- 10 oct. 2019, 17:45
#2352572
Pour les curieux et avides de lectures... quelques lignes, où j ai raconté cette soirée à mon mari.
Il y avait bien entendu eu un debrief oral, mais nous avions eu besoin de remettre tout cela par des mots, quelques semaines après.
A me relire, je me rends compte que j ai oublié de sacrés bouts dans mon texte d hier.
C est un peu long, je le reconnais, mais je ne vois pas l interet de vous l envoyer en plusieurs posts.
Bonne lecture!
Candy
Seule et lui (vue, vécue, écrit par elle pour moi)
Rédigé le 14 novembre 2018
Extrasystole
...
Un dimanche soir d’aout 2018
Je suis excitée a l idée de réaliser une chose irréalisable, impensable même.... jamais venue a l idée de ma vie, ne serait ce que depuis quelques jours.
Ce n’était pas un rêve avant.
Ca ne l’a pas été pendant.
Ca ne l’a pas été après.
Je m’apprête,
Ma douche est faite, mes cheveux sentent bon... ils sont bien coiffés.
Comme à mon habitude, je prends le soin de me maquiller avec precision.
Rien n’est et rien ne doit être laissé au hasard.
Une robe... on a convenu d’une robe.
Laquelle mettre? Je suis hésitante... surtout pas de redite, je n’aime pas ca.
J’aime rejouer une nouvelle scene dans ces jeux... l’apparat vestimentaire en est une pièce maitresse a mes yeux. Je dois être différente à chaque fois... effet de surprise. Pour toi, pour l’autre, pour moi...
Je decide alors de choisir cette robe a motifs gris/noirs avec son décolleté croisé noir.
Ma poitrine doit être accessible rapidement. Je sais qu il apprécie cette partie du corps.
Je savais déjà quels sous vêtements porter, noir et blanc, sur une des photos que j avais envoyées dans nos messages, il m’avait dit qu il aimait ces sous vêtements.
Pas de bas, c est l’été.
J’enduis mes jambes de lait et d’huile pailletée pour faire ressortir mon bronzage.
Je mettrais des nus pieds.
Je suis prête...
A passer a la trappe
A passer a la moulinette
A être vendue comme de la bidoche
Il n en est rien... je positive
C’est l’ébullition dans mon cerveau
Je ne me suis jamais retrouvée avec un autre homme, seule, nue, touchée, effleurée, baisée...
Mon coeur va sortir de sa cage thoracique, j ai peur.
Je me demande si ce que l’on va réaliser est trop fou? Inutile? Utile?
Et l’après, que va t il se passer après ? Entre toi et moi? Comment vas tu me percevoir, me juger, m’admirer? Vas tu me reconnaître? Vas tu me rejeter? Vas tu me balancer des insanités? Vas tu me le faire payer? Vas tu me faire chanter?
Vas tu encore m aimer?
Tu me conduis sur l’autoroute,
Je sens que tu es tendu, je sens que tu es mal... que tu as mal
Je suis à la limite de te perdre, j’hesite a poursuivre ce qu’on a entamé.
Mais tu es jusqu’au-boutiste...
On arrive a XXXX.
On trouve une place de parking près du point de rencontre, exactement comme prévu.
Je te sens fébrile
Ton coeur bat la chamade
C’est l’extrasystole
Le tour du propriétaire
...
Nous y voilà
Il arrive avec sa voiture... elle n a rien de sexy...rien d’un frimeur.
Elle est à son image, copie conforme a son look... « pratique » sans fioriture!
Je t’embrasse, et te laisse comme un lapin dans les phares...
survivras tu?
Je monte a bord de son auto... nous accompagne sur le chemin : la radio qui diffuse un match de foot...youpi!
Il démarre en trombes, et descend vite la côte.
Il pause sa main sur ma cuisse, et remonte un peu ma robe.
Il est ravi
Grand sourire aux lèvres.
Il sent que je ne suis pas à mon aise, il me dit de me détendre, qu il n y a pas d inquiétude à avoir.
On arrive a l entree de la cour d immeubles, le temps se fait long, on est a l ´arret, rien ne se passe.
Immobilisés devant la barriere.
Je tourne ma tête vers lui, il vient m embrasser langoureusement.
Ca me fait mouiller.
On redémarre, et après quelques centaines de mètres on se stationne au bas de son immeuble.
Je descends de sa voiture, il me demande de ne pas faire de bruit... ses voisins sont rentrés de vacances la veille.
Il faut monter plusieurs étages a pieds, 2 ou 3, je n en ai plus le souvenir,
Il veut que je passe devant lui... il veut mater.
Je lui fais signe d’y aller.
Je passe donc derrière lui.
Il me montre les endroits où poser les pieds, des marches en pierre sont cassées et craquent... ca reveillerait les voisins...
Arrivés sur le pallier, il ouvre son appartement.
Dès l entree, on voit qu il est ordonné.
Chaque chose à sa place... chaque place à sa chose.
La deco est plus que sommaire... un appart de mec seul...
L’appart est propre...
J’ai le droit à la visite...
L’entree donne à gauche sur une cuisine « aménagée » basiquement. Puis un couloir en face de la porte d entree.
A gauche dans ce couloir, les toilettes, puis dans un virage a gauche, la salle de bain.
Au bout du couloir, une chambre d’amis... quasi vide.
A ce moment là, il commence a aborder les choses sérieuses...
il me plaque contre le mur du couloir, m’embrasse goulûment, sort mes seins de la robe.
Puis fourre sa main dans ma culotte et commence a me doigter, avec plus ou moins d’énergie.
Il perçoit de suite, que l excitation est bien présente : je mouille à bloc.
Il écarte mes jambes avec son autre main, pour accéder plus en profondeur à mon vagin... pas de mauvaise surprise... il est tapissé de mouille, il est chaud et moelleux.
Je ne suis pas très à mon aise malgré tout, ce rencard si spécifique et particulier me déstabilise.
Je n’arrive pas à t’oublier
Je n’arrive pas à te sortir de ma tête
Je n’arrive pas à occulter le mal être que j’ai perçu.
On poursuit notre chemin vers sa chambre, puis retournons vers l’entrée. Le salon est préparé avec une bougie tamisée dans un coin, et la télé allumée mais en mode « écran noir » pour ne pas trop éclairer.
Il ne faut pas faire de bruit.
Je m’assois sur le canapé, le tour du propriétaire est terminé.
Le canapé
...
Il est en tissus, assez épais, gris souris.
Assise dessus, il me regarde et sourit.
Mes jambes sont croisées, effet de jeu de jambes ...Je me déchausse doucement.
Il me dit « waouw, j’adore... »
Visiblement il appréciait mon jeu et la façon délicate avec laquelle je défaisais mes nu-pieds.
Je ne suis pas fan de mes pieds, ni de mes jambes... je prenais sur moi pour paraitre la plus sexy possible...
j’avais réussi!
Je me relève alors, et lui demande si je dois me mettre nue.
Il me dit pas complètement.
Je retire alors ma robe, qu il plie et pose sur une chaise, je rapproche mes chaussures. Je ne veux pas déranger.
Me voici en sous vêtements, ses yeux sont écarquillés : « hummm.... j adore » me dit il.
Je reste debout près de la table de salon, et je lui dis que je vais faire une photo, pour te l’envoyer.
Pendant ce temps, il se deshabille et se retrouve en caleçon.
Je fais la photo de mon sac gris velours avec les capotes à proximité.
Je te l envoie et culpabilise d avoir du temps à t envoyer ce 1er cliché tant attendu pour toi... qui est quelque part...rentré à la maison ?
Il baisse alors mon tanga
Il bande déjà, et décide de retirer son caleçon et de mettre une capote.
Il se met devant moi, et me demande de positionner mon pied gauche sur la table de salon.
Il m embrasse a pleine bouche, sa langue est envahissante.
Il aime les baisers. Il en profite.
Il touche mes seins, commencent a les sortir du soutien-gorge et joue avec mes tétons...qui durcissent sous ses coups de langue.
Son regard se transforme... il passe en transe... avide de sexe, je le sens.
Il commence à glisser sa bite dans ma chatte, et a faire des allés venus.
Je suis bien lubrifiée
Il n est pas à son aise, du fait de ma hauteur de bassin... j ai beau plier les genoux, c est un peu laborieux... et j ai du mal me laisser aller, il faut l avouer.
Il decide alors de passer derrière moi, mon pied gauche toujours positionné en hauteur pour laisser ma chatte bien ouverte.
Il me doigte un peu, s assure que je suis open, puis rentre avec un peu plus de puissance dans mon entre chaude et humide.
Il me baise, profondément.
Je fais face à la porte qui donne vers l entree... et je me fais secouer le cul.
Il me touche les tétons en meme temps.
Cette situation est étrange...pour moi
Je ne me libère pas.
Il me propose alors de m installer a califourchon sur lui, installé sur le canapé.
Poupée de cire
Poupée de son
...
Mon corps dit oui
Empalée sur sa queue bien en érection.
Je suis la maitresse du jeu. J’adore!!!
Je lui fais face.
Les yeux dans les yeux.
Ses yeux dans mes seins.
Mes seins dans ses mains.
Il s’attaque à nouveau à mes monts,
Il les titille, les mordille, les lèche, les aspire, les enserre, se coince la tete dedans.
Aucun doute, il est avec ses jeux préférés... il ne les lâchera pas.
Je prends ses lèvres à pleine bouche, je l embrasse avec une hardiesse insolente. Je lui mords les lèvres, je lèche ses lèvres, j’attrape sa langue, la mordille, l’aspire.
Puis je pose mon visage dans son cou, à droite.
Je m’attaque à la jugulaire, je le sens se cambrer, il aime.
Il est sensible lui aussi de cette partie du corps.
Je lèche son cou, l embrasse et remords.
En meme temps, il empoigne mes seins, je bascule le bassin.
Je fais pénétrer sa queue au plus profond de moi.
C’est moi qui mène la danse!
Je frotte mon clito sur son bas ventre.
J’accélère le mouvement, puis ralentis. Et recommence encore et encore.
J’active mes muscles vaginaux pour qu il y ait encore plus de pression interne.
Je sens que le désir monte.
Je suis excitée et stimulée de pouvoir être capable de faire tout cela.
Je m’applique à la tâche, mon corps dit oui!
Les sons stimulent mon corps
Les bruits de chatte mouillée, clapotis et autres tetouillages de seins résonnent...
Ma tête raisonne...
Je pense a toi,
Ma tete dit non
Le saint des seins
...
Il ne les lâche pas.
Il les prend à pleine bouche.
Je suis face à lui, je suis sur lui, je ressens son sex-appeal. Il a envie de mes seins, il les dévore, il a envie de sexe. Nos regards sont emplis de feu.
L’excitation est réciproque, mais je n’arrive pas a me lâcher pleinement.
Je pense a toi.
Je prétexte la soif pour faire une pause. J’ai besoin de communiquer avec toi... j en ai marre de me faire limer sans réussir a jouir.
Je me demande comment il fait pour ne pas jouir, lui....
Moi je sais pourquoi : je n’ai pas l’esprit libéré, tu m’entêtes. Je culpabilise.
Mais lui... pourquoi ne prend il pas son pied? Comment fait il pour tenir si longtemps ? Suis je un bon coup? Est ce que je l excite vraiment ou est il excité par la situation?
Je m’interroge intérieurement mais ne dis rien.
On fait une pause.
Il me propose un verre de coca, ca me va. J en profite pour faire une photo que je t envoie, de lui, buvant son verre, le corps luisant par l effort.
Comment vas tu percevoir ce second cliché ? Je n ai pas pu t en envoyer d’autres, il fait trop sombre... je suis frustrée.
On discute... de la vie, du travail, de comment faire évoluer son avenir professionnel... où vieillir, les coins qu on aime.
Un moment de partage loin de la baise.
Mon cerveau se ressource.
Il a bien débandé mais a conservé la capote qui pendouille sèche au bout de sa queue.
Il s’agenouille devant mes jambes, il les écarte et commence à me lécher la chatte... elle a perdu en moelleux et mouille... le contre-effet du limage. Je lui demande d apporter une serviette éponge.
Il ne s attarde pas, visiblement ce n est pas son truc.
Je lui demande de changer de capote... je trouvais ca glauque.
Dans la foulée, je lui propose de lui sucer la queue. Il est reticent.
La pipe avec capote, il n’en veut pas.
On essaye de se chauffer a nouveau, a coup de jeux de langues, baisers et seins tripotés.
L’excitation revient.
Je lui propose alors d’aller dans sa chambre.
J’ai envie de changer se position, j’ai mal aux cuisses à force de rester à califourchon. Et j’ai envie d’etre sur lui, pour prendre du plaisir.
On part alors en direction de sa chambre, decoration sommaire elle aussi.
Il allume une lampe de chevet.
Les draps sont propres, ils ont été changés pour me recevoir. Les taies d’oreiller sont repassées ! Je suis épatée de ce soin apporté...
Il s’allonge sur le lit, je me mets de côté, près de lui.
Nous nous embrassons langoureusement, je le caresse. Il effleure mon corps.
Je bascule sur lui.
Je prends sa queue dans ma main droite et la fourre dans ma chatte.
J’ai decider d’aller jusqu’à la jouissance... sa jouissance... ma jouissance.
Je m’active sur lui. Mon regard pénètre ses yeux. Je le domine.
Je fais mes jeux de bassins, je remonte et redescends.
Ma chatte est plaquée sur son pubis.
Mon clito a besoin de ce frottement de peau. Il gonfle.
Je sens l’excitation monter en moi, la jouissance n’est pas loin.
J’accelere le mouvement, il bande bien.
Je vois dans son regard qu il est proche de l’exaltation.
Je me redresse pour qu il profite de la vue de mes seins.
Il n’y tient plus.
J’accélère le mouvement, mais je sens que je n y parviendrai pas.
Je lui propose de jouir s’il le souhaite.
Je suis une salope, et je n ai pas besoin de jouir.
Il ne veut pas jouir ainsi.
Il veut étaler son foutre sur mes seins.
Il se retire alors de ma chatte.
Je m’allonge sur le dos, il commence a se branler... il en faut peu.
L’ejaculation est la, il jouit.
Il jouit sur mon corps, il jouit sur mes seins.
J en ai partout. Je lui demande d’étaler sa jute avec ses mains. Il hésite, puis s execute.
J aime ressentir cela.
Il part chercher une serviette propre, il m essuie délicatement, avec précaution.
Il s’allonge a nouveau dans le lit, pres de moi
Le repos du guerrier... durant 15mn
Je ne pense qu’a toi.
Qu’as tu fait?
Dans quel etat vais je te retrouver?
M’aimeras tu toujours?
Me jugeras tu?
Me rejèteras tu?
Le saint des seins était atteint.
Je devais repartir.
La suite tu la connais, nos retrouvailles.
Le malaise.