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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#153056
Alors à la demande générale de quatre personnes, voici l'épisode 24. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Et que Anne y prend goût.

- Dis chéri, ça te dirait d’avoir une soumise ?
- Hein ???!!! Qu’est-ce que tu racontes ? Pourquoi veux-tu que j’aie une soumise ? J’ai déjà une femme que j’aime et qui m’aime.
- Oui mais ce n’est pas pareil. Regarde, moi, je suis ta femme et pourtant je suis soumise à « BHV ». Cela n’empêche pas que nous avons une vie de couple épanouie et que, comme tu le dis je t’aime du plus profond de mon cœur.
- Oui … Sans doute, j’avoue que je n’y ai jamais pensé. Pourquoi tu me demandes ça ? Tu as quelqu’un à me proposer coquine ?
- Non, non, c’est juste une question, comme ça.
- Hoouuuu !! J’ai un peu de mal à te croire. Tu aurais bien une petite arrière pensée toi !
- Mais non, pas du tout, je t’assure. C’est juste que, comme moi j’ai un Maître, ce serait équitable que tu ais une soumise. Je me posais juste la question, c’est tout.
- D’accord je te crois. Mais je t’avoue que ta question m’a bien surpris. En tous cas, je vais y réfléchir, mais je ne vois pas ce que je ferai d’une soumise en plus de toi. Je finirai par mourir d’épuisement. Déjà que tu es insatiable.
- Comment ça ?! Dis donc, plains-toi ! Dis moi que t’aimes pas me sodomiser après que je t’ai bien sucé ta grosse bite ? Hein, dis le moi !
Joignant le geste à la parole, Margot se rua sur moi enfoncé dans le canapé, incapable de réagir. Finalement je capitulais et me laissai faire avec plaisir cela va sans dire. Elle s’acharna sur le zip de ma braguette qui céda rapidement. Elle enfouit sa main dedans et se saisit de ma bite qui grossit rapidement. Après un petit massage la main dans mon caleçon, elle sortit mon engin pour le prendre aussitôt en bouche. Elle a bien progressé la bougresse ! Elle est devenue une experte es « suceuse ». Elle me fait raidir en un rien de temps et vient s’asseoir à califourchon sur moi afin de s’embrocher la chatte sur mon pieu tendu. Elle monte et descend en m’imposant son rythme mais les contractions de son vagin me font un effet détonnant et je jouis rapidement au fond de son ventre.
- Alors mon chéri, qu’est-ce que t’en dis ? Je ne suis pas une bonne baiseuse, hein ?
- Oh que si, mon amour ! Tu me fais des trucs pas croyables avec ton vagin, waouh !!! Tu m’as fait jouir à une vitesse, je n’en reviens pas.
- C’est que je suis une pro maintenant. J’espère que ça te fait plaisir au moins ?
- Et comment ! J’adore notre vie sexuelle depuis que « BHV » t’a prise en main. Ce n’est pas que je n’aimais pas avant, mais il faut bien reconnaître que tu as sacrément progressé. Mais en même temps, j’imagine qu’avec le temps on aurait évolué ensemble. C’est juste que là, ça a été plus rapide, c’est tout. Et puis surtout tu étais un bon sujet, très prometteur.
- Ah oui tu trouves ? Tu veux dire que j’étais de la graine de salope quoi ?
- Je n’ai pas dit ça !
- Ouais, mais tu l’as pensé très fort alors !

Le lendemain, Margot retrouvait son amie Anne à la salle de fitness. Elles s’embrassèrent et filèrent à leur cours respectif. C’est une nouvelle fois dans les vestiaires, qu’elles se retrouvèrent et allèrent prendre leur douche en commun.
- Tu ne dis rien ?
- Que devrais-je dire Margot ?
- Anne, quand même, tu as bien quelque chose à me dire ?
- Non, je ne vois pas.
- Tu ne veux pas qu’on parle de l’autre jour, c’est ça ? Tu ne veux plus y retourner ? Dis-moi quelque chose, Anne, s’il te plait ?
- Ben je suis un peu gênée en fait.
- Mais gênée pour quoi ? On est amie non ?
- Oui, oui je sais bien, mais reconnais que la situation est difficile.
- Oh tu exagères, on est entre amies, on a vécu un truc ensemble et on peut quand même en parler, non ?
- Ben c’est que … En fait … je …
- Oh accouche !
- Et bien j’ai aimé ça, voilà !
- Mais tu veux y retourner ou pas ?
- Seulement si tu es avec moi.
- Pourquoi ?
- Ben si je me lâche avec « BHV », qu’est-ce qui va m’arriver ?
- A mon avis, rien que tu ne souhaites.
- Comment ça ?
- Par exemple, ce qu’on a fait ensemble l’autre jour. Et bien si tu ne veux pas le refaire il suffit que tu dises que tu ne veux pas et c’est tout.
- Et comment tu peux le savoir toi ? Une fois que je serai attachée sur ce truc ? Comment je fais pour l’en empêcher ?
- Je viens de te le dire. Tu dis que tu ne veux pas, c’est tout.
- Et ça suffit ?
- Oui.
- Comment tu le sais alors ?
- J’y suis passée aussi figures toi.
- Ah bon ??! Et tu continues ?
- Euh … Si tu veux bien on en reparlera une autre fois. Là, il s’agit de toi. Moi j’y retourne demain, est-ce que tu viens ou non avec moi ?
- Tu ne me lâcheras pas hein ?
- Mais non, rassures-toi, tout se passera bien.
- Il faut que tu me jures que tu m’empêcheras de faire des bêtises. Jures !
- Mais oui je te jure. Mais tu verras il ne se passera rien.
- Bon, d’accord alors. Je viens avec toi, passe me prendre.

Le soleil était encore au rendez-vous en cette après-midi de printemps. Les oiseaux étaient toujours là aussi, ainsi que l’ineffable croque-mort préposé à l’ouverture de l’imposante porte d’entrée.
Elles filèrent immédiatement dans l’atelier du haut et passèrent toutes les deux derrière le paravent. Lorsqu’elles en sortir complètement nues, « BHV » était près de son matériel et s’affairait à renouveler les couleurs dont il allait avoir besoin.
- Ah les filles ! Bonjour, comment allez-vous aujourd’hui ?
- Très bien Maître, merci.
- Euh, bien, merci monsieur.
- Bon et bien on reprend la pose comme hier, allez hop ! Au boulot.
La séance de travail dura presque quatre heures avec deux pauses de quelques minutes. Margot et Anne en profitaient pour se détendre et retrouver l’usage de leurs membres. « BHV » était plutôt silencieux ce qui étonnait un peu Margot. Elle n’osait pas lui demander pourquoi il se taisait car elle le sentait, pas vraiment de mauvaise humeur, mais pour le moins songeur. Elle avait bien vu qu’il lorgnait assez souvent sur Anne. Avait-il des projets pour elle ? Est-ce qu’il allait la prendre à sa place comme soumise. Il devait aimer ça dresser une nouvelle pouliche le salaud ! Elle l’avait bien remarqué que sous prétexte de mieux la positionner il lui prenait les chevilles pour les placer comme-ci ou comme çà. N’empêche qu’à chaque fois il matait sa chatte à cette sainte nitouche. Elle était sur qu’elle le faisait exprès de bouger ses jambes. Mais qu’est-ce que je racontes ? Se dit-elle. Anne n’est pas comme ça. Encore que l’autre jour quand je lui ai enfoncé ce gros gode dans sa chatte trempée, elle miaulait bien comme une tigresse en chaleur. Je me demande si elle n’est pas un peu comme moi, de la graine de salope ! Peut-être même plus, elle avait l’air d’aimer ça quand je lui claquait ses fesses et que le gode rentrait petit à petit dans ses entrailles. En plus elle est bien foutue. Elle a beau me trouver mieux qu’elle, ce n’est pas parce que j’ai des plus gros nibards que je suis mieux. Elle doit être une belle baiseuse, j’en suis sur.
- A quoi penses-tu Perle ?
- Hein ? … Quoi ?
- Ben on a finit !
- Ah très bien, super.
- Peut-être que ton amie Anne voudrait retourner faire un tour en bas ? Qu’en pensez-vous Anne ?
- Euh … Non, pourquoi dites-vous ça monsieur ?
- Le spectacle que j’ai vu hier me laisse à penser que mes petits joujoux vous amusent beaucoup.
- Hein !!! Vous étiez là ? Mais je ne vous ai pas vu ! Oh mon Dieu j’ai honte.
- Mais non Anne, n’ayez pas honte de vos plaisirs. De votre corps au demeurant très agréable à regarder. Si vous le souhaitez je me ferais une joie de vous instruire sur le fonctionnement de tout ce matériel. Vous verrez c’est tout à fait inoffensif. J’ignore si Perle vous en a parlé, mais elle les a tous testés et comme vous pouvez le constater, elle ne se porte pas trop mal.
- C’est vrai, tu les as tous fait ?
- Oui c’est vrai.
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
- Je pense que tu t’en doutes quand même !
- Oui, évidemment, suis-je bête. Que dois-je faire Margot ?
- C’est à toi de voir ma chérie. Je ne suis pas sur d’être la mieux placée pour te conseiller. La seule chose que je puisse te confirmer c’est que je ne me porte pas plus mal.
- Mais tu viens avec moi, hein ?!
- Ah non ! Ma chère Anne si vous voulez découvrir ces choses et j’ai l’impression que cela vous tente, vous viendrez avec moi seule. Sinon, n’en parlons plus et rentrez chez vous.
- …
- Que décidez-vous alors ?
- Je … Oh mon Dieu ! Qu’est ce que je fais ? …
- Anne !!! C’est oui ou non, c’est très simple, non ?
- C’est oui.
- Bon et bien voilà. Quelqu’un vous attend chez vous ?
- Euh … Non, pourquoi ?
- Alors Perle tu peux rentrer, je raccompagnerai Anne.
- Mais … Je … Euh … Non, je peux …
- J’ai dis que je vous raccompagnerai, pas que je vous gardais, c’est clair ?!
- Ah … Oui, je crois.
- Bon très bien alors descendons.

Anne, toujours nue, attendait, penaude, les bras le long du corps, à côté d’un portique dont elle se demandait comment on se servait de cet engin. « BHV » l’avait fait descendre la première à la cave en lui disant qu’il arrivait dans un instant. Anne était un peu inquiète. Avec Margot, même si c’était inédit, ce n’était quand même pas pareil. Là, elle allait se livrer, oui, il n’y avait pas d’autre mot, se livrer à un homme qu’elle ne connaissait pratiquement pas. Certes Margot le connaissait depuis longtemps et à priori il ne lui était rien arrivée. C’était même le contraire puisque elle même l’avait trouvée plus épanouie. De plus, qui avait demandé à venir avec Margot à une séance de pose ? Hein, qui ? Et qui avait accepté de descendre dans ce lieu de débauche évident alors qu’il suffisait de dire je m’en vais ? Hein, qui ? Maintenant il va falloir assumer ma petite. Mais qu’il ne compte pas sur moi pour faire n’importe quoi, à ça non !
- Mais vous avez la chair de poule Anne ! Auriez-vous froid ?
- Hein ?! … Ah non, ce n’est pas le froid d’ailleurs il fait plutôt bon ici, c’est sans doute l’appréhension.
- Vous n’avez quand même pas peur de moi ?
- Ben … Je ne sais pas encore. Est-ce que je dois avoir peur ?
- Ooh ! Je sens une petite pointe de rébellion par ici ! J’aime ça ! Mais rassurez-vous ma chère, je ne vous veux aucun mal. Je vous propose de tester mon matériel c’est tout. Si cela vous plaît vous pourrez revenir.
- Bon, je vous fais confiance alors.
- Vous avez une préférence ?
- De l’engin vous voulez dire ? Non, je vous laisse me guider.
- Très bien, alors venez par ici.

« BHV » l’entraîna vers le carcan. Pour lui, cet engin avait l’avantage de coincer la personne sans vraiment être serré et de laisser ladite personne disponible de partout sans pouvoir réagir. De plus, Anne, la tête dans ce carcan ne pourrait voir derrière elle. Il lui proposa donc de commencer par ça, ce qu’elle accepta volontiers. Elle plaça donc ses poignets dans les creux prévus à cet effet, puis mis le cou dans le cran du milieu. « BHV » referma l’autre moitié du carcan et l’obtura à l’aide d’une clavette facile à retirer en cas d’urgence. Il lui demanda si tout allait bien, si rien ne lui faisait mal. Elle confirma son bien-être avec toutefois une petite pointe d’inquiétude. Qu’allait-il faire maintenant ? Se contenter de la laisser là quelques instants et la libérer pour lui faire essayer un autre engin de torture ? Ou profiter de la situation ? Et elle, que voulait-elle ? Elle sentait bien que cette situation l’excitait malgré elle. Manifestement la tête avait bien du mal à se faire écouter par son corps. Et le pire, c’est que « BHV » n’aurait aucune difficulté à s’en apercevoir. D’ailleurs où il est celui-la ?
KneelDown, lilpoid a liké
par yankev
#153223
corsica2 a écrit :Alors à la demande générale de quatre personnes .../...


Bravo!!!

La demande générale s'élève désormais à cinq;
Dieu merci, la route est encore longue

: )
#154850
Grand merci amis lecteurs pour vos compliments. Je suis touché. Vous le savez maintenant, je me garde toujours un peu d'avance dans l'écriture afin d'avoir un peu de marge en cas de "page blanche". Là, je suis en train d'écrire l'épisode 28 aussi je vous livre l'épisode 25 avec plaisir. Bonne lecture et comme toujours, n'hésitez pas à me dire vos impressions, même les mauvaises.

Quand Margot devient chienne.
Et que Anne la suit de près.

Anne sentit qu’une main, douce d’ailleurs, lui caressait le creux du dos. Celle-ci descendait tout doucement vers ses fesses, provocant un léger frisson que l’intéressé devait constater. La main suivit l’arrondi de sa croupe ferme à la peau satinée. Toujours doucement, plus d’ailleurs comme un frôlement appuyé que comme une caresse, la main parvint au bas de la fesse, là où commence la cuisse. Elle s’arrêta. Resta immobile. Le cœur d’Anne se mit à battre plus vite. La main repris sa course mais en remontant vers l’intérieur des cuisses. Le bout des doigts effleura les grandes lèvres et s’insinua entre les deux globes rebondis, frôlant l’étoile brune en laissant une traînée humide au passage. Arrivée de nouveau en haut des fesses, la main descendit sur le flanc puis sur le ventre d’Anne qui frémit tant de plaisir que par la chatouille que l’effleurement provoquait. La main s’attarda sur le ventre soyeux qu’une respiration accélérée faisait onduler. La main repris enfin sa marche. Elle épousa la forme de chaque sein qui pendait, raide, le téton arrogant que deux doigts triturèrent arrachant un petit cri à la suppliciée.
D’un coup elle ne sentit plus la main. Où était-elle passée ? Pourquoi l’avait-elle abandonnée ? Cette main était si bonne, si douce. Cette main était pour elle. Anne la voulait. Son corps la réclamait. Tout comme avec Margot, elle ne maîtrisait plus ses envies. Sa tête disait bien quelque chose, mais son corps, ce démon, réclamait son dû.
Enfin la revoilà. Et la deuxième l’a rejoint. Maintenant les deux mains écartent les fesses. Anne sent qu’un pouce s’est mis sur sa rondelle et la malaxe. Oh mon Dieu ! Se dit-elle, non pas ça. Mais que puis-je faire ainsi coincée ? Mais le doigt s’en va de l’endroit. Vite remplacé par une langue fureteuse mais tellement excitante. Cette langue qui s’insinue dans le sillon de ces fesses si douces, si chaudes. Puis la bouche s’empare de ce sexe béant, mouillé, palpitant au rythme du torrent de sang qui gronde dans ses veines. La langue s’enfonce au plus profond qu’elle peut, ressort pour mieux replonger au fond des entrailles d’Anne, inondées de cyprine.
Ses caresses buccales lui arrachent nombres de râles et de gémissements de plaisir. D’instinct Anne a écarté ses jambes, donnant ainsi un meilleur accès à sa vulve baveuse. Le rose de son vagin qu’on aperçoit maintenant, tranche sur la peau mate de ses grandes lèvres, toutes gonflées du désir animal qui possède tout le corps de la prisonnière volontaire.
Alors que la langue a quitté son antre, elle sent ce qui lui semble être le gland d’un vrai phallus cette fois. Il est posé à l’entrée de sa grotte d’amour frémissante, à peine rentré, il ne bouge pas. Mais qu’attend-il ? Se dit-elle. Ne voit-il pas que ma chatte l’appelle ? Ne voit-il pas que je mouille pour lui ? Pourquoi ne me bourre-t-il pas mon con ? Je la veux sa bite ! Je la veux sa grosse et belle queue ! Allez-y Maître, enfoncez-vous ! Car il n’y a pas de doute, c’est la main du Maître qui m’a caressée. C’est la langue du Maître qui m’a fouillée. Et là, c’est la queue du Maître qui va me baiser !
Et la queue commença à se frayer un chemin dans le vagin frémissant qui aspirait littéralement le membre. « BHV » choisit cet instant pour se poster devant Anne qui, médusée, ne pouvait sortir un son de sa bouche alors que derrière elle, une queue inconnue la pénétrait.
Anne ouvrait de grands yeux implorants vers un « BHV » silencieux. Aucun son toujours ne pouvait sortir de sa bouche alors qu’une queue la pilonnait ponctué de ahanements sourds. Mais qui me baise ? Se demandait-elle alors que « BHV » s’éloignait de la scène. A qui peut bien être cette bite ? Cette si bonne bite ! Putain oui qu’elle est bonne ! La frustration de ne pas savoir qui s’enfonçait en elle, alliée à l’impossibilité de bouger l’excitait au plus haut point. Elle sentait qu’elle mouillait comme une fontaine. La cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. Loin de refuser cette saillie, Anne allait au devant en reculant son cul autant qu’elle le pouvait. Derrière elle, le rythme s’accélérait. Presque chaque coup de piston était accompagné d’un claque sur l’une ou l’autre fesse. Anne sentait les couilles de son assaillant frapper ses cuisses. Elle aurait bien voulu avoir les mains libres pour les lui caresser entre les jambes et l’obliger à la bourrer encore plus fort. Mais son bourreau arrivait à l’extase et dans un dernier assaut où il entra son pieu turgescent au plus profond de ses entrailles, il stoppa son va et vient, se retira et envoya un geyser de foutre sur le dos de sa prisonnière. Après une dernière saccade, la bite encore raide, il s’en vint devant Anne, toujours coincée dans son carcan.
- Alors ma salope, on dirait que t’as aimé ça, hein ?!!!
Anne n’en revenait pas, Laurent lui faisait face, la bite toujours droite ! Laurent venait de la baiser. De la traiter de salope ! Incroyable ! Elle était toujours sans voix. Entre incompréhension et joie. Comment se faisait-il que Laurent soit là ? Comment Margot allait-elle prendre ça ? D’un autre côté, autant prendre ce qui est bon au moment où on vous le donne. Quelle bonne bite il a ce Laurent ! Mais que m’arrive-t-il ? Voilà que je fais ma salope et que j’aime ça !
- Sois-là demain soir !
Et Laurent disparut sans un mot de plus, laissant Anne toujours prisonnière de son carcan. Elle ouvrait la bouche mais encore une fois aucun son n’en sortait. Elle était estomaquée par la tournure des évènements. Elle venait de se faire enfiler par le mari de son amie. Nul doute que soit Margot, soit « BHV » lui avait dit ce qu’il c’était passé lors de sa première visite dans ce lieu. Il lui avait éjaculé sur le dos et les fesses et en plus, lui ordonnait d’être ici le lendemain soir. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Et tout ça pour avoir voulu venir avec Margot à une séance de pose. Cela m’apprendra à vouloir être curieuse. Se dit-elle. Mais c’est bien fait pour moi aussi. Pourquoi me suis-je laissée aller avec Margot ? C’est surement vrai que je suis une salope ! Et je ne peux pas nier que j’ai pris du plaisir à chaque fois. Mais pourquoi personne ne vient me délivrer ?!
- Y-a quelqu’un ???!!!!
- Voilà, voilà, j’arrive.
- Ah enfin, détachez-moi s’il vous plait.
- Mais oui, tout de suite. Mais avant, dites-moi, avez-vous aimé cet engin ?
- Cet engin ?!! Mais le reste n’était pas prévu tout de même !!
- Dites-moi que vous n’avez pas aimé du tout ?
- Mais … Mais … Si j’ai aimé ! Mais vous auriez pu me prévenir pour le moins et me demander mon avis !
- Vous auriez accepté si je vous avais prévenue ?
- Sans doute que non.
- Alors vous voyez qu’il était préférable que je ne vous dise rien. J’ai bien vu dans quel état Laurent vous a mise alors que vous ignoriez qui le faisait. Vous êtes faites pour l’amour, pour le sexe, mais vous devez être guidée. J’ai confié cette tâche à Laurent. Il va s’occuper de vous. Vous protéger, vous faire découvrir vos possibilités.
- Mais … Et si je ne veux pas ?
- Je crois que vous voulez Anne, je connais les femmes. Je sais ce qu’il y a au fond de vous et vous aimerez qu’on vous le révèle. Mais c’est votre choix. Si vous n’êtes pas là demain soir comme vous l’a ordonné Laurent, c’est que je me serais trompé. Dans ce cas inutile de revenir ici quelque jour que ce soit. Mais vous viendrez je le sais.


Toute la journée du lendemain n’avait été que questions, récriminations, désespoir, euphorie, coup de blues, rire incontrôlé. Ira, ira pas ? Anne se torturait l’esprit. Elle se repassait le film de la veille. Revoyait séquence après séquence, le déroulement de chaque scène. Elle était encore abasourdie de ce qui lui était arrivée. Elle ne pouvait pas vraiment dire qu’il s’agissait d’un viol. D’abord elle y était allée de son plein gré dans ce château. Elle s’était foutue à poil sans qu’on lui demande. Personne ne l’avait forcé à s’installer sur un engin et à mettre sa tête dans un autre. Elle n’avait pas dit à Margot d’arrêter la manivelle qui introduisait se gros gode dans sa chatte trempée. Elle n’avait pas rouspété en sentant une main légère lui effleurer les fesses. Elle n’avait pas crié lorsqu’un vrai sexe lui fouillait les entrailles. Et puis, comment tu as trouvé ça, hein, salope ? Se demanda-t-elle. Dis-le que tu n’as pas aimé les caresses, le gode, la grosse bite de Laurent, les engins qui te tenaient prisonnière, hein, dis-le !!! Oui, dis-le ! Mais Anne ne pouvait lutter contre sa nature. Elle s’aperçut qu’en se repassant le film des événements, elle avait inconsciemment investi sa chatte qu’elle branlait avec ardeur. Elle jouait d’un doigt sur sa petite perle d’amour sortie de son capuchon protecteur et de son autre main, entrait deux doigts dans son vagin soyeux et dégoulinant de cyprine.
Reprenant conscience de ses gestes, elle se dit que c’était pourtant vrai qu’elle était une belle salope. Et peut-être bien que Laurent pouvait devenir son guide. Après tout elle l’aimait bien Laurent et elle n’était pas contre un peu de rigueur. Oh elle ne le connaissait pas beaucoup c’est vrai. Ils s’étaient vus à quelques reprises avec Margot pour prendre un pot alors qu’il était venu chercher sa femme à la sortie du fitness. Une fois elle avait mangé chez eux lors d’un barbecue, mais il y avait pas mal de monde. Oui, ce Laurent pourrait bien faire l’affaire. Mais quand même, et Margot dans tout ça ? Les choses pour Anne commençaient à s’imbriquer. Un peu comme un puzzle. C’est vrai se dit-elle, que je trouvait curieux qu’elle donne à « BHV » du Maître par ci, du Maître par là. Bon d’accord c’est un peintre mais tout de même, ce n’est pas Rembrandt ! Cela se saurait. Et puis j’ai bien senti cette espèce de déférence lorsqu’elle lui parle. Sans compter qu’elle à l’air de très bien connaître la pièce du bas. Si ça se trouve, cette Margot est aussi salope que moi, si ce n’est plus ! Il faudra qu’on parle de ça entre quatre yeux ma p’tite Margot. Et puis Perle. C’est quoi ce pseudo ? Comme si elle était un top modèle. Pfutt ! C’est surement son nom de salope, oui ! Mais j’en aurai le cœur net.
Cela dit, Anne n’avait toujours pas pris de décision. Ou peut-être ne s’était-elle pas encore avouée son désir profond. Les heures passaient. Le soir allait venir. Bon, se dit-elle, c’est décidé, j’y vais ! Non, je n’y vais pas ! Pour qui ils se prennent ces machos ? Je ne suis pas à leur botte pour courir à la moindre sollicitation ! Non mais ! Pourquoi obéirè-je, hein, pourquoi ? Ben peut-être parce que tu as aimé te faire embrocher par Laurent en ignorant d’ailleurs que c’était lui. Parce que ça aurait pu être n’importe qui ! Et tu as aimée quand même. Alors si ça, ce n’est pas être une salope, ça s’appelle comment ? Tu ne peux pas lutter contre ta nature ma vieille. Tu aimes te faire baiser. Tu aimes te faire claquer les fesses. Tu aimes les caresses, même celles un peu viriles et bien d’autres choses encore, alors ? Ben oui hein, pourquoi lutter ?
La pauvre Anne se torturait l’esprit pour être sur de prendre la bonne décision. Surtout il ne fallait rien regretter. Si je dis non, est-ce que je vais me dire sans arrêt : « pourquoi as-tu dis non, pauvre imbécile, tu ne sais pas ce que tu perds », et si je dis oui est-ce je vais le regretter plus tard ? D’un autre côté, Laurent est plutôt bel homme. J’ai eu la preuve en plus qu’il baise bien. Ces caresses m’ont fait mouiller comme rarement. Et puis je suppose que cela ne dérange pas Margot car, il est impossible qu’elle ne soit pas au courant. Si en plus on peut rester amie. Dans un dernier raisonnement, Anne se dit qu’elle devait tout remettre à plat et prendre sa décision une bonne fois pour toute.
KneelDown a liké
#157020
Bon, puisque vous insistez, je continue. Voici pour vous les amis l'épisode 26. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Laurent se prend au jeu.

Il ne faisait pas encore nuit, mais la luminosité avait bien baissée. Les oiseaux habituellement si bruyants cherchaient une place sur une branche pour y passer la nuit. Anne gara son véhicule où Margot laissait le sien d’habitude. Il y avait deux autres voitures stationnées à côté. Anne se dit qu’elle allait faire demi-tour. Pas question qu’il y ait d’autres hommes que Laurent. Son Laurent. Eh oui, maintenant qu’elle avait pris sa décision, ce n’était plus Laurent mais « SON » Laurent. Mais ce n’était pas une raison. Il n’était pas question qu’il l’exhibe devant d’autres hommes, encore moins qu’il la prête.
Elle s’apprêtait à tourner la clé et redémarrer lorsque la porte du château s’ouvrit. Ce n’était pas le « croque-mort » comme l’appelait Margot, mais « BHV » en personne qui dévala les quelques marches du perron et vint vers elle.
- Ma chère Anne, je suis ravi que vous ayez décidé de venir finalement. Laurent vous attend où vous savez. Je vous en prie, venez.
- Mais monsieur, ces voitures sont à qui ? Je veux bien voir Laurent mais personne d’autre je vous préviens.
- Pas de panique jeune fille ! Ce sont des amis à moi qui ne vous dérangeront nullement. Vous me permettrez de recevoir mes amis chez moi tout de même ?
- Euh, oui bien sur, excusez-moi. Mais je voulais être bien certaine.
- Soyez rassurée. Vous ne les verrez même pas, venez, suivez-moi.

Une fois dans le grand hall, « BHV » laissa Anne se diriger vers la tour et retourna dans le salon près de ses amis. Il vérifia que le grand écran fonctionnait et s’assura de la mise en route des caméras. Tout semblait bien en place. Le spectacle pouvait commencer.
Anne arrivait en haut des marches qui allaient la conduire vers son nouveau destin. Elle hésitait encore. Ais-je pris la bonne décision se demandait-elle encore ? Une marche. Que va-t-il m’arriver ? Deux marches. Que va penser Laurent ? Trois marches. Il va se dire que j’obéis bien facilement. Quatre marches. Je vais repartir ! Cinq marches. Oh mon dieu ! J’ai peur ! Six marches. Non, je remonte ! Sept marches. J’en ai trop envie, j’y vais ! Huit, puis neuf, puis toutes les marches jusqu’à se retrouver devant la lourde porte cloutée vestige du moyen âge.
Là, Anne s’est arrêtée. Son cœur battait la chamade. Elle épiait le moindre bruit, mais bien sur, aucun son ne filtrait au travers de cette épaisse porte de bois. Encore une fois elle se demandait si elle n’allait pas rebrousser chemin. C’était son ultime chance de renoncer, après il en serait fini. Elle acceptait de se livrer corps et âme à Laurent.
Elle posa la main sur la poignée, tremblant de partout. Elle avait bien du mal à maîtriser ses mouvements. Il lui semblait que le monde autour d’elle se brouillait. Les forces lui manquaient. Il faut que je me reprenne se sermonna-t-elle ! Elle lâcha la poignée, respira un grand coup et ferma les yeux. Quelques secondes. Juste quelques secondes. Enfin elle rouvrit les yeux, poussa la porte et pénétra dans l’antre du vice et de la torture. Elle s’acclimata la vue à l’éclairage indirect mais ne distingua personne.
- Avance !
C’était la voix de Laurent, comme venue de nul part. Anne tourna bien la tête dans la direction d’où semblait provenir le son, mais elle ne vit rien. Elle s’avança donc comme le lui avait intimé la voix.
Pas après pas. Doucement. Timidement. Anne avançait. Elle connaissait déjà l’endroit, aussi elle évitait de se cogner dans certains objets disposés sur la trajectoire qu’elle avait choisie. Encore quelques pas dans le silence et la lumière tamisée et derrière un pilier qu’elle atteignait, Laurent se matérialisa. Il fit un pas de côté afin de se trouver dans une zone éclairée. Anne, tétanisée, stoppa net. Il la regardait. Elle n’osait plus bouger un cil ni quoi que ce soit d’autre. Son cœur se remit à battre la chamade. Elle regardait le sol n’osant pas lever la tête vers le regard qui la traversait. Laurent avança vers elle, puis fit le tour en l’observant sous toutes les coutures. Il revint devant elle, s’arrêta un instant puis alla s’asseoir sur un sofa tout près d’eux.
- Pourquoi es-tu venue ?
- Pourqu … Euh … je suis … Euh … Pour vous Laurent.
- Tu te moques de moi je suppose ?
- ??? …
- Tu peux me dire quelle est cette tenue ??!
- Ben … Euh … C’est que …
- Tu viens me voir dans ce lieu, pour moi dis-tu, et tu arrives en pantalon ? Alors je crois vraiment que tu te moques de moi !
- Non, pas du tout.
- Enlèves-moi ça de suite !
- Quoi ?? Mon pantalon ?
- Oui.
- Très bien. Je le quitte.
Anne s’exécuta, penaude. Mais pourquoi n’avait-elle pas pensé à ça. Quelle bécasse je fais se dit-elle. Cela commence bien. Je crois qu’il va me dire de rentrer chez moi dans pas longtemps. Laurent s’était de nouveau relevé et tournait encore autour d’elle sans un mot. Un fois encore, Anne ne bougeait ni ne parlait. Elle attendait sagement la suite. Son cœur battait encore un peu vite mais elle avait retrouvé un peu de sérénité.
- Enlève le reste !

Anne ne broncha point cette fois et en peu de temps elle se retrouva complètement nue devant Laurent qui ne la quittait pas des yeux. Instinctivement elle mit une main devant son pubis et son bras contre ses seins. Laurent fronça les sourcils comme on fait les gros yeux à un enfant. Le message passa rapidement et Anne mit ses bras le long de son corps. Un petit mouvement du menton confirma à Anne qu’il était satisfait. Il reprit son inspection, d’abord en soupesant ses seins que semble-t-il, il trouvait à son goût. D’autant plus que les tétons étaient très réactifs. Cette simple caresse les avait fait se dresser. Il les serra entre le pouce et l’indexe et exerça une légère pression d’abord, puis plus fort. Il relâcha son étreinte et pu constater qu’ils avaient quasiment doublés de volume. Bigre se dit-il, voilà qui promet. Il caressa le ventre qui se contracta au contact des doigts. La main descendit un peu jusqu’à effleurer la petite touffe de poils soyeux qui ornait le pubis, mais la caresse s’arrêta là et il passa derrière Anne. Joli cul ! Se dit-il. De belles fesses rebondies que certes il avait déjà pu admirer et même plus, mais là, ce n’était pas pareil. Une petite claque sur une fesse provoqua un frisson qui remonta tout le long de l’échine de la belle. Il insinua une main entre les deux globes charnus puis remonta le long de la colonne vertébrale jusqu’à la nuque. Le même frisson secoua Anne qui eut la chair de poule instantanément. Laurent revint devant elle, lui caressa la joue, tendrement, une satisfaction muette dans le regard et retourna s’asseoir.
- Je suis très heureux que tu sois là.
- Merci Laurent.
- Bien, dis-moi. Hier, as-tu été satisfaite de ce que je t’ai fait ?
- Ben … Euh … Comment ça ?
- Ma question est pourtant claire. Tu te souviens de ce qu’il t’est arrivé ici, hier ?
- Oui.
- Alors ma question est : Cela t’a-t-il plu?
- Oui.
- Très bien. Alors maintenant c’est à toi de me satisfaire.
- ???
- Dois-je répéter ?
- Non, non, je crois que j’ai compris.

Anne s’approcha de Laurent, se mit à genoux devant lui, entre ses jambes et s’attacha à défaire ceinture, bouton de pantalon et zip de braguette avec autant de zèle qu’elle pouvait. Laurent fit son possible pour lui faciliter la tâche et se retrouva rapidement avec pantalon et caleçon au bas des mollets. Toutes les étapes précédentes l’avaient bien émoustillé et Anne pu remarquer sa demi érection. Elle s’empara bien vite du membre qu’elle avait eu dans la chatte hier pour son plus grand plaisir, et se mit en devoir de lui rendre la pareille. Laurent assis sur le devant du siège écartait bien ses cuisses, ainsi, Anne put se saisir des couilles qu’elle malaxa d’une main alors que l’autre jouait de la hampe maintenant bien raide. Il lui posa une main sur la tête et n’eut pas besoin d’appuyer. Anne se pencha aussitôt et pris délicatement le gland entre ses lèvres. Du bout de la langue elle le titillait et continuait à branler cette bite qui devenait de plus en plus dur. Sans sollicitation de Laurent, elle engloutit la queue au fond de sa gorge lui provoquant un haut le cœur immédiat. Elle ressortit l’engin pour retrouver son souffle et se remit à la tâche. Alternant gorge profonde et branlette, Laurent n’allait pas résister très longtemps à ce traitement d’experte. Il la freina dans ses ardeurs et lui dit de venir sur lui à califourchon. Elle mit un genou de chaque côté des cuisses de Laurent et vint s’empaler le minou sur le pieu dressé. Elle ferma les yeux de bonheur. Elle était assise sur les cuisses de Laurent, sa queue au fond de son vagin. Ensuite elle se mit à monter et descendre jusqu’à ce que le rythme devienne effréné. Là encore il la stoppa et lui dit qu’il voulait jouir sur ses seins. Elle repris donc sa position à genoux devant lui et repris la bite en main et la branla jusqu’à ce qu’un jet puissant allié à un ahanement rauque lui éclabousse les nibards. Plusieurs saccades encore vinrent décharger leur foutre sur les seins gonflés et glisser sur son ventre et se perdre dans la toison bouclée.
Anne resta assise aux pieds de son Maître, tous deux les sens apaisés.
- Anne, écoutes-moi bien maintenant. Puisque tu as accepté de venir ici ce soir comme je te l’avais demandé, j’en déduis que tu m’acceptes comme guide. Dorénavant, je ne veux plus te voir en pantalon en ma présence. Tu ne porteras plus ni culotte, ni string ou autres ? Je te laisse le choix de mettre ou non un soutien-gorge. Je n’aime pas les poils, je te veux glabre. Chaque fois que je le déciderais nous nous retrouverons ici ou chez moi. Je n’ai aucune intention de te partager avec qui que ce soit, tu restes à mon entière disposition. De même que je t’interdis de baiser avec d’autres hommes ou femmes sans mon autorisation. Tout manquement, refus, oubli, hésitation, etc., seront punis. Est-ce que nous sommes d’accord ?
- Oui Laurent, j’accepte ces conditions.
- Tout comme pour Margot je te trouverais un pseudonyme. Je te ferais faire également une marque distinctive d’appartenance mais tu n’auras pas de collier de chienne, je n’aime pas ça. D’autre part je ne suis plus Laurent pour toi mais seulement « Monsieur ». Nous sommes toujours d’accord ?
- Oui. Euh … Monsieur.
- Parfait. Je rédigerais un contrat que tu signeras ultérieurement. Es-tu prête à accepter tout ce que je te demanderais ?
- Euh, je crois, oui. Euh … Monsieur pardon.
- Fais attention si tu ne veux pas être punie il va falloir vite t’habituer. Réponds-moi correctement. Es-tu prête à accepter tout ce que je te demanderais ?
- Oui Monsieur.
- Très bien. Nous allons commencer tout de suite alors. Redonne des couleurs à ma bite j’ai encore envie de te baiser!
KneelDown a liké
#159574
Nouveau fan ! C'est top, je trouve que tu écris très bien et ton récit est passionnant. Tu devrais en faire un livre. Comme ça je pourrais le tenir dans une main pdt que je tiendrai ma queue dans l'autre. Merci beaucoup et vivement la suite.
par corsica2
#160949
L'épisode 27 vous fait-il envie? Alors le voici. Bonne lecture et je vous remercie pour tous vos encouragements et vos éloges. Vous me flattez.
Quand Margot devient chienne.
La rencontre.

- Alors mon cher « BHV » qu’en pensez-vous ?
- Et bien … Comment dire ? Je vous l’avais déjà dit, je sens bien chez elle un vrai désir de soumission. Mais en même temps je la sens aussi un peu … rebelle. Pas rétive, mais rebelle, sauvageonne. Vous aurez du travail je pense mon pauvre Laurent. Mais par contre vous avez un petit avantage, du moins je crois, c’est qu’elle semble avoir une certaine affection pour vous. Je crois que vous l’avez étonnée. Elle ne s’attendait pas du tout à ce que ce soit vous qui la baisiez hier. Du coup, je me demande si elle n’a pas une sorte d’admiration pour vous. Le mot est peut-être un peu fort mais c’est surement un bon point pour vous.
- Ma foi si vous le dites, je veux bien vous croire, c’est vous l’expert.
- En tous cas vous êtes ici chez vous quand vous voulez. Vous me prévenez juste avant qu’on ne soit pas en doublon, c’est tout.
- OK, c’est noté, je vous remercie.


Dans les vestiaires du club de fitness, la tension était palpable. Déjà, Anne avait hésité à y retourner. Pour quelle raison précise exactement, ça elle n’en savait rien mais elle se sentait gênée par rapport à son amie Margot. En arrivant au club elles s’étaient embrassées comme d’habitude, mais Anne, sur la réserve, n’avait pas trop épilogué et avait filé à son cours rapidement. Maintenant elles se retrouvaient comme à l’accoutumé après avoir bien transpiré, pour prendre une bonne douche réparatrice, et inévitablement, elles allaient devoir communiquer. Margot était arrivée la première, aussi lorsque Anne arriva à son tour, elle était déjà sous la douche. Anne se glissa sous les jets sans un mot. Elle ne savait vraiment pas comment aborder le sujet et préférais laisser l’initiative à Margot sans doute plus à l’aise qu’elle. Les jets stoppèrent, la vapeur d’eau chaude commençait à se dissiper lorsqu’elle sortirent toutes les deux des douches en se frictionnant le corps de leur serviette de bain. Chacune se posta devant son casier afin de s’habiller.
- Anne ?!
- Ouiii ?
- Il faut que je t’arrache les mots de la bouche ou quoi !!!
- Euh … Non, pourquoi ?
- Ah ! Cela suffit ! je sais que tu as vu Laurent ! Alors arrête de faire ta sainte nitouche et dis-moi ce qu’il s’est passé ! On est amie ou pas ?
- Ben oui, justement, c’est parce qu’on est amie que c’est plus difficile à dire.
- Mais on s’est toujours tout dis non ?
- Ah justement, je ne crois pas ! Je veux bien te parler de Laurent mais toi d’abord.
- Quoi moi d’abord ? Pourquoi veux-tu que je te parle de Laurent ??!
- Holà !! Là c’est toi qui fait ta sainte nitouche. Tu sais très bien de quoi et de qui je veux parler. Alors tu me dis ce qui se passe avec « BHV » et je te dis ce qui se passe avec Laurent. Donnant, donnant. D’accord ??
- D’accord, d’accord.
Margot savait très bien au fond d’elle, qu’elle ne pouvait échapper à cette conversation. Elle savait même qu’elle aurait dû avouer cette relation un peu « spéciale » à son amie bien plus tôt. Elle comprenait d’autant plus son amie qui avait du mal à aborder le sujet aujourd’hui. Elle se trouvait même gonflée de lui faire la remarque. Mais bon, Anne avait beau être sa meilleure amie, il y a des choses qu’on hésite à raconter. Margot ne se voyait en effet pas aisément en train de dire à son amie dans le vestiaire, en train de se laver le minou : « Au fait je ne t’ai pas dit Anne, mais hier soir je me suis faite enculer par cinq ou six mecs bien montés c’était super, et toi ça va ? » Pas facile en effet. Là, en fait, elle voulait faire dire à son amie une chose qu’elle savait déjà en grande partie. Elle voulait qu’il n’y ait pas de secret ou de non-dit entre elles deux. Pour cela il fallait qu’Anne dise elle-même ce qu’il s’était passé. Le problème c’est que Anne avait deviné qu’il y avait quelque chose de pas catholique entre elle et « BHV » et qu’elle allait devoir s’en expliquer. En même temps ce n’était que justice. Il n’y a pas de raison qu’il n’y en ait qu’une qui raconte son histoire. Sinon, qu’en serait-il de leur amitié ?
- Alors, j’attends !
- Oui, j’arrive ma chérie. Je mets juste de l’ordre dans mes idées pour savoir comment commencer.
- Tu vois hein, ce n’est pas commode !!
- Oui tu as raison. Alors qu’en fait c’est assez simple. Cela a commencé pratiquement comme toi.
- Hein ??!!
- Oui, c’est vrai. J’ai d’abord posé. Ensuite il m’a fait visiter la pièce du bas et j’ai essaye un des engins. La croix si je me souviens bien en premier. Non, je crois que c’était le siège de gynéco. Mais moi j’avais Karim qui posait avec moi. Enfin qui posait, faut le dire vite. Il m’a caressée et comme toi je n’ai pas dit non, je me suis laissée faire, je me suis aperçu que j’aimais ça. De plus je me suis sentie rassurée avec « BHV » et il m’a donné envie de continuer. Je suis devenue accroc et j’ai accepté d’être sa soumise. Voilà. Tu dois me trouver salope, non ?
- Ce n’est pas ça, mais Laurent dans tout ça ?
- Cela n’a rien changé entre nous, au contraire. Je crois que ça nous a rapprochés. Et puis il faut bien dire que j’ai beaucoup progressée en ce qui concerne le cul, alors il ne va pas s’en plaindre.
- Mais tu lui as dit ?
- Bah ! Bien obligée. C’était une exigence de « BHV ». Mais si tu veux mon avis je ne serais pas surprise qu’il ait été au courant. Peut-être même l’instigateur.
- Comment ça ?
- Je ne sais pas trop. Des petits trucs comme ça. Pas vraiment défini. Plus un ressenti. On avait déjà partagé nos fantasmes et je sais qu’il rêvait de me voir me faire sauter par d’autres hommes. Alors quand il a rencontré « BHV », dont j’ignore comment il a su qu’il était un « Maître », il a suffit qu’il lui glisse un mot et voilà.
- Mais concrètement, cela se passe comment ?
- Ben j’ai une vie tout à fait normale avec Laurent. Une vie de couple je te rassure, on baise souvent. Et quand je suis avec « BHV », je lui suis soumise.
- Mais en clair tu fais quoi avec « BHV », tu baises aussi ?
- Oui, mais quasiment pas avec lui.
- Hein ??!! Comment ça ?
- En vérité, mais tu ne me juges pas hein ? Tu vas dire que je suis une pute.
- Mais non Margot chérie, pourquoi veux-tu que je dise ça ?
- Parce que c’est vrai.
- Tu tapines ?
- Non quand même pas. Mais il me fait baiser par d’autres gratuitement. Dans certaines soirées, je me fais baiser ou enculer par plein d’hommes et même des femmes parfois. Et je ne te dis pas le nombre de kilomètres de bites que j’ai sucé et les litres de sperme que j’ai avalés.
- Ben ça alors, tu me la coupes !
- Tu vois bien que je suis une belle salope !
- Oh tu sais ma chérie je ne suis pas sur d’être bien différente de toi. J’aime ça aussi tu sais. Par contre je refuse de faire tout ce que tu fais toi !
- Que veux-tu dire ? Mais d’abord explique. Avec Laurent alors ?
- Ben tu sais ce qu’on a fait toutes les deux ? Et bien « BHV » a tout vu. C’est pour ça qu’il m’a fait descendre la deuxième fois. Il m’a fait essayer le carcan. Tu connais je suppose ?
- Oui, j’aime bien cet engin. Et alors après?
- Après ? Et bien je me suis faite baiser tiens ! Mais je pensais que c’était « BHV » quand tout à coup je l’ai vu surgir devant moi alors que j’avais une queue dans la chatte ! Tu te rends compte ! Je ne savais même pas qui me baisait. En plus, « BHV » est parti. J’étais toute seule, coincée dans ce machin et je ne savais même pas qui était en train de m’astiquer le vagin. Bon d’accord c’était bon, mais tout de même !
- Et alors après ?
- Et bien quand ça a été terminé j’ai vu ton Laurent venir devant moi la queue encore raide et me dire de venir le lendemain soir, c’est tout.
- Et c’est tout.
- Oui, il est partit aussitôt. C’est « BHV » qui est venu me libérer. Mais toi, tu n’en savais rien de ce qui allait m’arriver ?
- Ben non. J’ignorais que « BHV » nous avait matées. Je pense que c’est lui qui a branché Laurent la –dessus ce qui me fait encore plus penser qu’il est dans la combine depuis le début même avec moi. Par contre sincèrement quand il t’a dis de venir avec lui la deuxième fois et qu’il m’a fait partir, là je me doutais qu’il tenterai.
- Tu aurais pu me le dire quand même !
- Mais comment ? Je n’en ai pas eu l’occasion et je te rappelle que je suis soumise à « BHV ». Je ne vais pas m’amuser à le contrarier. Je te rappelle aussi que je t’ai dis que tu pouvais refuser. Il ne t’aurait pas forcée. Mais tu as raison, on doit être deux belles salopes !
- Oui, sans doute. Oh mon Dieu, pauvre de nous !
- Alors maintenant tu es la soumise de mon Laurent ?
- Je crois bien oui.
- Bon ben on est frangine alors !
- Tu as une drôle de façon de voir les choses toi ??!!
- Mais quoi ! On ne va pas se formaliser. On aime toutes les deux le cul, on est des chaudasses, on ne va pas se prendre la tête.
- Oui mais quand même c’est ton mari Laurent.
- Pourquoi, tu veux me le prendre ?
- Oh mon Dieu non !! Mais ça ne te fâche pas qu’il me baise?
- Non. J’ai mon mari et un Maître, lui, il a une femme et une soumise. L’équilibre quoi !
- Ma foi, on peut voir ça comme ça. Si ça te convient.
- Mais tu ne m’as pas dit pourquoi tu ne fais pas comme moi ?
- Parce que je ne veux pas tiens ! Je veux être l’exclusivité de ton mari. Oh merde ça me fait tout drôle de te dire ça. C’est bizarre quand même tu ne trouves pas ? Je dis à ma meilleure copine que je suis l’exclusivité de son mari. C’est le monde à l’envers !
- Oui je te comprends. Mais il faut faire la part des choses. Quand on est toutes les deux ensemble, quand je suis avec mon Laurent, ça, c’est la vraie vie. Et quand je suis avec « BHV » et toi avec ton Maître c’est la vie parallèle. La vie secrète.
- Oui tu as encore raison. Il faut que je m’habitue à cette nouvelle vie. Mais je crois que pour faciliter les choses, après aujourd’hui, il ne faudrait plus qu’on en parle ensemble. Tu ne crois pas ?
- Tu as peut-être raison. Mais au fait, Laurent il en dit quoi de cette exclusivité ?
- C’était aussi son choix. Sinon je n’aurais pas accepté. Je ne me sens pas du tout capable de faire comme toi. Et même là, il y a surement des trucs que j’aurai du mal à faire. Mais j’ai accepté, alors je m’y plierais.

Il faisait nuit sur le château. La lune éclairait le parking où, juste la voiture de Laurent était garée. Un coup d’œil à la montre du tableau de bord permit à Anne de savoir qu’elle était en retard. Et ben ça commence bien se dit-elle, je vais avoir droit à ma première punition, ça c’est certain. Dehors, une chouette lançait son cri lugubre déchirant la nuit. Anne sentit malgré elle un frisson lui parcourir l’échine. Pourtant il faisait bon. L’air doux agitait les buissons alentours.
Elle se dirigea vers le perron, la lumière inondait les marches. Elle pressa le pas, inutile d’aggraver le retard même si ça ne doit rien changer. Elle n’eut pas à sonner, la porte s’ouvrit d’elle même et comme d’habitude, le « croque-mort » la fit entrer. A croire qu’il couche derrière la porte celui-la pensa-t-elle en courant vers la cave aux sévices ou délices, après tout il n’y a pas beaucoup de lettres différentes. Elle dévala les marches cette fois-ci sans hésiter. C’est le cœur empli de désir qu’elle accourait à la sollicitation de « Monsieur ». Il l’avait appelée le matin même. La conversation n’avait pas durée trente secondes. D’ailleurs ce n’était pas vraiment une conversation. « Ce soir, vingt et une heure » a dit « Monsieur ». « Où » a-t-elle demandé. « Au château » a-t-il répondu. « Très bien, j ‘y serais » a-t-elle conclu. Et voilà. Et maintenant elle poussait la lourde porte de bois cloutée courant vers sa destinée. Enfin, la destinée de ce soir.
La lumière était toujours tamisée mais là, il lui a semblé qu’elle était plus basse que d ‘habitude. Oh, rien de précis, une impression furtive. Mais de toute façon elle n’eut pas l’occasion de se poser d’autre question. A peine entrée, elle fut saisie par derrière. Une grande main musculeuse plaquée sur sa bouche lui tenait le visage. L’autre main c’était saisi de la robe dans les reins en tirebouchonnant le tissu. Anne fut littéralement projetée en avant vers le lit rond à proximité. Ses bras battaient l’air. Elle était incapable de réagir. La surprise et la force de l’attaque l’avaient anesthésiée. Elle se retrouva affalée sur le ventre, le nez dans les coussins, plaquée par une main de fer.
Laurent, car bien sur c’était lui, l’empêchait de se relever en lui tenant le cou fermement et de l’autre main il lui remonta sa robe sur le dos. Il s’était mis de côté pour être plus à son aise. Pour commencer il lui cingla les fesses de trois ou quatre claques magistrales. Cela c’est pour ton retard ma salope ! Lui gueula-t-il. Quand j’appelle ma chienne, elle vient à l’heure tonna-t-il de plus belle, j’espère que c’est clair !? Bien entendu, Anne ne pouvait pas répondre, le nez enfoncé dans le satin. Mais de toute façon, il n’attendait pas de réponse.
Les deux globes fessiers étaient bien rouge tout de même. Il avait dû se laisser aller plus qu’il ne pensait. Les traces de sa main se détachaient bien sur la peau laiteuse. En la maintenant toujours plaquée sur le lit, il entreprit d’écarter les cuisses d’Anne avec son genou. Il caressait le dos, glissait sa main sur les flancs provoquant des frissons. Il redescendait sur les fesses mais cette fois-ci doucement, comme pour apaiser la brûlure de sa fessée. Il écarta un peu les fesses et insinua sa main.
- Non de Dieu, mais tu mouilles ma salope !!! Tu es toute trempée, regardes-moi ça, il y a une mare de ton jus !
Laurent s’employa alors à fouiller la chatte de sa protégée. Il entra deux doigts d’un coup et avec son pouce tritura le clitoris qu’elle avait bien visible. D’ailleurs sous la pression il grossissait à vue d’œil. Et plus il tortillait son bouton, plus elle coulait. Une vraie fontaine ! Laurent aussi sentait l’excitation le gagner. Il lâcha le cou d’Anne et se positionna entre ses cuisses. Il s’empara de chaque fesse à pleine main qu’il écarta suffisamment pour avoir accès à la grotte d’amour. Anne se cambra davantage d’elle même. Elle en veut la salope se dit Laurent, Je vais lui en donner alors. Il présenta sa queue tendue à l’entrée du vagin et entra à fond d’une seule poussée. Certes il avait eu l’occasion de se comparer à deux beaux gaillards, mais malgré la différence de taille, sa bite était loin d’être ridicule. D’ailleurs, Anne avait l’air d’apprécier. Elle continuait d’aller au devant de ses coups de boutoirs en avançant son cul au maximum, pour qu’il la remplisse à fond. Ses gémissements témoignaient du plaisir qu’elle prenait. Maintenant Laurent se déchainait en pistonnant sa soumise à grands coups de reins ponctués de « han » de bûcheron (canadien). Lorsqu’il lâchait une hanche, c’était pour donner une claque sonore sur une fesse. Anne répondait par un gémissement plus fort et un jet de cyprine à chaque fois. Le traitement qu’il lui infligeait n’allait pas tarder à faire de l’effet au deux. Il se retira de sa chatte et la retourna. Il vint s’asseoir sur ses cuisses et se branla jusqu’à décharger son foutre gluant sur le ventre d’Anne que les spasmes de la jouissances faisaient trembler.
Une fois la fureur de leur deux corps apaisée, Laurent releva Anne et la serra tendrement dans ses bras.
- Comment as-tu trouvé ce petit viol ma princesse ?
- J’ai beaucoup aimé « Monsieur ».
- Très bien mais ce n’est pas une raison pour arriver toujours en retard.
- Non « Monsieur » je ne le ferais plus.
- Ah ! Au fait, j’ai décidé de t’appeler « Féline ».
- Ah bon ?? Euh, comme vous voudrez « Monsieur ».
- Oui, féline je crois que ça t’ira bien. Tu es pleine de tendresse et très câline d’un côté et de l’autre tu es indépendante et sans doute pas très obéissante. Je crois que tout ça est réuni dans ce nom.
- Très bien « Monsieur », je serai votre féline.
- Pour le signe distinctif je n’ai pas encore décidé. J’hésite. Piercing ou tatouage. Qu’en penses-tu ? Non, ne me dit rien, penses-y et nous en reparlerons.
- Oui « Monsieur », comme vous voudrez.
- Et puis il y a autre chose. Ton trou du cul, il va falloir que je m’en occupe, hein ?! J’ai l’impression qu’il n’a encore vu personne ?
par corsica2
#163828
Bonjour amis lecteurs. Voici l'épisode 28. Bonne lecture.
Quand Margot devient chienne.
Journée de chasse.

Cette fois le printemps était bien là. Les lilas étaient presque défleuris. Les arbres frissonnaient de toutes leur feuilles sous la brise légère qui entrainait avec elle les effluves de mille senteurs florales. Les oiseaux s’en donnaient à cœur joie sous les frondaisons et cette atmosphère enjouée communiquait à tous une envie de liberté.
Tous et ils étaient nombreux ce matin, réunis au château de « BHV ». Le parking était plein. La porte d’entrée était restée ouverte afin de permettre aux invités de pénétrer à l’intérieur sans déranger le majordome à chaque fois.
Comme d’habitude, les choses avaient été bien faites. La journée s’annonçant ensoleillée, un buffet était prévu près de la piscine. Il n’était pas encore dressé mais pour l’instant, sous les parasols café, jus d’orange et autres, occupaient les tables. Des petits groupes s’étaient formés et certains allaient de l’un à l’autre. Personnes n’avait encore osé se jeter à l’eau.
Le soleil était déjà bien haut, faisant des reflets argentés à la surface du petit étang où s’ébrouaient quelques cols verts. « BHV » s’avança sur la terrasse, surplombant ainsi l’ensemble de ses invités. Perle, et oui, Margot est à la maison, Perle est au château. Perle donc, était à côté de son Maître, juste un peu en arrière. Elle est vêtue, enfin vêtue est peut-être exagéré si l’on considère cette fine mousseline qui la déshabille plus qu’elle ne la cache. C’est une espèce de robe transparente, à fine bretelle, s’arrêtant juste au dessus des genoux, qui permet à tous de constater que Perle est complètement nue dessous. Cela n’est surement pas une surprise pour aucune des personnes présentes, mais au moins, s’il pouvait y avoir le moindre doute, il est levé.
- Mes chers amis. D’abord je vous remercie tous pour votre présence. Je ne vous présente pas Perle que, je crois, vous connaissez maintenant toutes et tous. Je suis ravi que, pour cette nouvelle édition, vous ayez acceptés de participer à notre « chasse à la gazelle ». Pour l’heure, je vous invite à vous restaurer. Le buffet sera servi tout à l’heure, profitez de la piscine, je vous rappelle que l’eau est chauffée et le parc est à vous. Amusez-vous !
Ce fut comme un signal. Beaucoup de vêtements volèrent et plusieurs personnes se retrouvèrent plus ou moins volontairement dans la piscine. Certains jouaient au ballon, d’autres avaient entamés une partie de pétanque, d’autres encore partaient en direction de l’étang, armés de cannes à pêche et d’épuisettes. Quelques petits groupes se reformaient et nul doute qu’ici ou là, on devait refaire le monde.
Le soleil commençait à taper dur. La plupart des corps étaient dénudés. Enfin, surtout ceux des soumis et soumises. Les Maîtres et Maîtresse se devaient de garder une certaine dignité aussi, dans le pire des cas, il subsistait un maillot de bain. Parfois ce dernier ne cachait pas grand chose, mais bon, l’honneur était sauf. L’ambiance était bon enfant. On entendait ça et là fuser quelques rires, bref tout le monde était détendu et la journée s’annonçait magnifique.
Trois serveurs que « BHV » avait embauchés pour l’occasion apportèrent quelques plateaux d’amuse-bouches et les apéritifs. Par l’odeur alléchés, les invités rappliquaient de toutes parts afin de participer aux agapes. L’alcool aidant, les rires se firent plus sonores, les propos plus gaillards et les gestes moins équivoques, mais plus précis. Les serveurs enchaînèrent avec de nouveaux plateaux emplis de victuailles diverses et variées qui, à n’en pas douter, allaient contenter tout ce petit monde.
Manifestement le rosé avait des vertus insoupçonnées ou méconnues, car une soumise se faisait sodomiser par son Maître au bord de la piscine. Ce dernier la chevauchait tout en avalant de grandes gorgées du breuvage directement à la bouteille. Peut-être expérimentait-il le principe des vases communicants, allez savoir.
La petite fête battait son plein. Quelques invités étaient assis à même la pelouse, qui une cuisse de poulet à la main, qui une côtelette. D’autres avaient préférés l’assise plus confortable des chaises de jardin et surtout, l’ombre des parasols.
Petit à petit, la position assise devint couchée. On pouvait d’ailleurs entendre par ci par là, quelques ronflements caractéristiques d’une sieste quelque peu alcoolisée. Seuls, quelques courageux ou alors des sobres, profitaient joyeusement de la piscine. Le soleil devait être à son apogée en cette saison et la chaleur à son maximum. Tous les convives, du moins ceux qui ne dormaient pas trop profondément, entendirent le son d’une cloche qu’on agitait fermement. Ils se levèrent. « BHV » avait repris sa place sur la terrasse, dominant tout son petit monde.
- Mes chers amis. J’espère que vous avez pu vous restaurer à votre guise. Maintenant il est l’heure de notre rite annuel. Vous pouvez constater que ma Perle n’est plus à mes côtés. Vous allez donc devoir la retrouver. Vous savez également qu’en ce jour exceptionnel, vous avez tous le droit de participer à la chasse. Aussi bien Maîtres que soumis. Celui ou celle ou ceux qui la prendront pourront en profiter comme il leur conviendra. Mais uniquement ce soir. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance et à compter : un, deux, trois je déclare la chasse à la gazelle, ouverte !


- Ben dis donc, tu en fais une tête ! On dirait que tu n’as pas dormi de la nuit ? Tu as de ces cernes toi ! Mais tu as fait quoi ?
- Si j’ai dormi. Pas énormément mais un peu tout de même. Mais ce n’est pas pour ça que j’ai l’air crevée. C’est la journée d’avant, je te raconte pas.
- Ben si ! Racontes justement ! On dirait que ça été chaud, je me trompe ?
- Non tu as raison. Hier, au château, c’était la traditionnelle chasse à la gazelle. Et devines qui c’est la gazelle ?
- Non ???!!! Mais c’est quoi exactement, dis-moi !
- Oh, c’est très simple. La gazelle, donc moi, va se cacher et une bande de chasseurs en rut doit la trouver.
- D’accord et c’est tout ?
- Pas exactement tu t’en doutes. Celui qui me trouve peut jouir de moi autant qu’il le veut pour la soirée.
- Et alors, qui t’a trouvée ? Il était beau au moins ? Bien monté ?
- Ma pauvre Anne, ils étaient trois !
- Oh mon Dieu !!! Trois ! Tu as dû prendre !
- Oui comme tu dis !
- Allez, racontes-moi, ça m’excite.
- Vas-y toi la prochaine fois!
- Ah non ! Surement pas !
- Et tu veux que je raconte ?
- Ben oui, désolée ma chérie. Je ne veux pas le faire mais j ‘aimerai bien que tu me racontes quand même.
- Bon d’accord. Tu as de la chance que je t’aime toi !
- Oh tu es trop mignonne, je t’adore Margot ! Alors, vas-y !
- Et bien comme il faisait très beau, le buffet était servi dehors près de la piscine. Après manger, « BHV » a annoncé le départ de la chasse. Ils se sont tous mis à courir dans tous les sens aussitôt tu penses bien. Ils me cherchaient dans le petit hangar, dans le bois, près de l’étang, dans les buissons ou le petit bosquet exotique, même sous la table du buffet, tu imagines ? Certains faisaient le tour du château, cherchaient sur le parking, dans les voitures. Enfin je suppose. Moi j’ai vu le départ depuis le salon où personne n’avait songé à regarder. Je les voyais courir partout, c’était plutôt rigolo. Après je suis allée me dissimuler dans la cave que tu connais je crois ?...
- Oh ça va hein ! De la faute à qui ?!
- Dis donc ! Je ne t’ai pas forcée tout de même. Cochonne !
- Oh ben tu peux parler toi !
- Oui tu as raison, mais bon bref, j’étais cachée où tu sais. Je m’étais dis qu’à un moment, il y allait forcément avoir un de ces chasseurs un peu plus futé que les autres et qui penserait à fouiner à l’intérieur. Je ne pouvais donc pas rester dans le salon éternellement, il me fallait un peu compliquer la chose. On sait tous qu’à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
- Holà là ! Pour qui elle se prend la Margot !!!
- Oooooh ! Je rigole. C’est juste pour dire que je n’allais pas les laisser me trouver aussi facilement. C’est tout.
- J’avais compris ma belle, mais je peux bien te taquiner un peu quand même ! Allez vas-y continue !
- Alors tu vois le coffre où il y a tous les gadgets dans le fond de la pièce. Je m’étais tapie derrière. On ne pouvait pas me voir sans venir jusqu’à moi. Je m’étais ménagé un petit espace qui me permettait de voir l’entrée sans être vue.
- Oui, bon, après ? Racontes, ça m’excite ton truc mais tu es trop longue !
- Mais je plante le décor, il faut bien que tu comprennes le contexte. Et puis ça fait durer le plaisir, na !
- Tu parles d’un plaisir, ça m’énerve, oui ! J’ai envie de savoir ce qu’ils t’ont fait les trois gaillards !
- J’y arrive ma vieille, j’y arrive. Alors tout d’un coup j’ai entendu du bruit dans l’escalier. J’avais laissé la porte ouverte. J’ai deviné plus que je n’ai vu, à cause de la lumière faible des silhouettes s’avancer. J’ai tout de suite vu qu’ils étaient trois. Ils furetaient partout. Bougeaient chaque engin, chaque fauteuil. Regardaient sous les lits, derrière les canapés. Je savais bien que s’en était fini pour moi. A ce rythme ils ne tarderaient pas à me débusquer. Et effectivement il y en un des trois qui est venu mettre son museau derrière le coffre et qui s’est empressé de gueuler sa victoire en m’empoignant par le bras. Après ils se sont engueulés parce que celui qui m’a trouvé ne voulait pas partager sa victoire. Il disait qu’il était seul quand il m’avait trouvée et les autres lui rétorquaient que depuis le début ils cherchaient à trois et qu’il n’y avait aucune raison pour que la victoire ne soit pas commune. Bref l’autre s’est rangé à l’avis des deux et ils m’ont remontée à la surface, fiers de leur trouvaille.
- Je suppose que ça ne s’arrête pas là tout de même ?
- Ben non, tu penses bien.
- Alors ?
- Alors on a rameuté tout le monde à côté de la piscine. Certains demandaient où ils m’avaient trouvée en rageant de n’y avoir pas pensé eux même. Après « BHV » a félicité les gagnants et leur a dit que comme prévu au règlement de cette chasse, les vainqueurs pouvaient disposer de leur proie comme ils le voulaient.
- C’était qui ces trois lascars ?
- Il y avait deux soumis et un Maître.
- Lequel t’avait trouvée ?
- Un des soumis.
- Et il aurait pu te garder pour lui seul ?
- Sur le principe, oui, sans doute. Mais comme ils avaient convenu de chercher à trois, c’était une espèce de contrat en quelque sorte. Et puis dans ce genre de chasse, tout le monde est à égalité, Maître et soumis.
- D’accord. Bon et après, zut tu me fait languir !
- Oui, oui, ça vient. Donc là, ça discutait dans tous les coins. On félicitait les gagnants. On leur demandait s’ils voulaient partager, etc. … Finalement ils décidèrent de redescendre dans la cave et y convièrent tout le monde. Une fois en bas, les gens se sont installés un peu où ils pouvaient de façon à en perdre le moins possible.
- Oh ça devient chaud !!! Continue ma chérie !
- Ben arrête de m’interrompre alors ! Donc une fois en bas je n’avais déjà plus rien sur moi. Je ne sais même plus qui m’a retirée ma robe qui, de toute façon tu t’en doutes ne cachait pas grand chose. Ensuite on m’a mis des bracelets de poignets avec anneaux et j’ai été accroché à la chaine, tu sais celle qui est à côté de la croix. Après on m’a fait mettre à genoux et j’ai dû sucer mes trois gagnants pour les faire bien durcir. Une fois fait, ils ont tiré la chaine pour me relever. Je touchais à peine le sol. Quelqu’un m’a mis des pinces sur les tétons, il paraît que j’aime ça maintenant. Mais ça fait mal ce truc. Enfin sur le coup, après on s’habitue. Et après je me suis faite embrocher la chatte par un et l’anus par un autre. Celui de devant me tenait sous les cuisses. Ils m’ont limée un instant puis celui de derrière c’est retiré et le troisième l’a remplacé. Celui de devant a cédé sa place aussi et ainsi de suite. Je changeais de queue toutes les deux minutes et autours ça applaudissait tant et plus. Le manège a duré un bon moment. Mais bon à force, le sperme devait leur monter à la tête alors ils m’ont descendue et remise à genoux et bien entendu ils se sont branlés devant moi. Ils ont pratiquement joui en même temps et je me suis retrouvée avec un paquet de foutre dans la bouche et je te dis pas la galère pour avaler tout ça. Bref, j’en avait aussi sur les seins mais j’en ai avalé la plus grande partie quand même. Et voilà !
- Ben ma vieille ! Mais ils t’ont limée longtemps ?
- Plutôt oui ! A trois et en alternant ils ont fait durer le plaisir tu peux me croire.
- Tu devais avoir la chatte en feu et ta rondelle aussi je suppose ?
- Comme tu dis, j’ai encore mal d’ailleurs.
- Et tu vas continuer quand même ?
- Mais oui Anne. Je suis une vraie salope tu sais, j’adore ça me faire défoncer. Je ne peux plus m’arrêter. Même après des parties comme celle la, je baise encore à la maison, alors tu vois, je ne suis pas rassasiée.
- Ouais, je vois ça. Remarque je suis pas loin de toi sauf que c’est pas avec plusieurs.
- Ah oui au fait, alors et toi avec ton Maître ?

Les deux amies avaient convenu que comme il leur serait sans doute impossible de ne pas aborder ces sujets entre elles, à moins de ne plus se voir et ça, elles ne le voulaient pas, la solution adoptée était d’en parler de façon anonyme. Comme si Margot ignorait qui était le Maître d’Anne.
- Oh moi ça va bien aussi. La dernière chose en date c’est qu’il m’a donnée un surnom comme toi.
- Tu veux dire qu’il t’appelle Perle ?
- Mais non sotte que tu es ! Un pseudo comme tu a un pseudo. Moi il m’appelle Féline. C’est joli non ?
- Oui, ça te va bien grosse chatoune !
- Oh Margot ! Je ne suis pas grosse !
- Mais non, c’était pour te taquiner. Mais c’est bien Féline.
- Et puis autre chose, il veut soit un tatouage, soit un piercing.
- Moi j’ai un piercing mais tu l’as déjà vu suis-je bête. Et toi tu veux quoi ?
- Je ne sais pas trop. Le tatouage ce n’est pas trop mon truc. Il veut que je choisisse. Je le vois demain, je suppose que je devrais lui donner mon choix.
par Asuivre
#164020
Bonjour

J'ai découvert ce superbe récit , et le mot est faible qu'aujourd'hui
jour de mon inscription...
C'est un délice ; digne comme l'on déjà d'autre d'être édité...!!
J'ai passé qq heures scotché devant mon écran !!!
et sans les voir passer...!

Maintenant je vais profiter de relire + tranquillement et surtout
faire partie des accrocs qui attendent chaque jour ou presque
un nouvel épisode !!!

Quitte à me répéter toutes mes sincères félicitations et même....
une réelle admiration pour tant de talent...!!!

J'arrêterai les fleurs pour aujourd'hui...

et merci encore pour cette délicieuse histoire !!!

Bonne soirée ;)
par corsica2
#164269
Wouah!!!! Que de compliments "Asuivre". Merci, merci. Je suis ravi que cette petite histoire vous plaise. J'en profite également pour remercier tous les autres. Ceux qui me laissent un petits mots d'encouragement à chaque nouvel épisode et les nouveaux qui me félicitent aussi. Merci à tous. Pour tous les autres, merci de me lire mais sachez que ce sont ces encouragements qui non seulement font plaisir, mais donnent vraiment envie de continuer. A bientôt pour l'épisode 29.
par corsica2
#167369
Bon, puisqu'il semble que je ne doive pas m'arrêter, voici l'épisode 29 que je soumets à votre jugement. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Et que Anne commence à aimer son Maître.

A peine entrée dans le vestibule, Laurent avait fait déshabiller Féline. Bon d’accord elle n’avait pas grand chose sur elle déjà, alors ce fut vite fait. Il lui mit des menottes, les bras dans le dos. Féline ne disait rien. Elle se laissait faire sans broncher. Laurent la serra dans ses bras. Ce corps là attirait la caresse et il ne s’en priva pas. Malaxant ses seins, tirant sur les tétons qui aussitôt durcirent. Laurent les aimait ces tétons la. Bien gros, bien longs, très durs sous l’excitation. Puis il l’embrassa. Tendrement. Elle lui rendit son baiser, il est si bon avec moi se dit-elle. Puis il lui demanda si elle avait décidé ce qu’elle voulait comme signe distinctif. Elle resta muette un instant puis fit un signe négatif de la tête. Il l’entraîna par le bras en lui disant qu’il allait l’aider dans son choix. Après l’avoir emmenée dans le salon, Laurent lui dit de rester sur le tapis devant le canapé. Il avait poussé la table basse se laissant un espace libre. Il lui fit écarter les jambes et glissa sous ses pieds nus, un petit bâton de bois. Oh, pas très gros mais juste assez pour avoir une sensation de déséquilibre. Ce n’est pas grand chose en apparence, mais debout, les jambes écartées, menottée dans le dos, avec ça sous les plantes des pieds ce n’est pas du tout évident. D’ailleurs, Féline s’en rendit compte rapidement. Elle vacillait et avait peine à rester debout.
Laurent qui avait disparu quelques secondes revint avec un petit tabouret. Il le plaça entre les jambes de Féline qui se contorsionnait pour voir ce que c’était sans chuter.
- Féline, je veux que tu me dises ce que je veux entendre. J’ai pris une décision pour toi concernant ton signe d’appartenance. Si tu fais le bon choix je retire les morceaux de bois sous tes pieds. Dans le cas contraire je les laisse mais tu pourras t’asseoir quand tu seras fatiguée. Tu vois c’est simple. Tu as compris ?
- Oui « Monsieur ».
- Pour te prouver que je ne mens pas, voici une enveloppe que je pose à côté de toi. Dedans j’ai écris mon choix. Tu pourras le vérifier toi-même.
Bien sur il y avait un petit détail que d’ailleurs Féline avait réussi à voir. Certes elle pourrait s’asseoir, mais sur le tabouret il y avait un gode double qui l’attendait.
- Alors ma Féline, que crois-tu que j’ai choisi pour toi ?
- Je ne sais pas trop « Monsieur ».
- Réfléchis.
- Je fais cela depuis deux jours déjà, mais je n’arrive pas à me décider.
- Tu dois quand même avoir une petite préférence je suppose ?
- Je crois oui.
- Et bien alors, jette toi à l’eau !
- Mais oui, mais si ce n’est pas ça !
- C’est un risque en effet. Mais si c’est le même choix que moi, tu souffres inutilement. Je vois bien que tu as du mal à tenir.
- Oui c’est vrai mais je ne sais pas quoi faire. J’hésite vraiment.
- C’est toi qui vois. Moi je suis fort bien installé dans mon canapé.
- C’est trop dur ! Faites ce que vous voulez, je suis d’accord. S’il vous plait, « Monsieur ».
- Non, ça ne marche pas comme ça. Tu dois me dire ton choix. Et penses que si c’est le bon je te libère.
- Vous en avez vous des tatouages « Monsieur » ?
- Oui, j’en ai. Mais j’ai aussi une boucle d’oreille.
- Bon, alors je choisis le …
- Oui ?...
- Le … Oh mon Dieu c’est trop dur !
- Allez courage, tes pieds vont te lâcher.
- Le … T … Le piercing !
- Et bien voilà. Tu vois ce n’était pas si dur de décider.
Féline se sentit effectivement tout de suite soulagée. Les traits de son visage se décrispèrent un peu. Mais elle dut se concentrer sur son équilibre quand même. Les morceaux de bois étaient toujours là. Laurent repris l’enveloppe et s’employa à la décacheter. Il déplia la feuille de papier qui s’y trouvait et la plaça sous les yeux de Féline. Ses yeux justement elle les avait fermés. Cela ne facilitait pas son équilibre mais ça retardait l’échéance de ce qu’elle pressentait au fond d’elle. Ou qu’elle souhaitait, allez savoir. Quand elle les rouvrit, son regard se glaça. Ce qu’elle redoutait se produisait. Elle avait beau relire le mot, il ne voulait pas changer. C’était bien tatouage qu’il y avait d’écrit. Un instant de découragement la fit chanceler. Féline dut se reprendre vite au risque de tomber.
Laurent rangea le papier. Il disparut à la vue de Féline quelques secondes encore. Mais tout d’un coup elle sentit quelque chose de froid couler dans sa raie des fesses puis, la main de Laurent passa entre les deux globes, enduisant au passage la rondelle encore vierge.
- Pas la peine de te lubrifier la chatte, hein ma salope, vu comme tu mouilles malgré le supplice ?! Par contre ton trou du cul en a besoin car j’imagine que tu ne vas pas pouvoir tenir très longtemps encore. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas un gros calibre. Il faut commencer en douceur.
Tout en lui disant ça, Laurent lui massait la rondelle aidé du lubrifiant. Il sentait le muscle se détendre un peu et en profita pour insérer un doigt. Il remit une giclée de gel et le fit pénétrer ainsi qu’un second doigt. De son autre main il tenait Féline afin qu’elle ne tombe pas à cause de ses caresses. Il fit coulisser ses deux doigts dans le trou du cul de Féline en remarquant que petit à petit, le passage se faisait plus aisé.
- Voilà ma petite chienne est prête. Tu fais comme tu veux. Ou tu résistes et tu finiras quand même par t’asseoir ou tu préfères le faire sans trop souffrir et je te retire les morceaux de bois. A toi de voir.
- …
- Tu ne dis rien ?
- …
- Ah, tu hésites ! Tes pieds ne te font pas mal sans doute.
- Si.
- Mais tu hésites quand même ?
- Non, ce n’est pas ça.
- Ah non, alors c’est quoi ?
- Je n’ai pas envie.
- Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis. Je t’ai juste proposé une alternative. Avec bouts de bois ou sans.
- …
- Alors ?
- Sans.
- Très bien, alors laisse moi t’enlever ça.
Une fois les deux morceaux enlevés de dessous les pieds de Féline, cette dernière resta les jambes écartées au dessus du tabouret phallique, sans bouger. Malgré le regard noir de Laurent, elle n’osait encore s’asseoir. Lui imaginait bien ce qui se passait dans sa tête. Mais sa perversité si longtemps contenue devait s’exprimer avec cette chienne d’Anne. Il fallait la contraindre. S’il capitulait, s’en était fini de leur relation de Maître/soumis. Elle devait plier. Après l’horizon s’ouvrait.
- Veux-tu de l’aide ?
- Non, non, merci « Monsieur ».
- Alors décide-toi, on ne va pas y passer la soirée.
Alors Féline se baissa un peu comme si elle allait s’asseoir sur le siège des toilettes, timidement. Elle regardait entre ses cuisses le gode double qui allait l’emplir dans un instant. Or si le premier ne la dérangeait pas vraiment, le deuxième captait toute son attention. Certes il n’était pas bien gros et surtout assez effilé ce qui permettrait sans doute de faire moins mal lors de l’intromission. Mais tout de même, à l’exception des doigts de son Maître juste avant, c’était une première. Elle se décida finalement à se baisser jusqu’à toucher de ses grandes lèvres le plus gros des godes. Elle se positionna pour qu’il la pénètre sans problème puis se saisit de l’autre gode que Laurent avait également enduit de gel lubrifiant, et le positionna aussi à toucher son étoile brune. Comme il lui sembla que les deux phallus étaient bien placés, elle entama une descente en douceur.
Un tiers des engins avait disparu. Aucun ne semblait lui faire mal. Pourtant lorsque celui de derrière devint un peu plus gros, Féline fit la grimace. Elle stoppa sa descente. Derrière elle, Laurent remit une petite giclée du lubrifiant. Il fallait que cela se fasse le plus en douceur possible. Ne rien brusquer et surtout ne pas lui faire mal. C’est qu’il y tenait à sa soumise.
Féline repris sa descente mais par petits à-coups. Pas en continu. Elle voulait habituer son orifice anal petit à petit. Des larmes perlaient au bord de ses yeux. Elle se concentrait et c’était peut-être ça son tort. Elle devait trop se contracter. Laurent lui dit de se détendre d’ailleurs. Encore un petit effort, une goutte supplémentaire de gel et le double gode est avalé. Féline est assise sur le tabouret la chatte et le trou du cul remplis.
Laurent essuie ses larmes et l’embrasse tendrement. Il lui caresse la joue puis va derrière elle la libérer de ses entraves. Féline se masse les poignets, plus machinalement que pour une éventuelle douleur. Les menottes étaient doublées de velours et peu serrées. Un instant après, Laurent reparait devant elle mais nu et la bite en avant.
- Suce-moi ma salope ! Tu crois que je vais laisser une chienne comme toi prendre du plaisir toute seule ? Tu n’as pas résisté hein petite pute ! Il a fallu que tu t’embroches sur ces belles queues. Il t’en faut des bites hein ?! Et pas qu’une ! Allez, suce ! Oui, caresse mes couilles aussi, allez ! Quand je pense à ce que tu as dans le cul ma salope ! Tu aimes ça hein ?! Dis le que tu aimes ça sale chienne !
- Oui « Monsieur » j’aime ça.
- Tu aimes quoi petite pute lubrique ?
- J’aime la bite.
- Et où tu l’aimes la bite ?! Dis-le !
- Dans ma chatte « Monsieur ».
- Et c’est tout ? Je ne crois pas ma salope que ce soit tout. Allez dis-moi où !
- Dans mon cul aussi « Monsieur ».
- Comment ? Que dis-tu ? Que dit ma petite salope ?
- J’aime la bite dans mon cul « Monsieur ».
- Je m’en doutais, Tu cachais bien ton jeu cochonne. Allez suce encore ! Je vais t’arroser tes gros nibards de foutre chaud. Regarde moi tes tétons comme ils bandent ! Tu es excitée comme une truie en chaleur ! Et merde, mais tu coules comme une fontaine encore ! Tu m’as mis plein de jus sur le tapis ma salope.
Peu de temps après, avec le traitement que Féline infligeait à sa queue raide, Laurent ne tarda pas à lui décharger dans la bouche. Tout en le suçant encore jusqu’à la dernière saccade, elle laissa le sperme couler sur ses seins tendus et se massa le corps enduit du précieux nectar.
Après une bonne douche, elle vint se caler, toujours nue, dans les bras de son Maître assis dans le canapé. La table basse avait retrouvé son emplacement d’origine et deux verres vides attendaient qu’on veuille bien les remplir. Laurent lui proposa d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter cette première victoire sur son corps. Féline accepta et osa un baiser sur la joue de Laurent.
Ils trinquèrent donc à ce premier pas. Laurent semblait fort détendu. Féline s’était de nouveau lovée au creux de son épaule.
- Féline ?
- Oui « Monsieur ».
- Je te remercie.
- Hein ??! Pourquoi « Monsieur » ?
- Parce que je sais très bien que tu n’aimes pas la sodomie.
- Oui, c’est vrai « Monsieur ».
- Je ne t’en veux pas. Mais pour les punitions, je sais quoi faire maintenant !
- « Monsieur » ?
- Oui Féline ?
- J’ai une requête « monsieur ».
- Oui, je t’en prie, dis-moi.
- Vous êtes mon Maître n’est-ce pas ?
- Oui, absolument.
- Alors si vous le permettez, c’est ainsi que je voudrai vous appeler.
- C’est-à-dire ?
- « Mon Maître ».
- Ah ! … Après tout pourquoi pas. C’est d’accord, tu peux m’appeler « mon maître », ça me va.
- Merci « Mon Maître ». Oh oui, j’aime ces mots dans ma bouche. Merci beaucoup « mon Maître ».
- Bon rhabille toi maintenant j’ai à faire. Et tiens, prend ça.
- Oui c’est quoi ?
- C’est l’adresse où tu dois aller dès demain faire ton tatouage.
- Bien « Mon Maître ». C’est quoi le tatouage ?
- Tu le verras bien assez tôt. File !
par Ethan
#179544
Je viens de reprendre ton récit après un moment de pose et je dois avouer que je ne suis pas du tout déçu. Merci pour ces textes de qualité et de sensualité.
J'attends avec une grande hâte la suite;
par corsica2
#180598
Bonjour à tous et bonne année. Voici l'épisode 30. Bonne lecture.


Quand Margot devient chienne.
Dans le monde des affaires.

« BHV » recevait au château. Rien à voir avec la faune habituelle. D’ailleurs là, il y avait peu de monde. Deux couples et deux messieurs seuls. Tous bien habillés. Très chics, très BCBG comme on dit. Presque tous avait une serviette ou un attaché-case et entrecoupaient leur conversation en répondant à leur téléphone mobile qui semblait être pour eux, la pièce la plus important de leur panoplie. Le majordome, enfin le « croque-mort » aurait dit Margot, les avait accueillis et les avait installés dans le salon. Il leurs avait servis des boissons en les informant que leur hôte était retenu au téléphone et qu’il arrivait dans un court instant.

- Oui, vas-y, pompe moi bien ma Perle. Toi tu sais ce que j’aime. C’est si bon tes mains sur mes couilles et ta langue autour de ma bite. Tu es vraiment une reine de la pipe !
- Huuummm …..
- Oui je sais ma Perle. Ne parle pas, continue. Avale ma queue mon trésor. Fais-moi gicler au fond de ta gorge de chienne. Tu es trop bonne !
- Huuummm …
- Vas-y, vas-y ! C’est bon, ça monte. Hannnn !! Oh putain ! Tu sais y faire bordel, ouuuiiiiii !!!! Aaaaahhhhhhhh ! Putain de merde que c’est bon. Allez avale moi tout ça petite catin. Tu l’aimes hein mon foutre ?!!
- Oh oui Maître, je l’aime votre liqueur.
- Oh non de Dieu, ça fait du bien. Je vais pouvoir aller affronter tous ces requins maintenant. Tu m’as bien détendu ma Perle. Il n’y a que toi pour me faire ça, tu es la meilleure suceuse que je connaisse.
- Merci Maître.
- Bon, c’est pas tout ça, il faut qu’on y aille.
- Moi aussi Maître ?
- Oui bien sur, je pourrai avoir besoin de toi.
- Très bien Maître.
- C’est bien bonne petite chienne, allez, on y va et n’hésite pas à en montrer, ça les distraira. Comme ça je pourrai peut-être maîtriser la situation plus aisément.

Lorsque « BHV » entra dans le salon, Perle sur les talons, il salua tout son monde en négligeant volontairement de présenter la jeune femme qui l’accompagnait. Un peu de mystère dans les affaires ne pouvait nuire pensa-t-il. Nul doute que cet oubli aura été remarqué mais aucun des protagonistes n’osa poser la moindre question. Pourtant inutile de préciser que Perle fut détaillée sous toutes les coutures, même par les femmes. Perle les a regardées en coin et elle pouvait lire dans leur regard, soit de l’envie, soit de la jalousie, voire même les deux. Quand aux hommes, ma foi, comme toujours, un regard vicieux qui en disait long. Une fois encore, elle pu constater que ce n’était pas ses yeux qu’ils mataient.
Le majordome revint avec un nouveau plateau, mais de coupes de champagne cette fois-ci. « BHV » invita tout le monde à prendre un verre et ils trinquèrent tous aux futures affaires qu’ils ne manqueraient pas de conclure prochainement. On parla un peu de la pluie et du beau temps puis, sous l’impulsion de « BHV », ils se dirigèrent vers le bout du salon où trônait une vraie table de conseil des ministres. On pouvait compter au moins une vingtaine de chaises autour si ce n’était pas davantage. Chacun pris place sur un bout de la table en déballant ses dossiers, téléphone mobile et autre ordinateur portable. Bien entendu Perle ne comprenait rien à la discussion à laquelle d’ailleurs, elle ne prenait pas part. Elle s’était quand même munie de feuilles de papiers et de stylos et faisait semblant de prendre des notes de temps à autres en écoutant religieusement les propos des uns et des autres.
« BHV » lui fit un clin d’œil discret et lui demanda de bien vouloir aller chercher des verres et une ou deux bouteilles d’eau. Chemin faisant, elle dégrafa quelques boutons du haut de sa robe et deux autres en bas. Elle se rendit à l’office et revint un court instant plus tard chargée d’un plateau avec verres et bouteilles. Arrivée près de la table elle déposa d’abord les deux bouteilles d’eau en se penchant suffisamment afin que d’en face ils aient une vue plongeante sur ses nibards et de part et d’autre d’elle, ses voisins ne puissent faire autrement que de lorgner sur sa chute de reins qu’elle avait fort belle au demeurant. Et bien entendu ça n’a pas manqué. Pour certains, les mots restaient dans la gorge ou s’entrechoquaient, pour d’autres, notamment les femmes, les bouches étaient en cul de poule et les yeux fixes. Cela dura un très bref instant mais il sembla à Perle que cela avait été suffisant pour que « BHV » reprenne l’initiative de la conversation. Il distillait son point de vue sur le sujet et il avait l’air conquérant qu’elle aimait tant chez lui. Il donnait l’impression d’avoir gagné la bataille, peut-être pas la guerre, mais cette bataille. De plus, même une fois assise, perle avait fait en sorte que sa robe dévoile une bonne partie de ses seins. Du coup, les regards de l’auditoire allaient de « BHV » qui parlait au décolleté de Perle qui exhibait ses nibards sans pudeur. Leur attention étant moindre, son Maître semblait marquer des points.
Un peu plus tard, Perle en avait un peu ras le bol de leurs affaires d’ailleurs, « BHV » proposa une pose. Tous acceptèrent volontiers de se détendre un peu et se levèrent de concert. Les uns marchaient dans la pièce en continuant leur conversation en aparté, un verre d’eau à la main. D’autres avaient saisi l’opportunité pour se ruer sur leur téléphone mobile. Et oui, comment peut-on vivre sans mobile ??! Alors qu’un dernier discutait encore avec « BHV » tout en lorgnant du côté de Perle.
- Mes amis dit « BHV » à la cantonade, avant que nous concluions nos petites affaires, j’ai une pièce de la maison que j’aimerai vous faire découvrir. Monsieur la connaît déjà ajouta-t-il en désignant celui avec lequel il était resté parler, et il m’a suggéré que cela devrait vous intéresser. Voulez-vous me suivre.
Tous acceptèrent et emboîtèrent le pas à leur hôte et à sa mystérieuse compagne. Déjà dans les escaliers de pierres froides et à l’atmosphère lugubre, les commentaires allaient bon train. Mais où nous emmène-t-il ? Disaient les uns. Il veut nous perdre dans un cul de basse fosse ajoutaient les autres. Les femmes avaient même sans doute les mêmes frissons que Perle avait eus à sa première visite ici. Enfin « BHV » ouvrit la porte et laissa pénétrer devant lui tous ces invités.
Là, chacun y allait de son « oh ! », de son « ah ! », de son « Mais où sommes-nous ici ? » ou « Mais c’est le retour au moyen âge ! ». Bref ce qui vient à l’esprit de toute personne sensée qui entre pour la première fois dans cet antre du vice.
- Voilà, vous êtes dans mon petit royaume secret. Je vous en prie, faites le tour, regardez, touchez, essayez même si ça vous fait envie.
Cette fois encore personne ne se fit prier et tous investirent la pièce. Une fois de plus les questions fusaient :
- Mais qu’est-ce que c’est ça ?
- Et ça, ça sert à quoi ?
- Cet engin, comment on s’en sert ?
- Là, c’est dans quel sens qu’on met les chaines ?
Et bien d’autres encore. « BHV » tentait de répondre au mieux, mais restait évasif quelquefois tout de même. Et pour cause. Toutefois, une des femmes demanda si on pouvait essayer un des engins. Ou du moins lui faire une démonstration. « BHV » lui demanda si elle souhaitait qu’il l’installa dessus mais manifestement elle voyait ça autrement. Bien entendu « BHV » avait compris et il proposa que Perle en fasse la démonstration. Ce fut accepté aussitôt, on s’en doute.
L’engin en question était la croix en X avec ces sangles aux extrémités. Un simple regard de « BHV » et Perle vint se positionner devant la croix, écarta ses jambes afin qu’elles soient dans l’alignement et qu’il puisse fermer les bracelets sur ses chevilles. Elle fit de même avec ses bras et se retrouva donc prisonnière devant le petit groupe au demeurant fort intéressé. Rien d’étonnant à cela, puisque en prenant cette position et bien qu’ayant gardé sa robe, le tissu s’était tendu et la quasi totalité de ses seins était à la vue de tous et cerise sur le gâteau, impossible d’ignorer qu’elle n’avait ni culotte, ni string.
Quelques bouches ouvertes avaient manifestement du mal à déglutir devant le spectacle. On pouvait également observer la formation de quelques bosses proéminentes explicites au niveau de certaines braguettes. Une des femmes reprenant ses esprits plus rapidement demanda ce qu’il se passait à partir de cet instant. « BHV » répondit que le choix en revenait à celui ou celle qui avait attaché la suppliciée. Beaucoup de choses sont possibles ajouta-t-il, c’est selon l’imagination et ce qui a été éventuellement convenu entre les partenaires de jeu.
- Mais peut-être êtes-vous tentée chère amie ?
- De … De prendre sa place ??
- Non. De prendre quelques initiatives.
Il n’en fallut pas plus que ça de la part de son hôte, pour que l’intéressée se précipite sur Perle devant un parterre plus ou moins médusé. Enfin médusé, cela ne dura pas longtemps. Ils changèrent tous de place pour mieux voir la femme embrasser Perle à pleine bouche, la langue en avant. Une main pétrissant les nichons et l’autre sur la motte. Puis sans quitter la bouche de Perle, elle retira chemisier et jupe qui volèrent derrière elle. Il ne lui restait plus qu’un string minimaliste car de soutien-gorge elle n’avait point. Elle se frotta au corps de perle en continuant d’investir sa bouche et en épousant la même position qu’elle. Du coup les deux femelles en chaleur étaient toutes les deux en croix mais une seule était attachée. Un des hommes dont « BHV » ne se souvenait plus si c’était le mari de la femme en rut ou un autre, se déshabilla à la vitesse de la lumière et, la bite tendue se rua sur le cul qui s’ouvrait devant lui. Il écarta la ficelle et s’enfonça avec vigueur dans les chairs visqueuses dans un va-et-vient frénétique. Il se tenait aux hanches et pilonnait la chatte à grand coup de rein.
- Dans mon cul !!!
- Quoi ??!
- Encule-moi bordel !!
Comment résister à une invitation si gentiment demandée ? Il ne se fit donc pas prier. Il retira sa bite trempée de cyprine, écarta les deux globes fessiers faisant apparaître une rondelle déjà dilatée par le désir. Il présenta son gland et n’eut même pas à pousser, la salope recula et s’empala elle-même sur le pieu raidi. Dans le même temps « BHV » avait proposé qu’on s’occupa de Perle et un candidat se déshabilla tout aussi vite que le premier et fit le tour du trio. Pour l’occasion, « BHV » se félicita de ne pas avoir fixé la croix au mur mais uniquement au plafond et au sol. On pouvait ainsi agir de part et d’autre.
C’est ce que fit donc notre deuxième homme. Après s’être enduit la queue de lubrifiant que « BHV » lui avait tendu, il se saisit également des fesses de sa partenaire qu’il écarta et l’encula sans autre procès. Les deux femmes étaient collées bouche à bouche, seins à seins et se faisaient labourer le trou du cul en même temps avec, semble-t-il, le même plaisir.
Excités par cette vision, les autres n’étaient pas en reste. La deuxième femme s’était retrouvée à poil plus vite qu’il ne faut pour le dire. On l’avait allongée sur un banc rembourré et elle suçait une bite alors que l’autre lui défonçait la moule qu’elle avait d’ailleurs de bien baveuse. Le bruit de succion qu’on entendait à chaque coup de rein était suffisamment explicite.
Du côté de la croix il semblait qu’on arrivait près de la conclusion. Les ahanements sourds qu’on entendait ne laissaient aucun doute. De fait, quasiment en même temps, les deux mâles s’écartèrent, laissant vacant les deux trous du cul dilatés et giclèrent de grands jets de foutre sur le dos des deux salopes.
Ce n’est qu’à ce moment là, que la femme lâcha la bouche de Perle. Durant toute la fornication ces deux gouines s’étaient roulées une pelle magistrale.
A côté aussi on arrivait à terme. La bouche de l’autre salope déborda bien vite de sperme bien chaud et bien épais. Elle avait bien du mal à déglutir. Sans doute la position allongée. Le dernier à limer faisait maintenant seul l’objet de toutes les attentions. Mais ça ne dura pas très longtemps non plus. Dans un dernier cri sourd, il retira sa queue gonflée de désir et cracha son venin en longs jets sur le ventre de sa partenaire de jeu. Il la redressa et lui déposa un baiser sur la bouche.
Tout ce petit monde fila à la douche alors que « BHV » finissait de détacher Perle.
- Tu as été parfaite ma Perle ! Merveilleuse. Une bonne chienne, bravo !
- Merci Maître.
- Si avec ça ils ne signent pas le contrat, c’est que je n’y comprends plus rien.
- Maître s’il le faut je suis encore là. Je ferai ce que vous voulez.
par corsica2
#187154
Merci totof, fidèle des fidèles et bonne année à vous aussi. Voici l'épisode 31. Bonne lecture à tous.

Quand Margot devient chienne.
Anne confirme sa soumission.

- Alors, racontes !
Les deux amies comme à leur habitude, se retrouvaient dans leur club de fitness favori. Aujourd’hui elles n’étaient pas arrivées tout à fait ensemble, mais elles avaient au moins un cours en commun. Bien sur elles n’avaient pas eu le loisir de discuter comme elles l’auraient souhaitées, aussi, le cours à peine terminé les deux femmes avaient filé vers le vestiaire et la douche. Elles étaient maintenant en train de s’éponger le corps et Anne prenait garde à ne pas arracher son pansement protecteur.
- Quoi ?
- Dis donc Anne, tu te fous de moi ou quoi !? Ton tatouage, raconte. Fais le moi voir.
- Oh non, j’ai un pansement. Il faut que ça cicatrise.
- Allez ! Fais voir. Juste un bout. Tu défais un peu un coin du pansement. S’il te plaît ma chérie ! Allez soit sympa.
- Je me fais avoir à chaque fois avec toi ! Tu es exaspérante ! Je n’arrive pas à te refuser quoi que ce soit. Tu m ‘énerves !
- Mais non, c’est parce que tu m’aimes, voilà tout.
- Ouais, ça doit être ça. Bon, tiens, regarde alors.
- Waouh ! Superbe ! Racontes.
Deux jours avant, Anne s’était présentée chez le tatoueur à l’adresse indiquée. Elle dût patienter quelques instants, un autre client passait devant elle et le tatouage n’était pas tout à fait terminé. Elle en profita pour faire le tour de la boutique et feuilleter tous les catalogues de modèles proposés. Comme elle ignorait ce qu’on avait choisi pour elle, elle se dit qu’il serait peut-être bon qu’elle ait elle-même une idée au cas où on le lui demanderait.
Un bruit de porte la fit se retourner et un jeune homme sortit de l’antre du tatoueur avec un sourire aux lèvres. Il devait être ravi du résultat. Peu de temps après, une espèce de brute hirsute en « marcel » sortit à son tour. Il avait des bras comme des jambonneaux où plus aucun morceau de peau ne pouvait se voir. Il semblait couvert de tatouages de toutes sortes de la tête aux pieds. Pour autant il avait un air jovial malgré les anneaux et autres bouts de ferrailles qui lui sortaient de partout. Il devait sonner de partout en passant le portique à l’aéroport rigola Anne en elle-même. Le monstre de chair et d’os la fit entrer dans la pièce qu’il venait de quitter. Anne resta debout en regardant partout autour d’elle. Pendant qu’elle observait les instruments, le tatoué se déguisa en tatoueur. Il passa une longue blouse en non-tissé, un calot sur sa tignace, un masque de chirurgien et des gants de latex. Il prépara son matériel. Il sortit une pointe stérilisée d’un emballage qu’il ajusta sur son engin de torture.
- Enlevez votre jupe s’il vous plaît.
- …
- Excusez-moi, mais j’ai reçu des instructions et j’ai été payé pour ça. Donc, s’il vous plaît, ne m’obligez pas à appeler qui vous savez. Enlevez votre jupe.
- Mais … Pourquoi ? Où allez-vous me faire ce tatouage ?
- Dans le creux de l’aine. Je suis désolé, ce sont mes instructions. Vous allez avoir sans doute un peu mal. La peau est très tendre là.
- Oh mon Dieu ! Soyez gentil, essayez de faire doucement.
- Je vous promets.
- Vous allez me faire quoi ?
- Une empreinte de patte de félin.


Anne avait retiré le pansement sur à peu près la moitié et le tatouage était bien visible. Margot restait béate. Elle aimait beaucoup.
- J’ai eu très mal tu sais Margot.
- Ben je me doute ma pauvre chérie. La peau est tellement fine et tendre à cet endroit. Mais le résultat est super ! J’adore. Et puis ça va bien avec ton nom.
- Oui, ça c’est vrai mais je suppose que c’est ce que mon Maître voulait.
- Et au milieu, c’est quoi ?
- ML. Les initiales de Maître Laurent.
- Ah d’accord. On dirait que ça cicatrise vite, non ?
- J’espère. Il faut que j’attende que cela soit complètement cicatrisé pour revoir mon Maître, alors.
- Cela dit, dis donc, tu as une jolie chatte, je te la boufferais bien !
- Non mais ça ne va pas Margot !!!! Tu es dingue toi !
- Mais je déconne !!! Ah lala, toi alors. Tu démarres au quart de tour.
- Ben t’avais l’air sérieuse ! T’es conne toi ! Mais j’y pense, tu n’as pas de tatouage toi ? Tu ne m’en as jamais parlé.
- Non, pas un tatoo, j’ai un anneau tu sais bien.
- Un anneau ? Il est où ?
- Mais sur ma chatte souviens-toi, tiens regarde et me la bouffe pas hein !

Quelques jours plus tard, Anne se garait sur le parking du château. Le printemps avait beau être là, le temps n’était pas trop de la partie. Il avait plu toute la journée et le ciel plombé, teintait toutes choses d’une tristesse mélancolique. Après un accueil toujours aussi froid du « croque-mort » auquel elle avait fini par s’habituer, elle se dirigea vivement vers la pièce aux sévices et descendait l’escalier tout en passant sa robe par dessus sa tête. C’est nue qu’elle pénétra dans l’antre.
Encore une fois, à peine entrée de quelques pas elle fut littéralement saisit derrière par le cou et entrainée avec vigueur. Laurent passa une espèce de manche à balai d’un bras à l’autre dans son dos, faisant ressortir sa poitrine dont déjà, sans doute sous le coup de l’émotion, les tétons étaient tendus et durs. Il attacha les deux bras ensemble, ainsi le haut de son corps était prisonnier. Il l’entraîna ensuite jusqu’à un pilier où sa tête fut prise dans une espèce de carcan mural.
- Écartes les pieds ma belle salope ! Allez, plus vite ! Tu sais que tu me peines beaucoup. Je vais encore devoir te punir. Tu sais surement pourquoi, hein ?!
- Nnnn … Euh, non « Mon Maître »
- QUOI ! TU NE SAIS PAS ???!!! Je vais t’aider à comprendre tu vas voir.
Le premier coup de cravache la toucha au beau milieu de la fesse droite et Anne ou plutôt Féline, ne put réprimer un cri. Plus de surprise que de douleur. Elle ne s’y attendait pas et le coup n’était pas très fort. Un deuxième coup sur l’autre fesse puis une claque, puis la cravache, puis une claque.
- Est-ce que la mémoire te revient ma vilaine chienne désobéissante ?
- Euh … Non « Mon Maître » qu’est-ce que j’ai fait ?
- QU’EST-CE QUE TU N’AS PAS FAIT OUI !!!!
Un autre coup de cravache vint s’abattre sur le haut des fesses, un peu plus soutenu. Féline cria encore. Deux claques tombèrent coup sur coup. Les fesses commençaient à rougir et se couvrir de jolies marques. Pour vérifier ce qu’il soupçonnait, Laurent passa sa main entre les cuisses de sa prisonnière. Il eut confirmation de ses soupçons. La salope mouillait. Et pas qu’un peu. Mais elle allait devoir attendre. Il y avait des priorités quand même !
- ALORS, TOUJOURS PAS D’IDÉE?!
- Euh … Si, je crois « Mon Maître ».
- Et bien je t’écoute, vas-y éclaires-moi.
- C’est … Euh … Mes poils pubiens non ?
- Ben voilà ! La mémoire te revient enfin ! Tu vois si tu m’avais écouté, tu te serais évitée quelques coups sur les fesses. Bien que je doute un peu que cela t’ait vraiment dérangé. Hein ma salope ? Vu comme tu coules de ta chatte de petite pute !
Laurent la délivra du carcan et retira son entrave. Il l’entraîna vers le siège de gynéco et la fit grimper dessus. Elle s’installa d’elle même mais Laurent lui attacha quand même les extrémités avec les sangles prévues à cet effet. Ensuite il la quitta quelques instants pour revenir muni de mousse à raser et d’un rasoir jetable. Il se posta entre les cuisses ouvertes de Féline armé de l’aérosol de mousse. Mais arrivé là, il ne put se retenir et plongea langue en avant dans cette chatte offerte qu’il aimait de plus en plus. Féline mouilla de plus belle. Elle coulait littéralement tel un torrent. Laurent buvait à la source ce miel vivifiant. Il aspirait le clitoris devenu gros comme une noisette. Tirait dessus. Il écartait les lèvres pour mieux s’enfoncer quand Féline fut secouée de tremblements incontrôlés. Elle avait un puissant orgasme.
Une fois remis de leurs émotions tous les deux. Le corps de Féline apaisé. Laurent repris la bombe de mousse à raser qui lui avait échappée et s’employa à en enduire la fine toison de Féline. Il se saisit du rasoir et commença son œuvre. Ce fut assez vite fait. Il se recula. Contempla le résultat et, satisfait, rangea son matériel.
Avant de libérer Féline, il ne put s’empêcher de replonger sa bouche gourmande à l’endroit qu’il venait de rendre lisse. Il se délecta de cette peau fraiche et douce comme un œuf. Il léchait, caressait, suçait. Féline était sa chose. En voyant le tatouage avec ses initiales Laurent sembla prendre conscience qu’ils étaient vraiment liés désormais.
Après l’avoir libérée, il l’entraina vers le lit tout proche et la fit se coucher sur le ventre. Il se munit d’un petit pot d’onguent apaisant et en étala sur les traces rouges encore visibles. Il fit pénétrer la crème avec application, doucement, longtemps. Il reposa le pot, retourna Féline et il lui fit l’amour tendrement. Oui, l’amour.
par Ethan
#187548
oh oh, ne me dis pas que Laurent est en train de tout confondre. S'il lui fait l'amour, cela signifie qu'il tombe amoureux de Féline?!
Vaut mieux pas, il est son maître pas son mari!
Enfin bref, cela me réjouit toujours autant de te lire, j'aime de plus en plus. J'ai hâte de lire la suite.
Ah, j'allais oublié, Bonne Année.

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