Ma relation avec Rui dura un peu moins d’un an mais me changea en profondeur. Je continuais à coucher avec d’autres hommes, mais lui m’emmenait régulièrement à l’hôtel et insistait toujours pour me payer.
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Assez curieusement, je me sentais alors «obligée» de lui en donner pour son argent, de lui «offrir un bon service», et ça me mettait dans un état second difficile à expliquer. Assez rapidement, il commença à me prendre par devant et par derrière sans capote. Après s’être soulagé en moi, il me disait de rester dans la position et de laisser couler son sperme pendant qu’il prenait des photos. J’obéissais, avec un sentiment confus d’humiliation et d’excitation. Il aimait aussi m’introduire toutes sortes d’objets dans les orifices. et m’initia au fist vaginal.
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Un jour, il me présenta à un «ami» qui nous accompagna à l’hôtel. Il doubla la mise et m’ordonna toute sorte de choses avec son «ami». Ils se finirent tous les deux en même temps à l’intérieur de moi puis partirent tous les deux dans la nuit en me laissant toute souillée dans ma chambre d’hôtel. Je restai un moment couchée sur le dos, toute poisseuse de leurs plaisirs mélangés. Je me sentais à la fois vide et pleine. J’avais envie de pleurer, mais j’avais aussi envie de recommencer. Je savais que j’avais franchi un nouveau cap irréversible.
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La semaine suivante, ce fut un autre «ami», puis encore un autre. Je me laissai faire, à part que j’exigeai la capote pour me pénétrer. Petit à petit, j’entrai dans une routine. Le vendredi soir, j’étais la pute de Rui, le reste de la semaine, j’étais juste une étudiante un peu délurée. J’adorais cette double vie et depuis lors, j’ai toujours eu deux visages.
Certains vendredis, Rui ne m’accompagnait même plus. Il me présentait à un mec puis nous laissait ensemble. Le mec ne payait rien, c’est Rui qui me glissait quelques billets. Je savais qu’il se faisait un bénéf au passage, mais je m’en foutais.
Les «clients» semblaient être bien au courant de ce qu’ils allaient trouver sous mes vêtements, ce qui me fit penser que Rui faisait ma pub à coup de photos. Ils savaient tous aussi que j’acceptais la sodo, parce qu’ils passaient toujours par là, parfois même sans s’intéresser à ma chatte.
Au bout de quelques mois, Rui ne me baisait plus lui-même. Il avait un peu augmenté mon argent de poche et de temps en temps, il doublait la mise et m’emmenait à une soirée où j’étais la seule femme avec plusieurs hommes.
Avec l’argent que je gagnais, je m’étais achetée de belles tenues et des tas de sous-vêtements sexy. Je vivais très richement pour une étudiante.
Je limitais mon «activité professionnelle» strictement au vendredi soir. Le reste du temps, j’avais des relations «normales» et j’eus même deux ou trois petits amis plus réguliers terriblement curieux de savoir pourquoi je n’étais jamais libre les vendredis soirs.
La dernière chose que je fis avec Rui, c’est tourner un petit film amateur qui me permit de m’acheter une petite voiture d’occasion.
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