- 25 janv. 2010, 17:10
#18732
La vie d’un cocu a parfois des jouissances suprêmes. Voici donc la dernière aventure de ma femme, dans la cinquantaine, sensuelle et pulpeuse a l’extrême. Elle devait se rendre à une réunion de travail en Tunisie en début de semaine. Afin d’être sur place avant la réunion et de pouvoir visiter, elle partit le vendredi après-midi. Le lendemain soir, sur les 11h30 elle me téléphona pour me dire bonsoir mais le motif de l’appel était tout autre. Elle m’appela en fait pour m’avouer qu’elle m’avait fait cocu pendant deux bonnes heures. Celui qui m’avait cocufié était un tunisien qu’elle avait rencontré en visitant Sfax. Il venait de sortir de la chambre, aussi elle m’appelait aussitôt. Sa voix était celle d’une femme satisfaite, elle commença ainsi son appel (je transcris ce qu’elle a dit d’une manière plus écrite, elle ne l’a pas dis exactement en ces termes) : « Chéri, tu étais désolé de ne pas me satisfaire la semaine, eh bien voila c’est fait, je viens d’être comblée par un homme pendant deux heures, deux heures de plaisir intense. Il m’a épuisée, il m’a remplie». Devant ma surprise, elle continua : « Je n’avais pas l’intention de faire cela mais après le repas, nous sommes allés au bar de l’Hôtel, de fil en aiguilles la conversation a portée sur le sexe, il m’a émoustillé, au bout d’un certain temps je n’en pouvais plus et nous sommes montés dans ma chambre. Il était seul, moi aussi. Les préliminaires n’ont pas durés très longtemps, j’étais excitée et lui aussi. Il m’a demandé de me déshabiller devant lui, pendant ce temps il ôtait son pantalon. Cela prit un certain temps, j’ôtais ma jupe, mon chemisier, il me demanda d’enlever mon soutien-gorge, celui en dentelles noires qui fait pointer bien mes seins, mais il me demanda de garder mes bas et mon porte-jarretelles, j’ôtais lentement mon string et c’est alors que je vis son gros membre pointer hors de son slip, il ne pouvait plus le contenir, un membre épais avec le gland plus petit que la hampe, un peu comme le god que tu utilises lorsque tu n’arrives pas a être dur. Lui, par contre, était déjà dur, je m’approchais et commençais à lécher son gland, ma main n’arrivait pas a faire le tour de sa hampe, je descendis les doigts sur ses testicules, surprise de rencontrer deux grosses boules fermes, je m’étais habituée a tes petites testicules pendantes. Sa main glissa entre mes cuisses, rencontra ma toison humide, je sentis ses doigts se frayer un chemin dans mon intimité. Je le pompais alors en écartant mes cuisses, je m’étouffais avec son membre qui m’obligeait à ouvrir la bouche en grand, il prit mes seins a pleine main, pressant fort sur les tétons, comme tu le fais, soudain il me renversa sur le lit, et c’est alors qu’il me pénétra d’un seul coup, je sentis ma vulve s’ouvrir pour laisser passer son formidable pieu. Il me pilonna pendant longtemps, ensuite il me retourna pour me prendre en levrette, je n’ai pas compté le nombre d’orgasmes que j’ai eu. Pendant tout ce temps il restait dur, tellement dur que je pouvais m’empaler sur lui dans toutes les positions. Au bout d’une heure, je sentis qu’il déchargeait enfin en moi plusieurs fois, enfin dans le préserve rose que tu m’avais acheté. Vingt minutes plus tard il était de nouveau dur et prêt, cette fois-ci, après lui avoir mi un autre préserve, je le chevauchais et je m’empalais sur sa bite, une demi heure après il déchargeait de nouveau, cette fois-ci sur mes seins ». Elle ajouta ensuite : « je sais que tu ne peux pas réaliser cette performance, aussi je ne te le demanderais pas, demain soir on recommencera sans doute, ne t’étonnes pas si je rentre épuisée, mais qu’est-ce que c’était bon.» Sa confession m’avait excité. Elle prenait son pied.