- « Tu avais raison Math., elle avait froid » dit Cédric.
- « Tiens, tu peux prendre sa place, elle dort à gauche, enfin… elle devrait…, cette partie du matelas est toute neuve, vu qu’elle se colle à moi et qu’elle ne me laisse plus que trente centimètres pour la nuit. » (les hommes mariés devraient savoir de quoi je parle…)

- « Oh tu exagères… bon c’est un peu vrai quand même… »
Cédric et moi nous dévêtîmes, ne gardant que nos caleçons, afin de rejoindre la belle.
Nous primes donc place de part et d’autre de Sandra qui ne bougeait pas allongée au milieu du lit.
J’avais laissé la lumière allumée pour pouvoir apprécier chaque courbe de madame et observer toute réaction ou mouvement de la féline, et à ce titre, je pris l’initiative de descendre la couette jusqu’à son nombril, pour découvrir qu’elle avait opté pour une nuisette en satin blanc cassé à fines bretelles qui tombait parfaitement en épousant ses formes.
Nous constations de ce fait, que ses seins pointaient outrageusement vers le plafond. Cédric semblait de nouveau mal à l’aise. Je frôlais du revers de la main le tissu ainsi tendu et regardait ma femme dans les yeux. Elle s’était tournée vers moi et je pouvais lire en elle son envie d’aller plus loin.
- « Reprends tes caresses Cédric, et n’oublie pas que tu as carte blanche ! »

J’avais l’impression de donner des ordres, aucune initiative de leurs parts, Sandra était soumise à notre bon vouloir et Cédric quant à lui obtempérait, se demandant certainement si tout cela était réel.
La main de Cédric caressait timidement à nouveau cette jolie poitrine à travers la nuisette alors que, toujours en la fixant dans les yeux, je glissais lentement ma main droite sur le ventre de la douce, sous la couette, jusqu’à sa cuisse dénudée, puis entre ses cuisses, pour finalement remonter jusqu’à son puit d’amour. Ses yeux roulèrent sous ses paupières, de nouveau cette grande inspiration, accompagnée d’un mouvement de bassin vers l’avant pour venir à la rencontre de mes doigts.
Je glissais doucement un doigt inquisiteur entre ses grandes lèvres et découvris une liqueur abondante prête à jaillir.
Je retirais ma main et avec un grand sourire je dis à Cédric :
- « Elle est trempée !! Je te laisse constater »

A ses mots Sandra commença à onduler sous les mains de notre ami. Cédric descendit sa main sous la couette et je compris qu’il avait atteint son but lorsque Sandra accéléra sa respiration en ouvrant la bouche. Nous la regardions prendre du plaisir grâce au touché de mon complice, je fis passer les bretelles du voilage de part et d’autre de ses épaules, jusqu’à ce que le tissu se retrouve stoppé par ses pointes érigées. Je posais mon majeur à la base de son cou et lentement, le descendais sur son corps puis tirais sur le satin pour libérer et exhiber à nouveau cette poitrine que j’aime tant.
- « Embrasse-lui les seins ! »
En bon petit soldat Cédric se penchait sur Sandra et entoura de ses lèvres le téton droit, puis le gauche, pour se jeter avec délice sur cette offrande. Sandra était dans tous ses états.
Je profitais qu’ils étaient occupés pour jeter la couette au bas du lit, Cédric avait deux doigts enfoncés en elle, je pouvais entendre le clapotis de sa liqueur dû aux aller-retour doux et tendres de mon ami.
- « Enlève-lui sa nuisette. » soufflais-je à Cédric, il s’écarta et aida Sandra à ôter sa lingerie.
Elle était entièrement nue sous nos yeux, putain qu’elle était belle !
Cédric la regardait avec envie, Sandra avait fermé les yeux, resserré les cuisses et posé les bras le long de son corps. Je venais à son oreille pour lui chuchoter :
- « Ouvre les cuisses mon amour j’ai envi qu’il te voit complètement… »
- « Math. non… » Pas très convainquant…, c’est vraiment histoire de dire non…
D’ailleurs, sans insistance de ma part, juste en posant mes doigts sur sa peau, elle écartait maintenant lentement les jambes sans ouvrir les yeux.
- « Cédric, je te laisse continuer. »
Il se retrouvais à genoux, à masser comme tout à l’heure, les lèvres de ma petite femme avant d’introduire un doigt en elle.
On pouvait tous les deux constater le miel qui ruisselait entre ses fesses jusqu’au lit, son corps ondulait de nouveau, et comme pour accepter et faciliter ces attouchements, elle repliait les genoux pour mieux s’ouvrir au doigté de Cédric, et à son regard pour mon plus grand plaisir. Elle lui offrait toute son anatomie écartant ses cuisses au maximum. J’embrassais et caressais les seins de ma douce profitant de son bonheur, me disant que, vu l’extase dans lequel elle se trouvait, je ne regrettais absolument rien.
Elle était en transe, et gémissait doucement annonçant l’arrivée d’un orgasme, alors je délaissais mon activité, pour venir poser mes mains de chaque côté de sa petite chatte, Cédric se retira les yeux braqués sur l’entre jambe de Sandra. Les doigts posés sur ses grandes lèvres, je les écartais pour donner à Cédric la vue la plus indécente qui soit de ma femme, ce dernier, ne rata rien du spectacle.
- « Embrasse-la ! »
Cédric se pencha sur Sandra et joua de sa langue entre les cuisses ses cuisses.
Il n’en fallut pas plus pour déclencher en elle un orgasme énorme, nue sous les yeux de deux hommes, elle s’abandonnait au plaisir extrême, provoqué par l’association d’exhibitions, de caresses à quatre mains, et d’interdits.