Comment s’est terminée la soirée ?Nous sommes allés au restaurant. J’avais faim. Ca creuse de se dépenser à ce point ! Mon mari n’avait pas d’appétit. Je lui ai dit tout ce qu’il voulait savoir. Il voulait toujours plus de détails, comme si j’avais eu l’esprit à ça. Il était très troublé, toujours excité, mais il m’a paru angoissé. Mon enthousiasme semblait l’inquiéter. La suite de notre histoire montre qu’il avait raison de se montrer préoccupé. Nous sommes rentrés. Il voulait faire l’amour. Je l’ai laissé me prendre, même si je n’en avais pas l’envie. Il a eu très vite du plaisir et nous nous sommes endormis.
C’était la fin des vacances. Comment ça c’est passé à votre retour ?Nous avons pris la route le lendemain matin, récupéré notre fils chez sa grand-mère et sommes rentrés à la maison. En apparence, je suis redevenue une petite femme modèle. Mais ce qui c’était passé avec Gilles était omniprésent dans notre vie de couple. Mon mari y faisait allusion dans l’intimité. Il fallait toujours que je lui raconte. Mais il vivait mal certaines choses.
Quel genre de choses ?Par exemple, je crois aussi qu’il m’en voulait un peu d’avoir pris tant de plaisir à sucer Gilles alors que j’étais plutôt réticente à le faire avec lui. C’est vrai que sa queue me fait moins fantasmer et son odeur me gène. Il voulait tout savoir, alors je le lui ai dit. Je crois que ça lui a fait mal. Lorsqu’il y avait de la tension entre nous, il a plusieurs fois eu des accès de jalousie vite maîtrisé. Après tout, c’est lui qui l’avait voulu et je ne me privais pas de lui rappeler.
Et toi, comment le vivais-tu ?Assez mal. J’avais pleinement pris conscience de mon insatisfaction sexuelle. Un jour où nous faisions l’amour, je commençais à sentir le plaisir monter quand il a joui. J’ai très mal réagi et je lui ai dit que j’en voulais encore, que j’aime être pilonnée très longtemps, que Gilles faisait ça si bien alors que lui ne me faisait plus jouir. Même si c’était la vérité, le coup a été rude pour lui. Il m’a dit que je n’avais qu’à aller voir ailleurs.
Et alors ?J’étais embarrassée, car si j’étais réellement frustrée sur le plan sexuel, j’éprouve beaucoup de tendresse pour mon mari. Je lui ai dit que j’adorais sa langue et que même Gilles ne m’avait pas donné autant de plaisir avec sa bouche. Il n’y a que comme ça qu’il me fait jouir, mais hélas, c’est bien moins fort que ce que m’avait donné la queue de Gilles. Il m’a proposé d’avoir d’autres aventures comme celle que nous avions vécu pendant les vacances.
Tu as accepté ?Non. C’est vrai que Gilles est un excellent souvenir et que je ne le regrette pas. C’était un jeu dans lequel je me suis laissée entraînée. Mais je n’imagine pas multiplier ce type de rencontre. Pour moi, si je vais avec un homme c’est qu’il m’attire sur tous les plans. Une rencontre ne peut pas être que sexuelle. Je l’ai dit à mon mari. Si je vois un autre homme, nous prenons un risque pour notre couple et je ne veux pas briser ce qui nous uni si fortement.
Pourtant, tu as eu d’autres aventuresBeaucoup, oui. Toi aussi tu veux tout savoir !
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FIN du Chapitre 1
A suivre…..