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#1789021
Pourquoi illusoire ? :D

Disons que depuis le temps, il s’est passé énormément de choses. Des rencontres, des pauses, des hésitations, des doutes, de l’envie, des fantasmes, de la discussion, beaucoup de discussion, des rencontres brèves, des longues pauses, des rencontres plus longues, des rencontres brèves mélangées avec des rencontres longues et au milieu de tout ça, le plus important, un événement très très très heureux.

Alors plusieurs fois je me suis tâté à poster, à raconter. Souvent j’ai pris le temps d’écrire. Et toujours j’ai retardé la publication.

Car pour avoir envie de publier, j’ai envie que ce que j’écris vienne de mes tripes, que ça me fasse bander, que ça me fasse mal. Or, souvent, ce qui m’excite le plus dans cette relation et dans ces rencontres, ce n’est pas ce qui se passe au lit. C’est ce qui précède, ce qui suit et ce qui accompagne la rencontre. C’est l’attitude de Julie avec moi. Les mots qu’elle choisit pour me raconter ce qu’elle a fait, mais aussi ce qu’elle n’a pas osé faire, mais surtout ce qu’elle aimerait oser faire.
Et puis, tout mon « travail » personnel. Le travail silencieux, intérieur, pour combattre mes craintes, mes doutes, mes peurs. Mon envie de la pousser pour franchir un nouveau tabou confronté à mes doutes. Ma complicité avec Julie.

Il y a le moment où l’idée naît. Souvent une idée suggérée par Julie. Puis l’idée me travaille, elle prend son temps pour germer en moi, se développer, et un jour, sans savoir pourquoi, le fruit est mûr. Ce jour là peut survenir quelques heures après que l’idée ait été suggérée. Parfois c’est plusieurs années plus tard. Mais il y a toujours ce moment magique, qui est là sans trop savoir pourquoi, pendant lequel il est évident que le fruit mûr doit être consommé. Ce moment est la conjugaison parfaite d’un état d’esprit, d’un lieu, et d’une discussion. Alors naturellement je trouve les mots justes et Julie les valide tout aussi naturellement. Son tabou vient d’être franchi dans sa tête. Il reste à le concrétiser. Et là encore, c’est une question de temps. Temps des préparatifs, temps de l’action. Parfois quelques heures entre la discussion et l’acte. Parfois quelques années.

La métamorphose de la Julie copine modèle, collègue modèle, jeune mère de famille modèle en salope affamé de sexe ne se produit pas pour moi au moment où la bite d’un autre fouille le fond de sa gorge ou le fond de son ventre. Elle se produit avant, quand lors d’une discussion, Julie me confirme timidement que ça lui plairait bien d’essayer ça. Elle se produit surtout après, quand au départ gênée, elle choisit les mots pour me raconter son expérience, puis poussée par mes questions elle se lâche de plus en plus, et c’est avec une totale assurance qu’elle finit par revendiquer et assumer le plaisir qu’un autre lui a procuré.

J’aimerai pouvoir ne décrire que ces moments là. Mais je manque cruellement de savoir faire et de technique. A chaque fois que j’ai essayé je me suis heurté à un mur. Ce que j’écrivais n’avait pas de force, était trop pâle, par rapport au vécu.

Comment décrire le moment où Julie décide de se donner ? Il y a d’abord le moment où l’envie nait en elle. Il y a le moment où elle verbalise cette envie dans une discussion avec moi. Il y a encore le moment où elle prend la décision de vivre l’envie. Il y a ensuite le moment de la rencontre. Il y a après le moment de l’acte qui va donner vie à cette envie. Et pendant l’acte lui-même, il y a une multitude de moments où Julie va prendre puis exécuter des décisions de se donner et des décisions de prendre. Comment décrire chacun de ces moments avec autant de force que lorsqu’ils sont vécus ?

Un exemple d’un dialogue avec Julie :
Moi : et ça t’a plu ?
Elle : je me suis enroulée autour de lui.

Un dialogue qui n’évoquera rien pour la plupart des lecteurs. Un dialogue qui continue à me faire bander moi qui connais Julie. En l’occurrence, elle me racontait un moment précis pendant une rencontre. L’amant était en train de la prendre en missionnaire. Il l’embrassait dans le cou, lui léchait l’oreille, lui caressait le visage d’une main et lui tenait une cheville de l’autre. Submergée par le plaisir, Julie avait passé ses jambes autour de ses hanches. Je me suis enroulée autour de lui. Dans cette scène, moi qui connais Julie, moi qui ai vécu ces moments avec elle, je sais exactement ce qu’elle me décrit. Elle me décrit ce moment où son cerveau a tout oublié, où il n’existe plus que le plaisir que son amant lui donne. Puis il y a la prise de décision de se donner complétement à cet amant. De s’enrouler autour de lui pour lui signifier de continuer. De lui donner la possibilité d’entrer plus profondément. De lui intimer de ne surtout pas avoir l’idée de s’arrêter. De l’inviter à la prendre plus fort, à la pilonner.

Oui, le simple je me suis enroulée autour de lui de Julie évoque tout cela et bien plus en moi. Mais ça ne résout pas mon problème : comment le décrire ?

Alors je vais essayer de reprendre le récit dans l’ordre chronologique. Je choisirai d’oublier beaucoup de moments. Je choisirai d’en enjoliver certains. Je choisirai carrément d’en imaginer d’autres. Car c’est dans ces moments imaginés, dans ces scènes qui n’ont pas encore existé, que je parviens le mieux à décrire un simple « je me suis enroulée autour de lui ». Pour moi, Julie n’est jamais aussi salope, aussi excitante, aussi bandante, que quand elle prononce ces quelques mots en me regardant droit dans les yeux. Et c’est pour réussir à décrire à quel point elle est salope à ce moment là, que je vais continuer à prendre des libertés avec la réalité.

Pour ceux qui ont suivi mes récits depuis le début, vous savez que Julie a mis beaucoup de temps à accepter l’idée de voir d’autres hommes. Vous savez que la première expérience, l’élément déclencheur, s’est produit il y a pratiquement quatre ans maintenant. Et c’était initialement une mauvaise expérience pour moi puisque Julie n’avait respecté aucun de nos accords. Puis petit à petit, par le biais de jeux que j’organisais et auxquels elle acceptait de participer, nous avons réussi à avoir de vraies expériences candaulistes.

Julie a toujours eu beaucoup de mal à coucher avec un inconnu juste pour coucher avec lui. Elle avait besoin de connaitre un minimum la personne, de partager un minimum si ce n’est des sentiments au moins des affinités. Et lorsque ça se passait bien elle avait envie de revoir son amant plusieurs fois. En gros, elle a toujours préférée vivre une vraie histoire plutôt qu’une expérience sexuelle.

De mon côté, c’est l’inverse qui m’intéressait. Disons que c’était beaucoup plus rassurant de mon point de vue. Alors la plupart des jeux que j’inventais, des règles et tabous que je fixais, allaient vers cet objectif. Et même si Julie acceptait de jouer à ces jeux, il était évident qu’elle prenait bien plus de plaisir lorsqu’elle vivait son histoire avec Lucas que lorsqu’elle couchait avec un inconnu.

J’ai mis beaucoup de temps à réaliser que la prise de risque, la vraie, pouvait me procurer bien plus de plaisir que le contrôle que je voulais garder sur la situation. D’un autre côté, ces expériences « organisés » étaient probablement nécessaires pour que j’arrive à cette prise de conscience. Elles servaient à tisser un lien de confiance nouveau entre moi et Julie, conduisant ainsi pas à pas et inéluctablement vers la seule conclusion qui s’imposait, à savoir une liberté quasi absolue de Julie non seulement dans le choix des hommes mais aussi dans la manière dont elle voulait vivre ses expériences.

L’histoire de Julie avec Lucas m’a beaucoup servi dans cette prise de conscience. Même si j’avais plus ou moins accepté les demandes de Julie à l’époque, j’avais tout fait pour garder le contrôle sur la situation. Plus Julie s’épanouissait dans son histoire avec Lucas, plus je lui demandais de participer à mes jeux, cherchant sans doute à détériorer leur relation. Ainsi, pendant les vacances, Julie avait couchée avec trois inconnus à ma demande. Aucun de ces trois amants d’un soir ne lui avait procuré du plaisir. Au retour des vacances, elle avait revu Lucas une seule fois. Puis sans jamais réellement m’expliquer pourquoi, elle avait décidée de mettre un terme à leur relation.
Malgré l’insistance de Lucas et ses relances, elle ne voulait plus en entendre parler. Et nos jeux étaient bien entendu au point mort. Pendant pratiquement trois mois, Julie s’était totalement refermé. Elle refusait de parler de Lucas ou d’envisager tout type de jeux que je pouvais lui proposer. Même notre vie sexuelle en avait pris un coup.

Puis un soir, alors qu’elle rentrait d’une soirée filles, l’air de rien, dans le cours d’une discussion banale, elle m’avoua avoir été draguée par le serveur. Julie ne me raconte jamais quand elle se fait draguer, sauf si celui qui la drague lui plait. Je profitais de cette petite brèche pour lui demande si le garçon lui plaisait. Elle m’avoua qu’il était très mignon mais aussi très jeune. Dix neuf ou vingt ans maximum selon elle. Et puis, très vite, elle referma la porte décrétant que de toute façon il était hors de question qu’il se passe quoi que ce soit.

Néanmoins, elle retourna de plus en plus souvent dans ce bar toujours en compagnie d’une ou deux amies. Quelques semaines plus tard, toujours dans une discussion banale, toujours l’air de rien, elle m’avoua qu’une de ses amies, que je connais, dont je connais l’homme avec qui elle vit depuis sept ans, couchait de temps en temps avec le serveur en question. La poussant dans ses retranchements, elle finit par me faire la confidence qu’elle s’était masturbée plusieurs fois en s’imaginant avec lui. Par exemple à la fermeture du bar, prise sur un baril de bière. Un peu étrange comme idée mais si ça l’excitait après tout pourquoi pas. Elle continuait à insister sur le fait qu’elle ne ferait rien avec ce garçon mais je la sentais de moins en moins résolue. Je savais que son excitation ne venait pas seulement du garçon mais aussi des confidences que son amie devait lui faire. Et dont elle ne me racontait que quelques bribes.

Et j’avais raison puisque moins de deux semaines plus tard, un samedi soir, alors qu’elle était de nouveau sortie dans ce même bar, je reçus sur les coups de 2h30 du matin un message :

« Finalement j’ai craquée. Je suis chez Yann. Il vit dans un tout petit studio mais le lit a l’air confortable. Ne m’attends pas. Gros bisous mon cœur. »

Le temps de lire le message et d’essayer de la rappeler, je tombais directement sur sa messagerie. Elle avait coupé son téléphone. Et je passais une nuit blanche d’excitation à l’attendre jusqu’au petit matin. Elle ne rentra que le lendemain après-midi me trouvant endormi sur le canapé du salon. Pas maquillée, souriante, elle était tout simplement resplendissante. Elle dégageait autour d’elle une aura de bonheur.

Sans me laisser le temps d’engager la discussion elle prit les devants.

- Mon chéri, je sais exactement tout ce que tu veux me demander. Je sais tout ce que tu veux savoir. Mais stp laisses moi profiter un peu. Je n’ai pas du tout envie de te dire combien de fois on l’a fait, dans quelles positions on l’a fait, qu’est ce qu’il m’a dit pendant qu’on l’a fait. Sache juste que c’était génial. Il a été très doux. Très attentionné. Et j’ai adorée.

Elle me posa un baiser sur le front avant de disparaitre vers la salle de bain. Puis sa tête réapparut par l’entrebâillement de la porte :

- Ah. Il n’a pas été que doux hein. Sinon je ne serais pas restée aussi longtemps.
Et elle disparut pour de bon en pouffant de rire.

Ce soir-là on fit l’amour comme on ne l’avait plus fait depuis des mois. Le lendemain aussi d’ailleurs. Et même si c’était extrêmement difficile, je réussis à respecter sa volonté et ne lui demander aucun détail de sa soirée.
#1794023
Trois jours plus tard, le mercredi, je reçus un message de Julie sur les coups de 16h00 alors qu’elle était encore au travail.
« Coucou mon chéri. Yann ne travaille pas aujourd’hui. Il m’a proposé de prendre un verre avec lui. Ca ne te dérange pas ? Bisous. »

Je lui répondis que pas du tout et je lui demandais juste de m’informer du déroulement de la soirée. Elle me répondit dans la foulée :
« Merci mon ange. T’es génial. Pour le déroulement je peux déjà te prédire que ça risque d’être long. Je t’aime. »

Puis silence radio jusqu’à un nouveau message vers 19h30 :
« Mon cœur ne m’attends pas pour diner. Je vais chez Yann. On va se faire livrer à manger chez lui. Je ne sais pas quand je rentre. »

Alors que j’avais eu toute l’après-midi et une bonne partie de la nuit pour gamberger, plusieurs détails que je n’avais pas remarqués initialement me revinrent en mémoire. Lorsque Julie était partie au travail ce matin-là, je l’avais trouvée beaucoup plus sexy que d’ordinaire. Chemisier blanc légèrement décolleté, soutient gorge push up, jupe tailleur au-dessus du genou, bas blancs transparents et talons. Le genre de tenue qu’elle ne mettait au travail que pour les grandes occasions. Par ailleurs, la veille elle avait textoté beaucoup plus que d’habitude. Bref, la proposition de Yann de prendre un verre n’était pas aussi impromptue qu’elle avait voulue me le faire croire.

Finalement, elle rentra sur les coups de 4h00 du matin. Surprise de me voir encore debout, en guise de bonsoir et tout en se dirigeant vers la chambre, elle me lança un :
- Ouf. Je suis épuisée. En plus demain j’ai une réunion super importante à 9h00 du matin. Je suis folle des fois.
Je la suivis pour la regarder se déshabiller et constater que ses bas étaient agrémentés d’un porte jarretelles et d’un string blanc.
- Qu’est ce qu’il a pensé de ta tenue ?

Elle mit un temps à me répondre, visiblement concentrée sur les boutons de son chemisier.
- Mince. Il en manque deux.
- Mais sinon. Il en a pensé quoi de ta tenue ?
- Il a adoré.

Alors que je m’approchais pour l’enlacer dans mes bras elle me repoussa.
- Chéri je suis désolé mais il faut vraiment que je me dépêche. Une douche et au lit. Demain je ne vais jamais y arriver sinon.
Et elle fila dans la salle de bain laissant sur le sol ses vêtements du jour. Je m’assis sur le bord du lit. Je saisis son string pour constater une belle trace de mouille. Pathétique, je l’approchais de mon nez pour découvrir une forte odeur de latex et de sexe. Alors qu’elle se douchait, j’inspectais un à un ses vêtements. Il manquait en effet deux boutons à son chemisier. Son soutient gorge n’était pas revenu à la maison. Et sur un des bas, il y avait une longue trace partant à peu près du genou jusque tout en haut. Un vent de panique me saisit. Elle n’avait tout de même pas fait disparaitre la capote au bout du deuxième rendez-vous ? Je voulais bien la laisser profiter, mais cette question était trop importante pour que je ne la pose pas.
Dès son retour, l’air penaud mais décidé, je me lançais :
- Mon cœur. Rassures moi. Tu t’es protégée à chaque fois ?

Elle me regarda incrédule.
- Bah évidement. Tu crois que je suis inconsciente ?
- Non, non mais je préférais te demander.

Elle rentra sous les draps, se saisit de son téléphone et pianota dessus.
- Je sais que tu as plein de questions mon ange. Mais là je suis vraiment fatiguée. Je suis désolée. Promis on se rattrape demain. En attendant je t’ai amené un cadeau.

Elle me tendit son téléphone. C’était une photo d’elle, habillée, à genoux, avec une bite dans la bouche.
- Tu peux les faire défiler. Il y en a plusieurs. Il y a même une ou deux vidéos je crois. Mais stp éteins la lumière et va les voir dans le salon. J’ai vraiment besoin de sommeil.

Je déposais un baiser sur son front lui souhaitant bonne nuit et je quittais la chambre tout excité de découvrir ce qu’elle m’avait apportée. La deuxième photo, c’était le gros plan d’une bite avec une capote par-dessus, au bord de sa chatte et s’apprêtant à la pénétrer. Sur la troisième la moitié de la bite était à l’intérieur. Sur la quatrième, Julie était allongée sur le ventre. Elle portait encore ses bas et son porte jarretelle. Une capote trônait sur son dos. La bite se reposait sur ses fesses aux côtés d’une longue giclée de sperme.
La quatrième photo était une vidéo d’environ une minute. Yann allongé sur le dos filmait Julie pendant qu’elle le suçait. Pour la première fois j’entendis les soupirs de Yann.
Sur la cinquième photo, Julie était en levrette, très écartée, son porte jarretelle toujours en place. Yann la pénétrait au trois quarts. La sixième photo représentait la même scène mais la bite de Yann était complétement à l’extérieur. Son gland s’appuyait entre les lèvres de la chatte de Julie avant probablement de s’y engouffrer. D’une main, Julie écartait ses fesses.

A ce stade, j’avais déjà une main dans le caleçon et une barre d’enfer. Mais je ne voulais pas jouir avant d’avoir tout vu.
Sur la septième photo, Julie était assise sur le lit. Elle suçait Yann qui avait pris la photo debout. La huitième photo avait aussi était prise de haut. Yann devait se tenir probablement debout, au-dessus de Julie. Elle était allongée sur le dos, ses cheveux s’étalant sur l’oreiller. Elle souriait. Une longue giclée de sperme allait de ses seins jusqu’à son nombril. On apercevait aussi au premier plan la bite de Yann qu’il tenait dans sa main droite.

La neuvième photo était une longue vidéo de plus de dix-huit minutes. La plupart du temps, le téléphone avait dû être posé sur une sorte de table de chevet à côté du lit. Le cadrage était mauvais et on n’apercevait que rarement des formes. En revanche on entendait tout. Les gémissements de Julie, les soupirs de Yann, le bruit des corps qui s’entrechoquent.
Après 4,30 minutes de gémissements et soupirs, j’entendis pour la première fois la voix de Yann.
- Viens on change. J’ai envie que tu sois sur moi.
A 5,12 de nouveaux la voix de Yann :
- Allez. Bouge. A toi de jouer un peu quand même.
A 6,07, alors qu’ils n’avaient toujours pas changé de position, encore Yann :
- T’es magnifique. J’adore tes seins.
A 8,27 je vis enfin Yann. Julie s’était saisie du téléphone pour le filmer alors qu’elle s’agitait sur sa bite. L’image bougeait mais il était facile de voir un beau jeune homme, brun aux yeux visiblement clairs, aux épaules larges et musclées. Puis Yann lui prit le téléphone des mains pour filmer Julie à son tour. Les seins de Julie étaient magnifiques, s’agitant avec leurs tétons qui pointaient de plaisir. Julie fermait les yeux et se mordait la lèvre soupirant sensuellement.
Après dix secondes le téléphone fut reposé sur le support initial. De nouveau on ne voyait plus grand-chose mais on pouvait entendre Yann à 9,18 dire :
- Viens. Retournes toi. J’ai envie de manger tes fesses.

Quelques secondes de silence, puis les soupirs reprirent. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Le rythme des coups de Yann s’accélérait et Julie gémissait de plus en plus fort.
A 11,32 j’entendis Julie dire « Non, ça me déconcentre » au milieu de ses gémissements. Yann lui répondit :
- Laisses-moi faire. Tu vas voir. J’ai envie de te faire jouir comme ça.
Il était probablement en train de lui caresser le clito tout en la prenant. Et visiblement Julie se laissa faire, le bruit de ses gémissements montant crescendo jusqu’à en devenir des cris espacés par des silences. A 14,42 après un peu plus de deux minutes de ce traitement, Julie venait visiblement de jouir.
- Doucement. Doucement. C’est brûlant. C’est trop bon. Mais ça pique un peu quand même.
Pendant quelques secondes, le rythme ralentit tellement que je n’entendais plus les bruits des corps qui se rencontrent. A 15,54 de nouveau la voix de Julie :
- Continues. Doucement mais continues.
A 16,04 Yann lui répondit :
- N’arrêtes pas. J’adores ça.
Je suis persuadé que Julie était en train de lui caresser les couilles pendant qu’il l’a pénétrait.
Puis à 16,12 la voix haletante de Yann.
- Je vais venir. T’as une préférence cette fois ci ?
- Où tu veux.
- T’es sûre ?
- Oui.
- Retournes toi.
Les allers retours cessèrent. Un bruit de capote qu’on retire. Puis de nouveau la voix de Yann :
- Prends mes couilles dans ta bouche. Vite.
Je n’entendais plus que les râles de plus en plus puissants de Yann et un faible bruit de suçon. Jusqu’au râle final.
Un silence d’une dizaine de secondes s’ensuivit. Puis quelqu’un se leva du lit et le téléphone bougea. Dans la salle de bain, à 17,03, Julie se filmait dans un petit miroir. Elle avait du sperme qui depuis ses cheveux et son front coulait sur le reste de son visage.

- Bah voilà. Ces jeunes tu leur donnes un doigt ils te prennent le bras. Après les fesses et les seins il a réussi à me faire une éjac faciale. Bon mon cœur, je te laisse. Il est presque 23h00 et on n’a pas encore mangé. A la base on était venus pour ça quand même.
Elle fit un grand sourire à la caméra avant d’arrêter l’enregistrement.

Il n’y avait plus aucune photo ni vidéo après celle-ci. Pourtant Julie n’était rentrée qu’à 4h00. En gros elle avait pensé à moi en première partie de soirée et uniquement à elle par la suite. J’appréciais énormément l’attention. Je me remis les deux dernières minutes de la vidéo, et à mon tour je jouis. Pas sur le visage de ma femme mais dans mon caleçon.
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La rencontre avec Yann constitua un tournant dans l’attitude de Julie. Le fait d’avoir une relation avec un petit jeunot qu’elle maitrisait et dirigeait, fit grandir son sentiment d’assurance en elle. Si elle était capable avec le jeunot pourquoi ne pas tester d’autres proies. Fini Julie la timide, Julie la prude, Julie la sage. Bienvenue à Julie la dévoreuse de plaisir.

Évidemment, comme toujours, Julie ne formula son état d’esprit qu’après être passée à l’acte. J’eus cependant le privilège d’observer la métamorphose progressive.

Avant de rencontrer Yann, elle avait pris l’habitude de sortir assez régulièrement avec un groupe d’amies. La rencontre avec Yann mit un frein à ces sorties, puisqu’elle préférait le retrouver aux diverses invitations de sorties. Mais moins d’un mois après leur rencontre, elle recommença petit à petit à sortir avec ses amies. Elle continuait à voir Yann aussi régulièrement qu’avant mais en plus elle s’octroyait des sorties avec des amies. Le signe ne m’échappa pas. Sans se l’avouer, elle cherchait une nouvelle proie. Et elle ne tarda pas à la trouver. Non lors d’une sortie avec ses amies, mais lors d’un congrès de trois jours pour le boulot, à l’autre bout de la France.

Le premier soir, elle me raconta sa journée et me dit qu’un mec lui avait fait un peu de rentre dedans durant l’après-midi.
- Et tu as réagi comment ?
- Je l’ai laissé faire sans trop entrer dans son jeu.
- Il te plait ?
- Hmmm. Il peut faire l’affaire.
- Et tu comptes te le faire ?
- Je ne sais pas. Je verrai demain. Peut être que je trouverai mieux. Qui sait.

Elle venait de m’annoncer sans sourciller qu’elle comptait bien se taper quelqu’un pendant son séjour. C’est ce que plus tard j’appellerai « l’effet Yann ». Et dès le lendemain soir elle passa à l’action. L’homme de la veille, Fred, la trentaine, marié, commercial, lui proposa de prendre un verre. Elle accepta. Leur rendez-vous était fixé au bar de l’hôtel. Au moment de le retrouver, prétextant une gêne du fait de la présence de très nombreux collègues, et puisque la pluie ne lui donnait pas envie d’aller ailleurs, elle lui proposa qu’il l’a rejoigne dans sa chambre. Ils pourraient prendre l’apéro sans être l’objet des on dit. Moins de quinze minutes après son arrivée dans la chambre, en guise de biscuit apéritif, elle avait engouffré sa bite dans sa bouche. Voilà pour ce qui est de la gêne. Discrètement, elle avait laissé son téléphone allumé pour que j’apprécie à distance son approche. On pouvait difficilement faire plus direct et plus efficace. Après quelques minutes d’échange de banalités, de quelques blagues gentilles, il y eut ça :

- Oh mon dieu si mon mari savait que je suis en train de boire un verre avec un inconnu dans ma chambre d’hôtel. Des fois je fais des choses sans réfléchir. Mais c’est pas grave, je suis contente que tu sois là.

Puis subitement un silence un peu plus long que les autres. Visiblement pas impressionnée par le manque de répartie de Fred, elle reprit la main :
- Bon j’ai vraiment faim moi. On peut faire semblant de discuter de la pluie et du beau temps jusqu’à ce que l’heure d’aller manger arrive. Ou tu peux peut être commencer à te mettre à l’aise.

Un long silence pendant lequel j’essayais d’entendre en vain des baisers. Des bruits de frottement me laissaient penser que des vêtements étaient retirés.
- Oh qu’est ce que tu fais ça bien.

La voix de Fred m’apprit qu’il n’était pas question de câlins et de baisers mais de pipe. Julie n’avait pas blagué ce coup-ci allant droit au but. Et elle ne s’arrêta pas là. Après quelques minutes de silence et de quelques soupirs de Fred, j’entendis de nouveau la voix de Julie.
- T’as des capotes.
- Regarde dans la poche de mon pantalon.

De nouveau le silence, et moins d’une minute plus tard, le premiers gémissements de Julie. Cette fois j’entendais clairement les corps s’entrechoquer lorsque Fred accélérait le rythme. Et il n’en changea pratiquement pas, la pilonnant quasiment du début à la fin sur une cadence identique. Les gémissements de Julie étaient forts. Au son, j’avais l’impression qu’ils ne changèrent de position qu’une seule fois. Je n’entendis aucun échange entre eux. En moins de sept minutes c’était fini. Pas un râle ou un seul bruit de Fred. Puis après quelques minutes de silence :
- Il penserait quoi ton mari de tout ça ?
- Sûrement la même chose que ta femme.
- Probablement. On remet ça après le diner ?
- Ca en un peu plus long pourquoi pas.

Puis la communication fut coupé. Plus tard, Julie m’expliquerait que vexé par sa remarque, Fred avait tenu à remettre le couvert. Pilonnage intensif pendant trente minutes dans toutes les positions. Puis à une Julie épuisée et en sueur, il avait lancé :
- C’est mieux comme ça ?
- Oh oui. Beaucoup mieux.
- Bon on commande à manger dans la chambre et on remet ça ?
- On fait ça. J’ai pas la force de descendre de toute façon.

Ils avaient passés la nuit ensemble et avaient remis ça le lendemain soir dans la chambre de Fred.
Sans jamais devenir un amant, Fred devint rapidement un plan cul régulier. Une fois toutes les deux semaines, il passait deux jours dans notre région pour le travail. A trente kilomètres environ de chez nous. La première fois après le congrès il appela Julie pour « l’inviter à diner » le lendemain. Julie m’en parla en faisant semblant de ne pas trop savoir ce qu’elle allait faire.
- En gros tu me dit que tu hésites entre un plan télé avec moi et une bonne bouffe suivi d’une bonne baise avec Fred ?
- C’est ça, me répondit elle avec un sourire malicieux.
- Donc tu me dis clairement que tu n’hésites absolument pas mais que tu aimerais que je te pousse à y aller.
- C’est pas faux.
- Bah je ne vais pas te pousser pour une fois. Choisis seule.
- Franchement, entre le plan télé et la bonne bouffe je préfère le plan télé avec toi. Par contre, l’idée d’aller me faire baiser vite fait dans un hôtel en milieu de semaine par un homme marié, ça me tente vraiment.

Elle lui confirma qu’elle serait ravie de le rejoindre en début de soirée. Mais elle lui expliqua qu’elle ne pouvait pas justifier de longues absences en milieu de semaine, donc pour le diner ça allait être compliqué. Visiblement ca convenait parfaitement à Fred. Il venait de trouver dans la région une femme mariée, donc discrète, disponible pour venir se prendre une cartouche sans demander plus. Le jackpot du commercial.
A 21h00 elle était de retour à la maison.

- C’est très différent de Yann. Il n’a aucune délicatesse. Il ne parle jamais pendant qu’on baise. Il me dirige par gestes. Il ne gémit même pas. Et il ne change jamais de rythme. Il tamponne. Il ne fait attention qu’à lui. Quand il change de position c’est juste pour éviter de jouir trop vite. Il s’en fout si à ce moment moi j’ai envie qu’il continue. C’est un bourrin. Mais ça ne me dérange pas. C’est pas du tout mon genre d’habitude mais avec lui ça me va.

A partir de ce soir-là, Fred gagna son pseudonyme de « mon petit bourrin ». Et il le méritait. A son retour dans la région, deux semaines plus tard, il ne prit même pas la peine d’un appel téléphonique. Sachant qu’entre temps il n’avait donné aucune nouvelle. Il se contenta d’un sms laconique :
- Dispo ce soir ?

A quoi Julie répondit de la même manière :
- Oui. A 18h00.
- OK. Même hôtel que la dernière fois.

Elle me prévint en journée qu’elle allait le rejoindre. Elle rentra de nouveau avant 21h00.
- Il me traite vraiment comme une salope. Le vide couilles du mardi soir.
- Non chérie. Il ne te traite pas comme une salope mais comme une pute qu’il n’a pas besoin de payer.
- T’as raison.
- Et ça te plait ?
- C’est vraiment pas moi ce genre de choses. Tu le sais. Mais bizarrement avec lui ça me plait. Je suis excitée quand j’approche de l’hôtel, que je sais qu’il va m’accueillir par un bisous vite fait et un verre de blanc pour faire semblant. Et que cinq minutes plus tard, je vais me retrouver avec sa bite dans la bouche. Par exemple, avec Yann je ne pourrai pas faire ce genre de choses. Je ne pouvais pas le faire avec Lucas non plus. Et avec toi c’est juste impossible. Mais avec lui, ça me convient. Je crois que c’est moi qui l’ai mis dans cet état d’esprit. Je lui ai montré qu’il n’avait pas besoin de faire d’efforts. Juste de me baiser quand il en avait envie. Et il en profite.

Et le manège se poursuivit ainsi pendant un moment. Les textos de Fred étaient de plus en plus laconiques et directifs. Et Julie l’acceptait.
- Ce soir 18h00 ?
- Oui. J’ai hâte.
- Sois sexy.
- Porte jartelles et talons monsieur ?
- Parfait !!

Ce soir-là il voulut l’enculer pour la première fois. Elle refusa mais elle accepta un doigtage annal. A la maison, elle me dit :
- Bon bah je pense que dans deux semaines j’y ai droit.
- Pourquoi ?
- Tout le chemin du retour j’ai regretté de pas l’avoir laissé faire. C’est la première fois que je lui interdis un truc. Alors que ce qui m’excite dans ma relation avec lui c’est de lui obéir et de lui faire plaisir.

Fred se mit à envoyer des messages quelques jours avant d’arriver. C’était nouveau.
- J’ai hâte de te revoir.
- Ca me fait plaisir. Moi aussi j’attends nos retrouvailles.
- J’ai pensé à toi hier soir.
- J’aime ça. Mais fais attention, t’as une femme.
- Ne t’inquiète pas pour elle. Elle en a profité de mes pensées pour toi.
- Ah bon ?
- Je lui ai fait ce que je te fais. Elle a adorée. Elle est toute amoureuse aujourd’hui.
- Pourquoi ? T’es différent avec elle d’habitude ?
- Bah oui. C’est ma femme.
- Je vais finir par être jalouse qu’elle ait droit à mon traitement et moi jamais au sien.
- C’est toi qui n’a jamais le temps à cause de ton mari.
- Je te charrie. Ca me va très bien comme ça. Elle aime te faire plaisir ?
- Je crois qu’elle ne pense pas trop à ça.
- Moi j’adore te faire plaisir.
- Arrête. Je vais prendre le premier train.
- La dernière fois je n’ai pas été très gentille avec toi. Je vais me rattraper. Je te promets.
- Je t’ai trouvée très gentille, au contraire.
- Je suis sûre que je ferai mieux mardi.

Le mardi suivant, elle m’avertit qu’elle comptait rester plus longtemps avec Fred. En fait, elle passa la nuit avec lui, ayant emportée des affaires de chang sur elle. Elle enregistra discrètement une partie de leur nuit. Merveilleux l'application dictaphone des nouveaux téléphones. Elle lui proposa un 69. C’est une des positions les plus intimes pour Julie. Elle ne le fait pratiquement jamais avec ses amants. Et avec moi elle a du mal. Pendant le 69, alors qu’elle le suçait depuis un moment, je l’entends lui dire :
- Tu veux pas me faire comme la dernière fois ?
- C’est-à-dire ?
- Tu veux pas me doigter un peu le cul ?

Puis pendant qu’ils étaient en train de baiser, à un moment où visiblement ils changeaient de position, j’entends Julie lui dire :
- Je crois que je suis prête.
- Je peux.
- Si ça te fait plaisir oui. Mais doucement s’il te plait.

Le doucement dura moins d’une minute. Même en annal, Fred semblait ne connaitre qu’un seul rythme. Sauf que dans cette situation Julie ne gémissait pas sous ses assauts, elle criait.

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