit quelques secondes avant de comprendre qu'il s'agissait de l'énorme verge de Younes. Il la pénétrait maintenant sans ménagement, comme un chien fou, ivre de désir. Si sa chatte n'avait pas été lubrifiée par le jeune homme (et par la matraque auparavant), Valentine n'aurait jamais pu accueillir en elle un tel monstre. Le jeune marocain la labourait profondément, provoquant des sensations nouvelles chez Valentine. Il accéléra brutalement la cadence, en lui empoignant violemment les seins, provoquant des cris répétés chez la jeune femme. Cris qui pouvaient être assimilés à des cris de plaisir ou de douleur, selon les points de vue. Jamais Valentine ne s'était sentie aussi soumise et offerte. Jamais elle n'avait été pénétrée par un sexe si monstrueux. Elle se sentait dilatée comme jamais, et humide comme elle ne l'avait jamais été, sous le soleil brûlant de l'Atlas. Les doigts de Younes revinrent se poser soudainement sur son clitoris, déclenchant en elle un orgasme aussi puissant qu'inattendu. Elle hurla de plaisir et trembla pendant une bonne minute sous le regard médusé de son petit ami.
Reprenant progressivement conscience, Valentine sentit le jeune policier décharger au plus profond de son ventre en soufflant fortement. Il se retira presque aussitôt, laissant un grand vide dans la jeune fille, qui sentait le sperme couler le long de ses cuisses.
- Tu vois, dit le gradé à Kamel, ta copine avait juste besoin qu'on s'occupe bien d'elle !
Il redressa Valentine et la tira par le bras vers son compagnon menotté. Il la mit dos à Kamel, la fit se pencher en avant et entrouvrit ses fesses pour exhiber la chatte rouge béante et le filet de sperme qui en coulait.
- Tu vois, elle a bien aimé ça. Comme mon sperme ! Elle a tout avalé comme une bonne chienne d'occidentale. Je suis sûr que toi aussi tu as apprécié le spectacle, et que tu te dis que tu as raté bien des choses avec elle depuis que tu la connais.
Kamel se redressa et prit son attitude la plus indignée :
-Moi, aimé ça ? Ma copine abusée par des ordures comme vous ? Ca va pas ?
Malheureusement, la bosse qui déformait son pantalon le trahissait tant et si bien que les policiers descendirent son pantalon pour le confondre, et montrer à Valentine que son petit ami modèle avait pris goût au spectacle. Effarée, elle était à mille lieues d'imaginer que la vue de son viol aurait pu exciter son compagnon, si tendre et attentionné habituellement.
- Il est joli ce petit cul... Elle t'a déjà laissé baiser son cul ? Demanda l'officier à Kamel.
Ce dernier fit « non » de la tête, en baissant les yeux.
- Vas-y mon ami ! C'est le moment !
Valentine écarquilla les yeux. Elle était hostile par principe à la sodomie, et n'avait jamais laissé qui que ce soit mettre quoi que ce soit dans son anus, Kamel y compris. Hésitant, mais terriblement excité par la perspective de braver l'interdit de sa compagne, avec la complicité des autorités, Kamel avança d'un pas vers Valentine et, d'une voix neutre, dit :
- Penche-toi et écarte les fesses avec tes mains !
La jeune femme devait donc subir un ultime outrage, de la part de son propre compagnon, et sous les yeux de deux policiers lubriques, au milieu de l'Atlas. Elle ressentit une terrible douleur lorsque Kamel força son anus, sans ménagement, ivre de désir. Ses testicules battaient contre la vulve souillée et dégoulinante de la jeune femme. Le jeune homme était excité comme jamais, et il redoublait d'ardeur dans ses va-et-vient. Peu à peu, la douleur céda la place au plaisir, et Valentine connut soudain son premier orgasme anal, au moment précis où son compagnon éjaculait bruyamment dans son rectum.
Depuis cette expérience, Kamel et Valentine ne brident plus leurs envies. Dix ans après, Valentine travaille dans un bar de nuit, où elle danse nue et se laisse parfois tripoter par de gros porte-monnaie. Kamel en est le responsable de la sécurité. Il veille sur sa femme, en éconduisant les malotrus, et en la laissant se faire caresser, quand c'est vraiment lucratif... ou nécessaire, comme au bon vieux temps.
Je lui en ai donc écrit quelques-uns, en rapport avec ses fantasmes les plus inavouables, et pour ce 14 juillet, je vous fais cadeau de l'un d'entre eux, en espérant que vous l'apprécierez autant qu'elle :
Kamel et Valentine parcouraient les routes tortueuses de l'Atlas marocain depuis l'aube. Ils appréciaient la luminosité qui rendait le paysage des montagnes du Rif encore plus spectaculaire qu'en pleine journée. Ils n'hésitaient d'ailleurs pas à faire quelques haltes pour prendre quelques clichés de vacances. Soudain, vers dix heures, Valentine, qui conduisait, aperçut deux motards marocains dans son rétro. Les policiers lui faisait signe de s'arrêter sur le bas-côté. Elle ralentit et se cala contre une falaise escarpée. Personne n'empruntant jamais ces pistes montagneuses, elle ne gênait pas la circulation le long de cette route montagneuse située en plein cœur du Rif. Ils descendirent tous les deux, s'approchèrent du véhicule en ôtant leur casque, la main sur le revolver. Au volant, Valentine coupa le moteur et ouvrit la fenêtre.
- Bonjour madame, vous êtes française ?
- Oui.
- Vos papiers s'il vous plait. Monsieur aussi ?
- Oui, c'est mon ami.
Elle tendit son permis de conduire et son passeport, puis le passeport de Kamel. Valentine et Kamel avaient tout juste vingt ans, et ils s'offraient leur premier séjour en amoureux à l'étranger. Kamel, un beau brun bouclé à la peau mate, avait des origines algériennes, tandis qu'elle, blonde et élancée, avait un physique plus scandinave.
- Qu'est-ce que vous faites au Maroc ? Fit le plus âgé des policiers, en feuilletant les papiers.
- Du tourisme, répondit Valentine.
- Du tourisme ou du commerce ? Sortez du véhicule !
Le jeune couple s'exécuta, tout en redoutant de sortir sous le soleil écrasant de l'Atlas. Leur voiture de location avait l'avantage d'être climatisée. Valentine était confiante : elle n'avait rien à se reprocher.
- Mettez les mains sur la tête ! On va vérifier. Les touristes dans le Rif, on sait bien ce qu'ils viennent chercher !
Le jeune couple s'exécuta. Le plus âgé des policiers resta à l'écart tandis que le plus jeune entreprit de palper le pantalon de Kamel. En fouillant ses poches, il en sortit, comme par magie, un morceau de haschisch d'une trentaine de grammes. Il s'empressa de l'exhiber fièrement devant son supérieur, de trente ans son aîné.
Aussitôt, Kamel protesta, jurant de son innocence, mais le jeune policier le menotta à la portière de la voiture.
- Arrêtez ! On ne fume pas ! C'est pas à lui !
Le jeune policier lui ordonna de rester les mains sur la tête, ce qui commençait à devenir très pénible avec la chaleur.
- Je vais te fouiller aussi, pour vérifier que t'en caches pas toi aussi.
Valentine surprit le regard lubrique du vieux policier lorsque son collègue commença à promener les mains sur sa robe légère, s'attardant ostensiblement sur sa poitrine et ses fesses. La sueur faisait coller le tissu contre sa peau, ce qui rendait tout ça très désagréable à la jeune fille.
- Je crois qu'elle n'a rien, elle, finit par lancer le jeune policier.
- Tu crois, tu crois... Vérifie !
- Vous croyez ? Fit, en hésitant, le jeune.
- Les femmes sont vicieuses ! Elles savent où cacher ce qu'elles veulent cacher !
En entendant ces mots, Valentine sentit la température monter de plusieurs degrés d'un seul coup. Elle transpirait, tremblait de peur, et voyait son petit ami, impuissant, menotté, qui devait assister à son humiliation. Aucun homme ne l'avait jamais touchée avant Kamel, il y a avait un an de cela.
Le jeune policier glissa la main sous sa jupe, palpa un moment sa culotte.
- Salauds ! Hurla soudain Kamel. Vous n'avez pas le droit !
Le gradé s'approcha de lui, l'observa d'un air amusé et lui sortit :
- La loi c'est nous ici, petit connard ! Je peux t'envoyer en prison dès ce matin, te faire péter le cul par des types trois fois plus épais que toi, et envoyer ta jolie copine blanche se faire violer par des gouines pleines de morpions dans nos geôles... ou alors, si tu es malin, tu fermes ta gueule et peut-être que vous éviterez tout ça.
Kamel baissa la tête et ferma les yeux. Le jeune policier en profita pour remonter ostensiblement la main en haut de ses cuisses, jusqu'à s'immiscer sous la culotte de la jolie blonde. Un doigt pénétra brusquement dans sa vulve. Elle eut un hoquet qu'elle réprima difficilement. Elle demeura stoïque, préférant encore cet outrage à la perspective des cachots marocains. Le jeune flic s'enhardit et introduit deux doigts qu'il commença à faire aller et venir dans la chatte de Valentine.
- Vérifie bien tout ! Donne moi sa culotte ! Ordonna le gradé.
- Oui Monsieur ! Elle est épilée, Monsieur !
Le flic s'agenouilla et descendit entièrement la culotte de la jeune femme afin de l'apporter à son supérieur. Ce dernier la contempla, l'étira, en sentit l'intérieur et dit :
- Les françaises sont vraiment des cochonnes !
Il s'approcha de Valentine, l'observa dans les yeux et lui demanda :
- Tu sais que tu es une salope ? Une culotte trempée comme ça...
- C'est la chaleur, je, je...
Elle commença à sangloter.
- Allons, allons... Meskina... Il ne faut pas pleurer. Moi je suis gentil, quand on est gentil avec moi.
Il sortit sa matraque et l'enfonça d'un coup sec dans le vagin de la jeune femme qui poussa un hurlement.
- Arrêtez !!! Hurla Kamel.
- Toi je t'ai dit de te taire, ou alors tu nous encourages ! On va lui faire découvrir le plaisir du Rif à ta jolie blonde ! Tu préfères que je la mette dans ton cul la matraque ?
Interloqué et impuissant, Kamel se boucha les oreilles et ferma les yeux.
Le gradé commença un lent mouvement de va et vient avec sa matraque. Valentine ignorait si c'était dû à la sueur ou à autre chose, mais la matraque allait et venait sans provoquer de douleur physique. Le policier effectuait par moment des mouvements de rotation qui la faisait sursauter. Elle fermait elle aussi les yeux, pour ne pas voir le visage de ses bourreaux, mais ces derniers prirent cette attitude comme un encouragement.
- Elle a l'air d'aimer ça, lança le jeune policier.
- Oui, je t'ai dit : les françaises sont des chiennes ! Regarde !
Il sortit la matraque trempée du vagin de Valentine et la braqua sous son nez.
- Lèche ça petite Française !
Les mains sur la têtes, le vagin brûlant, le soleil... Valentine crut qu'elle allait s'évanouir lorsque l'officier força sa bouche avec la matraque souillée. Elle eut plusieurs haut-le cœur mais elle nettoya de sa langue aussi bien qu'elle le put, la matraque du policier.
- Maintenant, petite chienne, c'est dans ton cul la matraque !
- Non, je vous en supplie, implora Valentine en imaginant avec terreur la déchirure que pouvait provoquer cette volumineuse matraque en pénétrant son anus.
- Alors tu vas t'amuser avec : tu la remets dans ta chatte et tu fais ta chienne de Française !
Elle hésita un moment mais préféra l'humiliation à la douleur. Elle se saisit de la matraque, la dirigea entre ses cuisses et l'introduit de nouveau dans son vagin. Elle suivit les ordres lui intimant d'aller plus ou moins vite dans ses va-et-vient, en fonction des désirs de ses bourreaux. Elle dut même gémir et simuler un orgasme pour satisfaire les deux hommes de loi.
Le vieil officier entreprit soudain de lui caresser le clitoris avec rudesse, tout en lui mordillant l'extrémité des seins, lui causant une profonde gêne. Ses seins étaient relativement petits, ce qui est commun chez les femmes élancées, mais extrêmement sensibles. Ses tétons peinaient à supporter la succion avide du policier. Personne n'avait touché ses parties intimes avec une telle rudesse et, bien malgré elle, son corps n'y était pas insensible. Le frottement de la matraque avait lubrifié son sexe, et l'objet y glissait maintenant très facilement. Elle continuait machinalement à l'enfoncer et la retirer, comme elle en avait reçu l'ordre, en écartant bien les jambes.
- Maintenant, tu vas nous montrer comment tu suces ton copain ! Ordonna brutalement l'officier en chef, en dégrafant son pantalon d'uniforme.
Il en sortit une verge de longueur appréciable, très épaisse, qui fit reculer Valentine. C'en était trop ! Elle refusait de sucer ce vieil inconnu !
- Vas te faire foutre, salopard ! Hurla-t-elle comme dans une délivrance.
Ce hurlement ne calma pas les ardeurs des policiers. Le gradé demanda aussitôt à son cadet d'appeler le poste de police pour signaler l'interpellation de deux dangereux trafiquants de drogue.
- Précise qu'il leur faut « le traitement local », lança-t-il en ricanant.
- Noooon ! Supplia-t-elle, en même temps que Kamel.
- Alors tu vas nous sucer tous les deux et avaler. Si je vois la moindre goutte s'échapper de ta bouche, tu iras dans nos cachots. Tu sais, ici, nos femmes n'aiment pas le goût du sperme, contrairement à vous, les occidentales. Le mien a un arrière-goût de cumin. Tu devrais apprécier ! Lança fermement le vieil officier.
Les larmes aux yeux, Valentine tendit la matraque aux policiers puis se mit à genoux contre les cailloux brûlants de la piste montagneuse. Elle ferma les yeux et ouvrit la bouche.
Aussitôt, une odeur d'urine provoqua un mouvement de recul. L'hygiène n'était pas le fort de ce gradé, manifestement. Elle avança doucement la langue et commença à titiller le gland du policier, en insistant sur le frein, comme Kamel le lui avait enseigné ces derniers mois. Les conseils de son ami semblaient judicieux car l'officier afficha rapidement une raideur étonnante pour un homme de son âge.
- Je te l'avais dit qu'elles suçaient super bien ! Ricana l'officier à destination de son coéquipiers dont la bosse qui enflait le pantalon dévoilait l'émoi.
- Viens la toucher, viens ! On ne s'amuse pas tous les jours dans ces montagnes ! Profites-en Younes !
Le jeune homme dégrafa son pantalon, laissant apparaître un vit énorme, pour ne pas dire monstrueux, courbé vers la gauche. Très courbé à gauche. Il s'approcha de Valentine et commença à caresser ses petits seins, maladroitement, tel le puceau qu'il était probablement. Ce faisant, son sexe reposait sur l'épaule de la jeune Française. Une grosse goutte de sperme s'échappait de son gland turgescent. Pendant ce temps, l'officier en chef avait entrepris de tenir fermement la jeune femme par la tête et d'enfoncer sa verge aussi profondément que possible dans sa gorge. Cette manœuvre donnait à Valentine une violente envie de vomir, d'autant que le sexe était long et sale. La bave s'écoulait sous son menton sous se traitement de choc. Le jeune homme plaqua soudain sa main gauche sur le sexe de Valentine et commença à le caresser de haut en bas, presque avec douceur, ce qui lui fit partiellement oublier le traitement infligé par le gradé.
Ce-dernier ne tarda pas à éjaculer dans sa bouche un sperme abondant, brûlant et épais. Valentine, se souvenant des menaces de l'officier, prit grand soin d'avaler tout le liquide malgré le dégoût que cela lui inspirait, elle qui n'avait jamais pu avaler le sperme de on petit ami. espérant que cela mettrait fin à son humiliation.
Si le gradé se remettait en silence de ses émotions, c'était maintenant l'énorme gland du jeune policier qui frappait à ses lèvres. Lui aussi voulait connaître l'extase entre les lèvres roses de la jeune blonde. Elle ouvrit la bouche à s'en décrocher la mâchoire pour accueillir son énorme vit.
- Chef, je peux la mettre dans sa chatte !?
- Demande-le-lui ! Si elle accepte, tu peux. Sinon, c'est les gouines et les morpions pour elle et le cul cassé pour son jeune ami.
- Madame, je peux vous mettre la bite dans la chatte ? Demanda, d'un air penaud, le jeune policier.
Valentine n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour répondre, au vu de l'alternative qu'on lui offrait.
- Oui... Allez-y... Souffla-t-elle.
- Oui pour quoi, demanda le gradé. On ne veut pas être accusé de viol. Tu veux que mon jeune collègue te saute ?
- Oui, murmura-t-elle... Je veux bien...
- Je veux bien quoi ? Hurla l'officier.
- Je... Je veux me faire sauter par cotre collègue.
- Très bien. Mon portable vient d'enregistrer cette belle déclaration d'amour. Tu peux y aller Younes ! Fais-toi plaisir, ordonna son supérieur.
Kamel manqua d'arracher la portière du véhicule en assistant à la scène, se déchirant profondément les poignets à cause des menottes.
- Bandes d'enculés ! Je me plaindrai ! Vous êtes des pourris !!!
L'officier en chef s'avança vers lui et lui dit doucement :
- Ta copine a envie de mon collègue. Tu l'as entendue !? Elle veut se faire empaler par sa bite de dromadaire. Il va la faire hurler, tu sais ! Si tu es d'accord, on va la mettre à genoux et elle va bien se cambrer pour l'accueillir...
- Mais ça va pas ? Hurla Kamel, les larmes aux yeux.
- Demande gentiment à Younes de baiser ta copine, sinon, la douleur que tu connaîtra dans les prochains jours te fera regretter celle-ci. Et puis, ici, il n'y a que Younes et moi. Au commissariat de Zatmir, on est douze. Pense à la santé de ta copine...
Les mots eurent beaucoup de mal à sortir, mais Kamel, étouffant sa colère, grinça :
- Mets-toi à quatre pattes Valentine... Et sautez ma copine, qu'on puisse enfin se casser d'ici et rentrer dans un pays civilisé.
Valentine éclata en sanglots en entendant ces mots, et se mit dans la posture que tous, semblait-il, voulaient qu'elle prenne. Younes s'agenouilla derrière elle et, à sa grande surprise, introduisit la langue dans sa vulve. Résignée, et plutôt heureuse d'échapper à l'énorme braquemart du jeune marocain, elle apprécia ce moment de douceur, jusqu'à en ressentir un plaisir coupable. Les doigts du jeune homme fouillaient son vagin, caressaient ses lèvres, l'électrisant de spasmes qu'elle eût préféré réprimer. Un gémissement soudain vint même trahir son désarroi. Kamel ouvrait à présent des yeux écarquillés en voyant sa belle prendre du plaisir dans une telle situation, elle qui était plus proche de l'iceberg que de la braise en matière de relations sexuelles. Il sentit monter une irrésistible érection, alors que sa campagne se balançait sous les coups de langue du policier. Contre toute attente, Valentine s'abandonnait progressivement à la honte et au plaisir. La langue du jeune inconnu pénétrait en elle, écartait ses lèvres, tandis que sa bouche aspirait sa vulve, provoquant des réactions de plus en plus ostensibles chez la jeune fille.
Il cessa soudainement son activité, et elle sentit quelque chose de long et épais déchirer son vagin. Elle mit quelques secondes avant de comprendre qu'il s'agissait de l'énorme verge de Younes. Il la pénétrait maintenant sans ménagement, comme un chien fou, ivre de désir. Si sa chatte n'avait pas été lubrifiée par le jeune homme (et par la matraque auparavant), Valentine n'aurait jamais pu accueillir en elle un tel monstre. Le jeune marocain la labourait profondément, provoquant des sensations nouvelles chez Valentine. Il accéléra brutalement la cadence, en lui empoignant violemment les seins, provoquant des cris répétés chez la jeune femme. Cris qui pouvaient être assimilés à des cris de plaisir ou de douleur, selon les points de vue. Jamais Valentine ne s'était sentie aussi soumise et offerte. Jamais elle n'avait été pénétrée par un sexe si monstrueux. Elle se sentait dilatée comme jamais, et humide comme elle ne l'avait jamais été, sous le soleil brûlant de l'Atlas. Les doigts de Younes revinrent se poser soudainement sur son clitoris, déclenchant en elle un orgasme aussi puissant qu'inattendu. Elle hurla de plaisir et trembla pendant une bonne minute sous le regard médusé de son petit ami.
Reprenant progressivement conscience, Valentine sentit le jeune policier décharger au plus profond de son ventre en soufflant fortement. Il se retira presque aussitôt, laissant un grand vide dans la jeune fille, qui sentait le sperme couler le long de ses cuisses.
- Tu vois, dit le gradé à Kamel, ta copine avait juste besoin qu'on s'occupe bien d'elle !
Il redressa Valentine et la tira par le bras vers son compagnon menotté. Il la mit dos à Kamel, la fit se pencher en avant et entrouvrit ses fesses pour exhiber la chatte rouge béante et le filet de sperme qui en coulait.
- Tu vois, elle a bien aimé ça. Comme mon sperme ! Elle a tout avalé comme une bonne chienne d'occidentale. Je suis sûr que toi aussi tu as apprécié le spectacle, et que tu te dis que tu as raté bien des choses avec elle depuis que tu la connais.
Kamel se redressa et prit son attitude la plus indignée :
-Moi, aimé ça ? Ma copine abusée par des ordures comme vous ? Ca va pas ?
Malheureusement, la bosse qui déformait son pantalon le trahissait tant et si bien que les policiers descendirent son pantalon pour le confondre, et montrer à Valentine que son petit ami modèle avait pris goût au spectacle. Effarée, elle était à mille lieues d'imaginer que la vue de son viol aurait pu exciter son compagnon, si tendre et attentionné habituellement.
- Il est joli ce petit cul... Elle t'a déjà laissé baiser son cul ? Demanda l'officier à Kamel.
Ce dernier fit « non » de la tête, en baissant les yeux.
- Vas-y mon ami ! C'est le moment !
Valentine écarquilla les yeux. Elle était hostile par principe à la sodomie, et n'avait jamais laissé qui que ce soit mettre quoi que ce soit dans son anus, Kamel y compris. Hésitant, mais terriblement excité par la perspective de braver l'interdit de sa compagne, avec la complicité des autorités, Kamel avança d'un pas vers Valentine et, d'une voix neutre, dit :
- Penche-toi et écarte les fesses avec tes mains !
La jeune femme devait donc subir un ultime outrage, de la part de son propre compagnon, et sous les yeux de deux policiers lubriques, au milieu de l'Atlas. Elle ressentit une terrible douleur lorsque Kamel força son anus, sans ménagement, ivre de désir. Ses testicules battaient contre la vulve souillée et dégoulinante de la jeune femme. Le jeune homme était excité comme jamais, et il redoublait d'ardeur dans ses va-et-vient. Peu à peu, la douleur céda la place au plaisir, et Valentine connut soudain son premier orgasme anal, au moment précis où son compagnon éjaculait bruyamment dans son rectum.
Depuis cette expérience, Kamel et Valentine ne brident plus leurs envies. Dix ans après, Valentine travaille dans un bar de nuit, où elle danse nue et se laisse parfois tripoter par de gros porte-monnaie. Kamel en est le responsable de la sécurité. Il veille sur sa femme, en éconduisant les malotrus, et en la laissant se faire caresser, quand c'est vraiment lucratif... ou nécessaire, comme au bon vieux temps.