- 06 sept. 2009, 20:30
#53
Je suis la dernière de trois soeurs. Elles sont plus jolies que moi, et surtout plus minces. J’ai toujours trouvé cela injuste et j’en ai longtemps gardé un complexe et un peu de jalousie.
Ma soeur aînée est mariée depuis 15 ans à un homme séduisant qui lui a fait deux beaux enfants. La deuxième a une vie amoureuse plus mouvementée, mais toujours assez romantique.
Moi je suis d’un tout autre style.
Adolescente timide et un peu ronde, j’étais assez réservée et rougissante devant les garçons. Mais dès l’âge de 15 ans, j’avais des seins pleinement formés et bien lourds qui dépassaient de loin ceux des autres filles.
Je remarquai assez rapidement les regards qu’ils attiraient. Au début, j’en était toute troublée mais assez rapidement, je pris plaisir à les mettre en valeur pour jouer de mes atouts.
Quelques mois plus tard, j’embrassais mon premier petit ami. Il s’appelait Julien. Il était gentil, mais il n’avait qu’une seule obsession, c’était d’arriver à dégrafer mon soutif pour jouer avec mes nichons. Je le laissais faire, et mes tétons durcissaient très fort. Mais je ne l’ai jamais laissé mettre la main dans ma culotte parce que je mouillais très fort et que j’en avais presque honte. En plus, je ne voulais pas me déshabiller complètement parce que je trouvais que j’avais un cul énorme. Plus tard, heureusement, j’ai appris à l’aimer, ce cul, et je ne suis pas la seule...
Comme je refusais que Julien me touche la chatte, je me retenais aussi de lui toucher le sexe, même si j’en avais une grande curiosité.
Mais un jour, je ne sais pas ce qui m’a prise, après une soirée dansante, on s’est retrouvés à l’abri d’un buisson dans le parc, je me suis agenouillée et je lui ai sucé la bite sans aucune retenue jusqu’à sentir sa semence gicler dans ma bouche. Je n’avais pas encore 16 ans, mais j’ai tout de suite su que j’avais découvert quelque chose qui allait changer ma vie.
Je l’ai su parce que j’y ai trouvé une volupté extrême. J’ai découvert la magie de tenir un garçon en haleine, du bout des lèvres, de le sentir totalement obsédé par son besoin d’aller jusqu’au bout, puis le plaisir de recevoir la vague qui le submerge.
J’ai tout de suite aimé le goût du sperme. Plus tard j’ai appris, à mon grand étonnement, que ce n’était pas le cas de toutes les femmes, bien au contraire.
Plus tard j’ai aussi appris à mon plus grand étonnement, que j’étais la première fille de ma classe à avoir vraiment sucé un mec. Plusieurs de mes copines affirmaient pourtant être déjà passées à l’acte et, dans ma grande naïveté, je les croyais. J’étais, moi, encore beaucoup trop timide pour parler de ça. Les mots un peu crus me faisaient rougir. Cela semble incroyable quand j’y pense aujourd’hui. Mais, adolescente encore complexée par la rondeur de mes fesses, je parlais peu et je me contentais de vivre passionnément mon premier flirt. Julien semblait assez fier de sortir avec moi. Il était gentil, mais lorsqu’on était à deux, la seule chose qui semblait l’intéresser était de m’entraîner dans un coin pour mettre la main dans ma culotte. Parce qu’il avait fini par y accéder, à cette culotte, après que je lui aie sucé le sexe pour la première fois. Il essayait d’aller toujours plus loin. Il triturait ma petite chatte sans arriver à me faire jouir. mais je mouillais beaucoup et ça lui donnait l’impression qu’il savait y faire. Il introduisait régulièrement un ou deux doigts mais je le repoussais parce que j’avais peur de perdre trop tôt ma virginité. Cette peur que m’avait inculquée ma mère m’a paradoxalement entraînée assez vite sur la pente de la salope que je suis devenue, mais ça c’est une autre histoire.
Julien aimait que je m’habille un peu sexy alors je mettais mes seins bien en valeur avec des pulls moulants ou des top un peu plongeants, mais je refusais de quitter mes jeans qui, je le pensais, attiraient moins l’attention sur mes fesses. Mon complexe s’arrangeait d’autant moins qu’en quelques mois, mon corps avait encore changé, me donnant une taille plus fine, mais des hanches de femme et un arrière-train qui me semblait encore plus énorme.
En revoyant les photos de l’époque, je me rends compte que j’étais tout simplement pulpeuse. Mon cul semblait même étroit quand je vois ce qu’il est devenu aujourd’hui.
Au bout de quelques mois, je me suis fatiguée de Julien et de son manque de conversation, et j’ai commencer à tomber vraiment amoureuse, pour la première fois de ma vie. Il s’appelait Vincent et notre relation a duré un an.
Vincent était nettement moins entreprenant que Julien. Un peu timide, un peu coincé.
Ne voulant pas le brusquer, je me suis contentée, pendant plusieurs semaines, de répondre simplement à ses baisers romantiques. J’étais amoureuse. Paradoxalement, je me donnais entièrement à lui à travers ces seuls baisers, beaucoup plus qu’en suçant Julien. Vincent me caressait délicatement les seins et faisait pointer mes tétons à travers mes vêtements.
Au fil du temps, je devenais plus hardie, je passais délicatement ma main sur son pantalon, toujours sans l’ouvrir de peur de passer pour une salope. Parfois je sentais la moiteur de son éjaculation à travers le tissus. J’étais terriblement excitée et en rentrant à la maison, je m’enfermais dans ma chambre pour me caresser en pensant à lui.
Ensuite, le «scandale» a éclaté. Un jour il est venu à moi avec un air particulièrement grave et torturé. Il m’a demandé de but en blanc: « C’est vrai que tu suçais Julien quand vous étiez ensemble?». J’ai senti mon coeur se serrer et j’ai rougi jusqu’aux oreilles. Je n’ai rien trouvé de mieux à dire que «Qui t’a dit ça?». «Tout le monde est au courant apparemment, j’ai l’air d’un con et toi tu es une vraie salope». J’ai éclaté en sanglots. C’est la première fois qu’on me traitait comme ça. J’ai d’abord essayé de nier. J’avais honte et très peur de le perdre.
C’est alors que le ciel m’est tombé sur la tête. Il m’a tendu une photo polaroïd que Julien avait prise un jour contre mon gré pendant que j’avais sa bite en bouche. Il m’avait juré l’avoir détruite peu de temps après. Mais pour se venger et se vanter, avait fait circuler cette photo et elle avait abouti chez Vincent grâce aux bons soins de quelqu’un qui jalousait notre relation. J’ai redoublé dans mes pleurs d’adolescente. Je me suis confondue en excuses et en explications stupides. Je lui ai dit que lui, je l’aimais et que je lui donnerais tout ce qu’il veut. C’est, là aussi, un engagement qui m’a menée à accepter des choses que je n’aurais jamais même imaginées avant cela.
La photo, je l’ai toujours gardée. C’est un symbole. La fin de mon innocence et le début de cette féminité que j’allais commencer à partager sans compter.
A suivre....
Ma soeur aînée est mariée depuis 15 ans à un homme séduisant qui lui a fait deux beaux enfants. La deuxième a une vie amoureuse plus mouvementée, mais toujours assez romantique.
Moi je suis d’un tout autre style.
Adolescente timide et un peu ronde, j’étais assez réservée et rougissante devant les garçons. Mais dès l’âge de 15 ans, j’avais des seins pleinement formés et bien lourds qui dépassaient de loin ceux des autres filles.
Je remarquai assez rapidement les regards qu’ils attiraient. Au début, j’en était toute troublée mais assez rapidement, je pris plaisir à les mettre en valeur pour jouer de mes atouts.
Quelques mois plus tard, j’embrassais mon premier petit ami. Il s’appelait Julien. Il était gentil, mais il n’avait qu’une seule obsession, c’était d’arriver à dégrafer mon soutif pour jouer avec mes nichons. Je le laissais faire, et mes tétons durcissaient très fort. Mais je ne l’ai jamais laissé mettre la main dans ma culotte parce que je mouillais très fort et que j’en avais presque honte. En plus, je ne voulais pas me déshabiller complètement parce que je trouvais que j’avais un cul énorme. Plus tard, heureusement, j’ai appris à l’aimer, ce cul, et je ne suis pas la seule...
Comme je refusais que Julien me touche la chatte, je me retenais aussi de lui toucher le sexe, même si j’en avais une grande curiosité.
Mais un jour, je ne sais pas ce qui m’a prise, après une soirée dansante, on s’est retrouvés à l’abri d’un buisson dans le parc, je me suis agenouillée et je lui ai sucé la bite sans aucune retenue jusqu’à sentir sa semence gicler dans ma bouche. Je n’avais pas encore 16 ans, mais j’ai tout de suite su que j’avais découvert quelque chose qui allait changer ma vie.
Je l’ai su parce que j’y ai trouvé une volupté extrême. J’ai découvert la magie de tenir un garçon en haleine, du bout des lèvres, de le sentir totalement obsédé par son besoin d’aller jusqu’au bout, puis le plaisir de recevoir la vague qui le submerge.
J’ai tout de suite aimé le goût du sperme. Plus tard j’ai appris, à mon grand étonnement, que ce n’était pas le cas de toutes les femmes, bien au contraire.
Plus tard j’ai aussi appris à mon plus grand étonnement, que j’étais la première fille de ma classe à avoir vraiment sucé un mec. Plusieurs de mes copines affirmaient pourtant être déjà passées à l’acte et, dans ma grande naïveté, je les croyais. J’étais, moi, encore beaucoup trop timide pour parler de ça. Les mots un peu crus me faisaient rougir. Cela semble incroyable quand j’y pense aujourd’hui. Mais, adolescente encore complexée par la rondeur de mes fesses, je parlais peu et je me contentais de vivre passionnément mon premier flirt. Julien semblait assez fier de sortir avec moi. Il était gentil, mais lorsqu’on était à deux, la seule chose qui semblait l’intéresser était de m’entraîner dans un coin pour mettre la main dans ma culotte. Parce qu’il avait fini par y accéder, à cette culotte, après que je lui aie sucé le sexe pour la première fois. Il essayait d’aller toujours plus loin. Il triturait ma petite chatte sans arriver à me faire jouir. mais je mouillais beaucoup et ça lui donnait l’impression qu’il savait y faire. Il introduisait régulièrement un ou deux doigts mais je le repoussais parce que j’avais peur de perdre trop tôt ma virginité. Cette peur que m’avait inculquée ma mère m’a paradoxalement entraînée assez vite sur la pente de la salope que je suis devenue, mais ça c’est une autre histoire.
Julien aimait que je m’habille un peu sexy alors je mettais mes seins bien en valeur avec des pulls moulants ou des top un peu plongeants, mais je refusais de quitter mes jeans qui, je le pensais, attiraient moins l’attention sur mes fesses. Mon complexe s’arrangeait d’autant moins qu’en quelques mois, mon corps avait encore changé, me donnant une taille plus fine, mais des hanches de femme et un arrière-train qui me semblait encore plus énorme.
En revoyant les photos de l’époque, je me rends compte que j’étais tout simplement pulpeuse. Mon cul semblait même étroit quand je vois ce qu’il est devenu aujourd’hui.
Au bout de quelques mois, je me suis fatiguée de Julien et de son manque de conversation, et j’ai commencer à tomber vraiment amoureuse, pour la première fois de ma vie. Il s’appelait Vincent et notre relation a duré un an.
Vincent était nettement moins entreprenant que Julien. Un peu timide, un peu coincé.
Ne voulant pas le brusquer, je me suis contentée, pendant plusieurs semaines, de répondre simplement à ses baisers romantiques. J’étais amoureuse. Paradoxalement, je me donnais entièrement à lui à travers ces seuls baisers, beaucoup plus qu’en suçant Julien. Vincent me caressait délicatement les seins et faisait pointer mes tétons à travers mes vêtements.
Au fil du temps, je devenais plus hardie, je passais délicatement ma main sur son pantalon, toujours sans l’ouvrir de peur de passer pour une salope. Parfois je sentais la moiteur de son éjaculation à travers le tissus. J’étais terriblement excitée et en rentrant à la maison, je m’enfermais dans ma chambre pour me caresser en pensant à lui.
Ensuite, le «scandale» a éclaté. Un jour il est venu à moi avec un air particulièrement grave et torturé. Il m’a demandé de but en blanc: « C’est vrai que tu suçais Julien quand vous étiez ensemble?». J’ai senti mon coeur se serrer et j’ai rougi jusqu’aux oreilles. Je n’ai rien trouvé de mieux à dire que «Qui t’a dit ça?». «Tout le monde est au courant apparemment, j’ai l’air d’un con et toi tu es une vraie salope». J’ai éclaté en sanglots. C’est la première fois qu’on me traitait comme ça. J’ai d’abord essayé de nier. J’avais honte et très peur de le perdre.
C’est alors que le ciel m’est tombé sur la tête. Il m’a tendu une photo polaroïd que Julien avait prise un jour contre mon gré pendant que j’avais sa bite en bouche. Il m’avait juré l’avoir détruite peu de temps après. Mais pour se venger et se vanter, avait fait circuler cette photo et elle avait abouti chez Vincent grâce aux bons soins de quelqu’un qui jalousait notre relation. J’ai redoublé dans mes pleurs d’adolescente. Je me suis confondue en excuses et en explications stupides. Je lui ai dit que lui, je l’aimais et que je lui donnerais tout ce qu’il veut. C’est, là aussi, un engagement qui m’a menée à accepter des choses que je n’aurais jamais même imaginées avant cela.
La photo, je l’ai toujours gardée. C’est un symbole. La fin de mon innocence et le début de cette féminité que j’allais commencer à partager sans compter.
A suivre....