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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1909138
Je suis un H la cinquantaine et je vais vous raconter mes évolutions dans ce milieu si excitant.
Voici mon premier récit qui est une histoire vécue.
J’avais à l’époque 23 ans, célibataire et j’étais bassiste chanteur le weekend , dans un groupe de copains et nous animions quelques soirées dansantes dans l’année.
Ce soir-là c’était dans une banlieue chic de l’ouest parisien pour un club de tennis. La soirée c’était très bien déroulée et les personnes présentent étaient enchantés de notre prestations et pendant le démontage du matériel les organisateurs nous ont proposé de venir boire une coupe avec eux pour terminer cette sympathique soirée.
Ils y avaient une quinzaine de personnes qui rangeaient et nettoyaient la salle et se joignaient à nous.
Debout autour d’une table nous sirotions notre coupe en dégustant quelques mignardises et échangions quelques banalités sur notre prestation avec les personnes présentent. Un couple la trentaine et deux belles femmes, la quarantaine m’avait accaparé et me complimentaient sur mes talents de chanteur et me questionnaient : d’où êtes-vous, vous vivez de votre musique, vous jouez souvent etc. etc.
Dans la discussion j’apprenais que l’une des femmes était la tante du couple et que l’autre était son amie, qu’elle habitait Paris dans le 20eme et qu’elle était invitée et aimerait trouver quelqu’un pour la déposer chez elle, car elle préfèrerait rentrer que de dormir chez son amie ayant une journée chargée le lendemain.
Je proposais gentiment de la déposer sans arrière-pensée car l’idée de brancher une femme de l’âge de ma mère ne m’avait jamais effleuré l’esprit. Mais c’était une belle femme très classe habillée chemisier blanc, tailleur gris aux genoux, escarpins à talons haut mettant en valeur de belles jambes fines. Son visage avait des très fins, chignon à la Catherine Deneuve dans belle de jour, blonde, je dirais 1m70 60kg et un 90b, un look un peu trop strict à mon goût.
Après avoir chargé le matos dans les véhicules, nous prîmes congés les uns des autres et la dame prit place dans ma superbe fourgonnette à la place passager.
Après quelques kilomètres et l’échange de quelques banalités sur la température et le peu de monde qu’il y avait sur les routes à 3 heure du matin, la dame changea de conversation surprise peut-être que je ne lui fasse pas d’avances, et me dit :
E – Vous avez une très belle voix, et peut-être est-ce dû à l’instrument dont vous jouez, vous faites très viril sur scène, vous devez plaire à beaucoup de femme.
M – Merci du compliment, mais souvent les musiciens émoustillent leur public féminin, l’effet d’être dans la lumière sans doute, c’est agréable et facilite les rapprochements d’après concerts.
E – Et vous vous rapprochez souvent ?
M – Quand une fille me plait oui bien sûr !
E – Et ce soir, il n’y avait pas de fille à votre gout ?
M – Si mais disons que l’occasion ou l’envie n’y était pas
E – Vous me trouvez comment ?
M – Vous êtes une très belle femme, très classe !
E – Mais pas votre genre ou surtout trop vieille sans doute ?
J’étais gêné et ne voulais pas la froisser ni être irrespectueux, mais, tout de même troublé
M – Je ne me permettrai pas de brancher une dame de votre classe, inimaginable pour moi j’aurai trop peur d’un râteau.
E – Vu comme çà
Je la sentais légèrement agacée, la situation commençait de plus en plus à m’exciter et je décidai de me lancer. Je profitais d’un arrêt à un feu rouge pour l’embrasser à pleine bouche. Elle ne refusa pas mon baiser et nos langues s’entremêlèrent fougueusement et profitais de ce moment pour lui caresser la cuisse et remonter doucement dans son entrecuisses, elle écartait les jambes pour me faciliter le passage, je bandais ! Un coup de klaxon stoppa nette mon exploration et je redémarrais aussitôt. Elle mit sa main sur ma cuisse et ne dit plus rien, sinon le chemin pour me guider jusque devant chez elle. Je me garais sur un bateau à quelques mètres de son entrée d’immeuble et lui repris la bouche tout en lui glissant la main entre les cuisses et commençais à lui caresser le sexe à travers sa culotte et son collant. Elle retira ma main presque aussitôt.
E – Non !! C’est très agréable mais pas dans ma rue, des voisins pourrait me reconnaitre, même à cette heure, tu viens chez moi ?
Et comment que je vais venir chez toi, je ne vais pas me la mettre sur l’oreille maintenant que tu m’as excité comme un fou, pensais je.
M – Volontiers, mais il faut que je trouve une place pour me garer et je te rejoins, il y a un code à l’entrée ?
E – Fait une petite marche arrière et attends devant l’entrée du parking, il y a des places de libres, il faut juste que je monte chercher la télécommande pour ouvrir la porte du garage.
M – Ok je t’attends
La miss sort de la voiture et file vers l’entrée de l’immeuble, j’en profite pour mater ses formes, elle est super bien roulée la dame. Quelques minutes passent et je la vois revenir et d’un geste ouvrir la porte coulissante du garage, elle grimpe à mes côtés et me guide dans les sous-sols pour me garer. La voiture stationnée, c’est elle qui se jette sur moi pour m’embrasser et, curieuse, pose sa main sur la bosse de mon pantalon, le déboutonne et glisse sa main dans mon slip, et me branle, ma queue libère quelques gouttes d’excitation.
E – Je te fais de l’effet on dirait, je vais te montrer ce que vaut une femme d’expérience, je vais peut-être t’apprendre des choses.
Elle sort sa main de mon pantalon et se lèche les doigts langoureusement.
E - humm fait-elle en me regardant d’un air malicieux.
E – allez vient, on sera plus à l’aise chez moi.
Nous sortons du véhicule, elle me prend part la main et empruntons l’ascenseur direction le 7ème (un présage peut-être). J’en profite pour lui rouler un patin en lui caressant les seins et lui pince les bouts. Elle sursaute, se cambre mais semble appréciez car elle augmente l’intensité de notre baiser en me mettant la main au paquet. Je vais me régaler.
Nous entrons dans l’appartement et filons directement dans la chambre et nous jetons sur le lit. Nous continuons de nous embrasser, je lui ouvre son chemisier, glisse ma main dans son dos et lui dégrafe son soutien-gorge que je remonte pour saisir ses seins et les gober. Ils sont de bonne taille, pas très ferme mais ont l’air de se tenir. Je tète goulument ses bouts qui sont très longs, elle glousse sous mes caresses. J’en profite pour glisser une main sous la jupe de son tailleur mais elle est très serrée. Nous stoppons nos ébats et décidons de nous déchausser et d’enlever nos vêtements. En quelques secondes nous sommes complètement nus et nous allongeons à nouveau. Je l’embrasse, lui suce les seins et descend progressivement jusqu’à son sexe. Elle a une belle touffe fournie mais entretenue, je plonge mon nez dedans et commence à la lécher doucement. Elle mouille la coquine ! Je lui lape les lèvres et du bout de la langue lui titille son clito en lui insérant un doigt, elle gémit !
E – Oh oui c’est bon, vas-y…..fouille moi !
C’est bien la première fois qu’on me dit çà, bien qu’ayant déjà un certain nombre de conquêtes à mon actif, le langage cru ne faisait pas encore parti de mes pratiques. Du coup, je glisse 2 doigts, puis 3 dans un mouvement de va et vient, tout en tournant ma main et lui présente mon pouce à l’entrée de son petit trou. Elle est trempée et bouge son bassin de manière que mon pouce fini par s’introduire d’une phalange dans son anus. J’ai 3 doigts dans sa chatte et maintenant mon pouce dans son cul, elle couine.
E – Oh !!! Salaud ! Qu’est-ce que tu me fouilles bien ! Oui continu comme ça !
J’ai maintenant 4 doigts à l’entrée de sa chatte main ça ne rentre pas, j’enlève mon pouce de son cul et essai de tourner ma main pour explorer sa chatte mais visiblement ça ne rentre pas, elle glousse toujours mais ne me facilite pas pour autant l’entrée. J’alterne la fouille et la lèche et de temps en temps un doigt dans le cul.
Bien qu’afféré à mon ouvrage, j’avais une drôle de sensation. Etait-ce l’âge de la dame, son langage cru ou tout simplement mon émoi, mais il flottait dans la pièce quelques choses d’inhabituel et d’inconnu. Je sens la belle montée en puissance, elle est au bord de l’explosion.
E – Oui vas-y salaud fait moi jouir, n’arrête pas ! Bouffe-moi la chatte ! Fouille-moi !
Je décide de me repositionner sur le lit pour mieux la faire grimper au rideau avec ma langue mais surtout mes mains. Et c’est à cet instant que j’aperçois en ombre chinoise dans l’encadrement de la porte, la silhouette d’un homme bedonnant, visiblement nu, s’activant sur sa queue en profitant du spectacle. Surpris par ma découverte, j’arrête net de besogner la coquine, m’allonge sur elle en lui roulant un patin et puis lui susurre à l’oreille :
M – Qui c’est le type dans l’entrée ?
J’en profile pour regarder par-dessous mon bras pour savoir ce que fait l’inconnu, il a disparu !
E – Ne t’inquiète pas chéri, c’est mon époux, mais tu crains rien. Nous avons des jeux complices et il adore me voir me faire baiser par un autre homme.
Elle me pousse sur le côté et m’embrasse tout me saisissant la queue.
E - Continu s’il te plait, il ne te fera rien, il aime regarder c’est tout.
M – Comprends que c’est troublant comme situation, tu aurais dû me prévenir.
E – Ce n’est pas facile à amener dans une conversation surtout quand ce n’est pas prévu et que la personne n’est pas initier, enfin visiblement.
Elle lache ma queue qui est devenue molle et me caresse la nuque en faisant des petits bisous.
E – Désolée, tu es sans doute trop jeune pour comprendre nos jeux ! Je suis trop excitée pour rester sur ma faim, il faut que tu termines ce que tu as commencé.
Les choses s’embrouillaient un peu dans ma tête, cette situation était très troublante, je me disais qu’ils étaient quand même un peu tordus, mais en y réfléchissant j’avais toujours envie de la baiser en espérant que son mari n’ai pas des envies bi. Ça commençait à bouillir dans mon esprit, mes pensées devenaient salaces, ils veulent du cul, ils vont en avoir, me disais-je.
M – Vous faites souvent ce genre de plan ?
E – Non ! Tu seras le troisième, il aime me voir sortir, me faire draguer et ramener mon amant à la maison.
M – Il ne fait que regarder ?
E – Oui, ça l’excite et il se branle en me regardant le faire cocu.
M – Il ne te baise plus ? Il a des problèmes d’excitation ?
E – Non pas du tout, il me fait toujours l’amour et même plutôt bien, ça met du piment dans notre vie sexuelle, ça ne s’explique pas, c’est le jeu d’un soir.
M – Et toi, tu le fais pour lui ou ça t’excite.
E – Tu l’as bien vu toute à l’heure, j’adore jouer les salopes dans certains cas et changer de partenaire savoir que ça excite mon homme me plait beaucoup. Puis je aller lui dire qu’il peut nous regarder ?
M – Ok mais juste regarder.
Elle se lève et sort de la chambre, j’entends un murmure de voix mais sans distinguer les propos. Elle réapparait au bout de quelques minutes 2 verres à la main.
E – Mon mari est à la vodka orange, je nous en ai servi 2, si tu aimes ?
M – Oui je veux bien merci !
E – A la tienne ! Mon mari te remercie de ta compréhension et espère que tu vas me faire gueuler, c’est ce qu’il m’a dit pendant que je suçais un peu toute à l’heure.
M – Tu l’as sucé là ? Tu es vraiment … chaude !
E – Tu peux le dire, je suis une salope, une catin qui aime se faire baiser devant son cocu de mari. Tu peux me traiter de tous les noms cela décuple notre excitation. Allez poses ton verre et reprenons où nous en étions.
Elle s’allonge alors sur le lit les jambes écartées et me dit « Viens ! »
Je ne bande plus, je l’embrasse et retourne lui brouter le minou. Sa chatte est humide, je la lèche avec délectation, j’introduis mon majeur dans sa fente et vais et viens doucement, je le glisse maintenant dans son petit trou qui s’ouvre pour l’accueillir et lui branle le cul tout en aspirant son clito, elle gémit.
E – Ah le salaud, il me branle le cul, ahhh ! J’ai envie de ta queue !
Elle m’excite comme fou, je bande dur, j’abandonne son sexe et me met à genoux sur le lit.
M – Tu veux ma queue salope ? Prends-la dans ta bouche !
Ni une, ni deux, elle se met à genoux, saisie ma bite à 2 mains et prend mon gland entre ses lèvres et commence à me pomper. J’aperçois monsieur qui est entrée dans la chambre, il se tient debout dans l’entrée et se masturbe doucement.
M – T’aime ça sucer des queues hein ! Allez pompe moi bien comme ça à fond !
Et je lui appuis sur la tête pour tenter de lui enfoncer mes 19 cm à fond, mais elle s’étouffe et je relâche la pression. Je m’allonge sur le dos, elle continue à me pomper, levant de temps en temps le regard vers moi avec des yeux coquins et interrogateurs, l’air de me demander si elle suce bien. Elle saisit un préso poser sur la table de nuit, l’ouvre et me l’enfile avec habileté. Je pense qu’elle a envie d’autre chose. Elle vient sur moi, m’embrasse se frotte comme une petite chatte, et s’empale sur mon pieu dressé par l’envie. Elle remonte ses jambes une à une pour être à genoux assise sur moi et continue à m’embrasser à pleine bouche en soupirant. Elle relève son torse me permettant ainsi de saisir à 2 mains ses seins que je malaxe, que je pétrie, puis saisissant les deux tétons je les pinces doucement puis plus fort, elle glousse et pousse des petits cris. Elle n’arrête pas d’aller et venir sur ma queue. Je lui saisis les 2 fesses et les pétris fortement et d’un doigt habile lui caresse sa rondelle, qu’elle relâche et resserre pour m’encourager. Je lui introduis mon majeur bien à fond dans le cul, elle pousse un petit cri. Elle s’empale de plus plus fort, ses gémissement augmentent, je garde mon doigt dans son cul en accompagnant ses mouvements.
M – T’aime ça salope de faire doigter le cul ?
E – Ouiiiii !
Elle se met à crier, elle va jouir !
E – Oh oui comme c’est bon ouiiii !
Elle se déchaine et semble prendre un pied terrible. Elle s’immobilise et vient m’embrasser, je retire mon doigt de son rectum, et lui caresse le dos et reste en elle.
E – Quel pied j’ai pris
M – C’est à moi maintenant, tu vas me finir
E – Bien sur mon chéri, tu veux que je continue comme ça ? Tu veux que je te suce ?
M – J’ai envie de ton cul, tu m’as énervé et j’en ai envie.
E – Non, je ne peux pas, ta bite est trop grosse, tu vas me faire mal.
M – Je reformule, je veux ton cul, tu comprends ! Reste comme ça c’est toi qui va le faire à ton rythme
Je retire alors ma queue de sa chatte, m’enduis les doigts de sa mouille et lui étale sur son petit trou. Elle se laisse faire.
M – Maintenant dit le moi !
E – Quoi ?
M – Que tu as envie que je t’encule, tu l’as déjà donné ton cul ?
E – Oui, je l’ai déjà donné !
M – A qui ?
E – A mon mari et aussi à un autre
M – Alors demande le moi, dis-moi que tu en as envie et que tu vas le donner, ton cul de salope !
Je lui prends la main et la dirige vers ma queue pour qu’elle la guide.
M – Je t’écoute, j’attends !
E – J’en ai envie et je vais te le donner, mais fait doucement
M – Dis-moi ce que tu as envie
E – J’ai envie de me faire enculer, j’ai envie de te donner mon cul salaud
M – C’est toi la salope qui se fait prendre le cul par n’importe qui, allez empale toi salope, montre comment tu fais la pute.
Elle guide ma queue de sa main vers sa rondelle, de mes mains je lui écarte les fesses, mon gland est entrée, elle gémit de douleur, je bouge légèrement pour faciliter la pénétration, elle s’enfonce un peu plus poussant des petits cris. Je l’encourage.
M – Oui comme ça, maintenant encule toi à fond.
Elle est maintenant assise, cambrée, ma queue dans le cul jusqu’à la garde, mes 2 mains tiennent ses seins, elle ne bouge plus.
M – Ouah comme il bon ton cul, t’aimes ça te faire enculer, allez bouge maintenant, donne-moi mon plaisir.
Elle bouge doucement, elle semble avoir un peu mal, mais continue son va et vient sur mon chibre tendu. A ma demande elle accélère le mouvement, elle s’empale maintenant dans des mouvements plus soutenus en poussant des cris approbateurs.
M – C’est bon de se faire enculer, dis-moi ?
E – Oh oui tu m’encules bien, tu me prends bien le cul, je suis ta salope ta chienne à baiser, ta pute. Vas-y défonce moi le cul salaud. Ohh ! Ahh ! Oui ! J’ai envie d’être prise comme une chienne, à 4 pattes.
M – Vas y enlève toi et tourne toi, mets-toi 4 pattes salope, je fais te défoncer le cul.
Elle se retire, et se met à 4 pattes face à son mari qui se branle toujours. Je me place derrière elle et mate son trou du cul bien ouvert et offert, elle attend sagement la saillie. Il fait nuit mais je distingue nettement son mari maintenant, car l’éclairage de la rue passe facilement à travers les fins rideaux. C’est un homme la cinquantaine 1m75 90k environ bedonnant, astiquant une queue de taille moyenne mais large, debout adossé au mur il se branle doucement sans un mot, il semble appréciez le spectacle.
Je saisie ma bite la dirige vers son anus et l’enfonce sans modération à fond, elle pousse un cri mais tends toujours son cul, elle en veut. Je reste au fond de son cul et me penche sur elle, la main gauche en appui sur le lit et de l’autre je commence à la masturber et lui doigter la chatte. Elle se tortille de plaisirs.
M – Allez bouge ton cul, encules toi pendant que je te branle salope, fais-moi jouir dans ton cul de pute.
E – Oui branle moi, je vais te faire jouir dans mon cul !
Elle accélère le rythme et sous mes caresses joui à nouveau en hurlant
E – Salaud qu’est-ce que tu me fais ? J’ai la chatte et le cul en feu !
Je lui saisi les hanches et d’un grand coup à fond décharge dans le préso
M – Tiens salope je me vide dans ton cul !
E – Oui vide toi les couilles en moi
Nous nous écroulons sur le lit, je me retire de son anus et m’allonge à côté d’elle, elle se retourne m’embrasse, m’enlève le préservatif, se couche sur le dos et vide le préservatif sur ses seins.
E – C’est très bon pour la peau ! Dit-elle en se frictionnant la poitrine avec ma semence.
E – Tu veux bien me sucer encore un peu.
Je suis vidé mais j’obtempère, elle mérite bien ça. Je me glisse entre ses cuisses et lui titille le clito avec ma langue, lui écartant les lèvres de mes doigts. Elle se trémousse à nouveau, qu’elle gourmande elle en demande encore, Pour ma part popole est en berne pour l’instant. Je continus mon jeu de langue sur son bouton, elle soupire !
E – Elle est bonne ta langue, tu me lèche bien, Oh ouiii !
Je lui glisse 2 doigts dans la chatte.
E – Oh oui c’est bon ! Vas-y fouille moi salaud !
Je lui mets 3 doigts, puis 4, ma main entière fouille sa chatte je n’ai que le pouce dehors. Je le pli à l’intérieur de ma main et tente d’y introduire ma main entière. Elle crie !
E – Oh salaud qu’est-ce que tu me fais !
Ca résiste à l’entrée, je tourne ma main, elle gémit mais écarte encore un peu plus les jambes, ça y est sa chatte vient d’engloutir ma main, elle hurle.
E – Oui baise moi ! Fouille-moi !
Je vais et viens dans son con avec ma main, en prenant soin de ne pas sortir, je la fiste, mon poing tape le fond de sa caverne, elle crie, un violent orgasme la traverse, elle hurle sa jouissance. C’est à ce moment que son mari s’approche du lit, se met au-dessus d’elle et lui déverse son jus dans la bouche. Elle continue à gémir mais garde la bouche grande ouverte pour recevoir tout le foutre de son homme. Je la vois déglutir, le sperme coule le long de sa joue, il se relève et sort de la chambre. J’ai cessé mes mouvements, je la laisse récupérer un peu et sors lentement ma main de son antre.
Elle se lève, me propose de visiter la salle de bain et m’y conduit.
Il est plu de 5 heure du mat’, je suis crevé, je m’habille remercie la dame et prends congés. Après avoir récupéré ma voiture je reprends la route direction mon lit, la tête embuée par tant de sensations nouvelles et troublantes et surtout très excitantes.
Je ne reverrai jamais cette dame, à l’époque les téléphones portables n’existaient pas et je n’ai pas pensé de lui demander un numéro, ni laisser le mien, peut-être ne souhaitaient ils que des one shot avec des inconnus. Je ne saurai jamais, mais c’est certain, cette expérience m’a ouvert de nouveaux horizons et laissé une trace indélébile dans un coin de mon cerveau.
J'espère quelques commentaires, d'autres histoires suivront, toutes vraies.

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