- 25 juil. 2019, 11:19
#2317814
Bonjour à tous,
J'ai attendu 28 ans pour vous raconter mon histoire vécue intitulée ''My sister un law'' sur ce forum.
Je n'attends pas plus de 48H00 pour vous raconter ma nouvelle aventure.
Toutefois je vous avouerais que certains récits que je lis me paraissent tellement surréalistes, il m'arrive parfois de douter de leur véracité. Je ne sais pas si ça vous fait la même chose, mais je conviens que l'histoire qui n'est que du pur vécu de la vraie vie, puisse paraître invraisemblable tant les choses se sont déroulées très vite.
J'avoue que ça ne me lâche plus l'esprit tant c'est puissant et je dirais soudain
Inscrit depuis 3 mois sur un site de rencontres très connu , mais non identifié comme libertin, je discutais depuis 5 à 6 semaines avec une belle femme couleur ébène, car je suis très attiré par les africaines ou métisses. Pour l'identifier, appelons là ''Bey''
Après plein d'échanges par tchats, et via Wathsapp, avec à peine quelques sous entendus qui laissaient deviner une femme très ouverte, enfin, nous nous rencontrons il y a 10 jours dans un contexte des plus classiques. Le Mercredi est un de ses 2 jours de congés de la semaine, nous nous donnons donc rendez vous chez elle à 11H00 sur Aix en Pce.
Le coeur animé par quelques pulsations plus rapides qu'à l'habitude, j'arrive donc devant la résidence. Je l'appelle, elle me répond illico. Je lui dis, ça y est, je suis là. Je la vois sortir de chez elle, et elle me fait signe de venir. Il faisait chaud bien entendu, elle avait une longue robe à fleur avec des lunettes de soleil, une chevelure magnifique, j'étais conquis, sous le charme dans la seconde.
Elle m'invite à rentrer chez elle, on parle de la vie, de nos vies d'hier et d'aujourd'hui, on parle de tout de rien, elle m'offre à boire, le temps passe, midi arrive. Je lui propose de l'emmener au restaurant. Bey n'est pas compliquée, elle me dit, à 400 M, il y a un resto de viande, elle me précise qu'elle a envie de viande, le restaurant en question est une enseigne connue, la Bouch*r*e pour ne pas le citer.
Parfait me dis-je, en plus, Bey n'est pas exigeante, elle se contente du resto commun ou chacun de nous peut s'arrêter manger.
Nous prenons notre temps, je la flatte, elle me flatte aussi, je caresse sa main et son avant bras en mangeant, sa peau est très douce, je lui dis, elle me retourne le propos, ça démarre plus tôt pas mal. Je la trouve jolie, je le lui dis, elle me réponds, mais tu es beau aussi.
Bref, des échanges j'allais dire de tourtereaux.
Une fois le restaurant fini, je lui demande ce qu'elle voulait faire, et lui propose même de l'emmener sur la côte bleue pour un bain de mer, histoire de découvrir nos corps au moins visuellement, puisque maillot bain pour ce faire.
Elle me regarde au pied de la voiture sur le parking, nous nous prenons mutuellement par la taille, elle pose ses lèvres (africaines) charnues sur les miennes, et me dit d'une voix suave, vient, on retourne chez moi.
La distance étant courte pour revenir chez elle, tout va très vite. Elle me fait rentrer dans sa petite maison qu'elle loue de plein pied, me fait visiter sa maison, joliment décorée.
Toutes le fenêtres étaient ouvertes, mais volets fermés pour garder le frais autant que possible. Ce qui donnait une ambiance très tamisée.
Puis elle disparait dans la salle de bain, et elle me dit, ''n'hésite pas il fait chaud, mets toi à l'aire''. Alors j'ai enlevé mes chaussures de ville pour me mettre pieds nus, et ouvris ma chemise pour qu'elle puisse mieux apprécier mon torse, toujours avec mon stress naturel quand au fait de ne pas en faire de trop, trop vite.
Puis elle ressort de la salle de bain, belle comme la reine de Saba, seins nus, et uniquement en petite culotte avec un sourire qui en disait tellement long. Je me suis senti un peu gêné, non parce qu'elle était quasiment nue devant moi, mais parce que j'avais l'impression d'être un petit enfant qui n'avait pas osé ôter ses vêtements. Surement maladroitement, j'ai alors enlevé mes vêtements juste en gardant mon caleçon. Elle me pris dans ses bras, nos bouches, nos langues se mélangeaient alors avec une sensualité indescriptible, la chaleur montait, elle me fit bander instantanément et bien entendu, elle le senti puisque nous étions collés l'un à l'autre dans cette étreinte à la fois de tendresse, de sensualité, et presque de bestialité tant l'envie qui était la sienne sans aucun doute avait stimulé la mienne. Avant de me dire ''vient, on va dans la chambre, nous sommes embrassés fougueusement, nos mains caressaient nos corps, elle me caressait les fesses au travers de mon caleçon, moi les siennes, elle glissa ses mains sous mon caleçon, jusque à venir caresser mon sexe tendu furtivement, et m'entraîner par la main dans sa chambre.
Allongés sur le lit, il ne se passa pas une minute, avant qu'elle n'enlève sa culotte brésilienne, et moi mon caleçon. Je bandais comme rarement j'ai bandé. Elle était très belle, elle est très belle. Elle découvrit mon sexe, rasé, et oh surprise, je découvrais le sien entièrement épilé au laser (ce qu'elle me confiera un peu plus tard) .
La suite est délicieuse, les jours qui suivaient donnaient lieu à divers expérience dont celle qui représentait l'ultime fantasme à transformer en essai, ce qui fut fait avant hier même.
J'ai attendu 28 ans pour vous raconter mon histoire vécue intitulée ''My sister un law'' sur ce forum.
Je n'attends pas plus de 48H00 pour vous raconter ma nouvelle aventure.
Toutefois je vous avouerais que certains récits que je lis me paraissent tellement surréalistes, il m'arrive parfois de douter de leur véracité. Je ne sais pas si ça vous fait la même chose, mais je conviens que l'histoire qui n'est que du pur vécu de la vraie vie, puisse paraître invraisemblable tant les choses se sont déroulées très vite.
J'avoue que ça ne me lâche plus l'esprit tant c'est puissant et je dirais soudain
Inscrit depuis 3 mois sur un site de rencontres très connu , mais non identifié comme libertin, je discutais depuis 5 à 6 semaines avec une belle femme couleur ébène, car je suis très attiré par les africaines ou métisses. Pour l'identifier, appelons là ''Bey''
Après plein d'échanges par tchats, et via Wathsapp, avec à peine quelques sous entendus qui laissaient deviner une femme très ouverte, enfin, nous nous rencontrons il y a 10 jours dans un contexte des plus classiques. Le Mercredi est un de ses 2 jours de congés de la semaine, nous nous donnons donc rendez vous chez elle à 11H00 sur Aix en Pce.
Le coeur animé par quelques pulsations plus rapides qu'à l'habitude, j'arrive donc devant la résidence. Je l'appelle, elle me répond illico. Je lui dis, ça y est, je suis là. Je la vois sortir de chez elle, et elle me fait signe de venir. Il faisait chaud bien entendu, elle avait une longue robe à fleur avec des lunettes de soleil, une chevelure magnifique, j'étais conquis, sous le charme dans la seconde.
Elle m'invite à rentrer chez elle, on parle de la vie, de nos vies d'hier et d'aujourd'hui, on parle de tout de rien, elle m'offre à boire, le temps passe, midi arrive. Je lui propose de l'emmener au restaurant. Bey n'est pas compliquée, elle me dit, à 400 M, il y a un resto de viande, elle me précise qu'elle a envie de viande, le restaurant en question est une enseigne connue, la Bouch*r*e pour ne pas le citer.
Parfait me dis-je, en plus, Bey n'est pas exigeante, elle se contente du resto commun ou chacun de nous peut s'arrêter manger.
Nous prenons notre temps, je la flatte, elle me flatte aussi, je caresse sa main et son avant bras en mangeant, sa peau est très douce, je lui dis, elle me retourne le propos, ça démarre plus tôt pas mal. Je la trouve jolie, je le lui dis, elle me réponds, mais tu es beau aussi.
Bref, des échanges j'allais dire de tourtereaux.
Une fois le restaurant fini, je lui demande ce qu'elle voulait faire, et lui propose même de l'emmener sur la côte bleue pour un bain de mer, histoire de découvrir nos corps au moins visuellement, puisque maillot bain pour ce faire.
Elle me regarde au pied de la voiture sur le parking, nous nous prenons mutuellement par la taille, elle pose ses lèvres (africaines) charnues sur les miennes, et me dit d'une voix suave, vient, on retourne chez moi.
La distance étant courte pour revenir chez elle, tout va très vite. Elle me fait rentrer dans sa petite maison qu'elle loue de plein pied, me fait visiter sa maison, joliment décorée.
Toutes le fenêtres étaient ouvertes, mais volets fermés pour garder le frais autant que possible. Ce qui donnait une ambiance très tamisée.
Puis elle disparait dans la salle de bain, et elle me dit, ''n'hésite pas il fait chaud, mets toi à l'aire''. Alors j'ai enlevé mes chaussures de ville pour me mettre pieds nus, et ouvris ma chemise pour qu'elle puisse mieux apprécier mon torse, toujours avec mon stress naturel quand au fait de ne pas en faire de trop, trop vite.
Puis elle ressort de la salle de bain, belle comme la reine de Saba, seins nus, et uniquement en petite culotte avec un sourire qui en disait tellement long. Je me suis senti un peu gêné, non parce qu'elle était quasiment nue devant moi, mais parce que j'avais l'impression d'être un petit enfant qui n'avait pas osé ôter ses vêtements. Surement maladroitement, j'ai alors enlevé mes vêtements juste en gardant mon caleçon. Elle me pris dans ses bras, nos bouches, nos langues se mélangeaient alors avec une sensualité indescriptible, la chaleur montait, elle me fit bander instantanément et bien entendu, elle le senti puisque nous étions collés l'un à l'autre dans cette étreinte à la fois de tendresse, de sensualité, et presque de bestialité tant l'envie qui était la sienne sans aucun doute avait stimulé la mienne. Avant de me dire ''vient, on va dans la chambre, nous sommes embrassés fougueusement, nos mains caressaient nos corps, elle me caressait les fesses au travers de mon caleçon, moi les siennes, elle glissa ses mains sous mon caleçon, jusque à venir caresser mon sexe tendu furtivement, et m'entraîner par la main dans sa chambre.
Allongés sur le lit, il ne se passa pas une minute, avant qu'elle n'enlève sa culotte brésilienne, et moi mon caleçon. Je bandais comme rarement j'ai bandé. Elle était très belle, elle est très belle. Elle découvrit mon sexe, rasé, et oh surprise, je découvrais le sien entièrement épilé au laser (ce qu'elle me confiera un peu plus tard) .
La suite est délicieuse, les jours qui suivaient donnaient lieu à divers expérience dont celle qui représentait l'ultime fantasme à transformer en essai, ce qui fut fait avant hier même.