- 22 oct. 2019, 19:01
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La braise.
Nan, nan, vous lisez bien : il y a bien un R !
Je suis chaude comme la braise, j ai ete challengée par mon mari : lui envoyer une photo prise dans les chiottes, moi entrain de sucer G. .
Au fond de ce troquet, dans la pénombre je suis très engageante et engagée. Je joue de mes jambes et remonte ma jupe suffisament haut pour que l on discerne tellement bien la lisière rouge de mes bas que l on voit même le haut de mes cuisses.
J effleure régulièrement ses mains ses cuisses, il vient toucher du bout des doigts mon porte-jarretelles.
Je ressens son envie et en même temps je ne le sens pas très a l aise à jouer en public.
Ce n est pas grave, je poursuis.
Je me rapproche de lui et m accroupie, les jambes légèrement écartées. Et je viens l embrasser langoureusement, puis fais glisser ma main sur sa queue à travers son pantalon, je procède à des vas et viens plus ou moins appuyés, je le caresse. Il bande très fort.
Je suis comme en transe!
Et ce challenge, je veux le reussir!
Une fois bien chauffé, je lui propose de me suivre dans les toilettes et je lui explique que ca me ferait plaisir de lui faire plaisir, et qu il immortalise l instant avec mon telephone.
Il me sourit, mais dans la foulée refuse ma proposition. Il ne se voit pas aller avec moi, dans cet unique toilette aux yeux de tous.
Suis dégoûtée. Mais je comprends qu on n a pas tous un coté exhib caché à l intérieur de soi.
G. n aime pas ces jeux en public.
Je decide donc de contacter mon mari afin qu il nous rejoigne.
Nous voilà tous trois à boire un verre et discuter, et à continuer de se chauffer. J alterne les baisers avec l un puis avec l autre, je n en ai que faire de ce que les autres peuvent penser : je suis ailleurs.
Mon mari propose de nous balader et poursuivre autre part.
On déambule, et finalement on décide de prendre notre voiture pour s éloigner du centre, et aller dans un coin à la limite de la ville afin de poursuivre nos ébats.
Mon mari se retrouve à faire le chauffeur, G. et moi, nous nous retrouvons à l arrière.
G. est pour le coup beaucoup plus entreprenant, il m embrasse intrusivement avec sa langue, me touche les seins, me doigte à la limite de me faire jouir à plusieurs reprises, puis me fait jouir.
Je vois les coups d'oeil dans le rétroviseur de mon mari qui essaye de ne pas en perdre une miette, mais bien difficile pour lui de se concentrer à conduire et mâter ce qui se passe derrière son dos.
Il m avoua après ca, qu il n avait pas aimé ce temps de trajet, de se retrouver chauffeur et ne rien voir.
Nous arrivons près d un pont, endroit que nous connaissons bien pour y avoir fait plein de cochonneries à deux.
Toujours assis à l arrière, mon mari nous rejoint, et me voila coincée entre les deux. Ils me doigtent à tour de role, je fais fontaine de plaisir à plusieurs reprises. La voiture en a gardé trace malgré les différentes tentatives de nettoyage.
Nous descendons de la voiture, et je retire ma robe, mon tanga , et je défais mon soutien-gorge ... me voilà nue dans la nuit en porte-jarretelles.
Je me retrouve à sucer l un qui s assoit sur un siège et me faire baiser la chatte par l autre, de facon alternative. Puis, debout appuyée sur le coté de la bagnole. Ils font un relai!
Je me sentais vraiment, mais vraiment très salope, très chienne même. Je n avais jusqu alors jamais ressenti cela, j avais retiré le carcan de la femme-mère de famille bien sous tous rapports.
Puis je me suis accroupie face à eux deux, qui avaient toujours leurs frocs aux genoux, et je leurs taillais une pipe l un apres l autre, ou l un avec l autre.
Je voyais bien qu ils n y tenaient plus : leurs queues étaient tendues devant moi, leurs glands a vif, la jute prête à jaillir. Je leur ai alors demandé de se branler sur mes seins.
Je les voyais au-dessus de moi, comme deux potes heureux dans leurs regards, de partager cet instant de jouissance.
Ils se sont branlés quelques instants, puis ont joui sur ma poitrine nue. Je me retrouve pleine de sperme sur mes seins, mon cou, mon ventre. J adore!
Je me suis sentie chienne à leurs pieds.
Ce fut un des moments les plus forts que nous ayons vécus dans notre petite experience...
Ce n est qu au retour à la maison, où mon mari me fait un aveu sur cette soirée!
Il est toujours plein d idées...
Sans prononcer les mots, et sans se le dire, il s'etait mis de lui même, dans la peau du cando.
Je vous explique.
Il avait misé dès le départ que j irai dans ce bar... car il savait qu un dimanche soir je n irai pas m aventurer ailleurs, que dans un lieux que je connaissais déjà.
Il est trop fort!
Pendant qu on faisait notre petit tour avec G. Qui ne savait pas où aller, mon mari avait filé tout droit au troquet.
Il s était donc installé dans l'entrée du bar, en retrait derrière les tentures, de facon à ne pas être vu, et à tout voir.
Il m a raconté nous avoir vu rentrer tous deux, inquiet d être decouvert, il a entendu les serveurs se lacher à mon sujet... visiblement ils m auraient reconnue ( de nos soirées passées à siroter quelques cocktails en amoureux...), et murmuré que j'étais une vraie salope!
Visiblement, ils avaient compris le manège...
Mais quand meme, moi, salope ?!?!
Mon mari, etait resté là à tenter de voir ou entrevoir ce qui se passait au fond du rade, jusqu à ce que je lui téléphone.
N etait il pas dans la meilleure position qu il soit de voyeur cando quand même?
Ce fut notre dernière aventure avec G. .
Nous sommes après cela, passé à autre chose...
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