- 30 août 2015, 11:58
#1813198
Bonjour,
voici le récit d'une aventure que j'ai vécu avec ma maitresse. Ceci s'est donc réellement passé et je présente ici l'aventure vu par le "préteur", par moi donc. Ne me sentant pas du tout "cocu" dans cette histoire, car maitre du jeu et parfaitement consentant, je n'emploirai pas ce terme.
Et oui, il s'agit bien d'une aventure vécue avec ma maitresse et non ma femme officielle... c'est ainsi...
Je sais que mon récit et surtout les échanges que j'ai eu avec mon complice risquent de choquer certaines "âmes sensibles". J'en suis désolé mais c'est ainsi que j'ai abordé la chose... Je sais que beaucoup me comprendront
J'espère susciter des vocations de préteur car vraiment, messieurs, c'est un spectacle divin de voir sa belle s'offrir à un autre.
Voici le début de mon histoire...
"Couple quasi légitime a un fantasme à réaliser... Monsieur aimerait confier sa belle aux bons soins d'un amant vigoureux pour profiter de la vue..."
Ainsi commence l’annonce que j'ai postée sur un site de rencontres libertines.
Cette annonce est pour toi ma chérie, ou plutôt pour moi...
Quatre ans que nous sommes ensembles. Tu n'es plus vraiment ma maîtresse, tu es plutôt comme ma seconde femme officieuse. Les sentiments se sont vite invités dans notre histoire. Mais j'ai depuis un bon bout de temps ce fantasme de te donner à un autre, de te voir nue aux prises avec un autre homme.
Je t'en ai beaucoup parlé jusqu'à parfois te saouler avec mes idées... Nous avons déterminé quelques points essentiels si la chose venait à se produire. L'homme devra être bien fait et pouvoir te plaire même si, nous sommes d'accord là dessus, tu ne devras pas le voir, tu auras les yeux bandés. Tu ne devras pas non plus entendre sa voix.
Initialement, j'aurai aimé te livrer à lui les mains attachées, victime consentante de ma perversité, mais non, tu as refusé; tu veux pouvoir toucher, petite coquine. Nous nous interrogeons sur la possibilité de vous laisser vous embrasser. Autant la fellation et le cuni ne me posent aucun problème, autant les baisers me semblent des gestes hyper intimes et tendres qui risquent de me déranger. Je perçois bien une légère déception de ta part mais la règle est fixée : pas d'embrassade.
De toi même, tu vas ajouter que l'homme aura droit de jouir sur ton visage. Cela me rend fou d'excitation... Je n'aurai pas osé te le demander mais ton initiative me conforte dans l'idée que tu es une véritable coquine...
J'ai fait quelques tentatives pour trouver un partenaire mais je cogitais, je me laissais trop de temps pour penser et donc cela se terminait toujours par un abandon.
De plus, j'avais peur de ma réaction comme de la tienne... Pourrai je supporter de te voir te faire baiser ? Une fois l'excitation retombée comment allais je gérer les images que j aurais en tête ?
Comment allais tu percevoir que je te livre en pâture a un autre ? Allais tu traduire ça en une baisse de mes sentiments pour toi ?
Une récente discussion m'avait un peu rassuré sur ce dernier point. Tu m'avais clairement dit que cela ne changerait rien pour toi.
J'ai donc mis cette annonce mais je n'ose pas "attaquer"... Je cogite... Bref je fais du surplace comme d'habitude.
Nous devons nous voir pour passer une soirée de câlins tous les deux dans un hôtel. J'ai réservé pour le lendemain, une chambre dans un 4 étoiles d'une grande ville voisine, un établissement moderne et chic.
Je ne sais pas alors ce qui ce passe dans mon esprit... Comme si mon côté coquin faisait un putsch et prenait le pas sur tout le reste.
Je me connecte sur le site de rencontre avec une seule idée en tête : trouver un homme qui va te baiser dans cet hôtel.
Je sélectionne les hommes de la région, dans nos âges, aux physiques sympathiques et dont les fiches sont agrémentées de commentaires flatteurs d'autres utilisateurs et surtout utilisatrices...
Justement... En voilà un en ligne... Bien bâti, plus petit et plus léger que moi ce qui est un plus. Je veux, au moins pour cette première, garder un avantage physique sur cet inconnu qui va profiter de toi.
J'engage la conversation. Très vite, il me donne accès à ses photos... Belle gueule et sexe avantageux apparemment comparable au mien (encore un point positif !)
Mon plan aussi semble lui plaire : venir nous retrouver dans une chambre d hôtel pour t'utiliser. Tu auras les yeux bandés et il n'y aura aucune parole échangée, il sera un fantôme pour toi, un fantôme avec une bonne queue pour te ramoner...
Je lui pose alors la question fatidique : "tu fais quoi demain en fin d'après midi ?"
Réponse : "rien"... Voilà l'homme qui va te sauter mon cœur...
A partir de la l'excitation se mêle à un stress délirant.
Il me faut penser alors à tout : appareil photo et caméra pour garder une trace de cette rencontre, trouver un masque qui ne te laissera aucune chance de voir ton assaillant et, surtout, ne rien te dire, ne rien laisser filtrer. Tu es d'accord pour réaliser ce fantasme mais tu ne veux pas savoir quand ni où cela t'arrivera.
Mon intention est claire : exciter un maximum mon complice, le rendre fou de désir pour toi pour qu'il joue parfaitement son rôle de baiseur. Pour une première fois, j'ai envie de te voir te faire sauter, pas te voir faire l'amour avec toute la tendresse que cela implique...
Avec l'autre nous nous échangeons alors nos adresses mails pour pouvoir communiquer.
En ligne, je lui exhibe alors des photos de toi très sexy sur lesquelles on ne voit pas ton visage. Je lui demande même de choisir, parmi les tenues qu'il voit défiler, celle dans laquelle il préférerait te voir pour prendre possession de toi. Je lui raconte tes performances sexuelles. Je lui décris le délice absolu d'être dans ta bouche... je l'excite un maximum et je sens que ça marche très bien. Je penchais pour t'offrir à lui dans une guêpière blanche dotée d'un porte jarretelles avec des bas blancs mais lui opte pour une de tes robes coquines rouges. Très courte, dos nu, avec un décolleté plongeant jusqu'au nombril, c’est une de mes préférées aussi...
T'imaginer dans cette tenue, yeux bandés, face à un homme là pour te prendre me rend dingue. En même temps, j'ai une boule au ventre de penser que je vais laisser volontairement un autre t'approcher et te posséder.
L'excitation, la peur et l'appréhension ne vont plus me quitter jusqu'au lendemain. Je sais que, lors de nos conversations sur ce fantasme, tu m'as toujours dit que l'homme devrait payer quelque chose.... La chambre, une tenue, une bouteille.
La chambre étant déjà réservée et la tenue choisie, je lui demande donc de venir avec une bouteille de champagne.
Tout se met en place doucement.
Avec mon complice, nous nous entendons pour qu'il vienne nous rejoindre à
18h. A ce moment là, il ne sait pas encore dans quel hôtel tout ceci va se passer.
La conversation électronique s'arrête là pour ce soir. Je me retrouve seul face à mes idées et face à ce plan que je me persuade de ne plus pouvoir stopper. Tu vas devoir y passer mon amour. Cette fois ci, je ne reculerai pas.
Je ressens un stress immense... Boule au ventre... Gorge nouée... Cœur qui palpite...
Je regarde des photos de toi et t'imagine avec lui...
Je ne dors presque pas de la nuit. J'ai l'impression que mon cerveau n'est plus qu'un amas de billes qui roulent d'un côté à l'autre, mon sang bouillonne...
Le lendemain matin, pour me rassurer et pour bien tout régler je rédige un mail que j’envoie à l'autre.
Excuse moi mon amour mais je nage en plein fantasme... Et, autant pour "motiver" mon complice que pour me maintenir dans un état d'excitation très élevé, je n'utilise pour te désigner que des termes dont tu sais très bien qu'ils ne sont absolument pas des insultes dans ces circonstances. Dans les moments où je suis excité, ce sont des compliments, des odes à ta sensualité, tu le sais bien...
Voici le mail :
"Bonjour
Juste un petit mail pour que tout soit bien clair
Tu vas être notre jouet sexuel d'un jour, donc tu devras te plier à ses demandes comme, parfois, aux miennes. Mais, tu as bien sur le droit de la manipuler à ta guise pour la baiser comme tu le veux... Laisse ton expérience parler ...
Même si tu vas sauter une pute, on ne te demande pas de la démonter du début à la fin-;-)
Je vais tenter que tout soit prêt pour 18h. Je te préviendrai 40 minutes avant ok ?
Je te rappelle que le prix de cette pute est une bouteille de champagne.
Une bonne, pas une bouteille de merde. On la boira, la pute et moi un jour prochain a la santé de ta queue.
Quand tu l auras acheté, envoie moi une photo. Respecte ça.
"Pas de bouteille ou bouteille de merde" = "pas de pute a baiser"
RAPPEL :
- pas de parole, même pas un bonjour a ton arrivée, rien. Elle ne doit pas entendre ta voix. Je te poserai peut être des questions pendant que tu t'occuperas d'elle, réponds par oui ou non de la tête.
- interdiction de lui enlever le masque de ses yeux.
- je ferai des photos et des vidéos. Comme elle ne doit pas savoir qui l'aura baisé, j'éviterai ton visage et au pire je le masquerai. Tu n'auras pas le droit de prendre ni photo ni vidéo.
- pas de baiser sur la bouche. (Éventuellement, dans le feu de l'action je te donnerai mon accord pour le faire.)
- qd tu en auras fini avec cette chienne, tu disparais. Tu gicles une fois et adieu. On verra au moment venu ou tu pourras te vider... (En elle ou sur elle)
J'espère qu'elle va bien t'exciter..."
... to be continued...
voici le récit d'une aventure que j'ai vécu avec ma maitresse. Ceci s'est donc réellement passé et je présente ici l'aventure vu par le "préteur", par moi donc. Ne me sentant pas du tout "cocu" dans cette histoire, car maitre du jeu et parfaitement consentant, je n'emploirai pas ce terme.
Et oui, il s'agit bien d'une aventure vécue avec ma maitresse et non ma femme officielle... c'est ainsi...
Je sais que mon récit et surtout les échanges que j'ai eu avec mon complice risquent de choquer certaines "âmes sensibles". J'en suis désolé mais c'est ainsi que j'ai abordé la chose... Je sais que beaucoup me comprendront

J'espère susciter des vocations de préteur car vraiment, messieurs, c'est un spectacle divin de voir sa belle s'offrir à un autre.
Voici le début de mon histoire...
"Couple quasi légitime a un fantasme à réaliser... Monsieur aimerait confier sa belle aux bons soins d'un amant vigoureux pour profiter de la vue..."
Ainsi commence l’annonce que j'ai postée sur un site de rencontres libertines.
Cette annonce est pour toi ma chérie, ou plutôt pour moi...
Quatre ans que nous sommes ensembles. Tu n'es plus vraiment ma maîtresse, tu es plutôt comme ma seconde femme officieuse. Les sentiments se sont vite invités dans notre histoire. Mais j'ai depuis un bon bout de temps ce fantasme de te donner à un autre, de te voir nue aux prises avec un autre homme.
Je t'en ai beaucoup parlé jusqu'à parfois te saouler avec mes idées... Nous avons déterminé quelques points essentiels si la chose venait à se produire. L'homme devra être bien fait et pouvoir te plaire même si, nous sommes d'accord là dessus, tu ne devras pas le voir, tu auras les yeux bandés. Tu ne devras pas non plus entendre sa voix.
Initialement, j'aurai aimé te livrer à lui les mains attachées, victime consentante de ma perversité, mais non, tu as refusé; tu veux pouvoir toucher, petite coquine. Nous nous interrogeons sur la possibilité de vous laisser vous embrasser. Autant la fellation et le cuni ne me posent aucun problème, autant les baisers me semblent des gestes hyper intimes et tendres qui risquent de me déranger. Je perçois bien une légère déception de ta part mais la règle est fixée : pas d'embrassade.
De toi même, tu vas ajouter que l'homme aura droit de jouir sur ton visage. Cela me rend fou d'excitation... Je n'aurai pas osé te le demander mais ton initiative me conforte dans l'idée que tu es une véritable coquine...
J'ai fait quelques tentatives pour trouver un partenaire mais je cogitais, je me laissais trop de temps pour penser et donc cela se terminait toujours par un abandon.
De plus, j'avais peur de ma réaction comme de la tienne... Pourrai je supporter de te voir te faire baiser ? Une fois l'excitation retombée comment allais je gérer les images que j aurais en tête ?
Comment allais tu percevoir que je te livre en pâture a un autre ? Allais tu traduire ça en une baisse de mes sentiments pour toi ?
Une récente discussion m'avait un peu rassuré sur ce dernier point. Tu m'avais clairement dit que cela ne changerait rien pour toi.
J'ai donc mis cette annonce mais je n'ose pas "attaquer"... Je cogite... Bref je fais du surplace comme d'habitude.
Nous devons nous voir pour passer une soirée de câlins tous les deux dans un hôtel. J'ai réservé pour le lendemain, une chambre dans un 4 étoiles d'une grande ville voisine, un établissement moderne et chic.
Je ne sais pas alors ce qui ce passe dans mon esprit... Comme si mon côté coquin faisait un putsch et prenait le pas sur tout le reste.
Je me connecte sur le site de rencontre avec une seule idée en tête : trouver un homme qui va te baiser dans cet hôtel.
Je sélectionne les hommes de la région, dans nos âges, aux physiques sympathiques et dont les fiches sont agrémentées de commentaires flatteurs d'autres utilisateurs et surtout utilisatrices...
Justement... En voilà un en ligne... Bien bâti, plus petit et plus léger que moi ce qui est un plus. Je veux, au moins pour cette première, garder un avantage physique sur cet inconnu qui va profiter de toi.
J'engage la conversation. Très vite, il me donne accès à ses photos... Belle gueule et sexe avantageux apparemment comparable au mien (encore un point positif !)
Mon plan aussi semble lui plaire : venir nous retrouver dans une chambre d hôtel pour t'utiliser. Tu auras les yeux bandés et il n'y aura aucune parole échangée, il sera un fantôme pour toi, un fantôme avec une bonne queue pour te ramoner...
Je lui pose alors la question fatidique : "tu fais quoi demain en fin d'après midi ?"
Réponse : "rien"... Voilà l'homme qui va te sauter mon cœur...
A partir de la l'excitation se mêle à un stress délirant.
Il me faut penser alors à tout : appareil photo et caméra pour garder une trace de cette rencontre, trouver un masque qui ne te laissera aucune chance de voir ton assaillant et, surtout, ne rien te dire, ne rien laisser filtrer. Tu es d'accord pour réaliser ce fantasme mais tu ne veux pas savoir quand ni où cela t'arrivera.
Mon intention est claire : exciter un maximum mon complice, le rendre fou de désir pour toi pour qu'il joue parfaitement son rôle de baiseur. Pour une première fois, j'ai envie de te voir te faire sauter, pas te voir faire l'amour avec toute la tendresse que cela implique...
Avec l'autre nous nous échangeons alors nos adresses mails pour pouvoir communiquer.
En ligne, je lui exhibe alors des photos de toi très sexy sur lesquelles on ne voit pas ton visage. Je lui demande même de choisir, parmi les tenues qu'il voit défiler, celle dans laquelle il préférerait te voir pour prendre possession de toi. Je lui raconte tes performances sexuelles. Je lui décris le délice absolu d'être dans ta bouche... je l'excite un maximum et je sens que ça marche très bien. Je penchais pour t'offrir à lui dans une guêpière blanche dotée d'un porte jarretelles avec des bas blancs mais lui opte pour une de tes robes coquines rouges. Très courte, dos nu, avec un décolleté plongeant jusqu'au nombril, c’est une de mes préférées aussi...
T'imaginer dans cette tenue, yeux bandés, face à un homme là pour te prendre me rend dingue. En même temps, j'ai une boule au ventre de penser que je vais laisser volontairement un autre t'approcher et te posséder.
L'excitation, la peur et l'appréhension ne vont plus me quitter jusqu'au lendemain. Je sais que, lors de nos conversations sur ce fantasme, tu m'as toujours dit que l'homme devrait payer quelque chose.... La chambre, une tenue, une bouteille.
La chambre étant déjà réservée et la tenue choisie, je lui demande donc de venir avec une bouteille de champagne.
Tout se met en place doucement.
Avec mon complice, nous nous entendons pour qu'il vienne nous rejoindre à
18h. A ce moment là, il ne sait pas encore dans quel hôtel tout ceci va se passer.
La conversation électronique s'arrête là pour ce soir. Je me retrouve seul face à mes idées et face à ce plan que je me persuade de ne plus pouvoir stopper. Tu vas devoir y passer mon amour. Cette fois ci, je ne reculerai pas.
Je ressens un stress immense... Boule au ventre... Gorge nouée... Cœur qui palpite...
Je regarde des photos de toi et t'imagine avec lui...
Je ne dors presque pas de la nuit. J'ai l'impression que mon cerveau n'est plus qu'un amas de billes qui roulent d'un côté à l'autre, mon sang bouillonne...
Le lendemain matin, pour me rassurer et pour bien tout régler je rédige un mail que j’envoie à l'autre.
Excuse moi mon amour mais je nage en plein fantasme... Et, autant pour "motiver" mon complice que pour me maintenir dans un état d'excitation très élevé, je n'utilise pour te désigner que des termes dont tu sais très bien qu'ils ne sont absolument pas des insultes dans ces circonstances. Dans les moments où je suis excité, ce sont des compliments, des odes à ta sensualité, tu le sais bien...
Voici le mail :
"Bonjour
Juste un petit mail pour que tout soit bien clair

Tu vas être notre jouet sexuel d'un jour, donc tu devras te plier à ses demandes comme, parfois, aux miennes. Mais, tu as bien sur le droit de la manipuler à ta guise pour la baiser comme tu le veux... Laisse ton expérience parler ...

Même si tu vas sauter une pute, on ne te demande pas de la démonter du début à la fin-;-)
Je vais tenter que tout soit prêt pour 18h. Je te préviendrai 40 minutes avant ok ?
Je te rappelle que le prix de cette pute est une bouteille de champagne.
Une bonne, pas une bouteille de merde. On la boira, la pute et moi un jour prochain a la santé de ta queue.
Quand tu l auras acheté, envoie moi une photo. Respecte ça.

"Pas de bouteille ou bouteille de merde" = "pas de pute a baiser"
RAPPEL :
- pas de parole, même pas un bonjour a ton arrivée, rien. Elle ne doit pas entendre ta voix. Je te poserai peut être des questions pendant que tu t'occuperas d'elle, réponds par oui ou non de la tête.
- interdiction de lui enlever le masque de ses yeux.
- je ferai des photos et des vidéos. Comme elle ne doit pas savoir qui l'aura baisé, j'éviterai ton visage et au pire je le masquerai. Tu n'auras pas le droit de prendre ni photo ni vidéo.
- pas de baiser sur la bouche. (Éventuellement, dans le feu de l'action je te donnerai mon accord pour le faire.)
- qd tu en auras fini avec cette chienne, tu disparais. Tu gicles une fois et adieu. On verra au moment venu ou tu pourras te vider... (En elle ou sur elle)
J'espère qu'elle va bien t'exciter..."
... to be continued...
