- 15 août 2021, 10:08
#2541681
Bonjour à toutes et à tous.
Ça y est nous sommes rentrés de vacances… !!
Je ne vais pas trop m’étendre sur ce qui s’est passé, pour l’instant en tous les cas. Juste vous dire que ça a été un mélange de super moments et de déconvenues mais que dans l’ensemble mon couple va mieux que ce que je vais vous raconter maintenant et plus tard.
Disons qu’avant notre départ, ça n’était pas top…
Aujourd’hui, il y a une certaine forme d’équilibre, qui ne me convient pas vraiment mais qui fait que dans une certaine mesure c’est davantage supportable pour moi.
Tout d’abord, merci à tous pour vos messages.
Michpat, je te confirme que Luc est bien un muffle, pire que ça même. En un sens, c’est lui qui a fait que mes vacances n’ont pas été parfaites…
A ce jour, je n’ai toujours pas eu de discussions avec ma femme. Par lâcheté, peut être, car je sens une fragilité dans mon couple depuis tout ça… C’est très compliqué à gérer pour moi.
Mais, comme l’a justement fait remarquer Sodomoi et Tot49, je subis et il ne s’agit absolument pas de candaulisme consenti ou partagé, à ce stade en tous cas.
Avant d’en venir à où j’en suis aujourd’hui puis à nos vacances, voici ce qu’il s’est passé quand je suis ressorti de chez moi après avoir assisté à…
J’ai remonté un peu la rue jusqu’au coin en me disant : bon, elle a eu une aventure.
Voila. J’étais pas le premier, ni le dernier à qui cela arrivait.
Voulais-je divorcer ? Non. Est-ce que je l’aimais toujours ? Oui.
Quelle part, j’étais sans doute un peu responsable.
Ma réaction m’étonnait pour le coup. Je pense que cela est du au fait que consciemment ou inconsciemment je devais y être préparé.
Mais ce qui m’étonnait ce n’était pas tellement d’être cocu, c’était qu’elle l’ait fait. Je veux dire, là j’en donne une image limite de nympho, mais ma femme est pleine de vie, rigolote. Quand ma fille est malade, elle ne dort pas. Quand je suis tombé en panne de voiture à 200 bornes de la maison, elle a remué ciel et terre pour en emprunter une et venir me chercher… Je veux dire, Gaëlle, c’est la confiance incarnée. La partenaire solide, intelligente, qui aime rire, qui aime me faire plaisir. Et puis on s’aime.
Et c’est ça qui m’a le plus scotché. Qu’elle l’ait fait.
Là subitement dans la rue, des doutes m’assaillaient. Qu’avait-elle ressentie au fond avec lui ? juste du plaisir ? Un orgasme parmi d’autre ? Ou bien avait-elle joui comme jamais et là j’étais dans la merde…
Puis, soudain, en plein milieu de mes réflexions, j’ai vu Luc sortir de l’immeuble. Ça m’a remis sur terre.
Tiens, il n’avait pas attendu mon retour cette fois…
Il est parti dans le sens opposé ou je me tenais sans même me remarquer.
La colère est remontée d’un coup. Dommage que je n’avais pas une autre cigarette.
Et je me suis demandé, et pour lui ? Est-ce que ça change quelque chose ? Est-ce juste un coup d’un soir ou bien le fait que ça soit la femme d’un collègue, une jeune maman, ça l’excite. Est-ce qu’il se sent fier d’avoir fait ça, de m’avoir fait ça ?
En plus, il doit le savoir qu’il a une grosse queue… et a voir la réaction de ma femme, il a du comprendre que ça n’était pas mon cas (je suis normal, je tiens à le préciser) et que Gaëlle aimait ça…visiblement…
Est-ce qu’il en ressentait de la fierté ? En baisant ma femme, il m’humiliait je trouve.
Au bureau, on passait pour le couple top, moi le jeune avocat (pas trop mauvais je pense), marié à une jolie femme brillante… et lui venait de briser cette image en baisant cette jeune épouse qui semblait si parfaite. En tous les cas, je voyais les choses comme cela à ce moment là.
Putain, il avait mis sa queue dégueulasse dans ma femme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Sans capote, chair contre chair. Son sperme l’avait remplie. J’étais fou.
A peine deux minutes après qu’il soit sorti de l’immeuble j’ai reçu un sms de Gaëlle. « Bah t’es ou ? tout va bien ? »
Qu’est ce que je me suis dis à ce moment là ? Bon au moins elle sait que j’existe toujours...
Puis : merde, il va falloir rentrer et je n’avais pas envie.
J’ai répondu presque mécaniquement « oui oui, j’arrive ça a pris du temps ».
J’ai attendu encore un peu et je suis rentré.
Quand je suis arrivé, elle était habillée, comme elle l’était à la soirée. Elle avait une petite mine et… avait mis un foulard sur son cou.
- qu’est ce qu’il se passe, pourquoi t’as mis ce foulard ?
- J’ai un mal de gorge terrible d’un coup. J’espère que je n’ai pas une angine.
Je n’en revenais pas de son aplomb. Tout m’est d’un coup revenu en tête avec les suçons.
Je lui ai dit que j’allais prendre une douche. Souvent, on la prend ensemble. Je lui ai demandé si elle voulait venir. Elle m’a dit que non, elle était claquée.
Quoi, elle va se coucher comme ça ? Sale de lui encore ???
Du coup, je lui ai dis ok, moi aussi finalement. Je suis allé me brosser les dents et quand je suis rentré dans la chambre. Tout était éteint. Je lui ai demandé si elle ne dormait pas. Elle m’a dit que non. Elle avait toujours son foulard autour de sa gorge.
Je sais pas, ce qui se passe dans la tete d’un homme, besoin de la reconquérir ? Mais j’ai eu envie d’elle, malgré ce qu’elle avait fait.
J’ai commencé à faire une approche mais elle m’a dit non, qu’elle était naze. Et pour la première fois, j’ai dit un s’il te plait en commençant à me glisser sous les draps.
Evidemment, elle a été méga réticente. J’ai commencé à vouloir la lécher et elle a repoussé ma tête avec sa main. Puis j’ai continué, sa main appuyait fort. Elle ne voulait pas… Mais à un moment, je pense qu’elle s’est dit que cela aurait été trop bizarre, surtout qu’en ne voulant pas me vexer elle ne m’avait pas dit un non catégorique, juste qu’elle n’avait pas envie, pensant que ça suffirait pour que je m’arrête. Ce qui aurait été vrai en temps normal.
J’ai commencé alors à pleinement la lécher. Elle a du se dire que je n’avais rien remarqué mais me regardait bizarrement.
Maintenant, je peux dire que j’ai fait une chose dont je ne me serais jamais cru capable. La lécher avec le sperme d’un autre !!
Elle ne s’était même pas lavée !! Il y a un moment, j’ai vraiment eu l’impression qu’elle me déversait le sperme qui lui restait dans la bouche. Le gout était différent, et ça coulait. Et je la léchais. Je n’en revenais pas qu’elle se soit couchée comme ça !!!
Je revois maintenant cette image, humiliante de moi, presque à quatre pattes, en train de la lécher, me frottant en même temps sur le lit, elle me regardant, avec un regard (je le dis honnêtement, sans aucune complaisance pour moi, mais c’était comme ça) dégouté. Et je me suis joui dessus. J’ai lâché des litres, comme ça, à plat ventre, comme un chien, sans même me toucher, sans même la faire jouir.
Elle n’a pas fait de commentaires. Elle était interloquée avec un brin de dégout car j’en avais mis sur les draps et ça sentait vraiment le cul dans la chambre.
Putain quelle soirée.
Je me suis étendu, comme ça et j’ai sombré dans le sommeil.
Le lendemain, elle s’est levée avant moi. Elle était dans la salle de bain entrain de prendre une douche. J’ai entrebaillé la porte, on a une douche italienne. Il y avait un peu de buée déjà mais j’ai vu les dégâts.
Son cou avait comme d’énormes bleus. Par la suite, j’ai vu qu’elle s’est achetée une crème fond de teint spéciale cicatrice !! Mais ça ne suffisait pas pour cacher vraiment.
Elle a porté son foulard comme ça et le fond de teint pendant longtemps.
Evidemment, je voyais les marques, même si c’était caché et discret. Mais je n’ai rien dit.
J’ai fait celui qui ne voyait rien. A quoi cela aurait-il servi ?
J’aurais pu lui dire, tu as encore mal à la gorge ? juste pour voir sa réaction. Je ne l’ai pas fait. Autant poser la question directement que de jouer à ce petit jeu. Et je n’étais pas prêt à ce qu’on ait une explication et que mon couple puisse voler en éclat.
De son côté, elle avait l’impression que ça marchait, que ça ne me choquait pas que jour et nuit pendant trois semaines, elle ait un foulard sur elle… A chaque seconde, j’aurais pu la cramer, lui dire, arrête de me prendre pour un con… Mais non, je n’ai rien dit ou fait qui puisse laisser paraitre que je me doutais de quelque chose ou que ça me choquait qu’elle soit comme ça.
Mais du coup pendant plus de trois semaines nous n’avons quasiment pas eu de rapport. Pendant plus de trois semaines !!
Je veux dire, elle me branlait, me suçait, quand je me faisais trop pressant mais elle ne voulait pas que je la touche, de peur que je découvre dans la lumière certaines choses j’imagine...
J’aurais pu râler, la mettre devant le fait accompli… je n’ai rien fait, comme si je ne me rendais compte de rien. Pas vraiment par lâcheté. Plutôt pour ne pas risquer quoique ce soit et ne pas la mettre mal à l’aise (le comble).
Puis tout est redevenu normal.
Près d’un mois d’attente et nous voici en juin donc et un matin nous avons enfin refait l’amour. En douceur, normalement. Comme si on se retrouvait. C’était mi-juin.
Oui je l’aimais et oui j’avais pardonné. « Errare humanum est ».
Au moment ou je la serrais dans mes bras, j’ai réalisé que non seulement je ne pourrais pas vivre sans elle mais que j’avais une chance dingue malgré ce qu’elle avait fait de l’avoir. J’avais joué avec le feu, voila maintenant je savais qu’il ne fallait pas jouer au con.
Elle était sur moi, m’embrassait amoureusement, comme avant, vraiment. Je sentais tout son amour et le mien en retour.
Puis elle bascula sur le côté pour que je la prenne en levrette.
Je suis passé derrière elle. Elle s’est cambrée, je lui ai caressé le dos puis j’ai commencé à la pénétrer doucement, comme pour la rendre impatiente. Je la sentais excitée, humide. Ça faisait à peine dix minutes qu’on avait commençait et ça partait très bien.
J’ai passé ma main sur ses fesses et là, là !!!! J’ai vu quelque chose qui m’a tué…
J’ai vu comme une marque… sur sa fesse droite.
Et s’il y a une chose dont j’étais sûr à deux cents pour cent c’est que la marque qu’il lui avait fait en lui claquant le cul lors de cette fameuse soirée avait été sur la fesse gauche. Aucun doute là-dessus. Je revois les images sans cesse.
Et là, sur la fesse droite, même si c’était léger, on ne pouvait pas se tromper, il y avait une rougeur. Faible mais elle était là !! Et pas une marque passagère, non, c’était estompé mais bien là, comme le reste d’une marque qui aurait été faite. D’ailleurs, le lendemain elle l’avait toujours… Mon cœur s’est arrêté de battre, J’ai placé ma main dessus, aucun doute…ça collait, la position, tout. Ça ne pouvait signifier qu’une chose. Elle l’avait donc revu. Au moins une autre fois. J’étais anéanti.
Je remuais mécaniquement. Mais dans ma tête, c’était un bordel sans nom. Elle ne s’aperçut de rien, ce qui était encore pire je trouve.
La situation n’était plus du tout pareille que cinq minutes auparavant.
C’était même complètement différent. Cela n’était plus un accident de parcours comme ce qui s’était passé à cette soirée.
C’était devenu pour elle conscient, calculé, assumé…
Pendant ces quatre semaines ou elle consentait a me faire une pipe du bout de lèvres, elle se faisait baiser et claquer le cul par ce fils de pute ?
J’essayais de déterminer quand, ou , comment ?
Pourquoi elle avait remis ça ? Combien de fois ? une ? plusieurs ?
Et le soir, toute douce, rigolote, blagueuse à préparer les projets de vacances pour cet été…
La veille encore, dans la rue, elle m’a donné un petit coup de poing dans les côtés en se marrant parce que je la taquinais, et si ça se trouve, le jour même elle s’était offerte à un autre, à ce type que je haissais.
J’ai senti qu’elle allait jouir, qu’elle était bien, mais je n’arrivais plus. Vraiment. J’étais trop déstabilisé.
Je me suis retiré. Je ne bandais plus. Je lui ai dit : je suis fatigué. Je n’y arrive pas.
Je l’ai revu serrer son poing de frustration. Putain, un mois d’attente pour ça !!!!
Je lui en voulais mais je voulais pas qu’elle ait une piètre opinion de moi et que je ne la fasse pas jouir. C’est étrange mais alors que j’aurais du vraiment l’envoyer chier la seule chose qui m’a fait peur c’est l’image qu’elle allait avoir de moi.
Je lui ai dit que j’allais la lécher. Je suis passé sous elle et je l’ai léchée. Mais elle n’arrivait pas a jouir. Ma femme est très vaginale je précise et sans pénétration c’est difficile pour elle disons pour atteindre l’orgasme. Elle m’a dit, d’une voix assez dure je trouve, sans ménagement
- Sort bien ta langue.
Toute douceur paraissait s’être envolée subitement. Elle remuait sur mon visage sans douceur. J’étais complètement allongé sur le dos, elle m’a attrapé les cheveux et se frottait de plus en plus fort. Puis, presque l’impensable pour moi, j’avais l’impression qu’elle tapait sa chatte directement sur mon visage. A plusieurs reprises, j’ai perçu ça comme des coups. Bon ça n’était pas ça évidemment mais plusieurs fois j’ai pris son pubis sur le nez, j’ai eu comme des larmes dans les yeux. Ma tête était devenu un objet, je sais pas… Elle ne me caressait pas les cheveux, elle me les tenait et remuait sa chatte sur ma tronche.
Mais ça ne marchait toujours pas.
Au bout de dix minutes comme ça, à remuer, a essayer de jouir, a être exaspérée, à l’entendre dire malgré elle des « putain »… « allez »… « lèche… », elle s’est finalement levée, excédée et m’a dit : laisse tomber.
Elle m’a planté là, elle est partie prendre une douche en me laissant comme un con.
Tout avait si bien démarré. Et là, je sais pas. Comment j’en était arrivé là. Le pire c’est que je me suis dit qu’après ce qui venait d’arriver, elle ne pouvait qu’etre convaincue que c’était un meilleur coup que moi.
J’aurais du faire tout l’inverse, me battre pour lui donner du plaisir et lui faire prendre conscience qu’elle mettait en danger notre couple, notre vie de famille pour un truc qu’elle pouvait avoir à la maison.
J’étais abattu.
J’ai voulu aller essayer d’arranger les choses un minimum, je me suis levé et quand j’ai commencé à pousser la porte de la salle de bain pour aller lui parler, je me suis arrêté net. Elle était entrain de se doigter debout. Là, comme ça !!!
Il n’y avait rien de beau dans ce spectacle. Je le dis franchement. Aucun érotisme, contrairement au soir ou je l’avais surprise devant un porno.
Non là, sous le jet, Elle faisait une sorte de grimace que je n’avais jamais vu sur son visage ça l’enlaidissait presque, et croyez moi il en faut beaucoup pour ça.
Elle se pinçait très fort le clito et s’enfonçait à une vitesse folle trois doigt dans la chatte. Elle était debout, un peu fléchie, ça n’était pas gracieux, c’était laid et tellement violent, le jet de la douche atténuait le bruit mais j’entendais le bruit de sa main clac clac clac clac à fond dans sa chatte à une vitesse, je pense qu’aucune queue d’ailleurs peut aller à une telle vitesse.
Et moi qui pensait que son clito était sensible, à voir comment elle le traitait… Elle s’est mise à lui mettre des claques dessus avec une main tout en se doigtant avec l’autre.
J’ai eu peur qu’elle me voit.
Je suis allé me branler dans les toilettes. Je suis parti en deux minutes, moi qui juste avant n’arrivait plus à bander.
Qu’est-ce qui nous arrivait ?
Jusqu’à notre départ en vacances, je n’ai plus eu de rapport avec elle…avec ma femme.
Des gestes de tendresses oui, de son côté comme du mien. On rigolait, comme avant, comme toujours, complice et tout… Mais pas de sexe… l’horreur pour moi et étonnant pour elle.
Je veux dire, c’est vrai que la façon dont je vous dépeins Gaëlle, vous devez avoir l’impression que c’est une obsédée mais pas du tout !! En revanche, on ne va pas se mentir non plus… Gaëlle a toujours eu, mais comme tout le monde je pense, des besoins, des envies… assez régulièrement on va dire. Rien que l’été dernier, elle voulait tous les jours, des fois elle réclamait matin, soir… Si j’étais crevé, elle disait attend et s’occupait de moi…pour que je sois « opérationnel »… Et là, depuis son aventure, il y a eu tout le mois de juin et de juillet sans rapport !
Quand on est parti, je me suis dit, le dernier mec à avoir éjaculé dans ma femme, c’est pas moi, c’est Luc. C’est perturbant de se dire ça surtout si on se dit qu’elle en a conscience elle aussi…
Je vous raconterai les vacances bientôt…
Sachez que j’en étais là quand j’ai décidé de m’inscrire sur le site et de tout raconter car je peux dire que j’ai morflé… doute, frustration, peur, jalousie, envie… tout était là…
Heureusement, les vacances ont été salvatrices. Il fallait ça pour remettre la machine en route. Mais tout n’a pas été rose pour moi et la je dois gérer le retour à la vie, la reprise du boulot…
Je sais pas trop quand je vais rédiger la suite, je vais tacher de faire au mieux.
Si vous avez des questions, j’essaierais d’y répondre aussi.
Dire que ça fait même pas un an et que j’ai l’impression que dix vies se sont écoulées depuis…