- 21 sept. 2015, 15:41
#1822449
C'était il y a deux ans, nous descendions dans le sud de la France.
Comme nous aimons le faire, Thibault et moi, je voyageais très légèrement vêtue, simple chemise de coton blanche ouverte sur ma nudité dont profitait les routiers que nous dépassions. Petits gestes de la main, coups de klaxon, appels de phares: nos complices visuels commentaient à leur façon.
Après quelques heures de route, nous nous arrêtons sur l'aire de L'Isardrome.
Comme à l'accoutumée, elle est blindée de monde et nous tournons un moment pour trouver de la place.
Je prends la précaution de passer un short en jean et de refermer ma chemise avant de quitter notre auto.
Alors que nous nous dirigeons vers le point de restauration, nous croisons le chemin d'un homme qui nous observe en souriant, hésite quelques secondes, rebrousse chemin et nous aborde franchement.
" Je peux vous remercier, pour tout à l'heure...?"
Devant nos mines étonnées, il poursuit:
" Ben oui, quoi, je suis routier... Vous m'avez doublé pas loin d'ici... Sympa le spectacle de la petite dame... Vous faites ça souvent...?"
Thibault semble très amusé par la situation, moi, je me sens plutôt gênée: s'exhiber à des inconnus en roulant, c'est un, affronter de visu le regard d'un de vos "admirateurs" involontaires en est une autre....
Le garçon, voyant que nous ne prenons pas mal son intervention, pousse son avantage:
" Dommage que vous soyez plus sage... Je préférais tout à l'heure..."
Je souris à mon tour:
"Merci, c'est toujours agréable à entendre... Un compliment fait toujours plaisir.
- Vous seriez chiche de le refaire, là bas, sur le parking routiers où je suis garé..?"
La situation devient franchement "piquante", le type me met au défi, Thibault semble très amusé par la situation, je suis de celles qui aiment le jeu.
" Chiche...."
Et nous voici suivant cet inconnu vers l'aire de stationnement poids lourds. Son camion est garé avec quatre autres, un peu à l'écart, profitant de l'ombre relative d'une haie et de quelques arbres.
A l'abri des regards, adossées à la remorque d'un joli Scania rouge, j'ouvre lentement, un à un, les boutons de ma chemise blanche. Le garçon me fixe avec un regard de braise, ne perd pas une miette de mes gestes. Quand les deux pans sont ouverts sur ma poitrine nue, il n'a pas besoin de parler pour que je comprenne qu'il en souhaite plus: dans l'auto, quand nous le dépassions, je ne portais pas de short...
Après m'être assurée que nous étions toujours tranquilles, je déboutonne mon bas et le fait lentement glisser le long de mes jambes. C'est Thibault qui se baisse pour le ramasser au sol.
Quasi nue devant cet homme, juste chaussée de mes Converse en toile blanche et légèrement voilée par ma chemise ouverte, je dois avouée que la situation m'excite au plus haut point et, inconsciemment, je crois que je désirais secrètement ce qui a suivi, même si je n'en imaginais pas la vraie teneur.
" Je peux vous poser une question... Vous ne le prenez pas mal, vous me répondez juste franchement..."
Le routier est toujours face à moi, admiratif, souriant. C'est un joli garçon, la trentaine, bronzé, les yeux bleus, visiblement bien bâti sous son tee shirt noir et son jean. Je reste dans ma position, pans de chemises ouverts, offerte à son regard, et lui réponds:
" Oui, allez-y...
- Si je vous demandais, vous iriez plus loin ?
- Plus loin? Précisez...
- Ben plus loin, quoi... Vous coucheriez...
- Vous êtes gonflé, vous, vous me demandez ça devant mon mari...
- Ne me dites pas que c'est ça qui vous gêne, et puis, vous m'avez pas répondu"
Thibault semble de plus en plus amusé par la situation: mon short à la main, il a ce regard que je lui connais bien. Au cours de soirées privées, j'ai déjà couché avec d'autres hommes, inconnus, sous ses yeux, mais là, sur un parking, dans un lieu public.... D'un hochement de tête discret, il me fait comprendre que lui ne s'opposera pas, que la décision m'incombe, que si j'en ai envie, je peux.
Histoire de ne pas céder trop facilement, je tente une résistance:
" Eh, vous y allez fort, l'exhib' Ok, mais là on change de registre...
- Si y'a que ça, je vous paie...
- En somme, vous me traitez de pute...
- ça n'a pas l'air de trop vous contrarier"
Le jeu prend une tournure inattendue, je suis de plus en plus excitée par cette situation aussi imprévue que scabreuse, alors même que des gens passent à quelques mètres, sans se douter de ce qui se joue derrière ce rang de camions.
Je regarde une fois encore Thibault, sa complicité me convainc.
" D'accord, trente euros et avec un préservatif
- OK, mais à ce prix là, on le fait là, dehors, comme ça, votre mari profite"
Comme dans un rêve, je vois le gars fouillé sa poche, en sortir des billets, en tendre deux à mon mari.
Puis, comme si nous étions seuls en pleine nature, il dégage son sexe de son jean, enfile un préservatif; il m'invite à me tourner, je me retrouve en appui sur le réservoir du camion. Quelques secondes plus tard, il est en moi et me besogne lentement en me caressant les seins. Danger de la situation risque d'être découverts, excitation d'être ainsi prise devant mon mari: je jouis avant le garçon, bas ventre secoué de spasmes qui semblent ne pas devoir s'arrêter. Je le sens venir en moi, il s'agrippe à mes hanches et jouit. A cet instant, je regrette presque qu'il ait un préservatif.
Ce que je n'avais pas remarqué, dans ma positions, c'est que quatre collègues à lui étaient, très discrètement, venus observer la scène. Ce n'est qu'en me retournant que je prends conscience de ce que je viens d'offrir comme spectacle à ces hommes réunis.
Thibault est occupé à converser avec l'un d'eux, cela dure quelques instants, il vient vers moi:
- Tu étais très jolie, dans ton nouveau métier public... Ces messieurs aimeraient aussi "jouer" avec toi si tu leur fait un prix de groupe...
- Salaud, tu me vends comme un vulgaire pute.
- Ce que tu es, à cette heure, mon amour..."
Et voici comment je me suis retrouvée agenouillée sur le bitume pour une fellation, sodomisée accrochés à la calandre du Scania, puis plus conventionnellement prise, assise sur le pare-choc du camion, jambes autour des hanches de mes amants de l'instant.
Quand, quelques instants plus tard, nous remontons dans notre Espace, Thibault me tends mon short.
"Tu deviens coquine, ma chérie, tu as traversé le parking en public sans rien sous ta chemise..."
J'éclate de rire en percevant tout l'humour de son propos: je venais de baiser avec quatre hommes sur un parking public sous ses yeux et c'est juste mon innocente exhibition sur laquelle il ironisait. je choisis de lui répondre sur le même ton. Alors que e m'installe sur mon siège, sans prendre la peine de renfiler mon short, et que nous repartons vers le Sud:
- Toi qui t'inquiètais, tout à l'heure, de ce qu'on allait manger en arrivant: je t'offre le restaurant, maintenant que j'ai un peu de liquide..."
Comme nous aimons le faire, Thibault et moi, je voyageais très légèrement vêtue, simple chemise de coton blanche ouverte sur ma nudité dont profitait les routiers que nous dépassions. Petits gestes de la main, coups de klaxon, appels de phares: nos complices visuels commentaient à leur façon.
Après quelques heures de route, nous nous arrêtons sur l'aire de L'Isardrome.
Comme à l'accoutumée, elle est blindée de monde et nous tournons un moment pour trouver de la place.
Je prends la précaution de passer un short en jean et de refermer ma chemise avant de quitter notre auto.
Alors que nous nous dirigeons vers le point de restauration, nous croisons le chemin d'un homme qui nous observe en souriant, hésite quelques secondes, rebrousse chemin et nous aborde franchement.
" Je peux vous remercier, pour tout à l'heure...?"
Devant nos mines étonnées, il poursuit:
" Ben oui, quoi, je suis routier... Vous m'avez doublé pas loin d'ici... Sympa le spectacle de la petite dame... Vous faites ça souvent...?"
Thibault semble très amusé par la situation, moi, je me sens plutôt gênée: s'exhiber à des inconnus en roulant, c'est un, affronter de visu le regard d'un de vos "admirateurs" involontaires en est une autre....
Le garçon, voyant que nous ne prenons pas mal son intervention, pousse son avantage:
" Dommage que vous soyez plus sage... Je préférais tout à l'heure..."
Je souris à mon tour:
"Merci, c'est toujours agréable à entendre... Un compliment fait toujours plaisir.
- Vous seriez chiche de le refaire, là bas, sur le parking routiers où je suis garé..?"
La situation devient franchement "piquante", le type me met au défi, Thibault semble très amusé par la situation, je suis de celles qui aiment le jeu.
" Chiche...."
Et nous voici suivant cet inconnu vers l'aire de stationnement poids lourds. Son camion est garé avec quatre autres, un peu à l'écart, profitant de l'ombre relative d'une haie et de quelques arbres.
A l'abri des regards, adossées à la remorque d'un joli Scania rouge, j'ouvre lentement, un à un, les boutons de ma chemise blanche. Le garçon me fixe avec un regard de braise, ne perd pas une miette de mes gestes. Quand les deux pans sont ouverts sur ma poitrine nue, il n'a pas besoin de parler pour que je comprenne qu'il en souhaite plus: dans l'auto, quand nous le dépassions, je ne portais pas de short...
Après m'être assurée que nous étions toujours tranquilles, je déboutonne mon bas et le fait lentement glisser le long de mes jambes. C'est Thibault qui se baisse pour le ramasser au sol.
Quasi nue devant cet homme, juste chaussée de mes Converse en toile blanche et légèrement voilée par ma chemise ouverte, je dois avouée que la situation m'excite au plus haut point et, inconsciemment, je crois que je désirais secrètement ce qui a suivi, même si je n'en imaginais pas la vraie teneur.
" Je peux vous poser une question... Vous ne le prenez pas mal, vous me répondez juste franchement..."
Le routier est toujours face à moi, admiratif, souriant. C'est un joli garçon, la trentaine, bronzé, les yeux bleus, visiblement bien bâti sous son tee shirt noir et son jean. Je reste dans ma position, pans de chemises ouverts, offerte à son regard, et lui réponds:
" Oui, allez-y...
- Si je vous demandais, vous iriez plus loin ?
- Plus loin? Précisez...
- Ben plus loin, quoi... Vous coucheriez...
- Vous êtes gonflé, vous, vous me demandez ça devant mon mari...
- Ne me dites pas que c'est ça qui vous gêne, et puis, vous m'avez pas répondu"
Thibault semble de plus en plus amusé par la situation: mon short à la main, il a ce regard que je lui connais bien. Au cours de soirées privées, j'ai déjà couché avec d'autres hommes, inconnus, sous ses yeux, mais là, sur un parking, dans un lieu public.... D'un hochement de tête discret, il me fait comprendre que lui ne s'opposera pas, que la décision m'incombe, que si j'en ai envie, je peux.
Histoire de ne pas céder trop facilement, je tente une résistance:
" Eh, vous y allez fort, l'exhib' Ok, mais là on change de registre...
- Si y'a que ça, je vous paie...
- En somme, vous me traitez de pute...
- ça n'a pas l'air de trop vous contrarier"
Le jeu prend une tournure inattendue, je suis de plus en plus excitée par cette situation aussi imprévue que scabreuse, alors même que des gens passent à quelques mètres, sans se douter de ce qui se joue derrière ce rang de camions.
Je regarde une fois encore Thibault, sa complicité me convainc.
" D'accord, trente euros et avec un préservatif
- OK, mais à ce prix là, on le fait là, dehors, comme ça, votre mari profite"
Comme dans un rêve, je vois le gars fouillé sa poche, en sortir des billets, en tendre deux à mon mari.
Puis, comme si nous étions seuls en pleine nature, il dégage son sexe de son jean, enfile un préservatif; il m'invite à me tourner, je me retrouve en appui sur le réservoir du camion. Quelques secondes plus tard, il est en moi et me besogne lentement en me caressant les seins. Danger de la situation risque d'être découverts, excitation d'être ainsi prise devant mon mari: je jouis avant le garçon, bas ventre secoué de spasmes qui semblent ne pas devoir s'arrêter. Je le sens venir en moi, il s'agrippe à mes hanches et jouit. A cet instant, je regrette presque qu'il ait un préservatif.
Ce que je n'avais pas remarqué, dans ma positions, c'est que quatre collègues à lui étaient, très discrètement, venus observer la scène. Ce n'est qu'en me retournant que je prends conscience de ce que je viens d'offrir comme spectacle à ces hommes réunis.
Thibault est occupé à converser avec l'un d'eux, cela dure quelques instants, il vient vers moi:
- Tu étais très jolie, dans ton nouveau métier public... Ces messieurs aimeraient aussi "jouer" avec toi si tu leur fait un prix de groupe...
- Salaud, tu me vends comme un vulgaire pute.
- Ce que tu es, à cette heure, mon amour..."
Et voici comment je me suis retrouvée agenouillée sur le bitume pour une fellation, sodomisée accrochés à la calandre du Scania, puis plus conventionnellement prise, assise sur le pare-choc du camion, jambes autour des hanches de mes amants de l'instant.
Quand, quelques instants plus tard, nous remontons dans notre Espace, Thibault me tends mon short.
"Tu deviens coquine, ma chérie, tu as traversé le parking en public sans rien sous ta chemise..."
J'éclate de rire en percevant tout l'humour de son propos: je venais de baiser avec quatre hommes sur un parking public sous ses yeux et c'est juste mon innocente exhibition sur laquelle il ironisait. je choisis de lui répondre sur le même ton. Alors que e m'installe sur mon siège, sans prendre la peine de renfiler mon short, et que nous repartons vers le Sud:
- Toi qui t'inquiètais, tout à l'heure, de ce qu'on allait manger en arrivant: je t'offre le restaurant, maintenant que j'ai un peu de liquide..."