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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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J’étais dans ce restaurant, un peu perdu entre une sauvage envie de vider quelques quarts, manger, écrire, texte et musique de Nico, reboire peut-être et être cocu. Mais ce dernier point, comme par habitude, envahissait bien plus mes connections synaptiques que le vin. Meursault ou Menetou-Salon. J’avais en tête, tout de nous et tes quelques élans vécus. Je bandais sec et sentais ce désir d’avoir les couilles fouettées pendant que tu te fais baiser. Mon palpitant s’excite et ma respiration devient difficile. Il m’est ardu de survivre presque à ces idées. Idéaux. J’ai du mal à me décider entre les trois plats du lunch, n’arrivant à donner aucun sens à ces mots. Les lettres dansent et je ne lis que « mon pauvre petit cocu, il me baise tellement mieux que toi », « j’ai joui mais c’était meilleur », « viens ici que je te pisse dessus pour me nettoyer la chatte de son sperme. Apres tout, c’est ce que tu veux non, le gouter son foutre ? », « Non chéri, pas ce soir, je me suis déjà assez fait baiser pour aujourd’hui. », « … ». J’éjacule un sperme lent dans mon froc. Pourquoi éjacule ? Ce precum comme l’appelle les anglophones n’est pourtant pas un orgasme. Certes. Mais la sensation de cette excitation de t’avoir ailleurs est tout aussi forte, presque plus intense que la jouissance. Ne sachant presque plus respirer alors que mon cœur bat tout l’oxygène de la pièce est pour ainsi dire la grande mort. D’une noblesse discutable, d’une nécessité parfaitement réfutable mais reconnue à l’unanimité coupable. J’éjacule un sperme lent et lorsque je bande longtemps ainsi, salissant petit à petit mon caleçon, mes couilles deviennent douloureuses. D’abord un peu, puis de manière de plus en plus oppressante. C’est délicieux. Ma femme est une pute. Oh grand Dieu que ca me fait jouir ! Elle me trompe et m’éblouit ! J’ai l’esprit vagabond et esclave, attaché à moi-même et à toi. Sans plus me contrôler. Distinctement. A voix presque forte. « Ma femme est une pute ! »

Le restaurant est assez bien rempli je pense, pour un mardi midi. Dans cette pièce jaune, j’ai la compagnie d’un couple de retraités, plus de quatre-vingt ans. Un lien magnifique entre eux, manifestement. Trois secrétaires ou assistantes commerciales en commérages. Blah blah blah mec blah blah blah patron blah blah blah maquillage. Et chaussures à talons hauts. A la marge de la pièce bleue, l’obligatoire tablée de quatre cadres, en repas « business très commercial ». L’un, le pire, le porc, est manifestement là pour vendre aux autres quelques rouages. Des machines sans boulons ou une certification fallacieuse. Mais l’on commence par se mentir ami, se prétendre semblables et dans le même bateaux pour réussir. Les contrats seront cet après-midi. Pour l’heure, on cause crise et salops de socialistes avant de se lâcher sur les femelles, petit rhum digestif aidant. « Ma femme est une pute ! »

Les brochettes arrêtent de grésiller sur le grill. La soupe ne bout plus. Ils ont chacun l’attention rivée. Je suis rouge comme le gland de ma bite après un week-end au pieu avec cette femme, la mienne. Je balbutie en fixant mon assiettes quelques excuses qui ne parviennent à faire plus de bruit que le boum boum effréné de ma poitrine. Je respire la honte et la sens me bruler les poumons. Surtout, je bande. Je surbande. Elle est tellement grosse qu’elle écrase mes couilles, me fait mal. Cette mine blafarde bien que pivoine qu’est la mienne, cette piteuse attitude ne donnent aucun doute à l’assemblée : ce mec mal rasé est cocu. Cocu. COCU ! TROIS FOIS ! Peut-être plus.

La femme du vieux couple me regarde avec compassion mais surtout expérience. N’en fais pas un tel problème, cette vie si courte est pourtant si longue, les accidents ne nous tuent pas tous. Aller, tiens-toi droit à table. Les secrétaires, l’une est outrée, l’autre hilarde. Mais la troisième dit de son mépris que cela ne peut que m’arriver. Et les cadres, presque bourrés. Des gens importants. Leurs costumes valent plus que ma vie. Ils savent se tenir. Mais leurs yeux disent mon insignifiance. Mieux, le porc vendeur. Marié, forcement. Sa femme justement, elle est assurément trompée, mais sans le savoir. Il est fort et puissant, lui. Elle l’attend sagement à la maison parce qu’il ramène la Mercedes et le chlore pour la piscine. Pendant que lui cherchera du regard la vicieuse dans les rues, elle termine les cinquante nuances pour plaire à son mari. Tous ont leur regard et leur histoire qui s’impose et se compare à cette élément nouveau du repas : la chatte de la femme de ce gars assis seul à sa table dégouline d’un nouveau sperme.

Je me sens complètement, véritablement, presque essentiellement, cocu. Et miracle. Cette sensation est unique. J’ai mal de cette douleur que notre cerveau ne peut interpréter que comme plaisir intense pour que nous continuions à nous reproduire. Un violent lâché d’endorphine m’achève et m’arrache quelques soubresauts ultimes. Mon cœur… Exalté comme à la parade ! Et fier avec ca ! Ma femme baise avec d’autres qu’il hurle ce con ! Et pourtant il a mal, de cette honte, de cette rage. La cuti. Cette griffe de la jeunesse qui sert à dépister la tuberculose, je la sens à même mon cœur. Cette douleur, c’est arracher un peu de peau à mon ventricule droit. C’est très précisément lui qui ressent ce genre de sensations. Ma respiration est comme mes meilleures clopes, celles qui font entrer la mort dans mes poumons. Celles que je regrette amèrement, parfois. Du ventricule droit au poumon gauche je ne suis plus qu’exsangue douleur qu’un cerveau sous hormone appelle plaisir brutal.

« Je pourrais avoir l’addition s’il vous plait ? » Et ils offrent le rhum ces cons, comme si me maintenir à terre allait me rendre l’air.

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