Bonjour à tous et avant tout, TRES BONNE NOUVELLE ANNEE A TOUS NOS LECTEURS AINSI QU’AUX AUTRES
Nous sommes vraiment désolés pour ce retard, mais cette année est bien compliquée et il est difficile de trouver du temps pour écrire. Cependant, j’espère que cette suite de notre histoire sera à la hauteur de vos attentes. J’en profite aussi pour remercier les intervenants qui complimentent Sandra sur ses courbures (elle ne le dira pas mais elle adore…), ainsi que ceux qui aiment mon écriture.
Je ne vous cache pas que tous ces jolis mots à notre encontre, même si certains ont l’impression de se répéter, encouragent la suite de l’écriture et de photos postées.
PS : je rappelle que tout est vrai et j’espère continuer et réussir à vous partager au mieux la situation et mon ressenti du moment.
Une fois dans le bureau, je dépliais le clic-clac pour le mettre en lit, attrapais au passage oreiller et couette dans le coffre en dessous, et me couchais ainsi la tête près de la porte largement ouverte.
Je pouvais entendre ma femme respirer le plaisir qu’elle recevait à chaque coup de rein, entendre les draps bouger, entendre des chuchotements sans les comprendre, entendre les rires que j’imaginais à mes dépends.
Et puis comment ne pas entendre les claquements que faisaient ces deux corps, l’un contre l’autre, lorsque ma femme recevait le sexe de notre invité au plus profond de son puit d’amour.
Faisons un point de situation rapide :
Il y a seulement quelques jours, ma femme n’aurait jamais, eu l’envie, l’idée, de ne serait-ce que de penser à un autre homme que moi…
Il y a quelque jour à peine, je suggérais à ma femme un plan à trois, pour son plaisir et le mien.
Et en quelques jours, je me retrouve couché seul sur le lit d’appoint, pendant que ma femme se donne à un autre homme, quatre mètres plus loin, pour la deuxième fois de la journée elle m’a viré de ma chambre, afin de faire l’amour en toute quiétude avec notre ami…
Mes sentiments se bousculent, mon érection est retombée, je ne sais plus quoi penser et ce Tsunami de réflexions à une heure tardive, provoque une fatigue aussi extrême que subite. Je m’endors sans m’en rendre compte.
Vingt minutes plus tard, le réveil est brutal !
Je sors du sommeil en sursaut, le bruit est fort !
Une femme gémit bruyamment, dans la pièce d’à côté, trop bruyamment !
La réalité refait vite surface et je réalise que c’est la mienne.
- HAN ! HAN ! HAN ! …..HO OUIIII! ………..OUIIIIIIII…….. Elle était plaintive. Ces « oui » résonnaient comme des supplications faites à son amant pour qu’il n’arrête pas, qu’il continu à donner du plaisir à la femme mariée adultérine, qui aimait cela.
Jamais elle ne s’exprime avec moi, et c’est la première fois que je l’entends jouir ainsi. Aussi fort !
Je saurais plus tard qu’elle voulait que je l’entende prendre du plaisir, et aussi que le fait de savoir que je l’entende ainsi jouir, grâce à un autre homme, l’avait d’autant plus excitée.
Savoir que son mari était juste à côté, seul alors qu’elle prenait du plaisir avec un autre, et qu’il entendait tout, avait décuplé son orgasme.
J’eu l’impression que cela dura une éternité, elle jouissait sans retenu, puis, plus rien…, le calme…, les chuchotements…, les rires…
La frustration était à son maximum ! Et je me retrouvais à avoir de nouveau très mal au sexe.
Cinq minutes s’écoulèrent quand Sandra vint me rejoindre dans le bureau pour venir me chercher. A la lueur de la lumière de sa chambre, qu’elle venait d’allumer, je la regardais nue s’assoir sur le bord du lit improvisé.
Elle glissa sa main sous la couette et attrapa mon sexe tendu comme un arc. Elle affichait un fier sourire et se pencha sur moi pour m’embrasser. C’était un baiser indécent, sa langue était inquisitive et avide de la mienne. Dans le même temps, elle imprimait sur ma verge une forte masturbation.
Mes mains en manque de sa peau, s’afféraient sur son corps, ses seins, ses fesses et se dirigeaient maintenant entre ses cuisses. Elle me stoppa pour me chuchoter en riant que Cédric l’avait « trop prise, que cela avait duré longtemps, que l’endroit était sensible et qu’il ne fallait donc pas y toucher…
Elle était magnifique dans la pénombre, je n’allais plus tenir bien longtemps sous les doigts de ma tortionnaire qui serrait et secouait mon pieux avec vigueur.
Avec hésitation elle me dit :
- « J’ai un truc à te demander… » On aurait dit une enfant qui ne sait pas comment obtenir son jouet dans le magasin…
- « Oui ? » J’étais au bord de l’explosion…
- « J’aimerais passer la nuit avec Cédric… »
Je redescendais de mon nuage pour un petit moment de clairvoyance…
- « Mais tu viens de faire l’amour avec lui… ? »
Elle insista sur mon sexe de plus en plus, me regardant avec défit, et me dit :
- « J’ai envie de passer toute la nuit avec lui…, sans toi ! » « Dit oui ! » Me supplia-t-elle…
J’explosais alors sur mon ventre en soufflant un oui de dépit…
C’est une fois qu’elle se leva, en direction du bureau…, (le meuble !!!, pas la pièce ! nous sommes dedans ! faut suivre un peu !!!

), pour se saisir et me tendre la boite de kleenex, que je réalisais que je venais de fracturer la boite de Pandore !!! plus de fermeture possible !!!
Elle m’embrassa sur le front et quitta la pièce toujours aussi nue et superbe, pour rejoindre son homme de la soirée…, enfin…, de la nuit…
Et se Tsunami de pensées qui revint, et ce poids sur les paupières qui s’abattait à nouveau… !
Puis le réveil !
Et une femme qui gémissait de plus bel, plus fort, plus longtemps, ces gémissements insoutenables de la femme que l’on aime, qui prend une nouvelle fois du plaisir avec un autre que soi. Seulement trente minutes après lui avoir dit que son vagin était sensible et qu’il ne fallait pas y toucher… cela dépendait de la personne à priori…
Et cette fois ci, après l’ébat, personne pour venir voir le mari qui n’est plus qu’auditeur de l’adultère !
Obligé de subir les assauts sonores, torturants son esprit !!!
Enfin le sommeil réparateur me gagne et je laisse à leurs rires les deux amants dans leur chambre.
A 5 heures du matin j’ai l’impression qu’elle hurle lorsque je me réveille, mais non, pour la troisième fois cette nuit, elle a un orgasme.
Sous les claquements du pubis de Cédric contre celui de Sandra, ma femme gémissait à nouveau le plaisir que lui procurait son amant.
Jamais avec moi elle n’avait eu d’orgasme aussi intense. Jamais avec moi elle n’avait eu plus de deux orgasmes en 24 heures.
Je n’avais aucun doute sur le fait qu’elle savait, que ce qu’elle faisait, était totalement immoral, interdit et mal vis-à-vis de son mari…
Et c’est bien cela qui l’excitait autant, comme un pied de nez à la moralité.
Mais malgré cela je n’avais aucun doute sur son amour pour moi.
Et le pire c’est que son audace, ses envies, son espièglerie me rendaient dingue !!!
Le réveil de Cédric sonna à 7 heures. Je me levais alors, pour satisfaire un besoin naturel. Au retour des toilettes, je jetais un œil dans la chambre où ma femme se trouvait allongée nue, et enlacée dans les bras de mon pote, qui n’était pas plus vêtu.
Quelle frustration !!!
Je me recouchais attendant le départ de Cédric.
Ce dernier prit une bonne douche et revint embrasser Sandra avant de la quitter, pour une journée de travail qui sera bien longue, compte tenu du peu de sommeil effectué.
Une fois qu’il eut quitter la maison, je rejoignais ma belle et collais mon sexe raide contre ses fesses.
Elle se tourna vers moi, m’embrassa passionnément, me remercia pour cette nuit de plaisir par procuration. Et me demanda de ne pas toucher à son sexe gonflé et endolori.
- Cédric ma tellement défoncée cette nuit, que je dois faire une pause me dit-elle en riant avec un air de défiance.
Un dernier baiser et elle se leva en direction de la salle de bain. A mon tour, je me levais pour la suivre quand mes yeux furent attirés par le préservatif noué sur le sol.
« LE » !!!???, LE SEUL !!! préservatif qu’il y avait sur le sol, parmi les kleenex. Mais où sont les deux autres ???
J’eu beau chercher, il n’y en avait pas…
To be continued…