A mon tour de raconter une anecdote qui date de 2016. Ma femme et moi étions pour 3 nuits dans un hotel à Madrid.
Le premier soir en se couchant, on fait l'amour. Fa profite qu'on n'a pas les enfants à côté pour s'exprimer plus librement.
Le lendemain matin quand on descend dejeuner, un homme nous dévisage avec le sourire. On n'y prete pas attention. En remontant à la chambre, il nous suit. On comprend alors que c'est notre voisin de chambre, et qu'il nous a entendu la veille.
La journée se passe. On rentre à l'hotel et on recroise notre voisin (qu'on soupconne de nous attendre ! ). On échange quelques mots (en français) et il nous donne rendez vous pour boire un verre 1 heure plus tard. Pas farouches, on accepte. Le temps d'une douche et de se dire que si l'occasion de se présente Fa a carte blanche avec lui, on se retrouve donc au bar de l'hotel.
On parle de tout et rien. L'homme est charmant, il est ici pour 3 jours dans le cadre professionnel. La conversation s'encanaille quand il nous dit qu'on a pas dû s'ennuyer la veille au soir et qu'il a aimé nous entendre. On rigole, on reprend un verre. Fa pose sa main sur ma cuisse, je bande. La discussion continue et reste coquine. J'enlace Fa, je passe ma main sur sa cuisse. Notre homme complimente Fa sur son physique... La soirée prend bonne tournure.
Ma femme se lève alors et à la grande surprise de l'homme, mais pas de la mienne, elle l'embrasse et s'assoit a côté de lui. L'homme comprend mon consentement et se détend. Les deux se caressent et s'embrassent. Je deviens alors spectateur de mon cocufiage, mais plus pour longtemps.
On commande de quoi grignoter un peu dans la chambre. On remonte tous les 3 dans notre chambre. Les mains se balladent entre Fa et son nouvel amant. On mange tranquillement. Je bande tout le repas et notre homme aussi. A la fin, Fa passe sa main sur sa braguette. Il répond en lui caressant la poitrine. Je suis spectateur. Elle ouvre son patalon pour dégager sa queue déjà raide. Elle le masturbe. A son tour il défait le jean de Fa et glisse sa main sur sa chatte qui est déjà humide. L'amant se lève pour que ma femme le suce. Il lui masse les seins et veut lui oter son t shirt, mais elle s'interrompt.
Elle se relève, vient vers moi et m'embrasse goulument. J'aime le goût de sexe qui émane de sa bouche. L'homme est décontenancé. Ma femme me demande alors si elle peut changer de chambre tant qu'ils sont encore habillés. J'acquièse en l'embrassant à nouveau, elle me souhaite bonne nuit en passant sa main sur mon sexe.
Elle prend son amant par la main, ils se rajustent rapidement et passent dans la chambre de l'homme. Je reste seul, je bande, je ne sais pas quand ma femme reviendra, mais je sais qu'elle va baiser avec cet amant !
J'entends la porte d'à côté claquer. J'écoute, je me mets nu. Petit à petit j'entends des rires alternés de gemissements. Mon imagination est à son comble ! Que font ils ? Elle le suce ?
Ou c'est lui qui la lèche ? À moins qu'il la baise déjà ? Est ce qu'elle prend son pied ?
Évidemment je me masturbe. Au bout d'un moment, j'entends distinctement Fa gueuler son plaisir. J'entends des claques, son amant lui met il la fessée ? Puis le silence, je finis ma branlette.
Ils discutent, ils rient. Tout devient calme. Ma femme ne revient pas. Elle passe donc la nuit avec son amant. Dans la nuit, je suis réveillé par de nouveaux cris de jouissance. Je me masturbe à nouveau.
Au matin, j'entends les portes. Fa me rejoint dans le lit. Elle est épanouie, elle sent le sexe. Elle me glisse que 10 minutes avant elle était dans les bras de son amant et qu'il était en train de la baiser. Elle sait que ces mots m'excitent. Je l'embrasse avidement, le goût du sexe de son amant est encore présent. Je glisse ma main sur son sexe, elle est trempée, mélange de sa mouille et de la bave de celui qui la léchait il y a juste quelques minutes. Je caresse tout son corps, je sens le sperme séché sur ses seins. Je la regarde. Elle me confirme qu'il n'a pas joui dans sa chatte, mais uniquement sur ses seins et son cul. Je lui lèche les seins, je lui lèche la chatte, je me délecte du goût que lui a laissé cette nuit de sexe avec son amant. On fait l'amour, elle jouit à nouveau bruyamment. Je jouis au fond d'elle. Elle peut enfin aller prendre sa douche.
On va déjeuner, sans revoir cet amant d'un soir, qui reste un bon souvenir d'un cocufiage totalement impromptu.
