Je ne partage pas vraiment cet avis de se sentir plus "cocu" si le partenaire de la femme jouit en elle sans capote. En fait, avec ou sans préservatif, je ne me sens pas cocu.
Pour que cela arrive, il faudrait qu'elle fasse les choses sans que je le sache. D'ailleurs, un jour, elle me lance tout de go qu'elle voulait arrêter les recherches sur Wyylde. Surpris je m'étonne de voir qu'elle veuille arrêter. Arrêter ? me dit-elle. Non, chercher quelqu'un et le faire sans auebtuble saches. Je te le dirais après. Si la bouche a laissé sortir un "ça va pas?", ma queue, elle, m'a trahi ! On en a par la suite beaucoup parlé, on s'est beaucoup excité avec cette idée, mais ça n'a pu se faire. Là, pour le coup, oui, j'aurais été cocu, avec ou sans capote.
Cela dit, je vous rejoins sur le fait que voir sa femme pénétrée nature, savoir qu'une autre queue va vider sa semence dans son étroit fourreau a quelque chose de très excitant et jouissif.
D'ailleurs, nous l'avons vécu une fois.
Bien que l'ayant relaté dans le fil qui retrace nos aventures candaulistes, je vous en livre un résumé.
Quelques mois plus tôt, lors d'une venue en France, nous avions rencontré un jeune trentenaire. En contact avec lui depuis pas mal de temps, nous avions finalement renoncé à le rencontrer. Mais voilà que sur un coup de tête, un soir, ma femme lui propose un rendez-vous... qu'il s'est empressé d'accepter. Nous avons finalement atterri chez-lui où j'ai pu contempler ma femme être prise car ce garçon. Il l'a bien faite jouir et tous les deux ont vraiment adoré. Au point qu'il a remué ciel et terre pour remettre ça. Mais ce ne fut pas possible.
Quelques mois plus tard, de retour en France, on booke finalement une soirée avec lui. Une nuit en fait.
Tout se passe à merveille mais voilà qu'au moment paroxysmique, il nous lâche qu'il n'a pas de capotes, qu'il pensait que nous en amènerions (car c'est comme ça que ça s'était passé la première fois, mais il nous l'avait demandé).
Assis sur le sol au pied du lit, j'en étais mort de rire. La déconfiture totale et absolue des deux amants.
La scène était tellement surréaliste que je commence sur le champs à rédiger cet épisode sur notre fil.
D'un coup, je me retourne et je le vois en train de la besogner. Croyant qu'il nous avait fait marcher avec son histoire de capotes, je passe derrière et constate, non sans stupeur, qu'il est bel et bien en elle, sans rien ! Le choc ! Mélange d'excitation intense, de sentiment de trahison et de colère (car ma femme ne m'avait pas consulté avant de prendre cette décision qui nous engageait tous les deux).
Quand je suis venu me poster au niveau de sa tête, elle vit à mon expression que les choses ne se passaient pas pour le mieux. Elle me depanda si ça allait et je lui répondis que non. Nous échangions dans une autre langue pour qu'il ne comprenne pas. D'ailleurs, il continuait à la pilonner, accélérant peu à peu la cadence. Elle l'arrêta peu avant qu'il ne vienne en elle.
Tout ça a coupé leur élan.
Plus tard, comme il se faisait tard, la question s'est posée de savoir si nous rentrions sur Paris (45mn de voiture) ou si nous dormions sur place.
On a dormi sur place.
Eux ensemble et moi dans une autre chambre.
Il a fait jouir ma femme toute la nuit, avec ses doigts et sa langue. À un moment donné, elle est venue se glisser sous les draps contre moi, m'embrassant fougueusement. Et là, l'air mutin et satisfait, elle me demande si j'ai aimé son goût à lui : il venait de jouir dans sa bouche et, après avoir avalé, elle est venue de suite me faire goûter sa semence. Effet garanti ! Une trique d'enfer. Elle est venue s'empaler sur ma queue et après quelques brefs mouvements du bassin, je me répandis dans sa chatte trempée.
Après être passée aux toilettes, elle l'a rejoint et là, émergeant du sommeil dans lequel il avait sombré, il lui a fait un cunni !

Tel est pris qui croyait prendre.
On pense qu'il a réalisé à posteriori ce qu'il avait fait vu les questions qu'il a posées à ma femme plus tard.
Au total, elle a reçu sa semence trois fois dans sa bouche au cours de cette nuit.
Nous l'avons reçu deux jours plus tard car soit l'un soit l'autre en mourrait d'envie.
Et cette fois, j'avais donné mon accord à ma femme pour qu'ils aillent jusqu'au bout.
Et c'est ce qu'il s'est passé. Elle a joui comme rarement je l'ai vu jouir. Il y a, dans notre fil, l'enregistrement audio de son orgasme que je ne me lasse pas d'écouter. Et lui s'est vidé en elle.
Après, le regard encore brûlant de leur étreinte, elle m'a tendu une main que je saisis. Je savais ce que cela signifiait. Nous en avions parlé tous les trois à une époque...