- 18 déc. 2017, 00:30
#2109541
Chers amis, voilà quelque temps que je suis vos activités sur ce forum depuis un autre compte, j'ai du créer celui-ci par soucis de discrétion car ma femme ne souhaite pas être identifiée et c'est pour vous raconter comment je suis - enfin - devenu un heureux mari cocu que je prends la plume aujourd’hui.
C'est enfin arrivé !
Après des années de fantasmes, ma petite femme s'est enfin décidé à faire de moi un cocu content !
Tout s'est produit assez vite, elle connaissait mon appétence pour les fantaisies candaulistes et souhaitant mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle après quelques années de mariage, elle a finit par me relancer sur cette vieille idée de me "cocufier".
Il n'a pas fallu me le dire deux fois, très vite je lui proposait l'inscription sur un site libertin, qu'elle accepta volontiers. Le profil a été tout de suite agrémenté d'une photo de ses délicieuses fesses et de ses non-moins délicieux seins pointus.
J'ai bien senti que l’intérêt qu'elle suscitait auprès des mâles ne la laissait pas indifférente...un jeune éphèbe de 24ans (elle n'en a pas beaucoup plus) a vite retenu son attention.
Elle, un peu débordée et n'ayant pas le temps de chatter et moi, un peu pressé, je lui donnait vite le conseil de dialoguer par SMS...et SPAM SPAM !
Bien m'en a pris, deux jours après l'inscription, les échanges de photos coquines commençaient, pour son plus grand plaisir, et le mien !
Je dois dire qu'à partir de là elle n'a plus cessé de me surprendre : planifiant vite un rdv chez nous, un jour où nous savions qu'une de mes réunions allait se prolonger dans la soirée.
Le jour dit, je reçu un SMS en fin d'après midi de son petit cul étreint dans un tanga noir, planté sur ses cuisses emmitouflées de bas couleur chair, elle soulevait sa très courte robe (destinée initialement a être portée avec un pantalon ou un short...).
Elle me confiera après avoir mouillé tout l'après midi en pensant à ce qui l'attendait. Voilà une semaine qu'elle se chauffait à blanc, car indisposé par les servitudes imposées au corps féminin par la nature, elle n'avait pas pu s'adonner à des coquineries avec moi. (Elle a eu l’amabilité de me branler quand je lisais les SMS pervers qu'elle envoyait à son futur amant).
Quand l'heure fut venu de rentrer, elle me commandant par sms de ne pas arriver avant 19h15, je pris mon temps et n'arriva à mon domicile qu'à 20h.
Depuis la rue, je vis que la lumière du salon était allumée, ainsi que celle du couloir qui donne sur la chambre...c'est généralement ce que nous faisons pour obtenir une lumière tamisée quand on baise.
Je vais jusqu'à ma porte d'entrée, un peu anxieux à l'idée de ce que je vais découvrir : comment salue-t-on poliment un jeune mec venu sauter votre femme ?
J'ouvre la porte et ne découvre dans le salon que deux coupes de champagne à peine entamée, de la musique sur le PC...et la chambre occupée !
En souriant, je pose mes affaires et me dirige vers mon bureau attenant à la chambre, en face, dans le couloir.
Par la porte, je vois des jambes entrelacées, et j'entend des bruits de sucions, de baisers langoureux et de doigts qui fouillent une petite chatte humide, avec efficacité, puisque les gémissements de ma femme ne laisse aucun doute sur le carractère agréable de la caresse qu'elle reçoit.
Cette petite salope est vraiment entrain de faire ça sous mes yeux ! Je n'en reviens pas tant c'était inespéré seulement 15 jours auparavant !
Ma bite réagit assez vite et devient bien dûre.
Le jeuneot se lève au bout d'un moment, pour prendre une capote dans son pantalon, il m’aperçoit et tente un timide "Bonjour"...je le sens un peu gêné et lui adresse un signe de la main avec un sourire qui veut dire "Fais-toi plaisir !".
J'ignore s'il a compris l'invitation, mais il reprit bien vite sa position, sa jeune bite dressée offerte aux taquineries expertes de ma salope de femme !
N'en tenant surement plus, il finit par monter sur elle, qui comprend vite, et écarte grand ses cuisses pour accueillir cette belle et jeune bite qui ne demande qu'à la libérer en prenant aussi son plaisir pervers.
Elle doit être bien ouverte, car il entre sans difficulté avant de la fourrer avec vigueur, dans un va et viens tonique. Les mains de mon épouse ne restent pas inactives, tripotant son torse, ses fesses...ils s'embrassent beaucoup dans des bruits de sucions baveuses et assoiffées de luxure.
Considérant que c'est son tour de mener la danse, ma femme monte sur sa bite, je l’aperçois dans le reflet de la vitre, elle le chevauche avec avidité, sa queue ne doit pas cesser de la fouiller. Elle danse sur le membre dressé et s'abat par fois sur son amant, qui s'empare alors de son cul (qu'il gratifie de quelques belles claques sonores !) avant de donner le rythme avec ses hanches.
Voulant la prendre "par derrière", elle accepte, mais dans sa chatte uniquement, ils se glissent quelques instant sur le côté, et elle finit par offrir sa croupe en levrette.
Je crois que la vision ce petit cul assoiffé de bite, bien cambré sous ses yeux, a eu raison du jeune, il lâche son jus dans un râle de plaisir bien au fond de ma femme (plus exactement, de la capote !).
Pour ma part il y a bien longtemps que je me suis essuyé la bite dans une morceau d'essuie-tout, puisque ce spectacle m'aura rapidement fait gicler.
Elle me confirmera après qu'il baise très très bien (trois orgasmes, me dira-t-elle !), et a bon espoir de le revoir.
Eh bien je ne demande que ça !
C'est enfin arrivé !
Après des années de fantasmes, ma petite femme s'est enfin décidé à faire de moi un cocu content !
Tout s'est produit assez vite, elle connaissait mon appétence pour les fantaisies candaulistes et souhaitant mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle après quelques années de mariage, elle a finit par me relancer sur cette vieille idée de me "cocufier".
Il n'a pas fallu me le dire deux fois, très vite je lui proposait l'inscription sur un site libertin, qu'elle accepta volontiers. Le profil a été tout de suite agrémenté d'une photo de ses délicieuses fesses et de ses non-moins délicieux seins pointus.
J'ai bien senti que l’intérêt qu'elle suscitait auprès des mâles ne la laissait pas indifférente...un jeune éphèbe de 24ans (elle n'en a pas beaucoup plus) a vite retenu son attention.
Elle, un peu débordée et n'ayant pas le temps de chatter et moi, un peu pressé, je lui donnait vite le conseil de dialoguer par SMS...et SPAM SPAM !
Bien m'en a pris, deux jours après l'inscription, les échanges de photos coquines commençaient, pour son plus grand plaisir, et le mien !
Je dois dire qu'à partir de là elle n'a plus cessé de me surprendre : planifiant vite un rdv chez nous, un jour où nous savions qu'une de mes réunions allait se prolonger dans la soirée.
Le jour dit, je reçu un SMS en fin d'après midi de son petit cul étreint dans un tanga noir, planté sur ses cuisses emmitouflées de bas couleur chair, elle soulevait sa très courte robe (destinée initialement a être portée avec un pantalon ou un short...).
Elle me confiera après avoir mouillé tout l'après midi en pensant à ce qui l'attendait. Voilà une semaine qu'elle se chauffait à blanc, car indisposé par les servitudes imposées au corps féminin par la nature, elle n'avait pas pu s'adonner à des coquineries avec moi. (Elle a eu l’amabilité de me branler quand je lisais les SMS pervers qu'elle envoyait à son futur amant).
Quand l'heure fut venu de rentrer, elle me commandant par sms de ne pas arriver avant 19h15, je pris mon temps et n'arriva à mon domicile qu'à 20h.
Depuis la rue, je vis que la lumière du salon était allumée, ainsi que celle du couloir qui donne sur la chambre...c'est généralement ce que nous faisons pour obtenir une lumière tamisée quand on baise.
Je vais jusqu'à ma porte d'entrée, un peu anxieux à l'idée de ce que je vais découvrir : comment salue-t-on poliment un jeune mec venu sauter votre femme ?
J'ouvre la porte et ne découvre dans le salon que deux coupes de champagne à peine entamée, de la musique sur le PC...et la chambre occupée !
En souriant, je pose mes affaires et me dirige vers mon bureau attenant à la chambre, en face, dans le couloir.
Par la porte, je vois des jambes entrelacées, et j'entend des bruits de sucions, de baisers langoureux et de doigts qui fouillent une petite chatte humide, avec efficacité, puisque les gémissements de ma femme ne laisse aucun doute sur le carractère agréable de la caresse qu'elle reçoit.
Cette petite salope est vraiment entrain de faire ça sous mes yeux ! Je n'en reviens pas tant c'était inespéré seulement 15 jours auparavant !
Ma bite réagit assez vite et devient bien dûre.
Le jeuneot se lève au bout d'un moment, pour prendre une capote dans son pantalon, il m’aperçoit et tente un timide "Bonjour"...je le sens un peu gêné et lui adresse un signe de la main avec un sourire qui veut dire "Fais-toi plaisir !".
J'ignore s'il a compris l'invitation, mais il reprit bien vite sa position, sa jeune bite dressée offerte aux taquineries expertes de ma salope de femme !
N'en tenant surement plus, il finit par monter sur elle, qui comprend vite, et écarte grand ses cuisses pour accueillir cette belle et jeune bite qui ne demande qu'à la libérer en prenant aussi son plaisir pervers.
Elle doit être bien ouverte, car il entre sans difficulté avant de la fourrer avec vigueur, dans un va et viens tonique. Les mains de mon épouse ne restent pas inactives, tripotant son torse, ses fesses...ils s'embrassent beaucoup dans des bruits de sucions baveuses et assoiffées de luxure.
Considérant que c'est son tour de mener la danse, ma femme monte sur sa bite, je l’aperçois dans le reflet de la vitre, elle le chevauche avec avidité, sa queue ne doit pas cesser de la fouiller. Elle danse sur le membre dressé et s'abat par fois sur son amant, qui s'empare alors de son cul (qu'il gratifie de quelques belles claques sonores !) avant de donner le rythme avec ses hanches.
Voulant la prendre "par derrière", elle accepte, mais dans sa chatte uniquement, ils se glissent quelques instant sur le côté, et elle finit par offrir sa croupe en levrette.
Je crois que la vision ce petit cul assoiffé de bite, bien cambré sous ses yeux, a eu raison du jeune, il lâche son jus dans un râle de plaisir bien au fond de ma femme (plus exactement, de la capote !).
Pour ma part il y a bien longtemps que je me suis essuyé la bite dans une morceau d'essuie-tout, puisque ce spectacle m'aura rapidement fait gicler.
Elle me confirmera après qu'il baise très très bien (trois orgasmes, me dira-t-elle !), et a bon espoir de le revoir.
Eh bien je ne demande que ça !