- 08 mars 2020, 22:57
#2401922
Prendre mon ordi et me mettre à tapoter sur le clavier pour vous raconter mes début est bien plus compliqué que je ne le pensais... Qu'il est bien difficile de relater des faits qui datent d'une quinzaine d'années et rester fidèle à l'ordre chronologique des choses, sans être trop dans le roman mais toute fois dans le détail.
Je pensais avoir été explicite dans ces épisodes. Tout ne s'est pas passé le même soir, mon entrée dans ce monde s'est fait progressivement, sur plusieurs années ' bien trop long pour Tanguy qui me voyait déjà passer à l'étape suivant)
, toujours avec le même amant, ça devenait plus simple avec lui je commençais à le connaitre mieux, son odeur, ses mains, même ses fantasmes qu'il n'hésitait pas à m'expliquer lorsque nous prenions le temps de discuter. Pouvoir séduire un autre homme que mon mari est très flatteur, mais je dois vous l'avouer très intimidant si si . Je suis une jeune femme tout juste mariée au moment où j'ai commencé cette aventure. Au cours des apéros rien n'était programmé, seule consigne de mon mari : l'épater! Pour ça il prenait tout son temps pour remonter à l'appartement et donc me laisser seule avec cet homme, qui avait déjà pris soin de ne pas mettre de sous vêtement pour gagner du temps au cas où 
J'avais le coeur qui battait la chamade, comme la toute première fois où j'ai senti ses mains sur moi, sa bouche collée sur la mienne, son corps pressé contre le mien, aux apéros ça n'était que des petits jeux,( bien que quand même quelques félations ont été pratiquées et des frottements plus que prometteurs dans ce salon).
il y avait eu plusieurs rendez vous dans ce sous sol et oui comme je le disais précèdement j'ai bien du mal à remettre les épisodes dans l'ordre
, mais je sais que je peux compter sur mon mari pour m'aider, sa mémoire sur ce sujet est vraiment terrible 
.
Un soir après justement s'être bien cherché, émoustillés, S me propose de le retrouver dans le sous sol et d'y faire rentrer sa voiture, je monte à ses côtés, il va se garer au plus loin et au plus sombre du sous sol, nous passons tous les deux à l'arrière, il nous fait plus de place en avançant les sièges avant de sa berline, il m'a prise dans ses bras m'a longuement embrassé en me caressant le visage de ses mains chaudes qu'il a laissé glisser sur mes seins, puis le long de mes hanches, le long de mes jambes et remontant sous ma jupe, je me suis mise à mon tour à le toucher, timidement d'abord en lui caressant le dos
et là je savais qu'il allait se passer autre chose que de simples caresses furtives, j'ai donc descendue ma main sur son sexe déjà tendu , à partir de là tout est allé très vite, il sorti un préservatif de sa poche, baissé son pantalon, il m'a saisi par les jambes pour me faire doucement glisser sur la banquette et s' installer entre, une fois la capote mise il m'a pénétrer, en me serrant plus fort contre lui, dans ce petit espace je pouvais sentir l'odeur de sa peau, son souffle contre mes oreilles, j'avais toujours à l'esprit que j'allais devoir tout mémoriser pour tout raconter ensuite à Tanguy. Etre baiser comme ça dans une voiture par cet ami, quelle sensation étrange, d'excitation,de gêne aussi, puis oui il faut le dire un certain plaisir, après quelques coups de reins, mon amant jouit en moi, satisfaits tous deux, on se dépêche comme pour ne pas éveiller des soupçons du mari qui lui est resté à l'appart, soit disant, déjà couché et endormi. Je laisse S repartir et remonte les escaliers pour enfin retrouver le cocu, excité par le récit , il me fait l'amour.
Je pensais avoir été explicite dans ces épisodes. Tout ne s'est pas passé le même soir, mon entrée dans ce monde s'est fait progressivement, sur plusieurs années ' bien trop long pour Tanguy qui me voyait déjà passer à l'étape suivant)
, toujours avec le même amant, ça devenait plus simple avec lui je commençais à le connaitre mieux, son odeur, ses mains, même ses fantasmes qu'il n'hésitait pas à m'expliquer lorsque nous prenions le temps de discuter. Pouvoir séduire un autre homme que mon mari est très flatteur, mais je dois vous l'avouer très intimidant si si . Je suis une jeune femme tout juste mariée au moment où j'ai commencé cette aventure. Au cours des apéros rien n'était programmé, seule consigne de mon mari : l'épater! Pour ça il prenait tout son temps pour remonter à l'appartement et donc me laisser seule avec cet homme, qui avait déjà pris soin de ne pas mettre de sous vêtement pour gagner du temps au cas où J'avais le coeur qui battait la chamade, comme la toute première fois où j'ai senti ses mains sur moi, sa bouche collée sur la mienne, son corps pressé contre le mien, aux apéros ça n'était que des petits jeux,( bien que quand même quelques félations ont été pratiquées et des frottements plus que prometteurs dans ce salon).
il y avait eu plusieurs rendez vous dans ce sous sol et oui comme je le disais précèdement j'ai bien du mal à remettre les épisodes dans l'ordre
, mais je sais que je peux compter sur mon mari pour m'aider, sa mémoire sur ce sujet est vraiment terrible .Un soir après justement s'être bien cherché, émoustillés, S me propose de le retrouver dans le sous sol et d'y faire rentrer sa voiture, je monte à ses côtés, il va se garer au plus loin et au plus sombre du sous sol, nous passons tous les deux à l'arrière, il nous fait plus de place en avançant les sièges avant de sa berline, il m'a prise dans ses bras m'a longuement embrassé en me caressant le visage de ses mains chaudes qu'il a laissé glisser sur mes seins, puis le long de mes hanches, le long de mes jambes et remontant sous ma jupe, je me suis mise à mon tour à le toucher, timidement d'abord en lui caressant le dos
et là je savais qu'il allait se passer autre chose que de simples caresses furtives, j'ai donc descendue ma main sur son sexe déjà tendu , à partir de là tout est allé très vite, il sorti un préservatif de sa poche, baissé son pantalon, il m'a saisi par les jambes pour me faire doucement glisser sur la banquette et s' installer entre, une fois la capote mise il m'a pénétrer, en me serrant plus fort contre lui, dans ce petit espace je pouvais sentir l'odeur de sa peau, son souffle contre mes oreilles, j'avais toujours à l'esprit que j'allais devoir tout mémoriser pour tout raconter ensuite à Tanguy. Etre baiser comme ça dans une voiture par cet ami, quelle sensation étrange, d'excitation,de gêne aussi, puis oui il faut le dire un certain plaisir, après quelques coups de reins, mon amant jouit en moi, satisfaits tous deux, on se dépêche comme pour ne pas éveiller des soupçons du mari qui lui est resté à l'appart, soit disant, déjà couché et endormi. Je laisse S repartir et remonte les escaliers pour enfin retrouver le cocu, excité par le récit , il me fait l'amour.
canda a liké
