- 05 févr. 2019, 17:24
#2259956
Mon épouse à quarante-neuf ans et moi, Philippe, la cinquantaine. Nous sommes très amoureux l'un de l’autre, notre vie sexuelle est plus que satisfaisante, sans tabous, nous fantasmons l’un sur l’autre sans secrets, cela nous apportes un plus.
Doris a un corps magnifique, des yeux et un sourire angélique, elle est fine, 48 kilos, une poitrine ferme et un cul rebondis, elle aime se mettre en valeur les formes de son corps, sans jamais le montrer vraiment. Elle est pudique, mais introvertis, elle attire les regards, elle aime ça, et moi aussi. Des jambes fines, un ventre plat, et l’on devine une jolie poitrine dépourvu la plus par du temps de soutien-gorge.
Elle et moi partons demain en vacances sur une île . Pour le voyage en avion, elle porte une jupe courte très confortable en lin très léger, un débardeur moulant très fin et par-dessus un pull et un manteau long destiné à être porté à la main une fois sur place, quand il fera trop chaud ! Dessous, elle porte un mini-string très sexy qui moule et dessine ses petites lèvres intimes, sans soutien-gorge.
Les six heures de vol se déroulent sans encombre et lorsque nous arrivons enfin à l’aéroport, nous prenons notre temps pour nous acquitter des formalités douanières. Nous sommes en vacances, loin de la vie trépidante et particulièrement stressante, alors, tous ces touristes pressés qui se bousculent pour passer avant les autres, nous amuse un peu ! Doris c’est débarrasser de son manteau et de son pull, le petit aéroport est dépourvu de climatisation, elle est très belle, les formes arrondies de sa poitrine sont des plus en valeur sous le tissus tendu, la pointe de ces seins sortes en relief bien en évidences, je dois dire que j’adore ça...!
Nous sommes donc les derniers de la file et, étant presque au seuil de la zone de contrôle, je remarque un douanier à l'allure particulièrement douteuse qui semble regarder ma compagne d'une manière très insistante, voire inquiétante! Mais bon, je dois me faire des idées ! Je constate enfin qu’il se reconcentre sur ses obligations professionnelles avec les autres passagers qui nous précèdent. Je me faisais effectivement des idées ! Deviendrais-je paranoïaque avec l’âge ? Notre tour arrive enfin. Le douanier en question nous dévisage en consultant nos passeports : avons-nous l'air si fatigué que les photos ne correspondent plus à nos passeports! Pourtant ils ne datent que de l’année dernière ! Nous n’avons pas tant vieilli que cela en si peu de temps ! Et toujours mon esprit qui vagabonde et surfe sur les chemins de la luxure ! J’imagine rapidement que cet homme de couleurs en uniforme aurait bien entreprit ma belle de ces formes sensuelles et de sa bouche pulpeuse. Je passe le contrôle sans problème et brusquement, le Bip de la porte retentie, le truc qui énerve et qui est tant redouté par tous ceux qui ont pris l’avion une fois dans leur vie me ramène à la réalité, Doris est pétrifiée d’avoir déclenché l’alarme du portique. En une seconde, le douanier s’approche et lui adresse ... « Excusez-moi madame, vous allez devoir nous suivre ainsi que votre mari, nous allons être obligés de procéder à quelques vérifications complémentaires, Ne craignez rien, ce n’est que la procédure. Suivez-moi dans le local de contrôle, s’il vous plaît (trop poli pour être honnête, celui-là !).
Nous n'en menons pas large mais nous n'avons rien à nous reprocher. Néanmoins on a toujours l’impression d’être coupable avant d’avoir été jugé innocent. Déjà peu rassurée de débarquer dans un pays étranger, elle se plaisait à me le répéter il y a encore quelques mois lorsque je lui ai fait part de mon intention dans l’idée de partir en vacances sur une petite île au large des côtes Africaines ! Le fait de suivre ce douanier à la tenue stricte, aux grande mains et cheveux peignés avec soin, dans un endroit inconnu pour des "vérifications" disait-il ! Mais quelles vérifications ? Les autres qui avaient bipé avaient tout juste ôté leurs chaussures, subit une palpation rapide, et puis c'était tout ! Ma tendre épouse se posait plein de questions et, je dois l'avouer, moi aussi. Ce pays était pourtant réputé pour être convivial avec les touristes, car c'était bien là une des rares ressources de cette pauvre République héritière d'un communisme dépassé. Nous pénétrons dans une salle glauque, meublée d'un bureau qui devait dater du siècle dernier, d'une table rectangulaire en bois exotique cernée de quatre chaises paillées ! Pas de fenêtres, le local est complètement borgne et sentait le renfermé et le tabac froid. Une armoire trônait au coin de la pièce et quelques boîtes archives souillées étaient posées pelle mêle sur les rayonnages....
À suivre...
Doris a un corps magnifique, des yeux et un sourire angélique, elle est fine, 48 kilos, une poitrine ferme et un cul rebondis, elle aime se mettre en valeur les formes de son corps, sans jamais le montrer vraiment. Elle est pudique, mais introvertis, elle attire les regards, elle aime ça, et moi aussi. Des jambes fines, un ventre plat, et l’on devine une jolie poitrine dépourvu la plus par du temps de soutien-gorge.
Elle et moi partons demain en vacances sur une île . Pour le voyage en avion, elle porte une jupe courte très confortable en lin très léger, un débardeur moulant très fin et par-dessus un pull et un manteau long destiné à être porté à la main une fois sur place, quand il fera trop chaud ! Dessous, elle porte un mini-string très sexy qui moule et dessine ses petites lèvres intimes, sans soutien-gorge.
Les six heures de vol se déroulent sans encombre et lorsque nous arrivons enfin à l’aéroport, nous prenons notre temps pour nous acquitter des formalités douanières. Nous sommes en vacances, loin de la vie trépidante et particulièrement stressante, alors, tous ces touristes pressés qui se bousculent pour passer avant les autres, nous amuse un peu ! Doris c’est débarrasser de son manteau et de son pull, le petit aéroport est dépourvu de climatisation, elle est très belle, les formes arrondies de sa poitrine sont des plus en valeur sous le tissus tendu, la pointe de ces seins sortes en relief bien en évidences, je dois dire que j’adore ça...!
Nous sommes donc les derniers de la file et, étant presque au seuil de la zone de contrôle, je remarque un douanier à l'allure particulièrement douteuse qui semble regarder ma compagne d'une manière très insistante, voire inquiétante! Mais bon, je dois me faire des idées ! Je constate enfin qu’il se reconcentre sur ses obligations professionnelles avec les autres passagers qui nous précèdent. Je me faisais effectivement des idées ! Deviendrais-je paranoïaque avec l’âge ? Notre tour arrive enfin. Le douanier en question nous dévisage en consultant nos passeports : avons-nous l'air si fatigué que les photos ne correspondent plus à nos passeports! Pourtant ils ne datent que de l’année dernière ! Nous n’avons pas tant vieilli que cela en si peu de temps ! Et toujours mon esprit qui vagabonde et surfe sur les chemins de la luxure ! J’imagine rapidement que cet homme de couleurs en uniforme aurait bien entreprit ma belle de ces formes sensuelles et de sa bouche pulpeuse. Je passe le contrôle sans problème et brusquement, le Bip de la porte retentie, le truc qui énerve et qui est tant redouté par tous ceux qui ont pris l’avion une fois dans leur vie me ramène à la réalité, Doris est pétrifiée d’avoir déclenché l’alarme du portique. En une seconde, le douanier s’approche et lui adresse ... « Excusez-moi madame, vous allez devoir nous suivre ainsi que votre mari, nous allons être obligés de procéder à quelques vérifications complémentaires, Ne craignez rien, ce n’est que la procédure. Suivez-moi dans le local de contrôle, s’il vous plaît (trop poli pour être honnête, celui-là !).
Nous n'en menons pas large mais nous n'avons rien à nous reprocher. Néanmoins on a toujours l’impression d’être coupable avant d’avoir été jugé innocent. Déjà peu rassurée de débarquer dans un pays étranger, elle se plaisait à me le répéter il y a encore quelques mois lorsque je lui ai fait part de mon intention dans l’idée de partir en vacances sur une petite île au large des côtes Africaines ! Le fait de suivre ce douanier à la tenue stricte, aux grande mains et cheveux peignés avec soin, dans un endroit inconnu pour des "vérifications" disait-il ! Mais quelles vérifications ? Les autres qui avaient bipé avaient tout juste ôté leurs chaussures, subit une palpation rapide, et puis c'était tout ! Ma tendre épouse se posait plein de questions et, je dois l'avouer, moi aussi. Ce pays était pourtant réputé pour être convivial avec les touristes, car c'était bien là une des rares ressources de cette pauvre République héritière d'un communisme dépassé. Nous pénétrons dans une salle glauque, meublée d'un bureau qui devait dater du siècle dernier, d'une table rectangulaire en bois exotique cernée de quatre chaises paillées ! Pas de fenêtres, le local est complètement borgne et sentait le renfermé et le tabac froid. Une armoire trônait au coin de la pièce et quelques boîtes archives souillées étaient posées pelle mêle sur les rayonnages....
À suivre...