- 12 août 2015, 10:29
#1806325
Hello tout le monde,
Une toute petite anecdote qui m'a émoustillé ce WE.
Mon épouse est la marraine d'un gamin de 10 ans. A chaque anniversaire, on croise le parrain. Un célibataire endurcit aux nombreuses conquêtes. Le gars n'est pas beau, il est plus âgé que nous, mais il a la tchatche!
Ma chérie m'a avoué qu'il l'avait déjà draguée intensivement quand elle était célibataire. Mais qu'elle ne s'imaginait pas vivre avec lui.
Lors d'une conversation avec la maman du filleul, on apprend qu'il a vendu sa maison et s'est installé dans un bateau à 5 km de chez nous. Elle demande des renseignements plus précis que la maman ne peut donner.
Dimanche après-midi, on sort pour aller manger une glace. Il fait doux, on décapote la voiture. Sur le chemin, elle me dit, on irait bien sur le port pour essayer de trouver Paul(et son bateau). Je dis pourquoi pas.
Je me gare dès que je trouve une place. Quelques centaines de mètres plus loin, nous voila sur le port. On passe en revue les bateaux. Après un tri, il ne reste pas beaucoup de possibilités. Il y a en effet un bateau qui est ouvert et qui a l'air habité. On entrevoit à peine le matelot. On crie après, il n'entend pas, la musique va trop fort.
Je lui dit, tu n'as pas son numéro de portable? Elle le compose, et bingo c'est bien lui. Il sort sa tête et dit: attends deux secondes, j'enfile un short et j'arrive...
Il nous invite à monter sur le bateau, une belle vedette hollandaise de 12 mètres. Il n'est en effet vêtu que d'un short.
On prend un verre sur la terrasse.
On discute du coté pratique du bateau. Je soumets l'idée d'une visite des cabines.
Quand soudain une averse. On se recentre sous l'auvent, on est bien à l’abri.
Et d'un coup elle me dit: le toit de la voiture est toujours ouvert ! Tu ne penses pas qu'il vaut mieux le fermer?
L'idée de marcher deux fois 15 minutes sous la pluie ne m'enchante pas, mais bon, j'y vais...
Sur le chemin, je me dis que j'ai peut-être laissé une brebis dans les pattes du loup...
Mon imagination va bon train, il va lui faire visiter les cabines...
Je ferme la voiture. La pluie redouble, je me mets à l'abri le temps que ça se calme. Je bande en pensant à ce qui pourrait se passer... D'autant qu'on avait baisé en début d’après midi, qu'elle était chaude comme rarement. Qu'elle en a pris dans tous les trous. Qu'on a usé les piles de son jouet. J'en avais profité pour lui dire que ce serait mieux avec deux vraies queues plutôt que le plastic. Sur le moment elle avait l'air d'accord.
La pluie se calme, je retourne au bateau. J'arrive et je ne vois aucun signe de quoi que ce soit.
Il propose encore un verre, elle décline car on doit rentrer préparer le repas...
On se quitte, ils conviennent d'un rendez-vous pour la seconde quinzaine, elle ira avec le filleul s'il est libre.
Sur le chemin du retour, elle me dit: Tu m'imagines vivre avec lui ?
Pour toutes réponses, je lui demandes : il t'a fait visiter les cabines ?
Une toute petite anecdote qui m'a émoustillé ce WE.
Mon épouse est la marraine d'un gamin de 10 ans. A chaque anniversaire, on croise le parrain. Un célibataire endurcit aux nombreuses conquêtes. Le gars n'est pas beau, il est plus âgé que nous, mais il a la tchatche!
Ma chérie m'a avoué qu'il l'avait déjà draguée intensivement quand elle était célibataire. Mais qu'elle ne s'imaginait pas vivre avec lui.
Lors d'une conversation avec la maman du filleul, on apprend qu'il a vendu sa maison et s'est installé dans un bateau à 5 km de chez nous. Elle demande des renseignements plus précis que la maman ne peut donner.
Dimanche après-midi, on sort pour aller manger une glace. Il fait doux, on décapote la voiture. Sur le chemin, elle me dit, on irait bien sur le port pour essayer de trouver Paul(et son bateau). Je dis pourquoi pas.
Je me gare dès que je trouve une place. Quelques centaines de mètres plus loin, nous voila sur le port. On passe en revue les bateaux. Après un tri, il ne reste pas beaucoup de possibilités. Il y a en effet un bateau qui est ouvert et qui a l'air habité. On entrevoit à peine le matelot. On crie après, il n'entend pas, la musique va trop fort.
Je lui dit, tu n'as pas son numéro de portable? Elle le compose, et bingo c'est bien lui. Il sort sa tête et dit: attends deux secondes, j'enfile un short et j'arrive...
Il nous invite à monter sur le bateau, une belle vedette hollandaise de 12 mètres. Il n'est en effet vêtu que d'un short.
On prend un verre sur la terrasse.
On discute du coté pratique du bateau. Je soumets l'idée d'une visite des cabines.
Quand soudain une averse. On se recentre sous l'auvent, on est bien à l’abri.
Et d'un coup elle me dit: le toit de la voiture est toujours ouvert ! Tu ne penses pas qu'il vaut mieux le fermer?
L'idée de marcher deux fois 15 minutes sous la pluie ne m'enchante pas, mais bon, j'y vais...
Sur le chemin, je me dis que j'ai peut-être laissé une brebis dans les pattes du loup...
Mon imagination va bon train, il va lui faire visiter les cabines...
Je ferme la voiture. La pluie redouble, je me mets à l'abri le temps que ça se calme. Je bande en pensant à ce qui pourrait se passer... D'autant qu'on avait baisé en début d’après midi, qu'elle était chaude comme rarement. Qu'elle en a pris dans tous les trous. Qu'on a usé les piles de son jouet. J'en avais profité pour lui dire que ce serait mieux avec deux vraies queues plutôt que le plastic. Sur le moment elle avait l'air d'accord.
La pluie se calme, je retourne au bateau. J'arrive et je ne vois aucun signe de quoi que ce soit.
Il propose encore un verre, elle décline car on doit rentrer préparer le repas...
On se quitte, ils conviennent d'un rendez-vous pour la seconde quinzaine, elle ira avec le filleul s'il est libre.
Sur le chemin du retour, elle me dit: Tu m'imagines vivre avec lui ?
Pour toutes réponses, je lui demandes : il t'a fait visiter les cabines ?