Bon, vu que les temps qui courent ne sont propices à rien, je me suis mis en tête de vous raconter un fantasme que j'ai sur ma femme.
Un jour qu'on se baladait en voiture dans la campagne à plus d'une heure de chez nous, on a pris un tout petit chemin, à peine plus large que la voiture. Ce chemin était long et on se baladait tranquille, du coup j'ai sorti ma pine pour me faire tripoter... Bien évidemment, sa main a fini par déraper et ma femme m'a sucé goulument.
Peu après, nous sommes passés devant une sorte de hangar méchamment isolée et un paysan d'une quarantaine d'année, debout dans son bleu de travail au bord du chemin, nous a regardé passer tranquillement. Ma chérie avait fini son affaire et elle était assise, les jambes en l'air sur le tableau de bord. Nous avons tous deux regardé ce type qui sortait un peu de nul part et avons lentement continué notre chemin, qui je dois l'admettre était vraiment agréable.
Quelques jours plus tard, on était détendu avec ma femme (surtout elle, c'est d'ailleurs là qu'elle est la plus réceptive à mes délires)) et alors qu'on parlait cul, je ne souviens plus précisément pourquoi, je lui dit qu'on devrait retourner sur ce chemin et retourner à cette ferme pour qu'elle suce ce type. "Là-bas, ajoutai-je, on risquera rien, c'est l'anonymat total et moi ça m'excitera à mort!".
Et là, stupeur, elle me sort juste un "mais t'as vu comme il était laid ?!" (en fait, il n'était pas spécialement laid, ni beau d'ailleurs).
Clic! La goupille a du faire du bruit en tombant de mon cerveau. En tout cas, moi je l'ai entendue. Je l'ai même entendue dire qu'il ne lui plaisait pas, et non un "mais t'es vraiment branque..." habituel. À partir de là, je me suis mis à fantasmer sévère sur ce coin et ce type. C'est ce que je vais vous raconter ...
Voilà mon plan... On laisse les gosses et on repart en voiture dans ce coin.
On retrouve le petit chemin et on s'y engouffre.
Ma femme est vêtue d'une petite robe légère. Elle a mis les pieds sur le tableau de bord, jambes écartées et est parfaitement détendue. Elle caresse négligemment du bout des doigts le gland qui dépasse de mon pantalon. Pour lui rendre la pareille, je caresse l'intérieur sa cuisse gauche depuis un petit moment et remonte lentement vers sa chatte. Elle est trempée, bien évidemment. Au bout d'un moment, j'attrape doucement sa nuque et dirige sa tête vers mon sexe, qu'elle lèche bien vite, avec son sérieux habituel...
Quelques minutes après, on arrive à la fameuse ferme. Le type est dehors, à côté de son tracteur. Comme ce chemin est vraiment désert, il nous observe.
J'en profite alors pour lui faire une rafale d'appels de phare afin de bien capter son attention. En passant à son niveau, je lui mime discrètement une fellation en plaçant mes deux mains serrées devant ma bouche puis lui fait comprendre que je suis en train de me faire sucer en pointant mon index vers mon sexe. Le type regarde perplexe. D'où il est, c'est à dire à quelques mètres de la route, il ne peut pas voir ma femme correctement, mais devine à coup sûr un dos penché vers moi. Ma petite cochonne n'a rien vu et continue d'astiquer ma bite avec soin.
Je ne peux plus faire marche arrière. Quelques dizaines de mètres plus loin, la route pénètre dans un petit bois en tournant. Je gare immédiatement la voiture sur le bas côté. Je sors, fais le tour de la voiture en tenant mon pantalon d'une main et ma bite de l'autre, ouvre la portière passager et celle de l'arrière pour nous cacher un peu, fais sortir ma femme et la place à genoux dans l'herbe, entre les deux portes ouvertes, face à ma queue. Je sors de ma poche le foulard que j'avais préparé et le lui met sur les yeux. Machinalement, elle avale ma queue sans rien dire...
