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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par cavalier
#24195
Avant de continuer le récit, je dois vous signaler que Claire et moi aimons beaucoup les commentaires salaces et les mots crus.
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Ne vous gênez donc surtout pas pour vous lâcher sur elle...
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par Liseetdan
#24199
eh bien, je pense avoir sous les yeux une grosse salope
qui a d'énormes besoin sexuels
et qui est prete à accepter toutes les bites qui passent
ouverte à tout cette salope prends par tous les trous
elle a soulagé un nombre incroyable de mecs et va probablement en soulager encore plus dans un avenir proche

je pense qu'on peut parler de p-te gratuite au service de la population masculine

montre nous donc encore des photos de cette grosse p-te
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par cavalier
#24204
Puis j’ai rencontré Rui, un homme de quinze ans mon aîné. Il venait régulièrement au bar et me regardait toujours avec un petit sourire narquois. J’étais intriguée et donc un soir, par curiosité, je suis repartie avec lui. C’est le premier homme qui m’a emmenée à l’hôtel. A la réception, j’étais intimidée et gênée, mais apparemment il devait être connu car on ne nous posa aucune question. L’hôtel était plutôt chic et, en arrivant dans la chambre, j’ai disparu dans la salle de bains pour prendre un bain à bulles.
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Quand je suis sortie, il était étendu sur le lit, la bite à demi dressée, et un torse très velu dans lequel j’eus immédiatement envie de faire jouer mes nichons. En m’approchant, je vis un billet de
100 F sur la table de chevet. Je le pris d’abord très mal. Je lui dis que je n’étais pas une pute. Que j’étais venue parce que j’en avais envie et dans l’intention de faire l’amour gratuitement avec lui. Il se mit à rire en me disant que si, bien sûr j’étais une pute mais que je ne le savais pas encore. Que lui, par contre le savait pour m’avoir observée une demi-douzaine de fois en train d’allumer des mecs. Il me dit aussi qu’il fallait une première fois à tout, et qu’il préférait payer, pour avoir plus de chances de pouvoir revenir.
Là dessus, il ne me laissa pas argumenter d’avantage et il me prit de manière très autoritaire et vigoureuse. Je me laissai faire et je jouis superbement. Quand il eut déchargé sur mon ventre et sur ma chatte, je restai longuement sur le dos, les jambes écartées, abandonnée.
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Dans une demi conscience, je le vis se rhabiller et me dire: la chambre est payée et ton petit déjeuner aussi, moi je dois y aller, sinon ma femme va se demander quoi.
Ce n’est qu’après son départ que je me rappelai l’argent. Il était toujours sur la table de chevet.
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Je l’ai mis dans mon sac, puis je me suis lavée de sa jouissance et je me me suis recouchée jusqu’au matin.
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par cavalier
#24278
Ma relation avec Rui dura un peu moins d’un an mais me changea en profondeur. Je continuais à coucher avec d’autres hommes, mais lui m’emmenait régulièrement à l’hôtel et insistait toujours pour me payer.
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Assez curieusement, je me sentais alors «obligée» de lui en donner pour son argent, de lui «offrir un bon service», et ça me mettait dans un état second difficile à expliquer. Assez rapidement, il commença à me prendre par devant et par derrière sans capote. Après s’être soulagé en moi, il me disait de rester dans la position et de laisser couler son sperme pendant qu’il prenait des photos. J’obéissais, avec un sentiment confus d’humiliation et d’excitation. Il aimait aussi m’introduire toutes sortes d’objets dans les orifices. et m’initia au fist vaginal.
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Un jour, il me présenta à un «ami» qui nous accompagna à l’hôtel. Il doubla la mise et m’ordonna toute sorte de choses avec son «ami». Ils se finirent tous les deux en même temps à l’intérieur de moi puis partirent tous les deux dans la nuit en me laissant toute souillée dans ma chambre d’hôtel. Je restai un moment couchée sur le dos, toute poisseuse de leurs plaisirs mélangés. Je me sentais à la fois vide et pleine. J’avais envie de pleurer, mais j’avais aussi envie de recommencer. Je savais que j’avais franchi un nouveau cap irréversible.
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La semaine suivante, ce fut un autre «ami», puis encore un autre. Je me laissai faire, à part que j’exigeai la capote pour me pénétrer. Petit à petit, j’entrai dans une routine. Le vendredi soir, j’étais la pute de Rui, le reste de la semaine, j’étais juste une étudiante un peu délurée. J’adorais cette double vie et depuis lors, j’ai toujours eu deux visages.
Certains vendredis, Rui ne m’accompagnait même plus. Il me présentait à un mec puis nous laissait ensemble. Le mec ne payait rien, c’est Rui qui me glissait quelques billets. Je savais qu’il se faisait un bénéf au passage, mais je m’en foutais.
Les «clients» semblaient être bien au courant de ce qu’ils allaient trouver sous mes vêtements, ce qui me fit penser que Rui faisait ma pub à coup de photos. Ils savaient tous aussi que j’acceptais la sodo, parce qu’ils passaient toujours par là, parfois même sans s’intéresser à ma chatte.
Au bout de quelques mois, Rui ne me baisait plus lui-même. Il avait un peu augmenté mon argent de poche et de temps en temps, il doublait la mise et m’emmenait à une soirée où j’étais la seule femme avec plusieurs hommes.
Avec l’argent que je gagnais, je m’étais achetée de belles tenues et des tas de sous-vêtements sexy. Je vivais très richement pour une étudiante.
Je limitais mon «activité professionnelle» strictement au vendredi soir. Le reste du temps, j’avais des relations «normales» et j’eus même deux ou trois petits amis plus réguliers terriblement curieux de savoir pourquoi je n’étais jamais libre les vendredis soirs.
La dernière chose que je fis avec Rui, c’est tourner un petit film amateur qui me permit de m’acheter une petite voiture d’occasion.
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par Liseetdan
#24283
Tu es bien bandante, tes grosses loches qui debordent de tes fringues, comment tu engloutie la canette,
et comme si jeune tu as été si bien utilisée
c'est bien!!!!!
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par cavalier
#24333
Claire avale volontiers, mais je lui demande de s'en mettre partout, et elle le fait volontiers.
Elle sait à quel point ça m'excite...
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par cavalier
#24674
Je n’avais pas trouvé cela désagréable de m’exposer devant la caméra et j’étais même arrivée à jouir vraiment. J’ai demandé une copie du film, mais je ne l’ai jamais obtenue...
Trois semaines après, un mec que je ne connaissais pas me contactait pour faire un autre petit tournage. J’ai hésité pendant trois jours, puis je l’ai rappelé.
Quand je suis allée pour le rencontrer, j’étais nerveuse mais excitée. Je pensais arriver dans des bureaux ou dans un petit studio de tournage. Mais c’était surestimer le milieu du porno amateur. Au lieu de cela, je suis arrivée dans un petit appartement un peu minable. J’ai failli faire demi tour, mais un mec m’a ouvert la porte et m’a fait entrer. Il devait avoir la cinquantaine. Dans le salon, il y avait un canapé, deux lampes orientables et une petite caméra sur pied. Il y avait aussi deux autres mecs de mon âge. Je commençais à être un peu nerveuse et à avoir envie de rebrousser chemin. Mais on m’offrit une coupe de champagne et on me fit asseoir sur le canapé. Je portais une robe assez courte avec des bas noirs auto-fixants et un string en dentelle noir. Mes seins étaient moins tombants qu’aujourd’hui et je les avais laissés sans soutien. Je sentais pointer mes tétons à travers le tissus.
Le mec de 50 ans me posait des questions, les autres restaient un peu sur le côté. Ils avaient l’air gentils et timides. Pendant mon interview, il me demandait régulièrement de prendre telle ou telle position, de faire voir mes jambes, de remonter ma robe sur mes cuisses, d’exposer mes seins.
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Il me posait des questions de plus en plus précises et de plus en plus cochonnes. Au lieu de me choquer, cela m’excitait, et je m’entendais répondre sans la moindre pudeur.
Après trois coupes de champagne, j’étais encore plus ou moins habillée mais j’avais sorti les bites des deux jeunes et je les suçais alternativement. Je les prenais assez loin, ce qui avait l’air de ravir le caméraman. L’un des deux fut pris par surprise et jouit dans ma bouche sans prévenir. Il s’excusa et se retira. Je voulus aller me laver le visage mais le vieux me dit avec fermeté de rester là et d’enlever ma robe. La suite est plus confuse dans ma mémoire. J’ai passé pas mal de temps à quatre pattes pendant que ça se relayait en moi.
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Je mouillais beaucoup et je me laissais faire. J’entendais leurs commentaires, comme dans un rêve éveillé. On parlait de moi comme d’une grosse cochonne, on admirait mon gros cul, ma chatte, mes seins qui ballottaient, et surtout mon cul qui restait bien ouvert.
Ils y passèrent tous les trois et je finis par jouir plusieurs fois.
Après la séance, je pris une douche, puis le «réalisateur» me complimenta pour ma prestation, me dit que des gros culs comme le mien sont assez recherchés. Il me remit une enveloppe avec de l’argent liquide et me dit qu’il aurait sûrement encore du boulot pour moi.
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Je ressortis de là avec à nouveau un sentiment mélangé de dégoût, de honte, mais surtout d’une immense excitation.
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par cavalier
#24832
Plus tard, j’ai appris qu’il n’était pas si rare que des étudiantes payent leurs études en faisant du X amateur ou même en se prostituant occasionnellement.
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J’ai toujours pensé qu’il était plus agréable d’écarter les cuisses que de passer une journée à une caisse de Carrefour. J’ai terminé mes études avec ce complément financier et je me même mis un peu d’argent de côté. Sur deux ans, j’ai dû faire une trentaine de tournages. Je n’en ai jamais vu le résultat. Autant j’avais un plaisir animal à me laisser filmer, autant j’ai peur d’être dégoûtée de moi-même en me revoyant après coup.
Les expériences se suivaient mais ne se ressemblaient pas forcément. J’ai connu les tournages basiques d’une demi-journée avec le grand classique du soi-disant casting amateur, semblable à ma première fois, où je me faisais prendre par deux ou trois mecs sur un canapé dans un petit appartement.
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Il y a eu quelques tournages à plus gros budgets, avec même certaines scènes où j’étais habillée, dans un rôle cliché de secrétaire ou de femme de ménage. J’ai même eu un tournage en costume du 19e où j’avais une large robe qu’on soulevait pour me baiser avec mes bas et jarretelles.
Les cachets étaient fixés comme dans une entreprise, il y avait la rémunération de base, majorée de 10% pour la sodomie, de 5% pour une éjac faciale et 20% pour baiser sans capote (avec test HIV préalable des partenaires). Adepte de tout cela, je me faisais souvent la totale

Et puis, il y avait les tournages «spéciaux» qui étaient mieux payés mais plus dépravés: se faire prendre par un vieux, ou en gang bang, ou dans une cave, ou un camion, un sex shop, un parking. J’ai tout de même quelques souvenirs assez glauques de certaines expériences, de conditions inconfortables, de mauvais baiseurs, de mecs vraiment moches ou grossiers. Mais bon, l’un dans l’autre (si je puis dire) j’ai plutôt aimé cette période de folie.
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par papix
#25083
Boujour Marc
Ta SALOPE me plait Beaucoup tu le sai .Elasss je n'ai pas la même à la maison.
lire ses confessions est un régal ... je t'envoi un MP pour te dire tout se que je
pense de t'a p-te gratuite. Encore MERCI et surtout continu CLAIRE
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par cavalier
#25351
La suite des confessions,
N'hésitez pas à mettre des commentaires bien crus, vous ne risquez pas de nous choquer, au contraire!


J’avais des petits copains, mais ils ignoraient tout de mes activités lucratives. Je ne sais pas dans quels circuits les vidéos étaient distribuées, mais en tout cas, personne de mon entourage ne m’a jamais repérée quelque part.
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Souvent les séquences sont montées dans différentes compilations et je sais que les miennes se retrouvaient dans des séries peu glorieuses du genre «étudiantes sodomisées», «gros seins», «chattes poilues», «grosses chattes», ou encore «gros culs défoncés» ou même «grosses et moches» (ça fait toujours plaisir).
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C’est surtout la deuxième année que j’ai recommencé à prendre du poids et que je me suis retrouvée dans la catégorie «grosses». Il faut dire que déjà à l’époque, je faisais un bon 95 E qui faisait sensation surtout quand j’étais à 4 pattes.
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Il y a deux ou trois films pour lesquels on m’a demandé de me raser la chatte, mais c’est l’exception. On m’engageait souvent pour ma chatte très poilue et on me demandait même de ne rien épiler, même entre les fesses.
Marc est fou quand je lui parle de tout ça et il cherche sur le net comme un maniaque pour essayer de retrouver des documents de cette période (entre 1992 et 1994). Mais ils sont rares. C’est noyé dans la masse, il y a tellement de productions! C’est pas les salopes qui manquent ni même les grosses salopes dans mon genre. J’ai été parfois très étonnée des femmes que j’ai croisées sur des tournages. En fait, pas mal d’amatrices occasionnelles qui avaient boulot, mari et souvent des enfants.
Je me suis souvent demandé si je changerais de comportement le jour où j’aurais des enfants.
Eh bien, j’ai deux enfants aujourd’hui, de 11 et 12, un garçon et une fille. Je n’ai pas changé mes comportements, si ce n’est que je n’apparais plus à visage découvert. Heureusement, il y a très peu de chance qu’ils retombent un jour sur ces anciennes vidéos X, mais on ne sait jamais et ça me fait parfois peur.
Les quelques images que Marc a retrouvées sont strictement confidentielles, même s’il projette d’en montrer l’une ou l’autre où l’on ne voit pas mon visage.
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#29439
super tres bandante libérée j'adore des seins a faire peter mes boutons de braguette un cul de vrai femelle a bien prendre en main et une chatte a remplir de pine super miss Bises et elches partout
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par cavalier
#29708
A l’âge de 23 ans, j’ai terminé mes études et j’ai trouvé un vrai job. D’abord dans une boîte de sondages. J’ai rapidement développé une technique toute particulière. Quand j’interrogeais des femmes, j’étais systématiquement en jeans, pull, lunettes, cheveux attachés. Quand je devais interviewer des hommes, j’étais en jupe, verres de contact chemisier et cheveux lâchés.
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Je m’adaptais bien, je faisais mes sondages en un temps record.
J’ai repris mon poids normal et j’ai retrouvé une silhouette plutôt sexy. J’avais des aventures à gauche ou à droite, mais rien de très marquant.
Souvent, quand j’interrogeais des hommes, ils me proposaient d’aller prendre un verre après. Parfois j’acceptais et parfois, ça se terminait dans un lit.
Pendant un an, j’ai mené la vie normale d’une célibataire un peu délurée, mais rien d’aussi dépravé que mes premières années.
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J’étais bien vue dans la boîte de sondage et tous les mecs me faisaient de l’oeil. Moi, je m’amusais à jouer la fille professionnelle et j’ignorais leurs avances.
Il y a juste un des techniciens informatique de ma boîte avec qui j’ai eu une aventure. Il était super mignon et il adorait mes formes rondes.
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Mais le salaire restait un peu juste pour ma vie solitaire et mes goûts de luxe. J’ai donc fini par reprendre du service en m’inscrivant dans une agence «escort occasionnelle». A l’inscription, j’avais posé très clairement les limites de ce que je voulais faire.
C’est ainsi que je me suis retrouvée préposée, tous les mardis soirs, au bar lounge d’un hôtel cinq étoiles.
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par MaverickTG
#31043
OOUUUAAAHHH Quelle Classe sublime!! Une diabolique beauté charnelle!!! elle a du faire extreme sensation dans l'hotel!! Quels divins arguments de seduction et provocation!!!
par Cocufieur34
#31267
Je découvre ce récit, très bandant et bien écrit. Et les photos sont géniale, quel beau corps !

Une salope née, pute dès l'adolescence ! Heureux Marc !
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par cavalier
#31365
L’arrangement tacite entre l’agence et l’hôtel était de mettre, à disposition, deux filles tous les soirs, en échange de 10% de la recette.
Moi je faisais les mardi soirs. Je m’habillais chic et sexy et j’attendais qu’un homme d’affaires m’offre un verre et engage la conversation. Ou alors, je recevais un sms me donnant un numéro de chambre et j’y allais directement. Je finissais toujours la soirée dans une chambre ou une suite de luxe et j’en ressortais douchée, deux ou trois heures après, avec une coquette somme dont je remettais la moitié à l’agence dès le lendemain.
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Le barman de l’hôtel me draguait de manière très ostensible et je m’amusais à lui lancer des regards au moment où un «client» s’approchait de moi.
Parfois je le revoyais en redescendant deux heures plus tard si le bar était encore ouvert.
Alors je prenais un dernier verre avant de rentrer.
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Au bout d’un mois, nous sommes devenus amants. Je rentrais chez lui, ou lui chez moi. Il me demandait de lui raconter en détails ce qui s’était passé dans la chambre avec le «client».
Ca le rendait à la fois jaloux et terriblement excité. Je n’inventais rien, mais je savais raconter les choses d’une manière qui lui tournait la tête.
Il n’arrivait pas à comprendre comment j’arrivais parfois à sucer des gros quinquagénaires dégarnis avec des panses de buveurs de bière. Encore moins comment je pouvais laisser leur gros corps se vautrer sur moi et leur membre me pénétrer. Il me posait toutes sortes de questions sur ce que je pouvais bien penser à ce moment là. Il n’arrivait pas à croire la vérité: je fermais les yeux et je m’abandonnais totalement au plaisir cérébral et pervers de faire la pute. Et le plus souvent j’arrivais à jouir sous leur coups de boutoirs maladroits.
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Notre relation a duré quelques mois. Il était très jaloux et moi je m’amusais à le rendre fou. Il me traitait de pute et j’assumais totalement. Il a redoublé encore de jalousie quand il s’est rendu compte que la plupart des clients avaient eu droit à mon cul. Il commença à me le prendre lui aussi. Mais il était tellement sauvage et tellement excité qu’il provoqua une irritation qui m’empêcha ensuite de «travailler» normalement. A partir de ce moment là, je lui ai interdit mon cul et ça l’a enragé. Il ne comprenait pas que je l’offre à d’autres et que je le lui interdise. Il a commencé à devenir violent. Alors j’ai stoppé net notre relation.
Mais pendant les mois qui suivirent, on se croisait tous les mardis, il me voyait monter avec des «clients» et ça le rendait dingue de désir et de jalousie.
Un soir, il n’y avait encore personne dans le bar, il m’aborda et me proposa de me payer lui aussi pour pouvoir m’enculer, en me disant: «puisque c’est comme cela que ça marche». Je lui ai répondu que j’étais devenue trop cher pour lui. Il en devenait fou.
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par HommeNovice
#31601
Hello,
Tes récits sont très excitants, moins quand même que tes photos !
Cela doit être un réel plaisir de te sodomiser en caressant tes gros nichons après avoir bien sucer ton abricot.
Dommage qu'il soit question d'argent, j'aurai bien aimé parcourir tes trous de ma queue.
Continue à nous faire fantasmer ( et plus encore !)
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par cavalier
#32132
Peu de temps après, j’ai arrêté le travail d’escort. Les relations avec le barman devenaient tendues et même dangereuses. J’étais contente de quitter cet hôtel et l’atmosphère malsaine dont j’étais en partie responsable. De plus, un de mes «clients» m’avait fait une proposition que j’ai fini par accepter. Il s’appelait Frank, un homme d’affaires allemand.

Son boulot devait l’amener à passer quatre à cinq jours par mois en ville. Plutôt que d’aller à l’hôtel, il allait louer un appartement que je pourrais utiliser comme je le souhaitais quand il n’était pas là, à condition, évidemment, que je sois entièrement disponible quand il serait présent. Il avait 45 ans, plutôt bel homme, un bon coup.
J’ai accepté sans me douter de ce à quoi cela me mènerait.

Les premiers mois, c’était assez idyllique. Je menais ma vie, puis je me préparais à le recevoir comme il le souhaitait.
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Je mettais les tenues qu’il m’offrait, il m’invitait au restaurant puis me baisait dans tous les sens et le lendemain il repartait jusqu’à la fois suivante.
Au bout d’un moment, j’ai lâché mon flat et je suis venue m’installer dans l’appartement.
Le reste du temps, j’y recevais qui je voulais.
Frank aimait que je m’habille en poule de luxe.
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Il était marié et trouvait chez moi tout ce que sa femme lui refusait, à commencer par mon petit trou dont il était devenu dépendant.
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Ca ne le dérangeait pas que j’aie d’autres amants, mais il me demandait régulièrement de lui raconter, ce que je faisais avec plaisir. Il m’encourageait d’ailleurs à lui ramener les histoires les plus hard possibles. Mais il fallait qu’elles soient vraies. Le virtuel ne l’intéressait pas.
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par cavalier
#33256
Demain, Claire va continuer son récit.
Il faut bien qu'elle ait vécu tout cela pour être devenue ce qu'elle est aujourd'hui.
Là, à 40 ans, en action...
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