- 02 août 2019, 17:53
#2321223
Hello.
Vous aimez les petites blondes matures qui adorent les éjaculations copieuses, les queues par paquet et prendre recto verso sans honte ? Voici notre histoire...
En complément de notre présentation, je vais vous faire part de notre expérience de façon synthétique, le cheminement jusqu'à là ou nous en sommes...
Ensemble depuis 20 ans, mariés, une vie "normale", très sociale, nous avons vécu nos larges premières dix années de couple sans interaction avec d'autres personnes. Nous nous sommes "auto-suffits" dans le couple, en pleine connexion. Mais l'idée de l'ouverture aux autres au niveau sexe, sans en dessiner la forme, a toujours été... non pas imaginée, mais quelque chose que l'on savait exister par ailleurs, et de "pas impossible". Sous quelle forme, quand... là n'était pas la question.
Puis, plutôt sous mon impulsion, mais avec sa pleine complicité, l'idée est venue tout d'abord d'aller en club, ou en sauna. "POUR VOIR" bien sûr. Je pensais que tout était possible, la suite m'a donné raison, mais je l'ai laissée imaginée l'histoire.
Julie est une femme d'environ 1m65, 50 ans maintenant, mince, blonde, de très beaux yeux très bleus. Amateur de formes rebondies, vous ne trouverez pas votre compte : ni fesses ni seins au programme.
Un adorable petit cul sec mais accueillant, une petite bouche, mais surtout un style BCBG complet qui ne laisse rien paraitre en extérieur. Plus sérieuse que sérieuse. Oubliez les salopes assumées du Cap d'Agde bardées de tatouages et de sous vêtements en latex : vous avez à faire là à une jolie femme sage de province (nous habitons dans la région de Lyon), épouse aimante. Pas coincée, mais aimant la normalité.
Quant à moi, même âge, je ne suis pas a proprement parlé COCU (terme qui n'existe pas dans notre relation), car si je suis partageur, je suis également fort actif avec la femme... des autres (et la mienne, cela va s'en dire). Mais le penchant ces derniers temps est bien de laisser ma belle avec des hommes, et le plus est le mieux, le fait que je m'occupe d'une autre femme, si c'est agréable, m'est totalement optionnel. Son plaisir est le mien.
Nos dernières expériences vont d'ailleurs en ce sens. Elle, deux hommes, trois... et mon regard...
Bref, notre première visite en club dans une campagne obscure, a été décevante. Personne, ambiance morose... c'était la découverte et pas une réussite. Mais Miss était surexcitée après notre rapide visite, signe de quelque chose, et n'a pas voulu attendre notre retour à la maison : il a fallu que je l'encule (chose plutôt rare à l'époque) dans la voiture pour éteindre le feu. L'histoire nous montrera que le feu couve encore... il faut plusieurs pompiers pour foyer de cette dimension !
La visite suivante fût plus joyeuse. Un couple sympa nous a pris son son aile, et ça a été la première fois pour moi l'occasion de voir ma femme sucer la bite d'un autre. A ma grande surprise, il avait une toute petite queue, et ceci m'a permis de découvrir la notion de taille (il y a un sujet dans le forum dédié à ça) et j'ai vu surtout a quel point sa femme se délectait de ma trique, massivement plus importante (sans être extraordinaire). Mais en qualité de premiers échanges, c'était déjà une première émotion. Ma femme se révélait active, avec lui et surprise, sensible aux caresses d'une femme, en prodiguant même elle même. Révélation.
Le mari n'a pas pu jouir, je pense qu'il avait une bonne stature de cocu avec son infirme érection, pendant que je faisais couiner sa femme. Nous découvrions alors le subtil équilibre des "donneurs" et des "preneurs", des cocus soumis, du partage sans limite... Une rencontre comme un brouillon initial...
Excités par ce qui était quand même une réussite, tout est allé très vite à la suite. J'avais surtout vu que la case "on y va pour regarder" n'existait pas, tant ma femme se rendait disponible facilement. La suite a été plus qu'une confirmation.
Confortés par cette agréable première expérience intime, nous avons poussé la porte d'un sauna populaire, un soir d'affluence.
Autant être direct : dans un coin câlin, un de mes rôles importants était de faire la circulation (et un peu la police). Viens baiser ma femme qui veut, tant elle garde les cuisses écartées, la bouche ouverte. Ou elle se mets à 4 pattes, ce qui lui permets d'être saillie par des hommes qu'elle ne voyait même pas, trop occupée à sucer des bites. Jeunes, vieux, gros, minces, petites bites, grosses queues, noirs, arabes, blancs...
J'ai compté 12 hommes à la suite un soir. La seule condition était de pouvoir jouir assez rapidement, elle n'aime pas (et toujours pas) les marathoniens du cul.
Je vous demande d'imaginer alors la (bonne) surprise d'avoir confirmation que ma femme est une super amatrice de queues. Quelle image troublante... il faut être bien accroché. Elle se donne sans façon, active et vicieuse. De passage en glory hole, son plus grand plaisir a été immédiatement de vider toutes les bourses de ceux qui avaient la politesse de jouir assez vite.
Je m'occupais bien, pour ma part, d'un ou deux culs de femmes complices volontaires, mais j'ai découvert que mon plaisir principal n'était pas là. Mais elle aime me voir baiser d'autres femmes, alors, que voulez vous...
Après quelques expériences en sauna, nous avons constaté que tout cela était trop aléatoire. Il nous arrivait de faire de belles rencontres, mais aussi des soirs "sans", presque sans hommes pour elle, ou qui faisaient peur... et puis nos goûts en terme d'envies s'affinaient doucement.
Nous sommes alors passé en mode "soirées privées". Et à quoi bon attendre une éventuelle invitation : j'allais organisé tout ça. Et coup d'essai, coup de maître, tout a fonctionné du premier coup.
Dans un joli appartement, rendez vous donné depuis Wyylde à 2 couples, et quelques hommes. Chacun est averti de la thématique de la soirée. Une bouteille à peine débouchée, les rires fusent et, mis d'accord à l'avance, je demande à un homme seul de sortir sa queue, si possible raide et de belle dimension, pour lancer la partie. Ma femme n'est pas la dernière à se ruer bouche ouverte sur une belle bite dressée (même s'il y a parfois de la concurrence chez les jolies épouses salopes), et la soirée est lancée.
Confirmation alors que ma plus grande excitation est bien, outre le fait de voir la femme des autres et d'user de leurs culs, ce qui est fort sympathique, de voir ma propre épouse utilisée, baisée, enculée si le cavalier est adroit, aspergée, souillée. Quel trouble.
Le point culminant est arrivé dès la 2e ou 3e soirée, ou deux beaux mâles africains ont été conviés, avec un autre couple. Un superbe choix qu'il a hélas été difficile de réitérer. Les deux charmants garçons ont été de suite été attirés par cette blondinette mature qui a eut tôt fait de se ruer sur, je dois dire, deux queues massives, très dure pour l'un, et plus énorme encore mais un peu molle pour l'autre...
Voir ce serpent noir recouvrir le visage fin de ma femme, activée à branler l'autre, visiblement dans un état d'oubli total de ma présence, a été un choc visuel important. L'excitation montait d'un sérieux cran.
Je vous fais grâce de toutes les effusions sexuelles en parallèle (dont les miennes), mais le point clé aura été le fait que, occupé par ailleurs avec une épouse certes charmante, j'entendais dans la pièce voisine du petit appartement dédié à nos cochonneries, ma femme gémir d'une façon peu banale.
Je n'étais pas censé être spectateur de cela, mais je découvre alors ma femme en double pénétration, petite femme si blanche de peau, empalée sur la queue énorme d'un des blacks et stupeur, prenant l'autre dans son cul.
Son cul qui a moi ne m'est pas toujours accessible, était là mis en pâture, utilisé par un type monté comme un âne qu'elle ne connaissait pas 2 heures avant.
C'est la seule fois ou j'ai "vacillé". Je peux affirmer que même en ayant joui peu de temps avant, la gaule me reprends immédiatement et c'est un spectacle inouï... Je m'approche, elle ne me voit pas, elle me tourne le dos, une grosse bite black dans la chatte, son petit cul blanc en arrière, tentant d'accueillir avec peine l'énorme queue de l'autre dans son petit trou du cul...
Des secondes qui comptent pour des minutes... Il l'encule mais c'est dur. Trop.
Il se retire et je vois encore alors son anus énorme, comme une étoile noire, dilaté comme jamais. De concert, sans que je ne dise rien, les deux complices décident alors de prodiguer ce qui sera, toujours actuellement, son pêché favori : la double vaginale.
Autant son cul n'aura pas voulu accueillir ce pieu massif, mais un peu trop mou, autant sa chatte, large et ruisselante, accueille alors les deux bites blacks avec une déconcertante facilité. Elle ne me voit toujours pas, et j'ai devant moi ma femme en train de se faire littéralement élargir la chatte par deux blacks... et d'adorer ça.
Elle a su que je l'avais vu, car j'ai assisté à tout jusqu'à la fin et je n'ai pu m'empêcher de venir l'enculer juste à la suite... moi je rentrais "plus qu'à l'aise" dans cet énorme trou laissé béant malgré les quelques secondes seulement d'usage.
Je fais une interlude (pour ceux qui auront eu le courage de lire jusqu'ici). Je lui ai rappelé ces faits, un peu plus tard. C'est le déni. C'est impossible. Ça n'a pas existé...
Elle sait bien sûr que si, mais ELLE n'aime pas parler d'ELLE, pas trop, de ce qui s'est passé. Ça va de mieux en mieux de ce côté là, mais les seuls moments ou on peut aborder ces points, c'est bien sûr pendant l'amour entre nous, ou je sais lui rappeler que ses trous ne sont jamais si bien honorés que lorsque plusieurs hommes s'en occupent.
Après cette double, pendant quelques jours j'ai pu goûter son sexe resté élargi. Un véritable bonheur que flotter dans ce sexe, ce trou à queues, ou je pends alors plaisir à me vider, si possible rapidement, pour qu'elle ressente bien le plaisir de prendre d'autres bons barreaux plus gros, plus résistants.
Ma jouissance la fait jouir également. Son plaisir est mon plaisir, et mon plaisir le sien.
Hyperconnexion.
D'autres moments forts sont intervenus. La voir avec une femme par exemple est toujours un plaisir, mais elle n'est pas vraiment bi.
Dans les personnes rencontrées (et contrairement aux apparences, on rencontre peu), nous avons fait la connaissance de quelques charmants garçons. On aime réinviter quand on s'entend bien, quand c'est BON, mais ce n'est pas toujours aussi simple.
L'un deux a eut une belle connexion spéciale avec elle. Il lui plaisait beaucoup. Les blacks, c'est plus moi que ça excite, elle, elle dit qu'elle s'en moque, c'est plus "la personne" qui la fait vibrer, que la couleur. Ce doit être vrai (mais elle adore pomper leurs jolies queues quand c'est le cas).
Bref, ce garçon là, charismatique, musclé mais pas trop, pas trop grand, chauve avec une jolie barbe et une immense croix tatouée dans le dos, a su la captiver. Il était muni d'un dard comme elle aime, très dur, assez large et de parfaite dimension pour sa chatte et son cul.
Elle ne m'a pas fait cachoterie de son goût pour ce bel homme, très complice avec moi par ailleurs. Il a abusé d'elle comme elle aime, comme j'aime.
Un fait spécial m'a hautement excité, et me fait encore vibrer fortement à son souvenir...
Nous recevions, comme souvent, un ou deux couples et quelques hommes, et affairé que j'étais (à boire un verre quelque part, butinant une autre femme peut-être...), je m'aperçois qu'ils ont disparu. Il est intéressant d'ailleurs de noter que la notion de "échapper au contrôle visuel" est excitant, avec de la peur, de l'envie et beaucoup d'excitation.
Je vois que la porte de la salle de bain est entrouverte. Ils sont les deux seuls, elle le suce à genoux devant lui. Le fait d'avoir quitté le salon, la chambre, pour un univers et du sexe "festif" pour quelque chose de plus intime, ajoute une dimension déjà troublante... C'est une relation entre eux.
Elle se gave de sa queue et je vois qu'il a fortement le contrôle sur elle.
Elle veut son sperme et ça se voit. Je l'ai déjà vu recevoir, parfois, en évitant plus ou moins, ou pas, des éjaculations au visage. Elle accepte mais réfute souvent un peu ça... au moins pour la forme. Elle en rit, ce qui n'est pas très excitant...
Là, ils sont les deux. Et c'est elle qui veut. Elle ne plaisante plus.
Il cède alors et lâche une incroyable dose de crème sur son visage de suceuse. J'aperçois la scène par la porte entrouverte, avec le jeu de miroirs en plus... elle fait ça, et c'est très chaud. Sans moi.
Je vois le sperme épais jaillir par saccades et s'écraser sur son visage, et elle adore. Elle est couverte de foutre et elle aime ça, elle aime sa queue, elle aime son jus.
Elle n'a jamais (trop) refusé la faciale, et avançant dans l'âge, son goût pour "le plaisir masculin" augmente. Notamment grâce à des expériences comme ça. Elle adore quand je décharge en elle et elle aime voir le plaisir des autres hommes. Mais il s'agissait bien ici d'une sorte de vraie envie, plus forte, désireuse de faire la salope, la bouffeuse de sperme, avilie, salie, utilisée, volontairement, avec CELUI dont elle avait ENVIE.
J'ai abordé à la marge ce que j'ai vu avec elle. Sans plus, car je suis bien convaincu qu'il ne faut pas être lourd avec ça pour elle, car assumant "peu" dans sa real life, je ne veux pas la braquer.
J'aime spécialement quand elle fait la pute avec un autre plus qu'elle ne le fait avec moi. Elle m'a demandé une fois, une seule, si limite il y avait. Je n'ai pu que lui dire que plus elle fait la salope, mieux ce sera. Elle applique assez bien le conseil je crois.
C'est d'autant plus surprenant, choquant (dans le bon sens du terme), fort, que les quelques fois (encore une fois nos coquineries sont très rares dans l'année) ou elle se donne pleinement tranche beaucoup avec sa vie de femme au quotidien.
Bien sûr, je bénéficie de cela. Son goût ascendant pour les faciales (qu'elle n'aime faire avec passion qu'avec les hommes - rares - qui ont VRAIMENT envie de ÇA), pour la sodomie, avancent à chaque fois un peu... comment une salope pareille avec des hommes de passage saurait elle refuser à son propre mari ce qu'elle a pris plaisir à faire avec d'autres ?
Quand je la baise, je lui rappelle souvent (mais pas toujours, sinon c'est vite lourd, elle s'en est déjà émue) que sa chatte est plutôt faite pour avoir deux bites à la fois (elle adore) et qu'elle est une vraie bonne videuse de couilles (son appellation favorite).
Nous avons eu des expériences pas terribles aussi. Cette fois ou j'ai fait venir seulement des hommes (une première !), deux blacks là aussi, qui ont affiché tous deux de sérieux problèmes d'érection et une motivation passable... pas de bons coups, en clair. Elle a mal vécu la chose.
Nous réitérons à la fin de cet été, qu'en sera t'il ( inutile de nous proposer quoi que ce soit ici, au passage, on a déjà une fiche, un réseau etc sur le site bien connu... ).
Ce texte est énorme, je ne sais pas s'il sera lu. Et j'ai passé sous silence bien des anecdotes... si vous aimez ça...
Je ne suis pas "cocu" et finalement, ce n'est pas complètement de candaulisme, ce que l'on pratique. Enfin... Mais doucement, nous glissons vers une pratique ou c'est elle qui baise et moi qui regarde. Je lui fournis des mâles et je la vois se faire utiliser (pas toujours) devant moi. Je n'ai plus besoin de baiser les autres, même si c'est bon.
Alors... vivement la suite.
Merci à celui (ou ceux) qui seront venus jusqu'au bout !
Vous aimez les petites blondes matures qui adorent les éjaculations copieuses, les queues par paquet et prendre recto verso sans honte ? Voici notre histoire...
En complément de notre présentation, je vais vous faire part de notre expérience de façon synthétique, le cheminement jusqu'à là ou nous en sommes...
Ensemble depuis 20 ans, mariés, une vie "normale", très sociale, nous avons vécu nos larges premières dix années de couple sans interaction avec d'autres personnes. Nous nous sommes "auto-suffits" dans le couple, en pleine connexion. Mais l'idée de l'ouverture aux autres au niveau sexe, sans en dessiner la forme, a toujours été... non pas imaginée, mais quelque chose que l'on savait exister par ailleurs, et de "pas impossible". Sous quelle forme, quand... là n'était pas la question.
Puis, plutôt sous mon impulsion, mais avec sa pleine complicité, l'idée est venue tout d'abord d'aller en club, ou en sauna. "POUR VOIR" bien sûr. Je pensais que tout était possible, la suite m'a donné raison, mais je l'ai laissée imaginée l'histoire.
Julie est une femme d'environ 1m65, 50 ans maintenant, mince, blonde, de très beaux yeux très bleus. Amateur de formes rebondies, vous ne trouverez pas votre compte : ni fesses ni seins au programme.

Un adorable petit cul sec mais accueillant, une petite bouche, mais surtout un style BCBG complet qui ne laisse rien paraitre en extérieur. Plus sérieuse que sérieuse. Oubliez les salopes assumées du Cap d'Agde bardées de tatouages et de sous vêtements en latex : vous avez à faire là à une jolie femme sage de province (nous habitons dans la région de Lyon), épouse aimante. Pas coincée, mais aimant la normalité.
Quant à moi, même âge, je ne suis pas a proprement parlé COCU (terme qui n'existe pas dans notre relation), car si je suis partageur, je suis également fort actif avec la femme... des autres (et la mienne, cela va s'en dire). Mais le penchant ces derniers temps est bien de laisser ma belle avec des hommes, et le plus est le mieux, le fait que je m'occupe d'une autre femme, si c'est agréable, m'est totalement optionnel. Son plaisir est le mien.
Nos dernières expériences vont d'ailleurs en ce sens. Elle, deux hommes, trois... et mon regard...
Bref, notre première visite en club dans une campagne obscure, a été décevante. Personne, ambiance morose... c'était la découverte et pas une réussite. Mais Miss était surexcitée après notre rapide visite, signe de quelque chose, et n'a pas voulu attendre notre retour à la maison : il a fallu que je l'encule (chose plutôt rare à l'époque) dans la voiture pour éteindre le feu. L'histoire nous montrera que le feu couve encore... il faut plusieurs pompiers pour foyer de cette dimension !
La visite suivante fût plus joyeuse. Un couple sympa nous a pris son son aile, et ça a été la première fois pour moi l'occasion de voir ma femme sucer la bite d'un autre. A ma grande surprise, il avait une toute petite queue, et ceci m'a permis de découvrir la notion de taille (il y a un sujet dans le forum dédié à ça) et j'ai vu surtout a quel point sa femme se délectait de ma trique, massivement plus importante (sans être extraordinaire). Mais en qualité de premiers échanges, c'était déjà une première émotion. Ma femme se révélait active, avec lui et surprise, sensible aux caresses d'une femme, en prodiguant même elle même. Révélation.
Le mari n'a pas pu jouir, je pense qu'il avait une bonne stature de cocu avec son infirme érection, pendant que je faisais couiner sa femme. Nous découvrions alors le subtil équilibre des "donneurs" et des "preneurs", des cocus soumis, du partage sans limite... Une rencontre comme un brouillon initial...
Excités par ce qui était quand même une réussite, tout est allé très vite à la suite. J'avais surtout vu que la case "on y va pour regarder" n'existait pas, tant ma femme se rendait disponible facilement. La suite a été plus qu'une confirmation.
Confortés par cette agréable première expérience intime, nous avons poussé la porte d'un sauna populaire, un soir d'affluence.
Autant être direct : dans un coin câlin, un de mes rôles importants était de faire la circulation (et un peu la police). Viens baiser ma femme qui veut, tant elle garde les cuisses écartées, la bouche ouverte. Ou elle se mets à 4 pattes, ce qui lui permets d'être saillie par des hommes qu'elle ne voyait même pas, trop occupée à sucer des bites. Jeunes, vieux, gros, minces, petites bites, grosses queues, noirs, arabes, blancs...
J'ai compté 12 hommes à la suite un soir. La seule condition était de pouvoir jouir assez rapidement, elle n'aime pas (et toujours pas) les marathoniens du cul.
Je vous demande d'imaginer alors la (bonne) surprise d'avoir confirmation que ma femme est une super amatrice de queues. Quelle image troublante... il faut être bien accroché. Elle se donne sans façon, active et vicieuse. De passage en glory hole, son plus grand plaisir a été immédiatement de vider toutes les bourses de ceux qui avaient la politesse de jouir assez vite.
Je m'occupais bien, pour ma part, d'un ou deux culs de femmes complices volontaires, mais j'ai découvert que mon plaisir principal n'était pas là. Mais elle aime me voir baiser d'autres femmes, alors, que voulez vous...
Après quelques expériences en sauna, nous avons constaté que tout cela était trop aléatoire. Il nous arrivait de faire de belles rencontres, mais aussi des soirs "sans", presque sans hommes pour elle, ou qui faisaient peur... et puis nos goûts en terme d'envies s'affinaient doucement.
Nous sommes alors passé en mode "soirées privées". Et à quoi bon attendre une éventuelle invitation : j'allais organisé tout ça. Et coup d'essai, coup de maître, tout a fonctionné du premier coup.
Dans un joli appartement, rendez vous donné depuis Wyylde à 2 couples, et quelques hommes. Chacun est averti de la thématique de la soirée. Une bouteille à peine débouchée, les rires fusent et, mis d'accord à l'avance, je demande à un homme seul de sortir sa queue, si possible raide et de belle dimension, pour lancer la partie. Ma femme n'est pas la dernière à se ruer bouche ouverte sur une belle bite dressée (même s'il y a parfois de la concurrence chez les jolies épouses salopes), et la soirée est lancée.
Confirmation alors que ma plus grande excitation est bien, outre le fait de voir la femme des autres et d'user de leurs culs, ce qui est fort sympathique, de voir ma propre épouse utilisée, baisée, enculée si le cavalier est adroit, aspergée, souillée. Quel trouble.
Le point culminant est arrivé dès la 2e ou 3e soirée, ou deux beaux mâles africains ont été conviés, avec un autre couple. Un superbe choix qu'il a hélas été difficile de réitérer. Les deux charmants garçons ont été de suite été attirés par cette blondinette mature qui a eut tôt fait de se ruer sur, je dois dire, deux queues massives, très dure pour l'un, et plus énorme encore mais un peu molle pour l'autre...
Voir ce serpent noir recouvrir le visage fin de ma femme, activée à branler l'autre, visiblement dans un état d'oubli total de ma présence, a été un choc visuel important. L'excitation montait d'un sérieux cran.
Je vous fais grâce de toutes les effusions sexuelles en parallèle (dont les miennes), mais le point clé aura été le fait que, occupé par ailleurs avec une épouse certes charmante, j'entendais dans la pièce voisine du petit appartement dédié à nos cochonneries, ma femme gémir d'une façon peu banale.
Je n'étais pas censé être spectateur de cela, mais je découvre alors ma femme en double pénétration, petite femme si blanche de peau, empalée sur la queue énorme d'un des blacks et stupeur, prenant l'autre dans son cul.
Son cul qui a moi ne m'est pas toujours accessible, était là mis en pâture, utilisé par un type monté comme un âne qu'elle ne connaissait pas 2 heures avant.
C'est la seule fois ou j'ai "vacillé". Je peux affirmer que même en ayant joui peu de temps avant, la gaule me reprends immédiatement et c'est un spectacle inouï... Je m'approche, elle ne me voit pas, elle me tourne le dos, une grosse bite black dans la chatte, son petit cul blanc en arrière, tentant d'accueillir avec peine l'énorme queue de l'autre dans son petit trou du cul...
Des secondes qui comptent pour des minutes... Il l'encule mais c'est dur. Trop.
Il se retire et je vois encore alors son anus énorme, comme une étoile noire, dilaté comme jamais. De concert, sans que je ne dise rien, les deux complices décident alors de prodiguer ce qui sera, toujours actuellement, son pêché favori : la double vaginale.
Autant son cul n'aura pas voulu accueillir ce pieu massif, mais un peu trop mou, autant sa chatte, large et ruisselante, accueille alors les deux bites blacks avec une déconcertante facilité. Elle ne me voit toujours pas, et j'ai devant moi ma femme en train de se faire littéralement élargir la chatte par deux blacks... et d'adorer ça.
Elle a su que je l'avais vu, car j'ai assisté à tout jusqu'à la fin et je n'ai pu m'empêcher de venir l'enculer juste à la suite... moi je rentrais "plus qu'à l'aise" dans cet énorme trou laissé béant malgré les quelques secondes seulement d'usage.
Je fais une interlude (pour ceux qui auront eu le courage de lire jusqu'ici). Je lui ai rappelé ces faits, un peu plus tard. C'est le déni. C'est impossible. Ça n'a pas existé...
Elle sait bien sûr que si, mais ELLE n'aime pas parler d'ELLE, pas trop, de ce qui s'est passé. Ça va de mieux en mieux de ce côté là, mais les seuls moments ou on peut aborder ces points, c'est bien sûr pendant l'amour entre nous, ou je sais lui rappeler que ses trous ne sont jamais si bien honorés que lorsque plusieurs hommes s'en occupent.
Après cette double, pendant quelques jours j'ai pu goûter son sexe resté élargi. Un véritable bonheur que flotter dans ce sexe, ce trou à queues, ou je pends alors plaisir à me vider, si possible rapidement, pour qu'elle ressente bien le plaisir de prendre d'autres bons barreaux plus gros, plus résistants.
Ma jouissance la fait jouir également. Son plaisir est mon plaisir, et mon plaisir le sien.
Hyperconnexion.
D'autres moments forts sont intervenus. La voir avec une femme par exemple est toujours un plaisir, mais elle n'est pas vraiment bi.
Dans les personnes rencontrées (et contrairement aux apparences, on rencontre peu), nous avons fait la connaissance de quelques charmants garçons. On aime réinviter quand on s'entend bien, quand c'est BON, mais ce n'est pas toujours aussi simple.
L'un deux a eut une belle connexion spéciale avec elle. Il lui plaisait beaucoup. Les blacks, c'est plus moi que ça excite, elle, elle dit qu'elle s'en moque, c'est plus "la personne" qui la fait vibrer, que la couleur. Ce doit être vrai (mais elle adore pomper leurs jolies queues quand c'est le cas).
Bref, ce garçon là, charismatique, musclé mais pas trop, pas trop grand, chauve avec une jolie barbe et une immense croix tatouée dans le dos, a su la captiver. Il était muni d'un dard comme elle aime, très dur, assez large et de parfaite dimension pour sa chatte et son cul.
Elle ne m'a pas fait cachoterie de son goût pour ce bel homme, très complice avec moi par ailleurs. Il a abusé d'elle comme elle aime, comme j'aime.
Un fait spécial m'a hautement excité, et me fait encore vibrer fortement à son souvenir...
Nous recevions, comme souvent, un ou deux couples et quelques hommes, et affairé que j'étais (à boire un verre quelque part, butinant une autre femme peut-être...), je m'aperçois qu'ils ont disparu. Il est intéressant d'ailleurs de noter que la notion de "échapper au contrôle visuel" est excitant, avec de la peur, de l'envie et beaucoup d'excitation.
Je vois que la porte de la salle de bain est entrouverte. Ils sont les deux seuls, elle le suce à genoux devant lui. Le fait d'avoir quitté le salon, la chambre, pour un univers et du sexe "festif" pour quelque chose de plus intime, ajoute une dimension déjà troublante... C'est une relation entre eux.
Elle se gave de sa queue et je vois qu'il a fortement le contrôle sur elle.
Elle veut son sperme et ça se voit. Je l'ai déjà vu recevoir, parfois, en évitant plus ou moins, ou pas, des éjaculations au visage. Elle accepte mais réfute souvent un peu ça... au moins pour la forme. Elle en rit, ce qui n'est pas très excitant...
Là, ils sont les deux. Et c'est elle qui veut. Elle ne plaisante plus.
Il cède alors et lâche une incroyable dose de crème sur son visage de suceuse. J'aperçois la scène par la porte entrouverte, avec le jeu de miroirs en plus... elle fait ça, et c'est très chaud. Sans moi.
Je vois le sperme épais jaillir par saccades et s'écraser sur son visage, et elle adore. Elle est couverte de foutre et elle aime ça, elle aime sa queue, elle aime son jus.
Elle n'a jamais (trop) refusé la faciale, et avançant dans l'âge, son goût pour "le plaisir masculin" augmente. Notamment grâce à des expériences comme ça. Elle adore quand je décharge en elle et elle aime voir le plaisir des autres hommes. Mais il s'agissait bien ici d'une sorte de vraie envie, plus forte, désireuse de faire la salope, la bouffeuse de sperme, avilie, salie, utilisée, volontairement, avec CELUI dont elle avait ENVIE.
J'ai abordé à la marge ce que j'ai vu avec elle. Sans plus, car je suis bien convaincu qu'il ne faut pas être lourd avec ça pour elle, car assumant "peu" dans sa real life, je ne veux pas la braquer.
J'aime spécialement quand elle fait la pute avec un autre plus qu'elle ne le fait avec moi. Elle m'a demandé une fois, une seule, si limite il y avait. Je n'ai pu que lui dire que plus elle fait la salope, mieux ce sera. Elle applique assez bien le conseil je crois.
C'est d'autant plus surprenant, choquant (dans le bon sens du terme), fort, que les quelques fois (encore une fois nos coquineries sont très rares dans l'année) ou elle se donne pleinement tranche beaucoup avec sa vie de femme au quotidien.
Bien sûr, je bénéficie de cela. Son goût ascendant pour les faciales (qu'elle n'aime faire avec passion qu'avec les hommes - rares - qui ont VRAIMENT envie de ÇA), pour la sodomie, avancent à chaque fois un peu... comment une salope pareille avec des hommes de passage saurait elle refuser à son propre mari ce qu'elle a pris plaisir à faire avec d'autres ?
Quand je la baise, je lui rappelle souvent (mais pas toujours, sinon c'est vite lourd, elle s'en est déjà émue) que sa chatte est plutôt faite pour avoir deux bites à la fois (elle adore) et qu'elle est une vraie bonne videuse de couilles (son appellation favorite).
Nous avons eu des expériences pas terribles aussi. Cette fois ou j'ai fait venir seulement des hommes (une première !), deux blacks là aussi, qui ont affiché tous deux de sérieux problèmes d'érection et une motivation passable... pas de bons coups, en clair. Elle a mal vécu la chose.
Nous réitérons à la fin de cet été, qu'en sera t'il ( inutile de nous proposer quoi que ce soit ici, au passage, on a déjà une fiche, un réseau etc sur le site bien connu... ).
Ce texte est énorme, je ne sais pas s'il sera lu. Et j'ai passé sous silence bien des anecdotes... si vous aimez ça...
Je ne suis pas "cocu" et finalement, ce n'est pas complètement de candaulisme, ce que l'on pratique. Enfin... Mais doucement, nous glissons vers une pratique ou c'est elle qui baise et moi qui regarde. Je lui fournis des mâles et je la vois se faire utiliser (pas toujours) devant moi. Je n'ai plus besoin de baiser les autres, même si c'est bon.
Alors... vivement la suite.
Merci à celui (ou ceux) qui seront venus jusqu'au bout !

zztop a liké