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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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#2549846
Merci beaucoup @Patrice63 pour tes compliments et ton appréciation laudateurs.

Merci pour ce joli cadeau car je pense que toutes celles que tu choisis pour tes sublimes inspirations sont fières et heureuses de lire ces magnifiques poèmes.


Toutes ces jolies femmes coquines qui m'inspirent et me ravissent (et vice-versa) sont plus que mes muses. Ce sont mes asparas dansant, seins nus, dont mon svarga, mon jardin céleste personnel. Elles savent peupler mes songes et nourrir mon imagination. Elles ont décoché leurs cinq flèches fleuries évocatrices des cinq sens pour enflammer et attiser mes envies et mes désirs. À défaut, hélas, d'être à portée de mes mains caressantes, elles sont à portée de mes poèmes.

Mais je crois pouvoir affirmer que les maris ou compagnons de ces belles dames sont eux aussi très fiers de voir leur coquine figurer dans la liste de tes muses...


Ton affirmation me fait très plaisir, car ce sont aussi leurs hommes que je tiens à remercier pour m'enchanter par leurs récits, leurs photos, leurs descriptions. Mais surtout, par et pour leur altruisme si profondément amoureux de leurs femmes, ils sont toujours présents quand je rédige un texte.
#2550261
Les maris candaulistes possèdent vraiment une foi chevillée au corps qui leur a permis de convertir leurs épouses à cette pratique qui sort des sentiers battus.

Prosélytes,

Trop longtemps, je n’ai cru en rien.
Ni dans les dieux, ni dans leurs saints.
Je me vivais en humaniste
Résolument matérialiste.
Je me gaussais des sacristains ;
Je ricanais des capucins ;
Je ne croyais pas au Saint-Chrême ;
Je mangeais gras lors du Carême.
Ma femme partageait mes vues
Étant même, parfois, plus crue.
La foi est en nous à présent,
Très croyants et forts pratiquants.
Tout fut changé lors d’un solstice
Où la vertu vainquit le vice.
Un collègue nous invitait
Chez lui pour dîner. Y aller
Ou pas ? Telle était la question,
Tant sa piètre réputation
Dans nos bureaux faisait le tour,
Empirant même au fil des jours.
Pour montrer notre grandeur d’âme,
L’invitation nous acceptâmes.
Ne sachant sur quel pied danser,
Nous partîmes sans nous presser.
Mais le destin se fit taquin.
En dégageant notre chemin.
Nous fûmes chez lui en avance,
Et nous ignorions notre chance.
La maison semblait vide et close.
Pourtant, des essences de rose
Venaient titiller nos narines.
Voyant que l’huis de la cuisine
Était entrouvert, nous entrâmes.
Dans le salon, jouant aux dames,
Deux hommes, nus comme des vers,
Plantaient leurs bâtons en dévers
Au creux de la bouche accueillante
D’une femme accorte et charmante.
Enfin, mon collègue nous vit.
Nu aussi, goguenard, il dit :
« Quelle affreuse tête vous faites
 Joignez-vous plutôt à la fête.
J’ai oublié votre venue,
Tant j’ai besoin d’être cocu.
Mes amis, mettez-vous à l’aise,
Car ici c’est tout pour la baise ».
Nos corps furent pris de chaleur
En voyant ces deux cocufieurs
Faire bramer la belle dame
De leurs gros dards tout feu tout flamme.
En un clin d’œil, nous fûmes nus,
Convertis à la foi du cul
Grand libérateur de nos cœurs
Quand son credo est partageur.
Ma femme ce jour-là, sans moi,
Jouit tant qu’elle grimpa au toit.
De la voir ainsi défoncée
Me plut. Ma voie était tracée.
Nous voici donc des prosélytes
Avec nos frères cénobites.
Époux, laissez donc d’autres bites
Coulisser dans vos Aphrodites.
Comme jamais, vous banderez,
Quand, après, vous les baiserez.
Nous sommes toujours humanistes,
Mais désormais, des candaulistes.
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#2550265
L a découverte du candaulisme peut se faire de mille façons, mais racontée ainsi , ce simple oubli , forge sans aucun doute le destin.Un choc béni des Dieux qui laisse une trace indélébile dans la vie à deux ......
Merci pour cet hommage rendu à ce que certains , pas ici bien sûr, considèrent comme une perversion .
#2550268
@Dionysos06 je ne maîtrise pas les mots comme vous pour décrire ces situations candaulistes que nous aimons tant mais sachez que c’est toujours un plaisir de lire votre post que nous parcourons avec envie. Il est particulièrement bien documenté et fourni.
Merci aussi pour toutes les attentions que vous formulez ici et là sur les autres post. Cela fait vivre ce forum et encourage la parution de nouvelles aventures.
Vous êtes au top !!
#2551152
Comment faire reculer le Mal et triompher le Bien ? Voici une possibilité chers maris candaulistes.

L’exorciste,

J’y pensais sans arrêt ; j’en étais obsédé.
Toutes ces années sans pouvoir la décider.
Pourtant, ma requête me semblait bien banale,
Puisque je la trouvais évidente et normale.
J’abordais le sujet de multiples façons,
Changeant d’attitude, de registre, de ton.
Tantôt, j’en appelais à son sempiternel
Sens de la foi, et son amour pour l’Éternel.
« Tu sais ma chérie que tu sers la création
En acceptant ma modeste proposition.
Toi, si attachée à Dieu et à sa lumière,
Par ton action, tu triompheras des ténèbres. »
Parfois encore, j’usais de gauloiseries,
Espérant son accord quand elle aurait bien ri.
« Toi qui aimes chanter, tu pourras imiter
Le chant du fidèle coucou à satiété.
Et plutôt que d’acheter au prix fort du bois
De chauffe, ne sera-t-il pas de bon aloi
D’employer celui qui croîtra haut sur ma tête
Quand tu feras visiter ta salle des fêtes ? »
Et malgré toutes ces variétés, ces façons,
Sans relâche ma femme me répondait “non“.
J’étais si désespéré que ma mie bafouât
Les piliers sacrés du mariage que, ma foi,
J’eus recours, c’est fou, à l’aide d’un exorciste
Pour qu’elle ouvrît les yeux et devînt réaliste.
Je sus trouver cet oiseau rare, non sans mal,
Sur le site internet d’un journal paroissial.
« De voir l’étendue de votre douleur me touche.
J’issirai son refus, Dieu parlant par ma bouche.
Je viens chez vous dans une heure vaincre Satan ».
Ces mots me mettent en joie, je suis plein d’allant.
Cet homme de bien, avec toute sa malice
Sut faire triompher la vertu sur le vice.
C’est sur son goupillon, que pour mes quarante ans,
Elle me fit cocu en l’ayant pour amant.
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#2551379
je poste ce soir un long poème en deux parties qui se place du point de vue d'une femme cheminant vers le candaulisme. Ses interrogations, ses doutes, son rejet ; puis son acceptation finale. En espérant qu'il fasse réfléchir posément les femmes qui s'interrogent sur cette (curieuse) pratique.

Atélophobie, 1ère partie

Longtemps, j’en fus exaspérée.
Son acharnement m’énervait.
Il ne pensait plus qu’à cela ;
Son alpha et son oméga.
Je craignais de l’avoir perdu.
Ne me désirait-il donc plus
Pour avoir de telles idées ?
Comment même m’accommoder
D’être ainsi jetée en pâture
À des mâles ivres de luxure ?
Il connaît pourtant bien ma peur
Quand je dois vaincre ma pudeur.
Comment puis-je me laisser faire
Tant je crains de ne pouvoir plaire ?
Tous ses arguments ressassés
Avaient fini par me lasser.
Figurez-vous que je songeai
Même, pour ma sérénité
À le quitter. J’étais à bout.
Il rangea ses envies de fou,
Et notre couple redevint
Équilibré, joyeux, serein.
Vous croyez le récit fini,
En partance pour l’infini,
Et sa folle proposition
Restant sans concrétisation ?
Et non ! Je vous l’expliquerai
Quand j’aurai fini de baiser
Avec cet amant endurant
À qui j’offre mon fondement.

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Atélophobie, 2ème partie

J’ai fini avec mon amant.
Mon Dieu, comme il est endurant !
Vous attendez l’explication
Quant à mon acceptation
Des folles envies de partage
De mon compagnon de mariage.
Comment ai-je pu devenir
L’épouse affamée de désirs,
Qui avec joie se donne à d’autres
Et dans la luxure se vautre ?
Tout en réitérant mes « non »
À ses constantes assertions,
Cette idée germa lentement
En moi. Passé le tremblement
De terre et de cœur initial,
J’étudiai en mode impartial,
Enfin, du mieux que je pouvais,
Ce que j’avais tant réprouvé.
Il m’aime à la folie mais veut
Me voir chevaucher d’autres queues ?
Son bonheur sera accompli
Quand des amants, et non plus lui
Seulement, me feront danser
Des tangos sexuels insensés ?
Pour moi, mon homme délirait.
Mais pourquoi ne pas essayer ?
Mes sœurs, à y bien réfléchir,
Être encouragée aux plaisirs
Multiples et variés par son
Époux qui, par abnégation,
Veut que des nuages d’envies
Éclatent au-dessus de son lit,
En risquant le tout pour le tout,
C’est qu’il vous aime comme un fou.
N’ayant plus peur de l’adultère,
J’ai donc décidé de le faire
En disant « oui » à mon mari.
Je lui laisse faire le tri
Des belles raideurs masculines
Qui me rendront plus féminine.
Jamais ses choix ne m’ont déçue.
Toujours je jouis. Si j’avais su,
À quel point il me trouve belle
Lorsque je le suis infidèle,
C’est dans ma robe de mariée
Qu’il aurait été cocufié.

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#2551386
@Masterlaurent merci beaucoup. Et bravo pour ton prophylactique chapeau de latex, même si je préfère (sûrement comme toi) le naturel. 0=)
Je serais très curieux et heureux si des femmes ayant lu ces textes venaient exprimer leurs opinions. Mesdames, à vous plumes ! <3 ;)
#2552319
Un hommage bien mérité à la magnifique cocufieuse Clara dont les coquineries avec son nouvel amant augurent d'une belle semaine. Et bien sûr, avec Abel dans le jeu, les motifs de réjouissance ne vont pas manquer. Je n'oublie pas, bien évidemment, de rendre hommage à @Saxojaune dont les qualités de cœur ne sont plus à vanter.

Timide,

« Faire feu de tout bois », quelle belle expression.
C’est ce que je ressens, je brûle de passion.
Ou plus précisément, à nouveau j’ai envie
De sentir les frissons qui me laissent ravie,
Essoufflée dans un lit, avec un bel amant.
Mon cocu adoré, toujours très prévenant,
Sentant mon désarroi, aussi fort que le sien,
De ne plus coquiner, et voulant notre bien,
A contacté un mâle, en vue d’une rencontre.
Je valide son choix, sitôt qu’il me le montre.
Le moment M arrive, et je suis chamboulée
Par cet homme si beau, que j’en viens à couler
Par ma féminité. Hélas il est timide
Et n’osera rien faire alors qu’en intrépide,
Son beau visage d’ange aurait tout eu de moi.
Rarement j’ai connu un si brutal émoi.
Mon mari est déçu de ce manque d’action.
Je le suis tout autant. Mais avec tout mon tact,
J’ai pris son numéro pour garder le contact.
Et quotidiennement, sans le dire à personne,
Je le mets en pression, excitant ses hormones.
Le sentant enfin mûr, j’informe incidemment
Mon si gentil cocu, qu’il sera mon amant
La semaine qui vient. Et j’enfonce le clou,
Tout en riant beaucoup, et dis à mon époux
Que je verrai ce mâle entre nos quatre-z-yeux.
L’excuse est bien trouvée, puisqu’il est très timide.
Sans mon mari présent, il sera intrépide.
Malgré ce nouveau pieu, je réponds à l’appel
De mon amant de feu, mon incroyable Abel.

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#2552356
Sur le tchat @fredcandaule a posté une photo superbe de sa chérie @Brigittecandaule avec en évidence un bracelet dont l'histoire est liée à une cérémonie particulièrement remarquable et singulière. ( voir le lien ici viewtopic.php?p=2531748#p2531748)

Le bracelet,

Lorsque nous nous sommes dit « oui » à la mairie,
Nous avions échangé l’alliance symbolique
De notre grand amour qui s’était épanoui
À l’ombre des sapins aux aiguilles électriques.

En ce jour si spécial où nous brisons les codes,
Il fallait un symbole aussi fort que le feu.
Accepte ce présent, et tout comme Nimrod,
Tu feras toujours mouche en exauçant mes vœux.

Ceins ta fine cheville avec cet anneau franc !
À compter de ce jour, agissant à ta guise,
Exerce ta magie, va quérir des amants !

Ta terre du milieu, n’est plus mon monopole.
Je veux que sa rousseur, coquinement exquise,
Devienne le bonheur dont les mâles raffolent.

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