- 29 janv. 2020, 17:26
#2392426
Un soir alors que je consultais un site libertin que j’avais l’habitude de fréquenter, à la recherche de de contacts et de nouvelles contributions photographiques d'amateurs libertins, j'y retrouvai M sous son pseudonyme habituel. J'entamais un dialogue avec lui, il me dit qu'il était déjà en train de converser avec un autre habitué du site que les photos de F publiées là avaient excité au plus haut point, il disait à M son envie de baiser F.
Cette conversation avait donné des idées à M, ou plutôt elle lui avait remis en tête une envie qu'il avait depuis quelques temps : faire baiser F par un inconnu qu'elle ne verrait ni n'entendrait. M m'expliqua tout cela et me proposa de me joindre à eux pour profiter anonymement du corps de F offert à deux inconnus.
Bien sûr F me connaissait déjà pour être venu l'honorer un après-midi où M m'avait invité en compagnie de 3 autres habitués du corps de F, ça avait été ma première rencontre avec F. Elle nous avait accueillis tous les 4 les yeux bandés, mais nous n’étions pas astreints à nous taire, dès qu’ils avaient ouvert la bouche elle avait reconnu ses amants habituels (et son mari bien sûr), par contre quand j’avais parlé pour la 1ère fois elle avait dit qu’elle ne connaissait pas cette voix et qu’il y avait donc un nouveau, elle avait voulu toutes affaires cessantes prendre ma bite en main pour en palper le calibre (elle avait peut être été déçue dans la mesure où de ce coté là je suis parfaitement dans la moyenne mais n’en avait rien dit) et la dureté (de ce coté je n’ai pas à me plaindre). A la fin de ces agapes M avait enlevé le bandeau des yeux de F et elle avait pu ainsi me découvrir en tenue d’adam, elle-même était pratiquement en tenue d’ève.
Mais cette fois ci ce serait différent, cette fois F aurait les yeux bandés mais le bandeau ne serait pas enlevé à la fin du jeu comme il l’avait été la fois précédente, cette fois aucune parole ne serait prononcée laissant cette belle bourgeoise dans l'ignorance des propriétaires des mains, des bouches et des bites qui allaient l'honorer et cette fois-ci nous en resterions là ; alors que la fois précédente le bandeau avait fini par être ôté des yeux de F, lui permettant de voir les étalons qui venaient d'abuser d'elle et nous permettant à tous de pouvoir discuter de ce que nous venions de faire et de le refaire encore et encore. Cette fois-ci M avait décidé qu'à l'issue de nos agapes nous nous éclipserions sans que F ait pu nous voir et nous entendre, la laissant ainsi dans le mystère des inconnus qui venaient de la baiser.
L'idée me plut et j'acceptais bien volontiers la proposition de M. Rendez-vous fût donc pris avec le coquin.
Le jour dit je retrouvai donc M dans sa voiture à la sortie d'une station de métro proche de chez eux. Il était en compagnie de l'autre habitué du site. Aussitôt que je fus monté nous nous mîmes en route. Pendant le trajet nous discutâmes de choses et d'autres, l'autre homme me parut sympathique mais peu ou pas enthousiaste, il semblait désabusé ; son attitude à venir allait confirmer mes craintes. De la voiture M appela F lui disant que nous arrivions elle qu'elle devait se mettre en position.
Nous arrivâmes donc. M nous fit entrer et partit dans la chambre vérifier que F nous attendait bien dans la tenue et la position voulue. Une fois fait il revint nous chercher et nous fit entrer dans la chambre.
F était sur le lit, agenouillée, les yeux bandés. Elle portait un corsage blanc, une jupe noire, des bas et des chaussures. Nous entrâmes silencieusement. Le spectacle nous laissait immobiles, la contemplation de cette bourgeoise (et sa tenue ainsi que son intérieur montraient qu'elle en avait tous les attributs) offerte de son propre gré comme une vulgaire putain nous laissait cois.
Alors que personne ne semblait décidé à bouger je décidais d'agir et je passais la main sur la croupe de F, je la sentis se tendre légèrement, probablement surprise par ce geste qu'elle n'avait pu voir venir a fortiori de la part d'un inconnu d'elle. Je décidais de continuer mes caresses, je passais la main sous sa jupe pour lui caresser les cuisses, je remontais le long de ses bas jusqu'à atteindre sa peau nue, elle était encore plus douce que dans mon souvenir. J'effleurai son entre cuisses, je la sentis se détendre je décidais donc de poursuivre mon exploration, ma main remonta vers son entre jambes et au contact de sa toison j'eus la confirmation qu'elle était nue sous sa jupe.
Pendant ce temps l'autre homme avait commencé à caresser les seins de F à travers son corsage, il devait déjà savoir si elle avait ou non un soutien gorge (sa position m’empêchait de le vérifier de visu). Il lui malaxait les nichons et elle semblait l'apprécier. Je la sentais à la fois tendue et excitée. Je décidais de lui relever la jupe, ses fesses blanches apparurent prouvant ainsi que cette bourgeoise coquine ne s'exposait pas intégralement au soleil et que donc je n'avais aucune chance de la rencontrer au Cap d'Agde l'été prochain. Aussitôt qu'elle fut le cul à l'air mon partenaire de débauche se déplaça pour contempler son fessier. Je continuais mon exploration en passant mon doigt entre ses lèvres intimes et quelle ne fut pas ma surprise de la découvrir trempée, prouvant ainsi sans contestation possible que la situation l'excitait bien plus qu'elle ne l'intimidait.
Cette conversation avait donné des idées à M, ou plutôt elle lui avait remis en tête une envie qu'il avait depuis quelques temps : faire baiser F par un inconnu qu'elle ne verrait ni n'entendrait. M m'expliqua tout cela et me proposa de me joindre à eux pour profiter anonymement du corps de F offert à deux inconnus.
Bien sûr F me connaissait déjà pour être venu l'honorer un après-midi où M m'avait invité en compagnie de 3 autres habitués du corps de F, ça avait été ma première rencontre avec F. Elle nous avait accueillis tous les 4 les yeux bandés, mais nous n’étions pas astreints à nous taire, dès qu’ils avaient ouvert la bouche elle avait reconnu ses amants habituels (et son mari bien sûr), par contre quand j’avais parlé pour la 1ère fois elle avait dit qu’elle ne connaissait pas cette voix et qu’il y avait donc un nouveau, elle avait voulu toutes affaires cessantes prendre ma bite en main pour en palper le calibre (elle avait peut être été déçue dans la mesure où de ce coté là je suis parfaitement dans la moyenne mais n’en avait rien dit) et la dureté (de ce coté je n’ai pas à me plaindre). A la fin de ces agapes M avait enlevé le bandeau des yeux de F et elle avait pu ainsi me découvrir en tenue d’adam, elle-même était pratiquement en tenue d’ève.
Mais cette fois ci ce serait différent, cette fois F aurait les yeux bandés mais le bandeau ne serait pas enlevé à la fin du jeu comme il l’avait été la fois précédente, cette fois aucune parole ne serait prononcée laissant cette belle bourgeoise dans l'ignorance des propriétaires des mains, des bouches et des bites qui allaient l'honorer et cette fois-ci nous en resterions là ; alors que la fois précédente le bandeau avait fini par être ôté des yeux de F, lui permettant de voir les étalons qui venaient d'abuser d'elle et nous permettant à tous de pouvoir discuter de ce que nous venions de faire et de le refaire encore et encore. Cette fois-ci M avait décidé qu'à l'issue de nos agapes nous nous éclipserions sans que F ait pu nous voir et nous entendre, la laissant ainsi dans le mystère des inconnus qui venaient de la baiser.
L'idée me plut et j'acceptais bien volontiers la proposition de M. Rendez-vous fût donc pris avec le coquin.
Le jour dit je retrouvai donc M dans sa voiture à la sortie d'une station de métro proche de chez eux. Il était en compagnie de l'autre habitué du site. Aussitôt que je fus monté nous nous mîmes en route. Pendant le trajet nous discutâmes de choses et d'autres, l'autre homme me parut sympathique mais peu ou pas enthousiaste, il semblait désabusé ; son attitude à venir allait confirmer mes craintes. De la voiture M appela F lui disant que nous arrivions elle qu'elle devait se mettre en position.
Nous arrivâmes donc. M nous fit entrer et partit dans la chambre vérifier que F nous attendait bien dans la tenue et la position voulue. Une fois fait il revint nous chercher et nous fit entrer dans la chambre.
F était sur le lit, agenouillée, les yeux bandés. Elle portait un corsage blanc, une jupe noire, des bas et des chaussures. Nous entrâmes silencieusement. Le spectacle nous laissait immobiles, la contemplation de cette bourgeoise (et sa tenue ainsi que son intérieur montraient qu'elle en avait tous les attributs) offerte de son propre gré comme une vulgaire putain nous laissait cois.
Alors que personne ne semblait décidé à bouger je décidais d'agir et je passais la main sur la croupe de F, je la sentis se tendre légèrement, probablement surprise par ce geste qu'elle n'avait pu voir venir a fortiori de la part d'un inconnu d'elle. Je décidais de continuer mes caresses, je passais la main sous sa jupe pour lui caresser les cuisses, je remontais le long de ses bas jusqu'à atteindre sa peau nue, elle était encore plus douce que dans mon souvenir. J'effleurai son entre cuisses, je la sentis se détendre je décidais donc de poursuivre mon exploration, ma main remonta vers son entre jambes et au contact de sa toison j'eus la confirmation qu'elle était nue sous sa jupe.
Pendant ce temps l'autre homme avait commencé à caresser les seins de F à travers son corsage, il devait déjà savoir si elle avait ou non un soutien gorge (sa position m’empêchait de le vérifier de visu). Il lui malaxait les nichons et elle semblait l'apprécier. Je la sentais à la fois tendue et excitée. Je décidais de lui relever la jupe, ses fesses blanches apparurent prouvant ainsi que cette bourgeoise coquine ne s'exposait pas intégralement au soleil et que donc je n'avais aucune chance de la rencontrer au Cap d'Agde l'été prochain. Aussitôt qu'elle fut le cul à l'air mon partenaire de débauche se déplaça pour contempler son fessier. Je continuais mon exploration en passant mon doigt entre ses lèvres intimes et quelle ne fut pas ma surprise de la découvrir trempée, prouvant ainsi sans contestation possible que la situation l'excitait bien plus qu'elle ne l'intimidait.
Nous sommes un trio coquin plutôt mur.
C'est l'amant qui écrit ici (le mari candauliste utilise le compte MariCandau75).
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