- 28 oct. 2015, 18:53
#1839420
Nous avons des échanges "privés" avec Marc, d'ailleurs membre de ce forum.
Suite à un envoi de photos de notre part, il nous adresse à son tour un cliché de lui (voir photo jointe) avec ce commentaire:
"Agathe, après avoir vu tes photos, j'étais vraiment bien excité. Je suis allé aux toilettes pour te montrer dans l'état dans lequel tu me mets. Dis-moi ce que cela t'inspire. Bisous"
Prise au jeu, voici la réponse faite par Agathe:
"Voici, mon cher Marc, ce que cela m'inspire..."
- Je suis avec vous dans ces toilettes, on entend des pas, des bruits d'activité dans le couloir proche. Pourtant, vous essayez de me convaincre: vous souhaitez que je m'agenouille à vos pieds et que, dans un premier temps, je vous prenne en main et vous caresse lentement de mes doigts. Je suis inquiète, ce que vous me demandez est risqué, n'importe qui peut arriver. Vous ironisez, personne ne me connait dans vos bureaux, tout au plus devrez-vous expliquer que je suis une pute, que vous vous excusez de faire ça ici, mais que bon.... Vous finissez de me convaincre avec ces mots crus "une pute, n'est-ce pas ce que tu es, d'ailleurs, ma chère Agathe?"
Et, alors que la sagesse devrait me retenir, je ne sais pas résister à votre provocation.
Je relève légèrement ma jupe étroite pour faciliter ma mise à genoux, et je vous prends entre mes doigts, pour de lents va et vient, très lents, étirant au maximum vers le bas cette peau rougie par le désir, agaçant au passage le gland gonflé d'un petit coup d'ongle insistant., avant de remonter la peau vers le haut, replacer le gland sous protection, vous enserrer à vous faire mal de les doigts avant de reprendre le mouvement, ce lent mouvement, celui qui va vous conduire vers ce plaisir que nous souhaitons, vous et moi.
Un bruit de pas proches, une porte qui s'ouvre, vous me forcez à rester en position, d'une main ferme prise dans mes cheveux. Heureusement, c'est la porte des toilettes voisines, celle des dames. Cela vous fait rire.
Je vous propose de vous prendre en bouche, mais vous refusez cette caresse, pour une raison simple: vous souhaitez jouir sur mon visage, m'inonder de votre abondante semence chaude,.
Quelques secondes plus tard, bouche entrouverte comme par vous demandé, yeux levés bien fixés aux vôtre, je vous reçois, vos longues saccades de sperme chaud souillant ma bouche, mon œil droit, puis mon front, mes cheveux; rien ne semble pouvoir arrêter ce flot ininterrompu de plaisir.
Quand votre plaisir est consommé, vous m'aidez à me relever, vous me faites placer face au miroir: l'image que je revoie est conforme à ce que j'ai ressenti physiquement, je vois trouble du côté droit, ma mèche est collée par ce gel si particulier et les traînées sur mon visage ne laissent aucun doute sur ce que je viens de vous faire subir.
Pour autant, vous ne m'autorisez pas à me nettoyer et vous me faites quitter ainsi, rouge de honte, l'intimité des toilettes pour emprunter le couloir vers la sortie.
Nous ne croisons heureusement personne jusqu'au palier, nous prenons l'ascenseur vers le sous-sol. Quand la porte s'ouvre, un couple attend, sagement, l'arrivée de la cabine, un petit garçon à la main. Nous sortons, je dois affronter leurs regards, surpris, curieux, réprobateurs. Nous nous éloignons main dans la main, non sans entendre les commentaires assourdis par la porte de la cabine se refermant: "T'as vu ce qu'elle avait sur la figure... Pas possible, ça doit être une pute ... Si ça se trouve, ils viennent de faire ça dans l'ascenseur... Pour un peu ils faisaient ça devant le gosse..."
Suite à un envoi de photos de notre part, il nous adresse à son tour un cliché de lui (voir photo jointe) avec ce commentaire:
"Agathe, après avoir vu tes photos, j'étais vraiment bien excité. Je suis allé aux toilettes pour te montrer dans l'état dans lequel tu me mets. Dis-moi ce que cela t'inspire. Bisous"
Prise au jeu, voici la réponse faite par Agathe:
"Voici, mon cher Marc, ce que cela m'inspire..."
- Je suis avec vous dans ces toilettes, on entend des pas, des bruits d'activité dans le couloir proche. Pourtant, vous essayez de me convaincre: vous souhaitez que je m'agenouille à vos pieds et que, dans un premier temps, je vous prenne en main et vous caresse lentement de mes doigts. Je suis inquiète, ce que vous me demandez est risqué, n'importe qui peut arriver. Vous ironisez, personne ne me connait dans vos bureaux, tout au plus devrez-vous expliquer que je suis une pute, que vous vous excusez de faire ça ici, mais que bon.... Vous finissez de me convaincre avec ces mots crus "une pute, n'est-ce pas ce que tu es, d'ailleurs, ma chère Agathe?"
Et, alors que la sagesse devrait me retenir, je ne sais pas résister à votre provocation.
Je relève légèrement ma jupe étroite pour faciliter ma mise à genoux, et je vous prends entre mes doigts, pour de lents va et vient, très lents, étirant au maximum vers le bas cette peau rougie par le désir, agaçant au passage le gland gonflé d'un petit coup d'ongle insistant., avant de remonter la peau vers le haut, replacer le gland sous protection, vous enserrer à vous faire mal de les doigts avant de reprendre le mouvement, ce lent mouvement, celui qui va vous conduire vers ce plaisir que nous souhaitons, vous et moi.
Un bruit de pas proches, une porte qui s'ouvre, vous me forcez à rester en position, d'une main ferme prise dans mes cheveux. Heureusement, c'est la porte des toilettes voisines, celle des dames. Cela vous fait rire.
Je vous propose de vous prendre en bouche, mais vous refusez cette caresse, pour une raison simple: vous souhaitez jouir sur mon visage, m'inonder de votre abondante semence chaude,.
Quelques secondes plus tard, bouche entrouverte comme par vous demandé, yeux levés bien fixés aux vôtre, je vous reçois, vos longues saccades de sperme chaud souillant ma bouche, mon œil droit, puis mon front, mes cheveux; rien ne semble pouvoir arrêter ce flot ininterrompu de plaisir.
Quand votre plaisir est consommé, vous m'aidez à me relever, vous me faites placer face au miroir: l'image que je revoie est conforme à ce que j'ai ressenti physiquement, je vois trouble du côté droit, ma mèche est collée par ce gel si particulier et les traînées sur mon visage ne laissent aucun doute sur ce que je viens de vous faire subir.
Pour autant, vous ne m'autorisez pas à me nettoyer et vous me faites quitter ainsi, rouge de honte, l'intimité des toilettes pour emprunter le couloir vers la sortie.
Nous ne croisons heureusement personne jusqu'au palier, nous prenons l'ascenseur vers le sous-sol. Quand la porte s'ouvre, un couple attend, sagement, l'arrivée de la cabine, un petit garçon à la main. Nous sortons, je dois affronter leurs regards, surpris, curieux, réprobateurs. Nous nous éloignons main dans la main, non sans entendre les commentaires assourdis par la porte de la cabine se refermant: "T'as vu ce qu'elle avait sur la figure... Pas possible, ça doit être une pute ... Si ça se trouve, ils viennent de faire ça dans l'ascenseur... Pour un peu ils faisaient ça devant le gosse..."
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