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Petit jeu avec un collègue
En congé maladie suite à un accident de voiture qui m’a obligé à rester chez moi pendant près de deux mois cet hiver, je me suis livré à un petit jeu avec un collègue de travail qui m’a beaucoup amusé et excité.
Que je vous explique : chaque semaine, j’ai fait venir chez moi mon jeune collaborateur Max, un joli garçon célibataire d’une trentaine d’années, pour m’apporter des documents de travail et faire un point de visu sur les dossiers en cours. Ce petit rituel est rapidement devenu pour moi une source d’amusement au fur et à mesure de nos rencontres hebdomadaires. La 1ère semaine où j’ai mis en place mon « petit jeu », j’avais pris soin de disposer dans mon salon, lieu de nos rendez-vous, un cadre photo sur un meuble. Installé à moins de 3 mètres, j’ai pris soin d’installer mon interlocuteur face au meuble en question de façon à ce qu’il voit bien le cadre que j’avais installé là rien que pour lui. Je décidai de scruter ses réactions à la vue de la photo représentant mon épouse souriant avec un décolleté XXL. Concentré sur nos échanges ou peut être intimidé par la situation, je me rendis compte, alors que notre entrevue se terminait au bout de 30 minutes, que Max n’avait rien remarqué. Non résigné et décidant de le raccompagner jusqu’à la porte, je le fis passer devant moi de façon à ce qu’il soit pratiquement obligé de voir le cadre et là je vis dans son regard, l’espace d’une demie seconde, un vif intérêt et une réelle surprise en découvrant l’œuvre qui lui était proposée. Je décidai de faire comme si de rien n’était et lui souhaitait une bonne semaine, sentant tout de même le trouble qui venait de l’envahir. Il balbutia un au revoir et promîmes de nous revoir dans 7 jours. Je rangeais le cadre et sa photo content de mon coup.
La deuxième semaine, je décidai de remplacer le cadre en question par un miroir. On allait voir ce qu’on allait voir… Dès qu’il entra dans le salon, il posa quasiment instantanément ses yeux sur l’endroit du meuble où une semaine plus tôt, un visuel de ma femme exposait à la vue de tous la naissance de sa superbe paire de seins. Max resta de marbre mais, s’assis à la même place que la semaine passée, et je le surpris à plusieurs reprises à jeter un œil vers le miroir pour constater peut-être qu’il n’avait pas eu la berlue la dernière fois qu’il était venu me rendre visite. Bien sûr, vous imaginez que mon petit jeu commençait à m’amuser. J’étais bien décidé à poursuivre l’expérience.
Les semaines 3 et 4 je décide de mettre à chaque fois une photo différente de ma femme, un peu plus habillée cette fois, mais toujours souriante et sacrément sexy. Je sens que son intérêt croit au fil des séances, comme s’il attendait fébrilement le reste de la semaine pour ce moment où il découvre une nouvelle photo. Il est temps de passer à la vitesse supérieure.
Semaine 5 : même jour, même heure. Ding dong ! Voilà mon visiteur. Cette fois, j’ai enlevé le miroir et remis le cadre de la première fois. Mais la photo n’est plus la même. Cette fois, c’est une nouvelle photo de ma femme, mais en noir et blanc, très esthétique, où elle se languit sur un lit en petite tenue. Bien sûr, je remarque son rapide coup d’œil à la photo et ne manque pas de lui faire remarquer aussitôt dans un large sourire : « je te présente ma femme… tu ne la connais pas je crois ?» en lui signalant par le geste l’endroit où était posé le cadre. Je sens sa confusion et sa gêne à sa façon de chercher à éclaircir sa voix : « hum, hum… oui, enfin non ». Profitant de son trouble, j’enchaine : « elle est très sportive et plutôt bien conservée tu ne trouves pas ? ». Cette fois, il part dans une espèce de gloussement forcé et parvient juste à me répondre : « c’est clair ! ». Il parvient quand même à enchainer : « super photo en tout cas, bravo ! ». Et moi de lui répondre du tac au tac : « ah non, celle-là c’est un ami qui l’a prise. Mais si tu veux, je peux te montrer les miennes… ». Confus et étonné, il détourne le regard mais parvient à glisser presque en marmonnant :« Euh, pourquoi pas… ». « Travaillons d’abord, tu veux bien ? » lui répondis-je d’un ton assuré. A la fin de notre entrevue, je le raccompagne en feignant de ne plus souvenir de ma promesse. Je lui souhaite une bonne semaine et je ne peux m’empêcher de lui dire sur le pas de la porte : « ah oui, pense à apporter les photos du projet K la semaine prochaine. Dis donc, on en a à voir des photos la semaine prochaine… ». Il se retourne et rit franchement à cette répartie me faisant bien comprendre par là qu’il a compris l’allusion. Mais il n’y aura pas de rendez-vous semaine 6. J’ai repris le travail deux jours plus tôt. Max m’a vu arrivé ce jeudi matin, m’a laissé prendre place dans mon bureau avant de venir me saluer. Après les amabilités d’usage et avant de quitter la pièce il me lance « j’ai les photos du projet K au fait, quand tu veux pour les regarder ensemble… ».
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