Miss Olch , qui s’était installée de façon à ce que Mister O puisse prendre soin de son postérieur brûlant finit par tourner son visage vers lui , elle avait les joues rosies par le désir et les lèvres légèrement entrouvertes .Tout dans son visage , dans sa posture montrait le bouillonnement qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même

. Elle marqua un temps d’arrêt, le regarda fixement, avec une certaine avidité :
-« Ce n’est pas tout à fait comme ça que j’imaginais prendre un dernier verre », dit-elle avec un petit sourire gêné.
Instantanément, elle bascula sur le canapé l’air détaché, la main dans les cheveux, les yeux mi-clos, les joues rouges de désirs, les tétons gonflés d’impatience, la jupe retroussée. Elle s’offrit à lui, à ses caresses. …..Une invitation au plaisir.
Mister O ne se fit pas prier, on avait l’impression qu’il connaissait parfaitement le corps de Miss Olch, qu’il le connaissait si intimement qu’il pouvait en percevoir toutes les réponses. Sous sa langue experte, la peau brûlante de la Miss répandait dans la pièce un parfum de femme, tiède et sensuel, que je humais avec délice.
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