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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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par Noux74
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Notre gîte

1. Phantasmes virtuels

Notre gîte était un endroit paisible, charmant, calme, discret, à l’image de ma femme. Pourtant, notre relation et nos phantasmes ne s’étaient pas construits sur ces mêmes bases. Nous avions fait connaissance à l’université. Elle s’était engagée, trop tôt, dans une relation sérieuse et moi je désirai vivre une relation simple, vivre ma 20aine en découvrant les plaisirs de la vie. Nous nous sommes donc retrouvés à 20ans, à profiter de la vie et de nos phantasmes, à découvrir notre corps et celui de l’autre. Les cours me passionnaient peu et Anne semblait apprécier les scénarii érotiques que je lui racontais en cours, mais aussi en voiture ou parfois le soir dans notre lit. Sans m’en rendre compte, il se trouvait que mes histoires avaient un fil conducteur. Je commençais toujours par décrire, dans un lieu neutre, des actions anodines de la vie quotidienne de notre couple. Un décor qui collait parfaitement à la réalité, à notre réalité, et qui rassurait par sa banalité. Puis, la majorité du temps, je faisais intervenir un inconnu, rarement un couple, quasiment jamais une autre femme (Ou peut-être une fois, pour tester des mises en scènes, mais sans résultat probant sur notre libido à tous les 2). Ainsi, gentiment, je racontais régulièrement comment la rencontre d’un inconnu pouvais se dérouler. Un autre homme qui représenterait parfois l’opportunisme, la tentation ou l’interdiction, tantôt très direct avec nous, tantôt très surpris par nos avances et nos propositions indécentes. Bref, chacun pourra imaginer le tableau de ces phantasmes que nous avons 2 années durant, passés en revu ; Le gendarme corrompu par du sexe pour éviter une amende dérisoire, un aussi beau qu’improbable puceau étrangement mature à 18 ans qu’Anne aurai eu l’honneur de d’affranchir, ou encore 2 beaux athlètes noirs (ou pas) particulièrement ouverts d’esprit, rencontrés en vacances par le plus grand des hasards…
Nous nous entendions trop bien sur ce chemin instable pour ne pas continuer d’avancer ainsi. Je faisais toujours de mon mieux pour que mes histoires soient empreintes de force détails, avec toujours cette pointe de réalisme qui laissait imaginer en permanence qu’un pas de plus pouvait suffire à glisser irrémédiablement dans la véritable luxure, l’irréparable. C’est ainsi que les choses de la vie se passent ; Je ne pensais pas construire quelque chose avec elle et réciproquement non plus. Par notre légèreté, notre insouciance, notre détachement, nous avons avancé au fil des ans et construit une relation aussi simple que naturelle, basiquement fonctionnelle. Nous n’avions peur de rien, ni des disputes, ni de se séparer, ni de l’adultère. C’est certainement pour ces raisons (Quand nous n’avons peur de rien) que nous avançons le plus loin, le plus sereinement. Pourtant, les sentiments et la jalousie ce sont fait leur place et se sont installés à notre insu. Nous étions devenus un couple ! Alors nos phantasmes firent place aux projets avec cette fois-ci, force détails et une pointe de fantaisie.
Nous nous sommes installés dans une très belle et grande ferme rénovée. Nous occupions un modeste espace et tout le reste était dédié à la location. Un gîte paisible, charmant, calme, discret, à l’image de ma femme. Nous rencontrions beaucoup de gens, de tout horizon et de personnalités bien différentes, mais aujourd’hui, à la trentaine, jamais nous n’avions rencontrés d’homme seul incarnant le phantasme de nos 20 ans. Ah oui ! J’ai failli oublier ; Anne et moi, nous nous sommes séparés quelques mois au début de notre relation. C’est peut-être le plus important finalement car tout découle de là certainement.

***
2. Phantasmes réalistes

Avant que les choses plus sérieuses ne s’établissent entre nous, nous avions encore la vingtaine à peine passée. Nous avions partagé quelques scénarii pour lesquels j’ai eu la main un peu lourde sur le réalisme. Je sentais que l’incarnation du phantasme ne se trouverait pas en vacances ou chez des gendarmes corruptibles avec la minime probabilité qui plus est, qu’ils ne soient ni timides, ni trop laids. J’ai donc proposé à Anne de se balader sur internet afin de trouver matière à nos histoires. J’ai pensé qu’elle n’apprécierait pas de s’occuper de cela. Je m’en suis donc chargé, pensant être missionné pour notre cause phantasmatique commune et je me suis ainsi enfoncé dans cette réalité-virtuelle. Je discutais avec de réels couples, de véritables hommes. Nous échangions nos envies, nos idées puis petit à petit parlions d’opportunités réelles de rencontres. Internet était un fin préservatif virtuel, le dernier rempart qui nous séparait désormais d’une véritable rencontre, d’un réel contact avec d’autres personnes. Notre 1ère rencontre réelle fut celle d’un couple la 50aine. Ils étaient tous les deux banquiers je crois. Lui en tous les cas avait un poste à responsabilité dans une banque d’affaire. Ils étaient échangistes. Lui nous a très rapidement expliqué être candauliste. C’est cela qui m’a attiré je pense car jamais je n’aurai imaginé contacter un couple 30ans plus âgé que nous, pour une première rencontre en plus. Cela dit, se fut un excellent choix. Nos conversations étaient surréalistes dans ce café. Nous parlions de la pluie et du beau temps puis de sexe. De banalité puis de nouveau de phantasmes… Anne et moi étions comme des puceaux de l’échangisme et nous ne savions pas encore si nous étions prêts à faire le grand saut. C’est déjà compliqué de savoir quand on est seul devant notre 1ère fois alors sonder notre partenaire ! Nos conversations avec ce couple étaient trop longues et j’étais de plus en plus impatient, signe que je voulais aller plus loin. Lorsque Anne exprima son accord d’aller un peu plus loin, cela me troubla profondément. Je prenais conscience en cet instant de par son simple « Oui, pourquoi pas. » qu’elle répondait à cet inconnu et accepterait aujourd’hui que cet autre homme la baise devant moi !
Sur la route, tout en suivant ce couple en direction de leur domicile, je voulais m’assurer de la réelle motivation de Anne. Je me demande vraiment encore aujourd’hui, si je cherchais à nous rassurer ou à m’exciter. Arrivé chez eux, nous avons encore discuté, trop à mon goût. Je ne savais plus s’il était l’heure de prendre le café ou de manger, mais cette longue journée d’été s’éternisait. De toutes façons, nous n’avions aucun appétit et ils ne nous avaient pas inviter pour dîner. L’avantage de ces longues conversations et de ces apéros interminables, c’est d’apprendre beaucoup sur l’autre ou sur des pratiques que je méconnaissais. Ce couple prenait vraiment son temps pour ne pas nous effrayer et se découvrir à nous. Lui particulièrement était le plus loquace et listait les occasions manquées ou réussites de partager sa femme avec d’autres hommes. Je ne comprenais pas sur le moment, l’intérêt de laisser sa femme avec un de ses meilleurs amis dans leur chambre avec une caméra sur trépied pour filmer l’instant pendant qu’il tournait en rond dans le salon. La raison première était de revivre ce moment de pur candaulisme encore et encore, la seconde était certainement de nous montrer cette vidéo pour ouvrir nos appétits. Il n’en a pas eu besoin finalement car 15 minutes plus tard, Anne serait en train de pratiquer une magnifique fellation à cet homme. J’aurai pourtant voulu voir cette vidéo, mais Anne s’est absentée un moment et j’en ai profité pour passer ma main sous la jupe de cette femme que je ne connaissais pas pendant qu’elle desservait la table. Alors, au retour de Anne, nous nous étions déjà installés au salon. Les conversations semblaient repartir alors que personne ne le souhaitait vraiment à mon avis. Quand soudain, sans vraiment pouvoir dire par qui, ni comment la situation s’était débloquée, nous nous sommes retrouvés par couple illégitime. Alors que cette femme inconnue s’exposa devant moi, je pu la découvrir nue et gouter à tout ce qu’elle m’offrait sans retenue, elle était mince et belle. J’ai pu la pénétrer rapidement, mais mon attention était irrésistiblement détournée vers Anne et cet homme.
Anne avait déjà enlevé le haut et il l’aida à enlever son soutien-gorge et s’empressa de lui caresser les seins. Ce qui me surpris n’était pas de voir comment il la plotait, ni le plaisir qu’il en avait, mais la tranquillité qu’il affichait tout en jouant avec ses tétons puis en commençant à les embrasser et les lécher. Je ne parvenais plus à me concentrer sur sa femme. Elle commençait à le voir et accepta que je m’interrompe pour observer la suite de ce spectacle qu’offraient Anne et cet inconnu. Il se leva du canapé et se dressa devant ma femme qui joua le jeu avec beaucoup d’aisance aussi. Cette facilité et leur complicité furent là aussi ce qui me choqua le plus. Cet homme déboutonna son pantalon et c’est Anne elle-même qui finit de le déboutonner et de le descendre à ses genoux pour en sortir son sexe. Il n’eut rien à faire, Anne prit son pénis déjà gonflé et tendu entre ses mains et le masturba lentement pour qu’il se durcisse encore plus. J’étais impressionné de la voir se jeter ainsi dans le grand bain, comme s’il était glacé, comme si elle devait y aller d’un seul coup, quitte à oublier les gènes qu’elle avait parfois même dans nos propres ébats. Je voyais ainsi un de nos phantasme se dessiner ; Anne avait une tout autre attitude, elle était tout le contraire ce soir et ne demanda pas davantage de temps, plus de douceur ou moins de lumière (Ce qui me permit de tout observer au grand jour). L’homme qu’elle masturbait commençait à s’en réjouir et Anne semblait stimulée, comme transformée par l’effet qu’elle faisait à cet inconnu et s’en amusa davantage encore en le regardant droit dans les yeux pendant cette douce masturbation. Puis elle se mis à le sucer doucement en fermant les yeux comme pour apprécier cet instant. Tout s’enchaina alors ; Plus rien d’autre qu’Anne et ce quinquagénaire n’exista à mes yeux. Il faisait chaud mais je tremblais comme une feuille tellement j’étais saisi par la nervosité. Anne s’offrait comme rarement (Y compris avec moi) et je ne voulais pas perdre une seconde de ce spectacle. C’est ce que j’attendais, qu’elle se livre, qu’elle s’ouvre complètement, même si nous devions franchir le pas dans la réalisation de nos phantasmes pour cela. Voilà ce qui m’avait poussé vers ce genre de pratique : Il fallait peut-être un prétexte, une mise en scène à Anne comme aux femmes en général pour oser se livrer entièrement sexuellement, à moins que ce ne fut ces très longs préliminaires spirituels qui ont permis d’exciter tout le monde à son paroxysme… Quoi qu’il en soit, tout en gardant sa personnalité calme et discrète, Anne sut se comporter en véritable star du porno l’espace d’un soir, pour mon plus grand plaisir et celui de cet homme. Il prit le temps d’enlever complètement son pantalon qu’il avait encore aux genoux et en profita pour ôter son T-shirt. Anne fit de même, mais se faisant avait vraisemblablement repris un peu de lucidité le temps de se déshabiller intégralement. Elle se retrouva mi- excitée, mi- gênée, entièrement nue et parfaitement épilée, assise devant cet homme dressé devant elle, également entièrement nu. Ils avaient le sourire aux lèvres, celui de Anne légèrement embarrassé. Lui semblait plus décidé et encouragea ma petite amie à reprendre cette fellation. Elle s’appliqua de nouveau à faire de son mieux, comme si elle était dans la peau d’une autre. Elle se transforma encore un peu plus et s’amusa à regarder notre hôte dans les yeux. Peut-être pour voir combien elle l’excitait ? Plus certainement parce qu’elle savait ce que les hommes aimaient. Combien de fois lui avais-je demandé de me montrer ce regard ? Combien de fois hésita-t-elle à le faire ? Ce soir, elle était une autre et nous en profitions tous. Puis me vint à l’esprit l’idée qu’à 50ans, j’aimerai avoir la même chance que cet homme. Il semblait lui, la saisir pleinement. Il posa une main sur la tête de ma femme, se crispait puis semblait se retenir. Il était bien décidé à faire tout ce qu’il souhaitait mais dans les limites de ce que nous accepterions. Aussi, nous demanda-t-il si nous aimions les mots crus. Anne ne répondit pas spontanément. Une fois de plus, je pensais être plus ou moins le seul à apprécier cette pratique (Jusqu’à aujourd’hui en tout cas). J’ai donc libéré notre hôte de cette frustration en lui affirmant qu’il pouvait se faire plaisir ainsi s’il le souhaitait, comme si c’était à moi seul que la décision revenait. Ainsi donc, il s’adonna à quelques diatribes très crues. Il y allait néanmoins par petites touches, encore timide, pendant que Anne le suçait encore. Arriva alors le moment ou il souhaita découvrir l’intimité de ma femme. Un autre moment délicieux que je pu apprécier à la lumière du jour.
Il posa ses mains sur les épaules de Anne et l’allongea de manière décidé mais délicatement, sur le dos. Il remonta ses cuisses, écarta ses jambes et prenait le temps d’apprécier la beauté de son intimité offerte. Il passa ces doigts délicatement sur ses lèvres. Une étape de plus dans notre sexualité de couple et nos phantasmes fut franchi, en direction de l’irréversible mais aussi de nos plaisirs et de nos orgasmes futurs. Je vis pour la 1ère fois un homme glisser ses doigts entre les lèvres puis dans le sexe de ma compagne. Il scruta ses réactions et bien évidemment elle était déjà tellement excitée qu’elle gémit assez vite. C’était sans compter sur les coups de langues qu’il lui prodigua parfois. Il alterna les caresses de ces doigts et de sa langue avec l’envie qu’il avait d’admirer son sexe ou de la voir gémir. Il s’emblait s’amuser, profiter pleinement. La femme de cet homme n’existait définitivement plus pour moi, tout comme moi je n’existais plus pour eux. J’étais hypnotisé par leurs ébats. J’étais invisible pour eux, enfin presque, car si Anne se concentrait sur son plaisir, lui échangea avec moi, quelques fois des regards de complicité et d’approbation. Il joua son rôle d’amant à la perfection et apporta tout ce que Anne et moi attendions. Grâce à son expérience de quinquagénaire et de candauliste pratiquant, il était dans le juste et colla presque parfaitement notre réalité de ce soir aux calques de nos phantasmes, tout en profitant lui-même d’une situation aussi rare qu’extrêmement avantageuse pour lui. C’est ainsi qu’il enchaina les plaisirs et les scènes sous mes yeux écarquillés, tétanisé et le corps tremblant mais pour mon plus grand plaisir. Il habilla son sexe d’un préservatif et le temps qu’il mit, me permis d’apprécier encore plus LE moment. Je ne cessais de me répéter « Il va la pénétrer !!! » , «Elle va accepter de se faire prendre par un autre homme » , « Si je ne fais rien, il va certainement la faire jouir et probablement jouir en elle !!»… Mais pouvais-je encore intervenir ? Comment ? Quelles conséquences si j’interviens ? Pire encore, quelles conséquences sur mon égo s’ils refusaient tous deux de s’interrompre ? Je basculais comme un pendule affolé entre la honte et l’excitation, en dehors de toute réalité, comme suspendu, hors du temps. Tout allait tellement vite que cette avant dernière étape, celle précédant la jouissance finale, le moment de la pénétration, était en train d’approcher. Je n’avais, tout compte fait, pas envie d’en rester là et eux moins encore. Je m’approchais donc d’avantage pour que les cuisses ouvertes de Anne ne me gênent en rien et me permette une parfaite contemplation.
Il apposa son sexe sur le sien et s’amusa un peu avec son clitoris, glissa le long de ses lèvres et s’enfonça doucement et facilement en elle. Nous y étions, il prenait plaisir à aller et venir en elle lentement pendant qu’elle sentait son orgasme grandir en flèche. Cet amant continua de jouer son rôle remarquablement tout en donnant libre cours à ses propres désirs. C’est ainsi qu’il reprit son envie de s’exprimer et d’assener des mots crus à ma compagne qu’il possédait enfin. Nous vîmes lui et moi Anne prendre un plaisir fou à ces dialogues, car désormais elle tentait de lui répondre quand elle le pouvait. Il enchaina ainsi ses phantasmes et ses plaisirs personnels avec Anne. Il lui demanda de se retourner pour la prendre en levrette en prenant soin au préalable de mâter sa croupe offerte et impatiente puis de s’y engouffrer et enfin de s’activer en elle. C’est le moment que je choisis pour passer devant ma femme et lui proposer mon sexe. Elle était tellement bien prise qu’elle avait du mal à s’employer avec ces 2 hommes. Elle parvint tant bien que mal à me sucer jusqu’à ce qu’il lui demande si elle aimait ces 2 sexes, rien que pour elle. Ce à quoi elle répondit oui en criant à moitié de plaisir et avant de cesser complètement la fellation qu’elle me prodiguait. Mon sexe dans sa main, elle continuait de jouir fortement et c’est un cours instant après qu’il lui demanda de se remettre sur le dos. Avait-elle joui totalement ou pas ? Peu lui importait, il désirait désormais la prendre à nouveau en missionnaire. Si elle n’avait pas encore eu son orgasme, elle l’aurait ainsi ! Il reprit ses va-et-vient comme au début et Anne appréciait énormément, même si elle avait vraisemblablement eu son compte quelques minutes auparavant. Alors il se concentra sur son plaisir à lui et au bout de quelques minutes supplémentaires de pénétrations tantôt rapides, tantôt lentes et profondes, il finit par jouir intensément en elle et se retira comblé.
Je ne me souviens plus du tout du moment de ma jouissance personnelle. Cela fait plus de 10ans que cela s’est passé et ce n’est pas ce que je retins le plus de cette soirée. Il me semble avoir mis un préservatif pour des questions pratiques puis avoir honoré Anne une deuxième fois dans cette position du missionnaire et devant nos 2 hôtes. La suite n’a que peu d’intérêt, si ce n’est que d’expliquer que la frustration se lisait sur le visage de cette autre femme qui pour la première fois, n’était pas le centre de toutes les attentions. Nous sommes rentrés chez nous et avons revécu en parole et en acte cette soirée surréaliste. Plus rien n’était comme avant dès lors. J’ai cherché à reproduire cet instant unique en vain. J’avais eu beaucoup de chance concernant cette rencontre et jamais nous n’avons retrouvé cette magie. Ni en club échangiste, ni avec un autre couple, ni en sauna, ni en invitant ce black pour un trio surprise pour Anne. Nous avons eu aussi notre lot d’actes manqués. Nous nous sommes séparés quelques temps plus tard pour des raisons aussi étranges et incompréhensibles que la façon dont notre duo s’était formé. Durant cette période, nous continuions à passer des nuits ensembles, par intermittence avec des rencontres plus ou moins sérieuses que nous faisions chacun de notre côté. Le sexe avait pris, en nous séparant une place sinon importante, au moins majoritaire dans notre relation et nous nous retrouvions toujours facilement et régulièrement sur ce plan. Malgré tout, j’ai regretté que Anne n’accepta pas, ce soir-là, que j’invite ces 2 hommes qui l’avaient gentiment scruté et flatté dans ce supermarché où je l’avais rejoint par hasard. Une véritable rencontre pour une fois, comme dans nos 1ers scénarii un peu fous. J’ai regretté également que cet homme seul rencontré sur internet ne réponde pas au moment où je m’apprêtais à l’inviter chez Anne, un soir ou je parvins à la convaincre (Une des dernières fois). Puis le temps et la distance nous éloigna petit à petit, tant bien que mal, jusqu’à ce nouveau moment de pure sexualité qu’elle m’offrit dès son retour, toute bronzée, la marque de son maillot dessinée par le soleil de Tunisie.

***
3. Au-delà

Elle était partie en vacances une semaine avec un couple d’ami à Tunis, dans un club pour touristes en quête de repos, d’activités estivales et de baignades au bord de la piscine. Je me doutais bien qu’elle risquait de rencontrer un beau célibataire le temps des vacances, mais ce qu’il s’y passa surpris tout de même l’ex petit ami candauliste que j’étais devenu. Elle était de retour depuis quelques jours seulement, toute bronzée. Nous discutions tranquillement de tout et de rien, tout en se baladant dans les rues de notre chère ville et je sentais qu’elle tournait autour du pot à me raconter ses vacances. Elle finit par m’avouer qu’elle avait « rencontré » quelqu’un. Puis qu’elle était « sorti » avec lui. Bref, je n’étais pas très enclin à entendre ce genre d’histoire. J’avais juste peur qu’elle me dise qu’il habitait comme par hasard dans la région, avec la crainte de perdre ma partenaire XXX. Elle comprit la confusion dans mes questionnements et s’aperçu qu’elle se faisait mal comprendre. Alors elle précisa qu’il était Tunisien, qu’il habitait et travaillait là-bas en tant que conducteur de calèche pour les promenades touristiques et qu’il ne parlait que très peu français. J’étais perdu. Je ne comprenais plus pourquoi elle sortait avec un homme qui ne lui correspondait pas du tout et qu’elle ne reverrait jamais ! En plus, le couple avec qui elle était parti en vacances était mixte. Elle, était une amie commune que nous avions rencontré à l’université et lui était un maghrébin qu’elle avait rencontré il y avait quelques mois seulement. Anne leur expliqua lors d’une conversation sur les couples mixtes qu’elle n’était pas attirée par les Tunisiens et qu’elle ne se voyait pas avec l’un d’eux. Elle s’était senti bien bête devant son manque de discrétion auprès de ce couple, à inviter ce Tunisien le soir pour faire je ne sais quoi. C’est ainsi que j’appris ce qu’elle n’osait me dire franchement. Le but principal était pourtant bien de m’exciter. Elle n’était tout simplement pas sûre de l’effet que cela allait produire sur moi. Les nouvelles questions que je lui posais lui montrèrent que nous étions une fois de plus sur la même longueur d’onde et elle se mit à me parler et à répondre à toutes mes questions, ou presque… Elle clarifia donc les faits et m’expliqua qu’il ne s’agissait pas d’une relation bien sûr, mais qu’elle avait simplement envi de sexe. Qu’il avait des yeux clairs comme les berbères et qu’il parlait très mal français, mais suffisamment pour échanger quelques notions de sexe et lui apprendre qu’elle n’était pas la première ni la dernière à venir d’Europe et profiter d’une manière ou d’une autre de la chaleur d’Afrique du nord. Il était gentil mais son éducation était limitée et ne lui avait pas permis d’appréhender l’utilisation des préservatifs. Ce détail supplémentaire m’a refroidi clairement, mais la conversation qui se poursuivit m’excita et me troubla davantage. Mais qu’avez-vous fait alors ? Comment ? Et les questions fusèrent.
Elle dû bien avouée qu’ils n’avaient pas utilisé de capote, mais qu’elle ne l’avait pas laisser aller jusqu’à jouir en elle non plus. Même si elle prenait la pilule, certains dangers étaient quand même bien présents. Mais peu importe, une plus grande question, à laquelle je n’aurais pas de réponse, m’était posée. Où le faisais-tu prendre son pied alors ? Il était évident qu’il n’allait pas lui donner du plaisir et repartir sans aller jusqu’au sien ! Alors « Comment le faisais-tu jouir ? » lui répétais-je. Elle n’osa jamais me répondre. Elle m’expliqua même ne pas vouloir me le dire du tout, malgré mes insistances. Loin de me choquer seulement, mon imaginaire libérait des scénarii que je n’osais pas encore m’avouer… A l’évidence il devait être satisfait pour y retourner régulièrement car j’appris aussi qu’il n’y eut pas qu’une simple visite et que là aussi, elle refusa de me dire combien de fois exactement. J’étais définitivement choqué qu’elle me mette le feu ainsi et qu’elle ne me consume pas entièrement. Et je me répétais encore et encore ; Qu’est-ce qu’elle avait bien pu lui promettre, puis lui faire, pour qu’il se retienne assez longtemps en elle sans craquer et pour qu’elle s’assure qu’il ne se lâche qu’après son orgasme à elle. J’avais beau insister, elle n’avait pas l’air de vouloir lâcher le morceau. Nous sommes donc passé à d’autres détails mais cette question revenait en permanence dans ma tête. J’essayais de la piéger en rassemblant des pièces de puzzle afin d’avoir l’histoire complète. Est-ce que son sexe était gros ? Te prenait-il en levrette ? Je croyais savoir que l’islam l’interdisait, mais qu’il ne devait pas en être à ça prêt. Anne m’expliqua certaines choses et en gardait certaines pour elle. Son sexe n’était pas particulièrement long, mais il était très large, à tel point qu’elle avait, selon elle, du mal à le garder dans sa bouche et qu’assurément elle le sentait bien passer par la suite. Il ne prenait pas vraiment de gants avec elle, parlait en arabe de temps en temps et y allait fort parfois. Je supposai que si elle le rappelait, c’est qu’elle appréciait ce qu’il lui faisait. Elle devait vivre aussi un phantasme bien caché, un scénario inavouable de femme objet car elle aimait me rappeler qu’il avait l’habitude que des européennes viennent chercher cela, tout comme elle. Elle m’expliqua qu’effectivement, il put la prendre par devant et à 4 pattes et qu’il adorait ça. Mais bon sang, comment le faisait elle jouir !!! Je lui proposais même de le dire à sa place et qu’elle n’avait qu’à le confirmer ou pas, que cela m’excitait terriblement. Alors, comment ? « En missionnaire ; il sortait et éjaculait sur ton ventre, ton sexe ? Il aimait te finir en levrette et se vider sur tes fesses ? » Je devenais vulgaire tant l’excitation me prenait. « Est-ce qu’il aimait t’humilier ? » Mais jamais elle ne répondit. Peut-être aurait-elle répondu si j’avais mieux choisi la tournure de ma dernière phrase, mais je finis par lui demander brutalement : « Tu le faisais jouir en le suçant ? ». Bien sûr, elle ne répondit toujours pas, mais j’interprétais son silence absolu comme un début de oui. A moins que je ne me précipitasse seul dans un de mes phantasmes les plus tordus et les plus inavouables. Je souhaitais que cela fût la vérité et je me plongeais dans certains détails qu’elle n’aurait pas voulu entendre peut-être !? A moins que je ne sois tombé dans la même vérité qu’elle, celle qu’elle n’assuma pas non plus. Je souhaitais qu’il la prenne comme une femme objet et qu’elle aima ça. Qu’il fasse ce que je n’osais pas faire avec elle. Qu’elle accepte ce qu’elle n’avait jamais oser accepter de quelqu’un qui la connaissait. Elle ne répondit jamais… « Tu terminais en le suçant pour le récompenser et le faire jouir ? Il voulait jouir sur ton visage, dans ta bouche ? As-tu accepté, l’as-tu fait ?!? » Jamais aucune réponse ne me parvint et aujourd’hui encore, je phantasme sur cet épisode où j’imagine les plus excitantes scènes de sexe avec ma femme. L’humiliation n’est pas une condition sine qua non de la sexualité, mais dans certaines circonstances très difficiles à reproduire, elle peut être l’instinct le plus brut, animal et donc offrir l’orgasme le plus profond dans le domaine phantasmatique de la femme objet. Je revois donc défiler, quand cela me prend, les images de ma femme dans toutes les positions les plus obscènes, en train de donner du plaisir à un homme qui ne cherche que le sien. Je le vois éjaculer sur son intimité tout en râlant de plaisir. Je le vois se tendre comme un arc, son large sexe en pleine érection, dans la croupe de Anne à 4 pattes, avant de jouir tout ce qu’il peut sur ces fesses et sa croupe. Je vois Anne sucer ce sexe imposant et s’activer de plus en plus, afin de faire éclater cet homme dans un orgasme bruyant et libérateur sur ma femme offerte et soumise. Toutes ces scènes que je n’ai jamais pu voir ni même entendre de sa bouche, jusqu’à l’arrivée de cet homme, 10ans plus tard dans notre gîte paisible, charmant, calme et discret.

A suivre...

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