- 26 mars 2015, 13:09
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Moi.
L'éternelle histoire « vraie » du mari en déplacement qui rentre plus tôt que prévu. Sur le moment ça fait à la fois du mal et du bien, mais voici comment cela s'est passé.
Daniel 46 ans, cadre dans une grande banque, ma femme Frédérique 43 ans, cadre dans l'administration.
Je dois avant tout dire qu' être cocu était déjà quelque chose qui m'attirait énormément, mais comment l'avouer à ma si jolie épouse mère de nos deux enfant déjà grands (18 et 20 ans), celle que je considérait comme la pureté faite femme. Je pensais alors que regarder ma tendre Frédérique faire l'amour avec un autre, sucer une autre queue que la mienne (elle le fait très bien et avale tout) la voir elle aussi se faire sucer sa délicieuse chatte parsemée de quelques poils roux, car Frédérique est rousse, être pénétrée dans sa chatte et dans son cul, oui elle aime aussi la sodomie, et bien je pensais qu'il était impossible qu'elle accepte, elle qui est d'un naturel très timide et très réservée.
Oui, mais voilà ........
En déplacement à Lyon pour deux semaines notre formation est raccourcie du fait de l'absence d'un formateur. Je rentre donc chez nous un jour plus tôt par le train 23 heures qui me ramène vers ma Provence. Il est donc tard lorsque j’arrive enfin devant la porte de notre appartement et pensant ma délicieuse rousse endormie, je fais très attention à ne pas faire de bruit lorsque j’ouvre la porte et la referme derrière moi. Mais alors que je m’avance dans l’appartement j’apperçois de la lumière provenant de notre chambre. Pensant ma tendre moitié éveillée je m’apprète à l’appeler pour lui faire la surprise de mon arrivée, mais aucun son ne peut sortire de ma bouche. Non, les seuls sons qui envahissent l’appartement sont les râles que poussent mon épouse, rythmés par les cognements du de la tête de lit contre le mur. Mon sang ne fait qu’un tour, et je suis partagé entre la colère (que je retiens) et l’envie d’en voir plus, car à la seconde même mon souhait secret à refait surface.
Ma jolie Frédérique et son amant ne m’ont pas entendus. Je me disimule dans un angle non éclairé du minuscule couloir qui même du salon à la chambre et j’observe leurs ébats. Frédérique se fait labourer la chatte en position de missionnaire, son amant est doté d’une superbe queue, bien plus grosse que la mienne, il semble aussi plus jeune qu’elle et lui parle pendant qu’il la besogne.
- Tu en avais envie ma chérie ?
- Oh oui enfonce la bien au fond, je n’ai jamais été aussi remplie.
- Ton mari, il n’en a pas une aussi grosse ?
- Je veux pas te le dire (Elle a au moins une pensée pour moi), baise moi bien à fond.
- Je vais te baiser toute la nuit, c’est trop bon de te défoncer devant la photo de ton mari.
En effet, sur un des chevets à coté du lit se trouve un cadre photo où je suis avec un ami lors d’une sortie à vélo.
Et il reprend
- Tourne toi, regarde-le pendant que je te prend en levrette.
Frédérique se tourne, se positionne à quatre patte, et son amant aussitôt l’embroche par dérrière.
- Ho qu’est-ce que c’est bon, j’ai la chatte en feu, j’adore ce que tu me fais, et toi tu aimes me baiser ?
- Oui ma belle et puisque ta chatte te brûle je vais passer par la petite porte pour changer un peu, ça te dis te te faire élargir ton petit œillet tout rose ?
Et là complètement sidéré, j’entends Frédérique lui répondre :
- Encules-moi.
Sans plus attendre, son amant se retire de sa chatte, pointe son énorme dard sur la petite rondelle sérrée de la mère de mes enfant, ma si prude et réservée rousse . Doucement au début il pousse en tenant sa queue dans sa main pour la guider dans l’étroit canal, puis d’un coup, d’une généreuse poussée toute sa bite envahit le cul de ma chérie qui de surprise plus que de douleur pousse un cri court mais aigü.
- AHHHH tu m’as défoncé le derrère.
Il ne s’en émeut pas du tout et commence par de lents va et vient pour prendre possession de son cul et l’habituer à son calibre. Petits à petit ses mouvements se font plus amples et vigoureux, jusqu’à ce que je le vois littérallement la défoncer.
- Ca te plait ma jolie ?
- Oh oui c’est bon.
- T’en veux encore plus ?
- Ouiiiiiiiiiiii ahhhhh
- Ton cocu de mari il t’encule pas comme ça hein ?
- Il m’encule, mais pas comme toi.
- Tu sais qu’à la première fois que je t’ai vue au travail j’ai eu envie de toi ?
- Depuis dix ans tu avais envie de moi ?
- De toi, de ta bouche, de ton cul de tes petits seins.
- Ohhhh que c’est bon tu me déchires l’anus.
- Je te jure que je vais tellement t’enculer que tu pourras pas t’asseoir demain en réunion, Hooooo je viens, je vais te remplir le boyau, Ahhhhhhhhhhhhh.
Je compris qu’il était en train de se déverser dans son cul. Puis il décula doucement, je vis alors depuis ma position, le trou du cul de ma femme très évasé, d’où coulait un flot de liquide d’une couleur blanche-brunatre. Et c’est alors que le summum fut atteint lorsque ma femme se retourna et que je la vis sucer goulument l’énorme bite de son amant, alors qu’il lui disait.
- Oui vas’y ma jolie, suce moi bien la queue. Il faut bien nettoyer les outils après le travail.
Après cela je suis sorti, comme j’étais rentré, c’est à dire sans faire de bruit, pour ne revenir que le lendemain soir comme prévu.
Histoire vraie jusque dans ses moindres détails.