- 17 févr. 2011, 13:54
#237905
Désolé pour les fautes d’orthographe, mais je décris notre soirée d’une traite.
Au bout d’un long moment qui me paraît, vous vous en doutez, une éternité, ma femme revient accompagnée de son étalon, elle me jette à peine un regard et se dirige au bar, elle est souriante, comblée par la séance de baise qu’elle a du avoir. Assis sur mon fauteuil je les regarde, lui la tien par la taille, sa main glisse sur son cul, glisse sous la serviette et la remonte, avec moi elle s’en serait offusqué, mais avec lui, elle se laisse faire. Sa main la pelote sans ménagement glisse entres ses cuisses, qu’elle écarte sans problème, il tourne la tête vers moi, sourit et lui glisse quelques mots à l’oreille, elle se retourne à son tour et du bout des lèvres me susurre un « Je t’aime », il continu de la caresser sans se préoccuper des clients qui les regardent, elle rit maintenant à gorge d’éployé. Je suis honteux, mais cette situation m’excite, je lui avais demandé de venir en club et c’est elle qui maîtrise le déroulement de cette soirée, Jean-Marc j’apprendrais son prénom un peu plus tard, demande à une femme qui est assise sur un haut tabouret du bar de bien vouloir le lui céder, il l’a remercie d’un baise mains et invite mon épouse à s’asseoir face à moi. Il lui écarte la serviette, elle écarte ses jambes ; de la ou je suis j’aperçois son sexe ouvert, il a la couleur des nuits ou je l’ai malmené, Jean-Marc pose sa main dessus et le caresse doucement il parle à la cliente à ses cotés, elle me regarde et pose sa main sur l’une des cuisses de Nathalie et l’écarte un peu plus. Après quelques échanges la femme dit quelques mots à l’oreille de Nath, que Jean-Marc pénètre de ses doigts et se dirige vers moi –« Ta femme, me dit que tu es un bon lécheur de minou, viens lécher le mien » toujours assis, elle debout elle plaque son mont de vénus sur ma bouche relève la serviette, son sexe est poilu, elle a des grandes lèvres son sexe coule, je regarde ma femme espérant qu’elle me dira non, mais il n’en est rien elle rigole toujours une mains en elle. –« allé montre-moi ça, ensuite tu iras lécher celui de ta femme » je ne peux qu’accomplir ce qu’elle me demande, son sexe a une odeur forte, son goût est totalement différent de celui que je l éche avec délectation, mais que ne ferais-je pas pour une chatte, je la lèche, je me laisse grisé par cette situation, elle plaque ses mains sur l’arrière de mon crane et appui, m’empêchant presque de respirer –« hummm, oui lèche salope, bois le, elle a raison tu suce bien… » ses mains se retire et viennent se poser sur me tétons, elle les taquine, je suis comme un fou je ferrais n’importe quoi sous ces caresses, mes tétons sont hyper sensible, de vrais petits clitoris sur ma poitrine, je me dandine sur mon fauteuil, j’en oublie les gens qui doivent nous regarder, je lèche, aspire, bois ce qui en coule, elle en profite, elle me pousse, je me retrouve en travers du fauteuil reprend entres ses doigts mes seins et vient s’asseoir sur mon visage tel une cavalière qui vient se positionner sur sa selle j’ai son sexe plaqué sur mon visage, elle ondule du bassin, se frotte sur mon visage je ne fais plus qu’un avec son sexe, sans aucun signe avant coureur ses cuisses se resserrent et elle jouie intensément, mon visage est aspergé de sa liqueur, une femme fontaine moi qui en rêvais j’ai peu de temps pour l’apprécier à sa juste valeur, elle se lève, je suis allongé entres les accoudoirs je dois donner de moi une image bien pitoyable, elle se rapproche de moi et pose un baisé sur mon front –« tu lèche merveilleusement bien, petit cocu, la prochaine fois j’espère bien en profiter…Maintenant tu va t’occuper de ta femme, elle t’attend… ». Je suis abasourdi dans un tout autre monde et je réalise que Nathalie a regardé la scène je ne sais quelle contenance avoir, ma femme est toujours sur son tabouret de bar cuisse écartée la main de Jean-Marc la fouillant de ses doigts, La cavalière m’entraîne entres ses cuisses, Jean-Marc me tend ses doigts, je les lèche, sans aucunes protestations, ils sont gluants tant ma femme a dut éprouver du plaisir, à genoux me voilà prosterné devant ma moitié, ma cavalière par une pression sur le haut du crane me pousse à commencer –« faites-vous plaisirs tous les deux » et me revoilà a déguster le sexe de Nathalie sexe qu’elle à offert à d’autres que moi ce soir mais je m’en moque, je l’aime tant et puis ne le souhaitions nous pas ? C’est chose faite et je la lèche me délecte à sa source une main que je pense être féminine se pose sur mon sexe et me masturbe, je ne vois rien que je n’entends rien je suis coupé du monde, la masturbation que je subis est douce et brutale à la fois, le plaisir monte en moi, les cuisses de Nathalie se contracte nous jouissons alors à l’unisson jamais je n’aurais pensé jouir de cette façon devant du monde et surtout dans cette position, reprenant mes esprit je me redresse, je découvre alors que tout le monde vague à ses occupations, Jean-Marc n’est plus la, La cavalière s’essuie négligemment ses mains sur son paréo, je remarque que quelques femme accompagnée de leurs hommes nous regardent avec bienveillance, Nathalie est rayonnante Elle m’embrasse à pleine bouche, me dit qu’elle m’aime, qu’elle a adoré et qu’elle souhaite que nous y revenions très vite, nous buvons un soda grignotons quelques pâtisseries et nous dirigeons vers le vestiaire, la je retrouve Jean-Marc appuyé contre notre casier, il nous attendait –« vous avez été génial tous les deux, tient comme promis » il tend alors une carte de visite à Nathalie pose sur ses lèvres un baisé délicat, je suis fous de rage nous nous étions interdit d’échanger nos coordonnées et elle a accepté celle de ce mec. Je m’habille sans un mot nous sortons du club remise de la rose habituelle pour les dames et une petite phrase –« vous revenez quand vous le souhaitez la porte sera toujours ouverte pour vous et si Madame veut venir toute seule, ce sera un grand plaisir. Dans la voiture Nathalie me regarde, je démarre et roule toujours sans un mot, elle regarde la carte ouvre la vitre, et laisse partir au vent la carte de visite, « Imbécile, tu croyais que j’allais la conserver ? Même s’il ma baissé comme un dieu, même si son sexe est impressionnant et qu’il m’a fait jouir à trois reprises je respecte notre choix de ne pas nous échanger de coordonnées et c’est pareil pour toi » elle pose sa tête sur mon épaule me dit, je t’aime et je continu la route sa main posée sur mon sexe qu’elle a extrait de mon pantalon, je suis aux anges, je l’aime, arrivé devant chez nous elle me regarde et me dit « et puis tu sais j’ai une excellente mémoire pour les numéros de téléphone »… Idiot allé vient j’ai envie de toi….