- 13 avr. 2021, 22:56
#2516465
J'ai décidé de regrouper ici les multiples poèmes (hors le fil "PoeSSie") que j'ai éparpillés au grès des posts et des messages. Je les sentais orphelins et grelottants. C'est pour cela que je les ai réunis ici. Le fil grossira (:x) au fur et à mesure. L'ordre chronologique ne sera pas forcément respecté.
@Saxojaune et Clara m'ont beaucoup inspiré. Leur post est exemplaire et magnifique. Je commence cette anthologie par eux.
I) Décembre, c'est son nom.
Sous la Révolution
Il s'appelait frimaire.
Mon dieu quelle galère
Pour un mari candau
D'organiser de beaux
Rendez-vous pour sa belle.
Elle toujours sensuelle,
Ardente et volontaire,
Rien pour la satisfaire.
Je me gratte la tête,
Elle n'est pas à la fête.
Trente-et-un jours maudits
Qui ont gâché nos nuits.
"Vive janvier ! ". Et j'ose
Même "Allez Nivôse !".
Que ma Clara chérie
Connaisse la joie, rie,
Dans les bras câlinants
De ses virils amants.
II) C'est enfin la soirée du réveillon.
Mets raffinés, champagne et cotillons.
Tous les invités sur leur trente-et-un.
Et pourtant, il va se trouver quelqu'un
Bien décidé à jouer les coquins
En dévoilant l'ovale de ses seins.
Clara, car c'est d'elle dont il s'agit,
Malgré le virus, n'est pas assagie.
Elle avance avec audace et fierté
Ses tétons dressés vers la volupté
Qu'à l'an neuf ses amants lui donneront.
Elle a hâte de ces confrontations.
Ses seins souverains, ainsi mis à nu,
Crient à son mari qu'il sera cocu.
III) Clara, tu es sexy vêtue
Ainsi. Je trouve ta tenue
À ton image, gaie, luronne,
Et ton sourire qui couronne
Le tout. Vraiment, tu es radieuse.
Mais encore plus voluptueuse,
Est la vue de ton si beau cul,
Astre divin des plus joufflu.
Le contempler dans sa splendeur
Naturelle, mais quel bonheur !
Ton cul vaut bien des sacrifices
Pour tirer son feu d’artifice.
IV) Petit Papa Noël. Je voudrais cette année
Au pied de mon sapin, un cadeau satiné
Et tout rempli de joie, de rires et de rêves ;
Une vague étoilée déposée sur la grève.
En ces temps de virus qui nous met au huis-clos,
Aurais-tu dans ta besace une vidéo
De la belle Clara jouissant à l'unisson
Avec un un bel amant ? Je suis un polisson
Drapé en un poète amoureux de métrique ;
Et le corps de Clara me fait durcir la trique.
Pour adoucir ce vœu, n'être point égoïste,
Mon “je" se mue en "nous" et devient altruiste.
V) Le corps de Clara est une fusée
Dans lequel je rêve de m'amuser.
Jamais arrogants, ses seins si mignons
Défient avec joie la gravitation.
Avec sa croupe, je suis en orbite
Près de Vénus, d'une météorite.
Et ouïr les gémissements de la belle,
Quand avec bonheur tu te glisses en elle,
C'est danser sur les anneaux de Saturne,
Devenir aussi beau qu'un dieu nocturne.
Et nos râles produisent un tel écho,
Que notre coït se mue en tango.
VI) Tant d'hommages sont rendus à Clara ;
À son corps voluptueux d'apparat,
À son sourire coquin rayonnant
Qui liquéfient d'envie tous ses amants.
Mais il ne faut pas oublier Saxo,
Le plus merveilleux des maris candau
Qui se met en quatre pour être trois,
Tout en restant dans sa cage à l'étroit.
Elle est le feu, il est son oxygène
Qui la fait s'épanouir sans nulle gêne.
En ce beau jour de Noël c'est vous deux,
Que j'embrasse et à qui j'envoie mes vœux.
@Saxojaune et Clara m'ont beaucoup inspiré. Leur post est exemplaire et magnifique. Je commence cette anthologie par eux.
I) Décembre, c'est son nom.
Sous la Révolution
Il s'appelait frimaire.
Mon dieu quelle galère
Pour un mari candau
D'organiser de beaux
Rendez-vous pour sa belle.
Elle toujours sensuelle,
Ardente et volontaire,
Rien pour la satisfaire.
Je me gratte la tête,
Elle n'est pas à la fête.
Trente-et-un jours maudits
Qui ont gâché nos nuits.
"Vive janvier ! ". Et j'ose
Même "Allez Nivôse !".
Que ma Clara chérie
Connaisse la joie, rie,
Dans les bras câlinants
De ses virils amants.
II) C'est enfin la soirée du réveillon.
Mets raffinés, champagne et cotillons.
Tous les invités sur leur trente-et-un.
Et pourtant, il va se trouver quelqu'un
Bien décidé à jouer les coquins
En dévoilant l'ovale de ses seins.
Clara, car c'est d'elle dont il s'agit,
Malgré le virus, n'est pas assagie.
Elle avance avec audace et fierté
Ses tétons dressés vers la volupté
Qu'à l'an neuf ses amants lui donneront.
Elle a hâte de ces confrontations.
Ses seins souverains, ainsi mis à nu,
Crient à son mari qu'il sera cocu.
III) Clara, tu es sexy vêtue
Ainsi. Je trouve ta tenue
À ton image, gaie, luronne,
Et ton sourire qui couronne
Le tout. Vraiment, tu es radieuse.
Mais encore plus voluptueuse,
Est la vue de ton si beau cul,
Astre divin des plus joufflu.
Le contempler dans sa splendeur
Naturelle, mais quel bonheur !
Ton cul vaut bien des sacrifices
Pour tirer son feu d’artifice.
IV) Petit Papa Noël. Je voudrais cette année
Au pied de mon sapin, un cadeau satiné
Et tout rempli de joie, de rires et de rêves ;
Une vague étoilée déposée sur la grève.
En ces temps de virus qui nous met au huis-clos,
Aurais-tu dans ta besace une vidéo
De la belle Clara jouissant à l'unisson
Avec un un bel amant ? Je suis un polisson
Drapé en un poète amoureux de métrique ;
Et le corps de Clara me fait durcir la trique.
Pour adoucir ce vœu, n'être point égoïste,
Mon “je" se mue en "nous" et devient altruiste.
V) Le corps de Clara est une fusée
Dans lequel je rêve de m'amuser.
Jamais arrogants, ses seins si mignons
Défient avec joie la gravitation.
Avec sa croupe, je suis en orbite
Près de Vénus, d'une météorite.
Et ouïr les gémissements de la belle,
Quand avec bonheur tu te glisses en elle,
C'est danser sur les anneaux de Saturne,
Devenir aussi beau qu'un dieu nocturne.
Et nos râles produisent un tel écho,
Que notre coït se mue en tango.
VI) Tant d'hommages sont rendus à Clara ;
À son corps voluptueux d'apparat,
À son sourire coquin rayonnant
Qui liquéfient d'envie tous ses amants.
Mais il ne faut pas oublier Saxo,
Le plus merveilleux des maris candau
Qui se met en quatre pour être trois,
Tout en restant dans sa cage à l'étroit.
Elle est le feu, il est son oxygène
Qui la fait s'épanouir sans nulle gêne.
En ce beau jour de Noël c'est vous deux,
Que j'embrasse et à qui j'envoie mes vœux.
Mabellemeuf a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier