- 18 janv. 2019, 09:30
#2254516
en effet une belle cochonne a blacks...
et toi tu restes habillé ou tu es nu et tu leur montres ta cage ?
et toi tu restes habillé ou tu es nu et tu leur montres ta cage ?
- 18 janv. 2019, 09:35
#2254520
J'assiste nu avec ma cage ou mon plug...c'est plus douloureux de voir sa femme crier de plaisir avec toutes ces belles bites blacks qui la pilonnent que de s'enfiler un plug à urêtre qui me procure même une certaine jouissance..mais ça chut elle doit pas le savoir sinon je vais en être privé 
- 18 janv. 2019, 14:28
#2254585
Humiliant à souhait ! 
Ma chérie adore s'envoyer en l'air... surtout quand c'est avec d'autres que moi...
- 18 janv. 2019, 14:49
#2254592
Le plug ne se fait pas éjecter?
Tu aurais pu choisir un modèle de cage basée sur ce principe du plug, sans "cage" autour du pénis, mais avec un anneau de testicules pour le verrouiller en place.
arracheur40 a écrit :Tout à fait...Ça m empêche de me branler pendant que je regarde ma femme s' enfiler des bites blacks à la chaîne...et elle est fière de montrer que sa lopette de mari est totalement soumis et impuissant
Le plug ne se fait pas éjecter?
Tu aurais pu choisir un modèle de cage basée sur ce principe du plug, sans "cage" autour du pénis, mais avec un anneau de testicules pour le verrouiller en place.
- 20 janv. 2019, 17:32
#2255253
je ne suis que candau mais le temps d une journée on joue aussi avec une cage
j ai le droit d être parmi vous ??
j ai le droit d être parmi vous ??
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
- 20 janv. 2019, 17:35
#2255257
hum, histoire de donner un peu plus de pouvoir à eli :-)
lopette cocu avec une petite nouille encagée
- 22 janv. 2019, 21:12
#2255902
Comme @elianeetserge, la cage est plus un jeu qu'un mode de vie. Mais, j'aime bien la porter.
En fait, je n'arrive pas à la porter longtemps. Une fois que le lubrifiant a fini par sécher, elle se colle à la peau de mon gland et elle devient douloureuse.
Donc, toutes les tentatives de dépasser quelques heures ont rapidement échoué.
En fait, je n'arrive pas à la porter longtemps. Une fois que le lubrifiant a fini par sécher, elle se colle à la peau de mon gland et elle devient douloureuse.
Donc, toutes les tentatives de dépasser quelques heures ont rapidement échoué.
- 23 janv. 2019, 00:37
#2255940
Après avoir essayé les deux sortes, je préfère nettement les cages métal.... plus aérée mais nettement plus rigide et psychologiquement plus proche d' une vraie prison...
- 23 janv. 2019, 08:00
#2255970
Moi j'ai aussi celle en acier je la supporte très bien mis a part a la jointure entre l'anneau et la cage qui parfois me coince et pince la peau 
- 24 janv. 2019, 00:33
#2256261
La cage en métal est encore plus difficile à porter. Ce ne sont pas les érections qui me gênent. Au contraire, c'est un supplice agréable qui me relie irrésistiblement à ma princesse. La peau du prépuce, je ne suis pas circoncis, se colle à la cage, ou se coince entre les barreaux, et c'est douloureux.
La version plastique, CB6000, provoque des douleurs lorsque j'urine.
Sinon, je suis à l'aise dedans.
La cage en métal est encore plus difficile à porter. Ce ne sont pas les érections qui me gênent. Au contraire, c'est un supplice agréable qui me relie irrésistiblement à ma princesse. La peau du prépuce, je ne suis pas circoncis, se colle à la cage, ou se coince entre les barreaux, et c'est douloureux.
La version plastique, CB6000, provoque des douleurs lorsque j'urine.
Sinon, je suis à l'aise dedans.
- 24 janv. 2019, 09:47
#2256321
Je vois que vous évoluez toujours dans ce monde du candaulisme.
Bravo les z'amoureux.
par elianeetserge - dim. janv. 20, 2019 5:32 pm
Je vois que vous évoluez toujours dans ce monde du candaulisme.
Bravo les z'amoureux.
S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui durera toute une vie. Oscar Wilde
Pseudo de couple FloetSergio
Pseudo de couple FloetSergio
- 02 févr. 2019, 17:31
#2259185
ça y est, j'ai reçu la mienne !
mise en place ce soir et elle part bien sur avec la clé chez son amant
le w.end
peut être me la retirera à son retour ?
mise en place ce soir et elle part bien sur avec la clé chez son amant
le w.end
peut être me la retirera à son retour ?
- 04 févr. 2019, 10:04
#2259658
le w.end est passé et j'ai toujours mon petit zizi en prison , elle aime ça on dirait bien , a son retour pas de libération donc pas de sexe pour moi
elle ne faisait que rire et elle m'a refusé que je la nettoie juste que je sente son odorante chatte .
deuxiéme jours de travail encagé , j'ai du mal à dissimuler la bosse sur mon pantalon . je l'ai voulu donc...
elle ne faisait que rire et elle m'a refusé que je la nettoie juste que je sente son odorante chatte .
deuxiéme jours de travail encagé , j'ai du mal à dissimuler la bosse sur mon pantalon . je l'ai voulu donc...
Gille a liké
- 06 févr. 2019, 07:08
#2260055
J'aimerais être promené tout nu en cage de chasteté sur une plage au Cap d'agde
- 07 févr. 2019, 14:56
#2260448
C'est normal que le mari reste en cage !
L'amant est là pour elle et pas souvent : alors il faut s'occuper de lui, et que le mari découvre un autre plaisir pendant ce temps : celui de la frustration
L'amant est là pour elle et pas souvent : alors il faut s'occuper de lui, et que le mari découvre un autre plaisir pendant ce temps : celui de la frustration
- 01 mars 2019, 13:33
#2266663
Un cadeau en silicone, un cadeau qui m'a enchanté. Cette cage est une véritable forteresse : impossible de la retirer ! Ce n'est pas la première, ma chérie m'en avait offert une pour mon anniversaire l'an dernier. Une très belle cage en métal dont le port s'est malheureusement révélé bien trop douloureux. Des pincements répétitifs, et la peau du gland qui se collait contre les barreaux dès que le lubrifiant était séché.
J'en ai eu d'autres qui avaient toutes des défauts similaires. J'ai compris qu'il m'en fallait une plus petite. D'ailleurs, la vendeuse nous l'avait conseillé. Mais, le soumis que je suis est têtu, et ne l'avait pas suffisamment écouté.
Ma chérie m'avait accompagné lors de l'achat de cette toute première cage. Nous étions dans une boutique fétichiste parisienne bien connue, Démonia. Ma @PCS adore aller à Demonia. On y allait jusqu'à présent pour lui choisir des tenues en vinyles.
Mais cette fois, pendant qu'elle arpentait les allés de la boutique, j'étais fasciné par les cages qui étaient exposées. Le choix était restreint, mais elles étaient là. Je les avais souvent vues sur des sites internet, ou portées en photo sur ce forum ou dans des vidéos, mais je ne les avais jamais approchées de si près.
L'occasion se présentait, il était temps pour moi de prendre mon courage à deux mains, et de lui en parler. J'étais gêné. Pas facile d'expliquer à sa chérie qu'on désire être encagé.
Fut-elle surprise ? je ne m'en souviens plus, mais curieuse, oui elle l'était ! On a regardé ensemble les différentes cages. Elle m'a posé des questions. Nous étions dans un lieu public, je vous laisse imaginer mon état d'excitation.
Finalement, on a opté pour demander conseil à une vendeuse. J'étais au septième ciel, déjà comblé par l'intérêt que portait ma @PCS à ma demande d'encagement, j'allais devoir subir l'humiliation portée par le regard d'une autre femme, une inconnue. Mes fantasmes de soumission se révélaient au grand jour. @PCS n'était absolument pas embarrassée par sa présence.
L'humiliation de devoir confesser ses fantasmes devant cette jeune vendeuse me galvanisait, ma princesse était avec moi, elle jouait le jeu, c'était délicieux. On posa différentes questions, toutes humiliantes à mon égard, certaines bien plus que d'autres . Et la vendeuse, professionnelle, y répondait très naturellement. Elle nous expliqua entre autre, que plus la cage était petite, moins elle me ferait souffrir, en précisant d'un ton malicieux, que peut-être pour moi, la souffrance était un des buts recherchés. Ce n'était pas mon cas, seuls la frustration et l'abandon de ma sexualité à ma @PCS m'étaient conté. Ce que je dus lui expliquer, tout penaud, sous le regard amusé de ma @PCS. Elle me conseilla alors d'en prendre une petite. Il n'y avait plus le moindre doute sur ma condition, j'étais sous le joug de ma @PCS qui lui expliqua que mes attributs ne nécessitaient en aucun cas d'en prendre une grande...
Malheureusement, on n’imaginait pas à l'époque que ma verge pourrait tenir dans une cage plus petite que celle que nous venions d'acheter. Grave erreur, la vendeuse avait raison, elle était bien trop grande pour ma petite nouille de cocu, et cette cage me fut très difficile à porter. Elle se retrouva rapidement ranger dans un placard.
J'en ai eu d'autres qui avaient toutes des défauts similaires. J'ai compris qu'il m'en fallait une plus petite. D'ailleurs, la vendeuse nous l'avait conseillé. Mais, le soumis que je suis est têtu, et ne l'avait pas suffisamment écouté.
Ma chérie m'avait accompagné lors de l'achat de cette toute première cage. Nous étions dans une boutique fétichiste parisienne bien connue, Démonia. Ma @PCS adore aller à Demonia. On y allait jusqu'à présent pour lui choisir des tenues en vinyles.
Mais cette fois, pendant qu'elle arpentait les allés de la boutique, j'étais fasciné par les cages qui étaient exposées. Le choix était restreint, mais elles étaient là. Je les avais souvent vues sur des sites internet, ou portées en photo sur ce forum ou dans des vidéos, mais je ne les avais jamais approchées de si près.
L'occasion se présentait, il était temps pour moi de prendre mon courage à deux mains, et de lui en parler. J'étais gêné. Pas facile d'expliquer à sa chérie qu'on désire être encagé.
Fut-elle surprise ? je ne m'en souviens plus, mais curieuse, oui elle l'était !
On a regardé ensemble les différentes cages. Elle m'a posé des questions. Nous étions dans un lieu public, je vous laisse imaginer mon état d'excitation.Finalement, on a opté pour demander conseil à une vendeuse. J'étais au septième ciel, déjà comblé par l'intérêt que portait ma @PCS à ma demande d'encagement, j'allais devoir subir l'humiliation portée par le regard d'une autre femme, une inconnue. Mes fantasmes de soumission se révélaient au grand jour. @PCS n'était absolument pas embarrassée par sa présence.
L'humiliation de devoir confesser ses fantasmes devant cette jeune vendeuse me galvanisait, ma princesse était avec moi, elle jouait le jeu, c'était délicieux. On posa différentes questions, toutes humiliantes à mon égard, certaines bien plus que d'autres
. Et la vendeuse, professionnelle, y répondait très naturellement. Elle nous expliqua entre autre, que plus la cage était petite, moins elle me ferait souffrir, en précisant d'un ton malicieux, que peut-être pour moi, la souffrance était un des buts recherchés. Ce n'était pas mon cas, seuls la frustration et l'abandon de ma sexualité à ma @PCS m'étaient conté. Ce que je dus lui expliquer, tout penaud, sous le regard amusé de ma @PCS. Elle me conseilla alors d'en prendre une petite. Il n'y avait plus le moindre doute sur ma condition, j'étais sous le joug de ma @PCS qui lui expliqua que mes attributs ne nécessitaient en aucun cas d'en prendre une grande...Malheureusement, on n’imaginait pas à l'époque que ma verge pourrait tenir dans une cage plus petite que celle que nous venions d'acheter. Grave erreur, la vendeuse avait raison, elle était bien trop grande pour ma petite nouille de cocu, et cette cage me fut très difficile à porter. Elle se retrouva rapidement ranger dans un placard.
- 01 mars 2019, 13:39
#2266667
Me voilà donc ce jeudi matin de Saint Valentin, devant une nouvelle cage de chasteté, elle est posée sur le lit de cette chambre d'hôtel où ma chérie vient de passer la nuit à se faire défoncer. Ma princesse a la ferme intention de me la faire porter. Il est pour moi impossible de m'y dérober. J'ai un peu peur, je l'avoue, et en même temps je suis très excité à l'idée de lui offrir ma génitalité.
L'opération va être complexe, car ma queue est turgescente et il n'y a aucun bac à glaçons à proximité. Cette cage semble beaucoup plus compliquée à installer que toutes celles que nous avions jusqu'à présent essayées.
Je passe le cockring, seul, une couille après l'autre, puis le pénis en dernier. Cet anneau est plus petit que tous ceux que j'ai jusqu'à présent portés. La mise en place terminée, ma chérie lubrifie mon appareil génital, et commence à poser ce délicat appareil. Il est doté d'une tige flexible en silicone qui passe entre les couilles séparant les deux testicules, rendant cette cage impossible à enlever. Je peux vous dire, aujourd'hui, qu'elle est vraiment inviolable.
Elle est très agréable à porter. Je suis bien entendu, serré, et dans l'impossibilité complète de bander, mais je n'ai aucun pincement, aucune gêne de la sorte. Ma tendre et belle aimée ne s'évertue pas particulièrement à m'exciter, mais la voir déambuler en nuisette perchée sur ses talons aiguilles dans la chambre d'hôtel me confine chaque instant un petit plus dans m'a nouvelle condition de sous-mâle encagé.
Espiègle, elle ne résiste pas non plus, à venir de temps à autre me titiller. Chaque attouchement, chaque frôlement lui rappelle que je suis à elle, que la partie la plus intime de mon corps lui appartient. Ses sourires malicieux sont des déclarations d'Amour. Elle joue, elle s'amuse, on s'aime.
Regarder sa poitrine, ses mollets, ses hanches, son petit cul de salope est une douce torture. Narquoise, elle prend plaisir à me narguer l'air de rien. Son corps est libre tandis qu'elle possède le mien.
L'opération va être complexe, car ma queue est turgescente et il n'y a aucun bac à glaçons à proximité. Cette cage semble beaucoup plus compliquée à installer que toutes celles que nous avions jusqu'à présent essayées.
Je passe le cockring, seul, une couille après l'autre, puis le pénis en dernier. Cet anneau est plus petit que tous ceux que j'ai jusqu'à présent portés. La mise en place terminée, ma chérie lubrifie mon appareil génital, et commence à poser ce délicat appareil. Il est doté d'une tige flexible en silicone qui passe entre les couilles séparant les deux testicules, rendant cette cage impossible à enlever. Je peux vous dire, aujourd'hui, qu'elle est vraiment inviolable.
Elle est très agréable à porter. Je suis bien entendu, serré, et dans l'impossibilité complète de bander, mais je n'ai aucun pincement, aucune gêne de la sorte. Ma tendre et belle aimée ne s'évertue pas particulièrement à m'exciter, mais la voir déambuler en nuisette perchée sur ses talons aiguilles dans la chambre d'hôtel me confine chaque instant un petit plus dans m'a nouvelle condition de sous-mâle encagé.
Espiègle, elle ne résiste pas non plus, à venir de temps à autre me titiller. Chaque attouchement, chaque frôlement lui rappelle que je suis à elle, que la partie la plus intime de mon corps lui appartient. Ses sourires malicieux sont des déclarations d'Amour. Elle joue, elle s'amuse, on s'aime.
Regarder sa poitrine, ses mollets, ses hanches, son petit cul de salope est une douce torture. Narquoise, elle prend plaisir à me narguer l'air de rien. Son corps est libre tandis qu'elle possède le mien.
- 01 mars 2019, 13:40
#2266668
Une première matinée encagé, nous sommes à la cafétéria d'Ikéa. Jusqu'à présent ma cage me rappelait seulement ma dévotion. Mais depuis le début du repas, une douleur s'installe. Une douleur difficile à supporter. J'en parle à ma déesse qui me propose de m'en libérer. Elle me donne la clé.
Ma cage retirée, nous passons une après-midi superbe, l'un contre l'autre.
Je ne la remettrais pas dans la soirée. Pour la Saint Valentin ma chérie a besoin de son mâle. Le rendez-vous est donné, il sera honoré. Ma princesse deviendra mon aimé, puis ma soumise, pénétrée, cajolée, et baisée, nous passerons une soirée emboîtée l'un contre l'autre.
Ma cage retirée, nous passons une après-midi superbe, l'un contre l'autre.
Je ne la remettrais pas dans la soirée. Pour la Saint Valentin ma chérie a besoin de son mâle. Le rendez-vous est donné, il sera honoré. Ma princesse deviendra mon aimé, puis ma soumise, pénétrée, cajolée, et baisée, nous passerons une soirée emboîtée l'un contre l'autre.
- 01 mars 2019, 13:53
#2266672
Elle me remettra ma cage le lendemain matin, juste après le petit déjeuner. Une séance où elle revêtira ses habits de maîtresse. Mais, avant cette nouvelle pose qui cette fois devra durer, ma maîtresse a décidé de me vider.
Les jambes croisées, elle m'attend assise sur le canapé. D'un regard elle me fait comprendre que ma place est à ses pieds. Elle m'annonce tranquillement que cette purge sera différente de toutes les autres. Je regarde ses jambes, il m'est difficile de me concentrer. Je bois ses paroles comme un petit chien écoute sa maîtresse. Elle me parle de sa voix douce et suave, en approchant délicatement ses mollets près de mon visage. Je suis prêt à baiser ses pieds. Elle me sent surexcité, elle aime me rendre inférieur.
Mes couilles sont pleines, elles ont assisté à sa nuit d'amour avec son amant, et n'ont pas été purgées depuis que nous nous sommes retrouvés. Elle le sait, et en profite.
Elle m'attrape la queue sans ménagement, en me précisant qu'elle va m'échauffer les sens... Je ne peux pas être plus raide. Ma queue est déjà prête à exploser. Je sens que mon jus a déjà quitté mes couilles.
Elle me précise que cet orgasme sera ruiné. Elle m'ordonne en arborant un sourire malicieux, de bien la prévenir avant de gicler.
L'escarpin de son pied gauche est posé sur mon visage. Ma langue se délecte de sa semelle et de son talon. Elle est un peu gênée de m'obliger à m'abreuver de la sorte et me précise que ses semelles sont relativement propres. Qu'importe ! Je suis prêt à tout lécher.
Son talon est gobé. Sa main a entièrement pris possession de ma queue. Je suis à elle. Elle me regarde contemplant son oeuvre.
Je sens un flot de sperme franchir la barrière du périnée. Elle n'a pas besoin que je lui dise, elle a compris. Sa main me libère des plaisirs de ses allées et venues. Ma queue se raidit, j'explose. Mes jets de foutre atterrissent sur mon ventre et sur on torse.
Une sensation étrange accompagne mes giclées. J'éjacule sans vraiment jouir. Une sensation inconnue, troublante, frustrante. Un plaisir particulier, inachevé que je ne pourrais ici décrire.
Je reprends mes esprits, ma chérie étale avec ses mains mon sperme sur mon corps. Elle veut me le faire goûter, mais je lui dis que je n'aime pas. Elle n'insiste pas. Je ne suis subitement plus aussi soumis.
J'aimerai pourtant lui obéir, mais cet orgasme, ruiné ou partiellement ruiné, n'a pas eu l'un de ses effets escomptés : celui de me garder excité.
Elle me laissera aller prendre une douche et attendra mon retour pour m'imposer un nouveau port de ma chasteté.
Les jambes croisées, elle m'attend assise sur le canapé. D'un regard elle me fait comprendre que ma place est à ses pieds. Elle m'annonce tranquillement que cette purge sera différente de toutes les autres. Je regarde ses jambes, il m'est difficile de me concentrer. Je bois ses paroles comme un petit chien écoute sa maîtresse. Elle me parle de sa voix douce et suave, en approchant délicatement ses mollets près de mon visage. Je suis prêt à baiser ses pieds. Elle me sent surexcité, elle aime me rendre inférieur.
Mes couilles sont pleines, elles ont assisté à sa nuit d'amour avec son amant, et n'ont pas été purgées depuis que nous nous sommes retrouvés. Elle le sait, et en profite.
Elle m'attrape la queue sans ménagement, en me précisant qu'elle va m'échauffer les sens... Je ne peux pas être plus raide. Ma queue est déjà prête à exploser. Je sens que mon jus a déjà quitté mes couilles.
Elle me précise que cet orgasme sera ruiné. Elle m'ordonne en arborant un sourire malicieux, de bien la prévenir avant de gicler.
L'escarpin de son pied gauche est posé sur mon visage. Ma langue se délecte de sa semelle et de son talon. Elle est un peu gênée de m'obliger à m'abreuver de la sorte et me précise que ses semelles sont relativement propres. Qu'importe ! Je suis prêt à tout lécher.
Son talon est gobé. Sa main a entièrement pris possession de ma queue. Je suis à elle. Elle me regarde contemplant son oeuvre.
Je sens un flot de sperme franchir la barrière du périnée. Elle n'a pas besoin que je lui dise, elle a compris. Sa main me libère des plaisirs de ses allées et venues. Ma queue se raidit, j'explose. Mes jets de foutre atterrissent sur mon ventre et sur on torse.
Une sensation étrange accompagne mes giclées. J'éjacule sans vraiment jouir. Une sensation inconnue, troublante, frustrante. Un plaisir particulier, inachevé que je ne pourrais ici décrire.
Je reprends mes esprits, ma chérie étale avec ses mains mon sperme sur mon corps. Elle veut me le faire goûter, mais je lui dis que je n'aime pas. Elle n'insiste pas. Je ne suis subitement plus aussi soumis.
J'aimerai pourtant lui obéir, mais cet orgasme, ruiné ou partiellement ruiné, n'a pas eu l'un de ses effets escomptés : celui de me garder excité.
Elle me laissera aller prendre une douche et attendra mon retour pour m'imposer un nouveau port de ma chasteté.
- 01 mars 2019, 16:31
#2266689
Avec une cage type Birdlocked, la sensation n'est pas aussi forte, et ça interdit le port en longue durée sans retrait à cause de la toilette.
Ta déesse devrait investir une 20-taine d'euros dans une cage inox chinoise commandée sur les sites qui vont bien. Et dans 3 semaines, elle pourra te faire goûtre à la chasteté en mode LD (Longue durée), voir TLD sur plusieurs mois ....
Ta déesse devrait investir une 20-taine d'euros dans une cage inox chinoise commandée sur les sites qui vont bien. Et dans 3 semaines, elle pourra te faire goûtre à la chasteté en mode LD (Longue durée), voir TLD sur plusieurs mois ....
- 01 mars 2019, 22:55
#2266790
Les cages métalliques ne me conviennent pas... La peau de mon gland finit tôt ou tard par s'y coller, et elles deviennent douloureuses.
Pas facile de trouver une cage à sa queue !
Pas facile de trouver une cage à sa queue !
- 01 mars 2019, 23:03
#2266792
Je serai dans ce post dans quelques temps ; j'espère que des femmes m'humilieront…
Ma chérie adore s'envoyer en l'air... surtout quand c'est avec d'autres que moi...
- 01 mars 2019, 23:05
#2266793
Au port de la cage s'ajoute, de regarder ma chérie porter en publique la clé de ma soumission.
Au port de la cage s'ajoute, de regarder ma chérie porter en publique la clé de ma soumission.