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par cavalier
#53
Je suis la dernière de trois soeurs. Elles sont plus jolies que moi, et surtout plus minces. J’ai toujours trouvé cela injuste et j’en ai longtemps gardé un complexe et un peu de jalousie.
Ma soeur aînée est mariée depuis 15 ans à un homme séduisant qui lui a fait deux beaux enfants. La deuxième a une vie amoureuse plus mouvementée, mais toujours assez romantique.
Moi je suis d’un tout autre style.
Adolescente timide et un peu ronde, j’étais assez réservée et rougissante devant les garçons. Mais dès l’âge de 15 ans, j’avais des seins pleinement formés et bien lourds qui dépassaient de loin ceux des autres filles.
Je remarquai assez rapidement les regards qu’ils attiraient. Au début, j’en était toute troublée mais assez rapidement, je pris plaisir à les mettre en valeur pour jouer de mes atouts.
Quelques mois plus tard, j’embrassais mon premier petit ami. Il s’appelait Julien. Il était gentil, mais il n’avait qu’une seule obsession, c’était d’arriver à dégrafer mon soutif pour jouer avec mes nichons. Je le laissais faire, et mes tétons durcissaient très fort. Mais je ne l’ai jamais laissé mettre la main dans ma culotte parce que je mouillais très fort et que j’en avais presque honte. En plus, je ne voulais pas me déshabiller complètement parce que je trouvais que j’avais un cul énorme. Plus tard, heureusement, j’ai appris à l’aimer, ce cul, et je ne suis pas la seule...
Comme je refusais que Julien me touche la chatte, je me retenais aussi de lui toucher le sexe, même si j’en avais une grande curiosité.
Mais un jour, je ne sais pas ce qui m’a prise, après une soirée dansante, on s’est retrouvés à l’abri d’un buisson dans le parc, je me suis agenouillée et je lui ai sucé la bite sans aucune retenue jusqu’à sentir sa semence gicler dans ma bouche. Je n’avais pas encore 16 ans, mais j’ai tout de suite su que j’avais découvert quelque chose qui allait changer ma vie.

Je l’ai su parce que j’y ai trouvé une volupté extrême. J’ai découvert la magie de tenir un garçon en haleine, du bout des lèvres, de le sentir totalement obsédé par son besoin d’aller jusqu’au bout, puis le plaisir de recevoir la vague qui le submerge.
J’ai tout de suite aimé le goût du sperme. Plus tard j’ai appris, à mon grand étonnement, que ce n’était pas le cas de toutes les femmes, bien au contraire.
Plus tard j’ai aussi appris à mon plus grand étonnement, que j’étais la première fille de ma classe à avoir vraiment sucé un mec. Plusieurs de mes copines affirmaient pourtant être déjà passées à l’acte et, dans ma grande naïveté, je les croyais. J’étais, moi, encore beaucoup trop timide pour parler de ça. Les mots un peu crus me faisaient rougir. Cela semble incroyable quand j’y pense aujourd’hui. Mais, adolescente encore complexée par la rondeur de mes fesses, je parlais peu et je me contentais de vivre passionnément mon premier flirt. Julien semblait assez fier de sortir avec moi. Il était gentil, mais lorsqu’on était à deux, la seule chose qui semblait l’intéresser était de m’entraîner dans un coin pour mettre la main dans ma culotte. Parce qu’il avait fini par y accéder, à cette culotte, après que je lui aie sucé le sexe pour la première fois. Il essayait d’aller toujours plus loin. Il triturait ma petite chatte sans arriver à me faire jouir. mais je mouillais beaucoup et ça lui donnait l’impression qu’il savait y faire. Il introduisait régulièrement un ou deux doigts mais je le repoussais parce que j’avais peur de perdre trop tôt ma virginité. Cette peur que m’avait inculquée ma mère m’a paradoxalement entraînée assez vite sur la pente de la salope que je suis devenue, mais ça c’est une autre histoire.
Julien aimait que je m’habille un peu sexy alors je mettais mes seins bien en valeur avec des pulls moulants ou des top un peu plongeants, mais je refusais de quitter mes jeans qui, je le pensais, attiraient moins l’attention sur mes fesses. Mon complexe s’arrangeait d’autant moins qu’en quelques mois, mon corps avait encore changé, me donnant une taille plus fine, mais des hanches de femme et un arrière-train qui me semblait encore plus énorme.
En revoyant les photos de l’époque, je me rends compte que j’étais tout simplement pulpeuse. Mon cul semblait même étroit quand je vois ce qu’il est devenu aujourd’hui.
Au bout de quelques mois, je me suis fatiguée de Julien et de son manque de conversation, et j’ai commencer à tomber vraiment amoureuse, pour la première fois de ma vie. Il s’appelait Vincent et notre relation a duré un an.

Vincent était nettement moins entreprenant que Julien. Un peu timide, un peu coincé.
Ne voulant pas le brusquer, je me suis contentée, pendant plusieurs semaines, de répondre simplement à ses baisers romantiques. J’étais amoureuse. Paradoxalement, je me donnais entièrement à lui à travers ces seuls baisers, beaucoup plus qu’en suçant Julien. Vincent me caressait délicatement les seins et faisait pointer mes tétons à travers mes vêtements.
Au fil du temps, je devenais plus hardie, je passais délicatement ma main sur son pantalon, toujours sans l’ouvrir de peur de passer pour une salope. Parfois je sentais la moiteur de son éjaculation à travers le tissus. J’étais terriblement excitée et en rentrant à la maison, je m’enfermais dans ma chambre pour me caresser en pensant à lui.
Ensuite, le «scandale» a éclaté. Un jour il est venu à moi avec un air particulièrement grave et torturé. Il m’a demandé de but en blanc: « C’est vrai que tu suçais Julien quand vous étiez ensemble?». J’ai senti mon coeur se serrer et j’ai rougi jusqu’aux oreilles. Je n’ai rien trouvé de mieux à dire que «Qui t’a dit ça?». «Tout le monde est au courant apparemment, j’ai l’air d’un con et toi tu es une vraie salope». J’ai éclaté en sanglots. C’est la première fois qu’on me traitait comme ça. J’ai d’abord essayé de nier. J’avais honte et très peur de le perdre.
C’est alors que le ciel m’est tombé sur la tête. Il m’a tendu une photo polaroïd que Julien avait prise un jour contre mon gré pendant que j’avais sa bite en bouche. Il m’avait juré l’avoir détruite peu de temps après. Mais pour se venger et se vanter, avait fait circuler cette photo et elle avait abouti chez Vincent grâce aux bons soins de quelqu’un qui jalousait notre relation. J’ai redoublé dans mes pleurs d’adolescente. Je me suis confondue en excuses et en explications stupides. Je lui ai dit que lui, je l’aimais et que je lui donnerais tout ce qu’il veut. C’est, là aussi, un engagement qui m’a menée à accepter des choses que je n’aurais jamais même imaginées avant cela.
La photo, je l’ai toujours gardée. C’est un symbole. La fin de mon innocence et le début de cette féminité que j’allais commencer à partager sans compter.

A suivre....
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par cavalier
#535
De romantique et presque innocente, ma relation avec Vincent devint une relation de dépendance perverse.
J’étais amoureuse de lui, ou du moins je le croyais. Je voulais le lui prouver, je lui avais fait la promesse de lui donner tout ce qu’il voulait et lui, il découvrait le plaisir de dominer une fille soumise.
C’est lui qui prit les premières séries de photos encore relativement soft de moi nue. Je n’ai hélas jamais pu en garder de copies sauf quelques unes que je vous montre ici..

Curieusement, ce n’est pas avec Vincent que je perdis ma virginité. J’avais encore trop peur et lui aussi.
Par contre, il ne se gêna pas pour se servir régulièrement de ma bouche. Je le laissai faire avec délice, tout en lui masquant un peu le plaisir que j’en tirais.

Vincent avait une petite bite.
Lorsqu’en tremblant, il la présenta pour la première fois à mes lèvres, je lui suçai délicatement le gland. Je ne voulais pas passer pour une experte, donc je laissai passivement coulisser sa tige et j’attendis docilement qu’il prenne l’initiative.
Il commença un lent va et vient en s’enfonçant chaque fois un peu plus loin. Avec sa petite taille, il entrait sans problème jusqu’au bout, pressant ses couilles contre mon menton. Je me laissai faire. Soudain, il jouit sans prévenir dans ma gorge, en ahanant et en me traitant de salope. Je me sentis humiliée, mais je lui devais bien ça, après toutes les fois où j’avais sucé Julien jusqu’au bout. Je me sentais aussi terriblement excitée. Je retrouvais cette sensation trouble mais fascinante de recevoir en moi le plaisir d’un garçon. Je me posais beaucoup de questions sur moi-même et sur la femme que j’allais devenir.
Au fil des semaines, notre flirt devint purement sexuel. Vincent n’était plus du tout le garçon romantique et un peu timide du début, il ne m’embrassait même plus, il me retrouvait dans ma chambre trois fois par semaine, quand mes parents étaient encore au travail, il me mettait à genoux et ouvrait son pantalon en vitesse, me tenait la tête et s’enfonçait jusqu’à la garde pour me baiser la bouche. Je le suçais docilement, comme pour racheter mes pêchés et il se soulageait dans ma bouche ou sur mes seins. Il aimait m’en mettre partout.
Un jour il voulut aussi me prendre en photo avec sa bite en bouche. Mais je refusai. Ma réputation à l’école était déjà faite, et, même si dans le fond de moi, cela m’excitait beaucoup, je ne voulais pas qu’il en remette une couche. Je savais qu’il montrait des photos de moi nue à ses copains, mais je ne voulais pas qu’il m’humilie davantage.
Il m’a répondu que si j’avais laissé Julien me prendre en photo comme ça, je ne pouvais pas le lui refuser. Je lui répondis que je l’aimais et que je voulais qu’on ait une vraie relation. Alors il se moqua de moi et me dit: «Une pute, ça sert tout juste à se vider les couilles». Je sentis mon coeur se serrer. Je le giflai, le traitai de pauvre type et lui demandai de sortir immédiatement.
Mais le soir, dans mon lit, je repensai sans cesse à cette petite phrase avec une inexplicable excitation.




A 17 ans, j’ai changé d’école. J’ai laissé derrière moi mes copains et ma réputation et j’ai abordé l’année scolaire avec la ferme intention de rester sobre et mesurée.
Mais au bout de deux mois, les choses ont basculé à nouveau.
Le prof de français était super mignon. 35 ans, marié mais un mec super beau sur lequel nous flashions toutes.
Malgré mes résolutions, je commençai un petit jeu pervers qui m’entraîna plus loin que prévu. Je me mis dans l’idée de lui faire perdre la tête.
Je me suis habillée aussi sexy que le permettait la tolérance scolaire et je me suis assise au premier rang en multipliant les occasions de me pencher en avant pour le laisser voir mes gros seins et le clivage profond qui les sépare.
Ce jeu m’amusait follement et j’arrivais parfois même à le faire perdre le fil de ses idées. Je lui souriais sans cesse d’un air ingénu. En plus, je m’appliquais à être bonne élève.
Un jour, il me croisa par hasard dans un couloir et m’entraîna dans le recoin d’un local d’archives.
Il se plaqua contre moi et me roula un patin. Puis il me dit: à quoi tu joues petite salope? Tu veux que je te baise? Si c’est ça, alors va jusqu’au bout salope.
Je sentais son érection contre mon ventre et ses mains sur mes seins. Puis il se dégagea d’un coup et repartit dans le couloir.
Je suis restée dix minutes dans la pénombre avant d’émerger. J’avais presque joui et ma culotte était bonne à être essorée. J’étais toute rouge et mes tétons pointaient de manière trop visibles dans mon top. Si à ce moment là, il avait été jusqu’au bout, j’aurais perdu ma virginité, ce que je ne fis que l’année suivante.

J’ai commencé, à partir de ce moment-là à me masturber tous les soirs, jusque tard dans la nuit en pensant à lui. Après une semaine de modération, je recommençais à lui laisser entrevoir mes seins.
Un jour dans mon cahier, je trouvai un petit papier qui me donnait un rendez-vous à une certaine adresse, après l’école un mardi ou un jeudi.
Je mis trois semaines avant de me décider à y aller.
Lorsque j’arrivai à sa porte, je me sentais comme une petite fille qui va voir le loup. J’avais peur et je me sentais toute rouge de honte.
Mon coeur battait la chamade, mais encore une fois, les choses ne prirent pas du tout le tournant prévu.


En sonnant à l’adresse qu’il m’avait donnée, mon coeur battait la chamade. C’était au troisième étage d’un immeuble qui ne payait pas de mine. L’escalier avait un petit côté sordide qui, je ne sais pas pourquoi, augmentait encore mon excitation. Je m’étais changée dans les toilettes d’un bistrot et j’étais bien trop élégante pour aboutir dans ce trou à rats.
J’avais soigneusement choisi ma tenue. Une petite robe noire au dessus du genou, avec un beau décolleté, bas noirs et bottes. Ma culotte était déjà mouillée, rien que de penser à ce qui m’attendait. J’avais bien réfléchi à ce qui pourrait se passer ou ne pas se passer.
Je le laisserais m’embrasser, sortir mes seins, regarder mon cul et jouir dans ma bouche. Mais pas plus. Pas question qu’il me prenne ma virginité.
Je me réjouissais de lui faire une pipe avec l’expérience que j’avais déjà. J’imaginais sa surprise, ses râles, ses yeux révulsés, son sperme sur ma langue.
Lorsqu’il m’ouvrit, il m’invita gentiment à entrer. Puis, une fois la porte fermée, il me plaqua contre me mur et m’embrassa sur la bouche tout mettant une main sous ma robe.
J’avais honte de ma culotte trempée, mais plus j’avais honte, plus je la mouillais.
Il plongea le visage dans mon décolleté puis en sortit mes seins et se mit à me mordiller les tétons. Il me parlait de façon très crue: «tu aimes allumer les hommes avec tes gros nichons, hein, petite salope? Attends, je vais te montrer ce que tu vas prendre.»
Il commençait à m’enfoncer des doigts dans le marécage poilu de ma chatte. J’avais peur qu’il ne s’enfonce trop loin. Alors je lui sortis mon arme secrète, la seule que je connaissais à l’époque, je m’agenouillai et lui lui ouvris le pantalon. Sa bite était de taille moyenne (d’après ma petite expérience) et je n’eus aucune difficulté à le prendre assez loin dans ma bouche. Je m’appliquais à faire monter la sève, tout en lui caressant les couilles. Il redoubla d’insultes: «tu suces comme une pute, c’est dégueulasse, tu as envie hein, petite chienne, tu veux que je te lâche tout, hein? Attends je vais te la mettre dans le bon trou»
Il me releva et m’entraîna dans le petit salon, ensuite il me coucha presque de force sur le canapé puis enleva ma culotte et essaya de me pénétrer. Je me suis débattue et je lui ai dit que je ne prenais pas la pilule. Il a rigolé et s’est levé pour aller chercher ce qu’il fallait. Mais je me suis relevée d’un bond et je suis sortie précipitamment de son appartement. J’ai dévalé les escaliers quatre à quatre pour me retrouver finalement dans la rue. Je me souviens encore aujourd’hui de cette sensation incroyable de marcher, pour la toute première fois, la chatte à l’air sous ma jupe, encore ouverte et trempée. Quand je suis rentrée chez moi. Il était quatre heures et demie. Je me suis enfermée dans ma chambre et je me suis masturbée comme une cinglée avant que mes parents ne rentrent du boulot.
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par sergio
#562
Bien ces confidences. ;)
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par cavalier
#23162
Pendant plusieurs semaines, je n’ai pas vraiment osé le regarder en face.
Je m’habillais de manière plus réservée. Je restais avec les jeunes de mon âge. J’ai même commencé un flirt avec un camarade de classe. J’étais une fille normale et personne ne soupçonnait quoi que ce soit de mon coup de folie à part une ou deux de mes copines.
Aux soirées dansantes, je me laissais serrer et tripoter par mon copain. Je sentais les autres garçons lorgner vers mon cul et vers mes seins. Je me rendais compte de mon pouvoir de séduction et j’en jouais. Ils m’invitaient à danser. Je sentais leur érection contre mes cuisses ou mon ventre, je dansais serrée. J’avais du succès malgré mes grosses fesses.
Mais je restais avec mon copain sans aller voir ailleurs.
En privé, c’était très furtif, il avait peu de temps dans les périodes où on pouvait se retrouver seuls. Il me sortait les seins, je le suçais, il mattait mon gros cul puis léchait ma chatte baveuse. Mais dans tous ces moments, je ne pensais qu’à mon prof. C’était devenu obsessionnel. Je fermais les yeux et j’imaginais que c’était sa bite dans ma bouche. J’avais envie de remettre ça. Il fallait que j’aille plus loin, ça me démangeait. Je regrettais de ne pas m’être laissé faire ce jour là.
Mon prof, lui, n’arrêtait pas d’essayer de me faire des signes en cachette, il me faisait parvenir des petits mots, m’effleurait dans les couloirs. Il prenait des risques inconsidérés pour sa carrière.
Puis un jour j’ai franchi le cap. J’ai répondu à un de ses messages et je lui ai donné un rdv la semaine suivante dans sa garçonnière.
J’avais bien compris que ce petit appartement minable à côté de l’école devait lui servir régulièrement de baise-en-ville. Il y restait deux fois par semaine pendant deux heures après les cours avant de rentrer sagement chez sa femme. C’était un grand séducteur bien que je pense être une des rares étudiantes à avoir abouti là. Les autres étaient plutôt des collègues ou des mamans d’élèves.

C’est à partir de ce moment là que j’ai commencé vraiment à basculer sur la pente de la débauche.
Je suis arrivée chez lui dans la même tenue que la fois précédente, mais sans culotte et avec une boîte de préservatifs dans mon sac. Je m’acceptais comme salope, comme une fille qui aime les mecs et écarte facilement les cuisses. J’allais perdre ma virginité. J’étais anxieuse et très excitée à la fois.
J’imaginais la raideur de sa bite, déchirant mon hymen encore intact et le sentiment de passer du côté des filles indignes, que beaucoup d’hommes refusent d’épouser.

Mais ce n’est pas cela qui s’est passé ce jour là
Je ne savais pas encore que là encore, je serais surprise.
J’allais commencer ma vie sexuelle du «mauvais côté»

***

En montant l’escalier, je suis tombée sur ma prof de gym. Nos regards se sont croisés et nous avons toutes les deux rougi jusqu’aux oreilles. Elle m’a dit un petit bonjour en essayant de prendre un air dégagé, mais c’était absurde, chacune de nous deux savait exactement pourquoi l’autre était là. J’ai tout d’abord eu un vent de panique en imaginant qu’elle pourrait me dénoncer, et puis j’ai repris mes esprits et j’ai réalisé que, évidemment, nous étions toutes les deux liées par le même secret.
C’est la première fois que je la voyais en jupe, elle était mince et avait de jolies jambes. Elle devait avoir la trentaine passée, presque le double de mon âge, mais son corps était plus ferme que le mien, ses fesses plus serrées, ses seins plus légers.
Elle disparut rapidement dans la cage d’escalier et moi, je me mis à ralentir en montant vers la porte de Mr Couvreur (Thierry de son prénom, mais je ne l’avais jamais encore appelé comme ça). Je commençais à être saisie d’un horrible doute et j’eus envie de rebrousser chemin.
Il venait sans aucun doute de baiser cette jolie femme élancée. Je lui semblerais sûrement lourde et grosse à côté d’elle. Peut-être même qu’ayant joui avec elle, il aurait du mal à retrouver une érection à mon contact. Je me sentais ridicule dans ma tenue «sexy», sans culotte en dessous, comme une jeune-fille maladroite que le loup dédaignerait de croquer.
J’étais devant sa porte. Je n’ai pas sonné. Je m’apprêtais à repartir lorsqu’il m’a ouvert. Il devait m’observer, comme un voyeur, à travers le vasisdas.

Comme j’hésitais, il m’a dit, «Eh bien, entre, on ne va pas faire ça sur le palier... Quoi, tu es troublée parce que tu est tombée sur Adeline? T’inquiète pas, juste une petite réunion de travail entre collègues...» En disant cela, il a éclaté de rire et m’a entraînée à l’intérieur. Je tremblais un peu. Il m’a prise dans ses bras et j’ai senti le parfum de l’autre sur ses vêtements, puis il m’a roulé une pelle et je me suis laissée faire. J’ai fondu dans ses bras. J’avais les larmes aux yeux, j’étais très fragile, mais je me sentais terriblement excitée et lorsqu’il glissa une main sous ma jupe, il trouva une chatte très marécageuse.
A partir de ce moment là, tout est devenu un peu flou. Il m’a caressée en m’enfonçant plusieurs doigts dans le vagin. Je me sentais boulimique, j’avais envie qu’il enfonce plus loin, qu’il en mette plus, mais il me titillait le clito aussi. Puis il m’a poussée à m’agenouiller devant lui pour lui faire ce que je fais de mieux. Je lui ai sorti la bite et j’ai commencé à sucer docilement. Il sentait le sexe. Des odeurs mélangées d’homme et de femme, mais pas de trace de latex. Il avait du la baiser sans capote, ou alors se frotter à elle après. Je me posais mille questions, mais il ne me laissait pas de répit, il enfonçait sa bite raide dans ma bouche et je finis par me concentrer sur ma tâche.
Malgré tout mon savoir faire, il tardait à jouir. Pourtant il restait dur comme du bois.
Il sortit de ma bouche et m’entraîna au salon où il me mit à quatre pattes sur le canapé défraîchi. Il releva ma jupe, je sentais que l’heure de mon dépucelage officiel avait sonné et j’essayai de sortir la boîte de préservatifs de mon sac. Mais il me dit, «laisse ça de côté, ne t’inquiète pas, je sais ce que je fais». Il me remit à 4 pattes et je sentis son gland frotter sur mes lèvres. Je mouillais tellement que j’avais du mal à sentir exactement ce qui se passait. Il passait son gland de haut en bas dans ma fente ouverte et trempée.
Il n’arrêtait pas de respirer bruyamment en disant: «nom de dieu quel cul, quel gros cul de salope, un vrai cul de jument cette petite pute...»
Je mouillais encore plus. Je m’apprêtais à sentir la pénétration et la douleur inconnue de ma membrane a jamais déchirée, mais au lieu de cela, c’est une toute autre sensation qui m’envahit. Mon anus fut soudain rempli à en exploser. Ca faisait mal, j’ai commencé à crier, mais il m’a mis la main devant la bouche et m’a dit «attends, ne bouge pas, ça va aller, respire».
Je me mis à respirer plus calmement et j’attendis un long moment sans bouger. la douleur s’estompa un peu et mon cul s’habitua à cette présence étrangère. Puis Thierry se mit lentement à faire des va et vient. Je le sentais pousser dans mes intestins, c’était très troublant, je recommençais à être excitée. Il me tenait fermement les hanches, j’avais le visage enfoncé dans le vieux canapé et il commençait à accélérer avec le souffle court. Moi je me concentrais pour ne pas me crisper, j’étais comme en suspension. Puis je sentis les spasmes de sa jouissance pendant qu’il criait: «putain quel cul de grosse salope». Mon anus se contracta alors sur sa bite.
J’étais excitée comme une folle, avec la conscience que je venais de franchir un cap irréversible. Je ne pourrais plus jamais me ranger dans le camp des femmes normales qui vivent une vie de famille «honnête» et tranquille.
Techniquement, j’étais encore vierge. Personne ne m’avait encore fait l’amour. Mais plusieurs s’étaient déjà servi de ma bouche, et maintenant de mon cul, pour soulager leur besoin de jouissance.
Ce n’est que lorsqu’il s’est retiré que j’ai compris qu’il n’avait pas mis de préservatif. Ca coulait le long de mes cuisses et il prit une serviette pour m’essuyer.
Je n’avais pas joui et je sentais mon anus très dilaté. Je me suis rassise sur la serviette en serrant les fesses, mais ça continuait à couler lentement. Alors je lui ai demandé le chemin des toilettes et je suis allée me rafraîchir un peu.
Je mis la culotte que j’avais emportée dans mon sac en vue du retour. Je me regardai dans la glace et je fus étonnée d’y voir une apparence relativement normale. Rien sur mon visage semblait trahir ce qui venait de se passer. J’étais encore une écolière de 17 ans et personne ne pouvait savoir que je m’étais déjà fait sodomiser.
Lorsque je sortis de la salle de bain, il était rhabillé. Il me demanda si ça allait et m’offrit un verre.
Mais je déclinai. Il se faisait déjà tard et j’avais besoin d’un sas dans ma chambre avant d’affronter mes soeurs et mes parents.
Je lui posai juste une question: «Tu me trouves vraiment grosse»?
Il eut un petit rire et me répondit: «Trop pour t’épouser mais parfaite pour te baiser».
Puis il rajouta: «Tu as un corps fait pour l’amour, tu vas avoir une vie sexuelle terrible, toi. Tu n’es qu’au tout tout début. Tu en verras passer, des bites...».
Curieusement, je ne lui en voulais pas. Ni de ce qu’il m’avait fait, ni de ce qu’il me disait. Je me sentais épuisée et inconfortable. je lui ai dit au revoir et je suis rentrée chez moi.
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par cavalier
#23264
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Pendant trois jours j’ai eu mal chaque fois que je m’asseyais. J’étais un peu inquiète parce que je ne savais pas encore si la sodomie était vraiment une pratique courante. J’espérais ne pas garder de séquelles de cette première expérience un peu brutale. Moi-même j’y avais trouvé un plaisir cérébral, mais je n’avais pas joui. J’étais à la fois honteuse de m’être offerte comme ça, mais aussi terriblement excitée. Personne dans la classe, à part Thierry, mon prof de français, ne savait que j’avais déjà pris une bite entre les fesses.

J’ai passé la fin du trimestre sans retourner le voir. Il me faisait régulièrement des avances à la dérobée, mais je décidais de les ignorer. Je n’avais pas l’intention de remettre cela, du moins pas tout de suite.
Puis j’ai eu 18 ans et j’ai décidé d’offrir à Laurent, mon petit copain du moment, la virginité qui m’avait été laissée. J’ai passé un dimanche chez lui. Ses parents étaient partis et nous étions seuls. Il était très excité, c’était sa première fois aussi. Il était maladroit et pressé. Moi je n’arrivais pas bien à lui enfiler sa capote. C’était un peu foireux mais il a fini par jouir entre mes cuisses. Je n’ai pas vraiment eu mal et je n’ai pas vu de sang, ce qui me fait penser que peut-être avais-je déjà déchiré mon hymen sans m’en rendre compte au cours de mes doigtages divers.
Je n’ai pas joui. Par contre, après, dans l’intimité de ma chambre, je me caressais toutes les nuits, en m’introduisant des objets,
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par devant et ensuite aussi par derrière. J’ai joui chaque fois intensément. Les images qui me revenaient n’étaient pas celles de Laurent, mais celles de Thierry, mon prof vicieux. Je me demandais ce que cela me ferait d’avoir sa bite dans la chatte.
Laurent ne se doutait de rien, surtout pas que j’avais déjà été sodomisée. Il était assez conventionnel et pas très doué comme amant. Pour parvenir à la jouissance, je devais le plus souvent me caresser le clito pendant qu’il me prenait, ou juste après. Je l’ai quitté à Pâques, à son grand regret.
Pendant les vacances, j’ai eu une courte aventure avec un moniteur de ski qui était amoureux fou de mes gros seins et adorait s’en servir.
Au dernier trimestre, je préparais le bac et je n’avais personne avec qui me défouler. Je ne pensais qu’à cela et ma concentration était en chute libre. Mes résultats aussi, notamment en français. Mes parents ne comprenaient pas ce qui m’arrivait, à moi, d’ordinaire bonne élève. Ma mère me parla même un jour de mon professeur de français qui avait l’air si charmant. Au point que j’ai eu peur une seconde qu’elle se soit doutée de quelque chose. Ou pire, qu’elle ait couché avec lui comme d’autres mères d’élèves le faisaient. Après tout, ce n’aurait pas été la première fois que l’un de mes deux parents s’offre une aventure de son côté. C’était totalement absurde, mais j’étais folle de jalousie.
Il me restait deux mois dans cette école et j’avais envie de laisser à Thierry un souvenir de moi et même un manque lorsque je partirais. J’avais aussi envie de lui montrer fièrement que mon cul était devenu accueillant depuis que je le travaillais régulièrement avec des objets.

Je lui ai laissé un petit mot pour le mardi suivant, mais il m’a répondu qu’il était occupé ce jour-là (le salaud, occupé avec qui? avec ma mère? non elle était à la maison quand je suis rentrée de l’école). Mais le jeudi, il m’a fixé rendez-vous et j’ai gravi pour la troisième fois de ma vie ce escalier décrépi qui menait à sa garçonnière. Pour l’occasion, en dessous de ma robe, j’avais mis les sous-vêtements sexy que m’avait offerts mon ex moniteur de ski.
Lorsque Thierry m’ouvrit la porte, il me dit : «alors, petite garce, comme ça tu me laisse tomber pendant des mois et puis tu as de nouveau besoin de ma grosse bite? c’est ça? ça te manque entre les fesses? ou dans la chatte? ou les deux?»
Personne à part lui ne m’avait encore parlé comme ça. Je sentais immédiatement ma chatte se liquéfier et se gonfler de désir. Il me roula un patin tout en fouillant sous ma robe. «Regarde-moi ça quelle petite pute tu fais, tu mouilles déjà comme une grosse cochonne»
Il avait ses doigts partout, j’ai failli jouir sur place.
Sans comprendre comment, je me suis retrouvée penchée en avant sur la table de la salle à manger, la jupe relevée, sa bite entre mes cuisses. J’ai essayé de lui dire que je ne prenais pas la pilule, mais il m’a rassurée: «ne t’inquiète pas, je sais ce que je fais». Il a dégrafé mon soutien pour voir pendre mes «grosses loches» et a commencé à me limer longuement.
Il me pilonnait en faisant claquer ses couilles sur mes fesses et mes seins ballottaient dans tous les sens. J’ai senti monter la jouissance de manière incontrôlable. Puis il s’est retiré commencé à me barbouiller l’anus avec mes propres jus. Ensuite il m’a investi le cul d’un seul coup. Je me suis sentie remplie mais sans la douleur de la première fois. J’étais au bord de la jouissance. La vague m’a prise d’un seul coup et je suis presque tombée dans les pommes. Mon anus se contractait sur sa tige dure comme du bois et je n’en finissais pas d’avoir des spasmes pendant que lui me déchargeait dedans.
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Cette extase, je l’ai connue pendant quelques semaines, quasi jusqu’au bac, que j’ai réussi.
Ensuite, ce furent les vacances, un copain australien, puis un espagnol avec qui j’ai eu bien du plaisir, mais seulement par devant. Sans demande de leur part, je n’ai jamais osé leur proposer de me prendre par derrière. Je ne voulais pas qu’ils me considèrent comme une nympho, même si j’en étais une. Je n’assumais pas encore officiellement d’être la grosse salope que je suis devenue plus tard. Je n’étais encore, après tout, qu’une jeune fille de 18 ans, tout juste sortie de l’école.
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par cavalier
#23544
Précision
Les photos du récit sont scannées à partir de photos de Claire de l'époque, il y a plus de 15 ans.
Aujourd'hui, c'est une femme de 39 ans et son cul et ses seins ne sont plus les mêmes
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par cavalier
#23599
L’année suivants, à la fac, je suis tombée vraiment amoureuse, amoureuse comme je ne l’ai plus jamais été depuis. Aujourd’hui, Marc comprend cela très bien et ne m’en veut pas. Il sait qu’à 19 ans, on se fait un film qu’on ne peut plus se faire à 39 ans, ou même à 27 quand je l’ai rencontré. Surtout avec tout ce que j’ai connu entre-temps.
Je n’ai jamais été plus à mon avantage qu’à cette époque, j’étais devenue presque mince et plutôt jolie.
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En rencontrant Xavier, je me suis donnée entièrement, corps et âme. Je lui faisais l’amour par amour, je n’avais plus besoin d’images vicieuses pour jouir. Je lui étais fidèle. Il n’était pas très inventif mais il avait un bon sexe et il était endurant, j’adorais jouir de lui. Parfois il me prenait en levrette et j’avais peur qu’il se pose des questions sur ma virginité anale, mais il n’a jamais parlé de cela ni essayé de me prendre par là. Je me croyais guérie de mes démons d’adolescence, j’entrevoyais une vie plus traditionnelle, avec une sexualité revenue à une certaine «normalité».
Mais le conte de fées n’a même pas duré un an. Xavier m’a plaquée pour une autre et moi, je suis tombée dans une profonde déprime.
En quelques mois, j’ai pris dix kilos et perdu toute confiance en moi.
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Je me suis renfermée sur moi-même et je n’ai pas cherché particulièrement à séduire. C’est alors que j’ai repris la masturbation de manière intensive. Tous les soirs, dans mon lit, je me caressais, j’introduisais des objets dans mes orifices et je me faisais jouir en pensant à des choses cochonnes. Je revoyais fréquemment des images de mes premières expériences et ça m’excitait terriblement, surtout en pensant à la manière humiliante dont Thierry m’avait enculée. Outre les doigts et les godes traditionnels, j’ai essayé des objets parfois très incongrus: flacons, légumes, bouteilles.
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Il y avait un peu d’autodestruction dans la manière de m’élargir la chatte. Au bout d’un temps, ma main y entrait sans problème. Je n’avais par contre aucune envie d’élargir mon anus dans cette proportion et je n’ai jamais dépassé la taille du concombre. Au bout d’un temps, j’eus de nouveau envie de sentir une vraie bite. N’importe laquelle, mais une vraie.
Un soir, j’ai décidé de sortir et de me faire un mec. Je voulais aussi vérifier que j’avais encore suffisamment d’atouts pour susciter le désir. J’ai cherché dans ma garde-robe une tenue un peu sexy, mais c’était déprimant, parce que la plupart étaient devenues trop étroites surtout au niveau des fesses et des hanches. Il y a quelques tenues que je pouvais encore mettre mais qui donnaient une dégaine de grosse pouffiasse. J’avais honte, et en même temps j’étais excitée. Mais je n’ai pas osé sortir comme ça, pas cette fois-là. J’ai fini par choisir un beau décolleté. Mes seins avaient pris encore une taille, je les trouvais énormes, mais ils étaient encore beaux et je connais le goût des hommes.
C’est donc en jeans mais avec mes nichons joliment mis en valeur que je suis allée danser.
Deux cocktails et j’étais prête à tout. J’ai dansé comme une folle et j’ai senti les regards sur le lourd balancement de mes seins. Même les mecs qui étaient de toute évidence en couple avec de jolies filles me reluquaient avec avidité. J’en jouais. Je souriais à qui voulait, je mettais le feu. En tout cas, cette nuit là, je suis très loin de l’avoir passée seule...
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par cavalier
#23776
Petit insert dans le récit, pour répondre à tous ceux qui apprécient le bon gros cul de Claire
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Les hommes adorent sa croupe de jument
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Des orifices qui ne peuvent pas mentir...
Un cul fait pour ça.jpg
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par Scririons
#23895
cavalier a écrit :Petit insert dans le récit, pour répondre à tous ceux qui apprécient le bon gros cul de Claire
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Les hommes adorent sa croupe de jument
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Des orifices qui ne peuvent pas mentir...
Un cul fait pour ça.jpg

moi j'aimerais bien la voir prise par plus d'un trou....
et si tu peux me l'envoyer à paris, je prendrais bien soin de tous ses trous
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par cavalier
#23913
Ce fut une nuit très éthylique. J’étais assez saoule et je n’ai que des souvenirs assez embrumés de mes ébats avec trois (je pense bien qu’ils étaient trois) mecs rencontrés ce soir là.
J’ai des visions de bites me pénétrant de diverses façons et je me souviens avoir passé pas mal de temps à 4 pattes pendant que ça se relayait en faisant des commentaires salaces. Assez curieusement, plus on m’insultait, plus je mouillais et j’encourageais la chose par mon excitation.
Je ne sais pas combien de fois j’ai joui, mais je sais que je me suis réveillée le lendemain seule, dans une flaque de sperme qui s’écoulait encore lentement de moi.
J’avais à nouveau mal au cul, comme la toute première fois, et je me suis dit que soit j’avais perdu l’habitude, soit ils avaient dû y aller particulièrement fort. J’ai eu très peur de mon inconscience et trois semaines après j’ai fait un test HIV, heureusement rassurant.
A partir de ce moment-là, j’ai commencé à sortir régulièrement, juste pour me faire mettre. J’en faisais un jeu, mais prudent, toujours avec capote (sauf dans la bouche).
J’étais devenue trop ronde, et petit à petit, je m’habillais de plus en plus comme une grosse pouffe pour aller draguer. Et ça marchait bien. Je ne suis jamais rentrée bredouille.
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Pendant près de 5 mois, je me suis fait trois ou quatre mecs différents chaque semaine. Il y en a qui voulaient remettre ça, et ça m’arrivait de leur donner satisfaction, mais ma préférence allait vers les nouveaux. Je découvrais la diversité des bites: les petites, les grosses, les circoncises, les courbes, les larges, les longues. Je devenais de plus en plus experte et mes seins, mon ventre et mes fesses étaient arrosés régulièrement.
J’étais assez moche pendant cette période. Mais je compensais en me conduisant comme une salope. Ma réputation s’est répandue parmi les mecs. J’étais la grosse pouffe de 2e qui prend entre les fesses. Je ne devais même plus aller draguer, je me faisais aborder parfois par de parfaits inconnus, qui avaient entendu parler de moi. J’étais devenue l’enculée de service, et ça m’excitait.
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En journée, j’étais assez déprimée et j’avais une image déplorable de moi-même. Mais le soir, je revivais sous les regards, les caresses, les pénétrations et les insultes de mes amants. Mon humiliation se transformait en excitation sans limites.
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Un jour, lors d’une visite de routine chez mon gynéco, il m’a fait une allusion très limite sur le fait que mon anus était particulièrement ouvert. Je pense qu’il y aurait bien plongé autre chose que le doigt. Mais il y avait du monde dehors dans la salle d’attente et je ne lui ai pas donné ce plaisir.
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par cavalier
#24027
Oui, je confirme, ma femme a une bien jolie bouche, et beaucoup d'hommes partagent mon avis...
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par cavalier
#24087
Cette année-là j’ai redoublé mon année de droit et mes parents m’ont coupé le vivres. Ils n’étaient pas du tout au courant de ma vie sexuelle dissolue, ils m’auraient reniée complètement s’ils savaient. Ils se doutaient sans doute de quelque chose mais ils n’en ont jamais parlé. Pour ce qui est de mes résultats, ils avaient toujours dit, pour leur trois filles, qu’ils ne financeraient pas une année redoublée.
J’ai failli abandonner mes études, mais un fond d’orgueil m’en a empêchée et j’ai décidé de me reprendre en mains. Je me suis donc réinscrite à la fac, j’ai commencé un régime et je me suis mise à travailler.
D’abord dans un snack. C’était crevant et je ne gagnais pas grand chose.
Puis, j’ai trouvé un job en soirée dans un bar latino. Il y avait un barman et deux serveuses. Ma collègue mexicaine était un vrai canon, mais j’attirais aussi les regards des mecs par ma blondeur et par mes rondeurs. Beatriz et moi, il nous arrivait de coucher parfois avec le barman et même l’une ou l’autre fois à deux. Ce fut ma première expérience avec une femme. A l’inverse de moi, elle avait un petit cul très serré, des jambes assez musclées et de petits seins pointus, elle adorait sucer mes gros tétons et fourrager dans ma chatte. Elle aimai m’introduire de gros objets, et j’aimais la laisser faire.

Pendant cette période, j’ai reperdu les kilos vraiment superflus et quand je m’habillais en jupe courte,
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je ne ressemblais plus à une grosse pouffe. Il m’est arrivé assez souvent de terminer la soirée dans le lit d’un mec, mais plus n’importe lequel. Je me payais le luxe de pouvoir les choisir. Par pure perversité, j’adorais allumer les autres aussi, même ceux que je trouvais moches ou cons et à qui je savais pertinemment que n’offrirais jamais mon corps.
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La journée, j’étais relativement appliquée à mes études, j’allais au cour et je faisais mes travaux. Du jeudi au dimanche soir, je m’éclatais et je m’amusais à faire tourner la tête aux mecs.
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Après la première nuit, mes amants voulaient toujours reprendre un rendez-vous, commencer une relation. Mais moi, non. Je ne voulais plus m’attacher. Il arrivait que je recouche avec l’un ou avec l’autre, mais il arrivait plus souvent que je le rende jaloux en me laissant draguer par un nouveau candidat.
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