- 06 mars 2011, 14:32
#268080
Le lendemain matin après le cunnilingus quotidien, elle adore, que je la léche pour l’aidé à se réveiller avec interdiction de me masturber. Nous descendons prendre notre petit déjeuné, le réceptionniste interpelle ma femme et lui remet une enveloppe sur laquelle est écrit : Pour Nathalie chambre 22. J’observe que la lettre n’est pas cachetée et que le réceptionniste un homme d’une quarantaine d’années ne quitte pas ma femme du regard, assise, elle ouvre l’enveloppe et commence à lire, par transparence je vois que la lettre est longue.
-« C’est Ludovic ? Que te dit-il ? »
-« Ca ne te regarde pas, allé déjeunons et allons skier, nous avons rendez-vous en fin d’après-midi, il viendra nous rejoindre à la piscine à 18h00… Je peux simplement te dire qu’il est très coquin et que tu ne va pas t’ennuyer… .
Déjeuné avaler, nous montons dans notre chambre, avant de nous habiller Nathalie fouille dans sa valise et en extrait les boules de geisha
-« vient me les mettre, j’ai envie d’être brûlante pour ce soir »
Délicatement je positionne la première boule, je découvre qu’elle est trempée tant la lettre a du l’exciter et c’est sans problème que son sexe aspire les deux boules.
En quittant l’hôtel le réceptionniste nous salut d’une bonne journée mais rajoute un :
-« A ce soir Madame » en appuyant bien sur le... Madame. Nathalie lui fait un grand sourire et lui retourne son : à ce soir. Nous passons la journée à descendre les pistes, ma femme utilise à plusieurs reprise le "tire fesses" elle ne manquera pas de me dire que c’est génial quel est dans un état d’excitation totale elle me fait même toucher sa culotte à l’abri dans une pinède pour bien me montrer qu’elle est trempée. Journée sportive terminée nous redescendons à l’hôtel. Dans la chambre Nathalie me demande de la déshabiller, culotte enlevée, elle me fait extraire les boules dégoulinante de plaisirs.
-« regarde, je suis toute chaude, prend les dans la bouche et suce les, ensuite tu les rangeras, je pense ne plus en avoir besoin »
Je me délecte de son nectar, les léche jusqu’à la dernière goutte et les ranges. Nathalie est en slip de bains elle n’a pas mis son haut, elle passe son peignoir de bains et m’invite à me dépêcher à me mettre en tenue.
« Tu préfère peut être rester ici … ? » Me dit-elle d’un air coquin, je me dépêche, à peine en maillot, elle est déjà dans le couloir et prend la direction de la piscine, je la précède sans un mot, arrivé dans les lieux nous apercevons Ludovic allongé sur un transat d’autres clients se baignent, ma femme va à sa rencontre et l’embrasse d’un baiser rapide sur la bouche.
-« Bonjour Ludo, alors cette journée pas trop dure »
-« Non juste ce qu’il faut, pour être encore en pleine forme… et toi ça été ? »
Ils m’ignorent, Nathalie lui raconte cette journée ne lui cachant pas qu’elle à skier avec des boules de geisha et qu’elle en est encore toute chose, il pose une main sur son genou et le caresse doucement; Elle se rapproche un peu plus de lui,
-« Quand je suis parti hier soir vous avez dormi ? »
-« Ho que non, Tu ne sais pas ? »
Non elle ne va pas raconter notre expérience avec son préservatif ?
-« Quand tu es parti, je lui ai fait récupérer ton préservatif, et je me le suis déversé sur mon minou, et bien, le cochon, il a tous avaler, comme une cochonne, il suce ta bitte et il l’avale, c’est dingue non ? »
Je suis mort de honte, je ne sais pas ou me mettre, Ludovic pose sur moi un regard plus que vicieux.
-« il va être gâté ce soir, j’ai pleins d’idées pour faire de lui un véritable cocu et soumis ; il aime ça, il va être servi… Bon si nous allions faire un sauna ? Il vient de se libérer, nous devrions être seuls »
Nathalie enlève son peignoir et me le tend, je les plis consciencieusement et le pose sur une chaise, Nathalie se rend au sauna sous le regard admiratif de Ludovic qui lui emboîte le pas
Je me précipite pour leur ouvrir la porte, heureux de la tournure de nos vacances bien qu’après réflexion nous nous soyons aperçus que notre manége n’avait du échapper à personne…Mais bon dans le feu de l’action elle et moi avons sombré avec plaisirs, dans ce jeu et ne le regrettons nullement.
Dans le sauna Nath. et Ludovic se sont assis l’un à coté de l’autre et moi bien sur en face, Ludovic n’a pas perdu une seconde pour poser sa main sur le sexe de ma femme.
-« Alors on est chaude, chaude comme de la braise ? ….Voyons voir ça, Toi surveille qu’il ne vienne personne »
Il écarte le minuscule maillot, et commence d’un doigt, à la sonder, elle s’écarte, la vision est merveilleuse, elle est aux anges, il l’a farfouille, il ressort ses doigts et les observe, ils sont trempés, il me les tend,
-« va y fait toi plaisirs léche »
Je prends ses doigts dans ma bouche et les suce, il les fait aller et venir entre mes lèvres.
-« une vrai bouche à pipe ton mari, regarde comme ça l’excite »
Mon maillot est distendu, Nathalie attrape mon sexe et le serre sans trop mais suffisamment pour m’obliger à avancer le bassin.
-« Il adore, Ho que oui, il adore çà, ce n'est pas vrai ma petite suceuse ? »
-« Oui, j’aime, Ail ! Oui j’adore… »
Elle me serre les bourses quand elle les relâche c’est pour me dire d’allé m’asseoir.
Ludovic sort son sexe de son maillot il n’est pas à sa taille maximum, ma femme pose sa main et tout en me regardant commence à le masturber.
-« Tu surveille »
Elle se penche et le prend dans sa bouche, une longue fellation commence, mon regard passe de la porte en verre fumée à ses lèvres que je vois coulisser sur le sexe de notre ami.
Il lui caresse les cheveux, il a les yeux fermé appréciant à sa juste valeur ce qu’elle m’offre que trop rarement, Elle, se caresse le clitoris, je les regarde, comblé de voir ma femme sucer ce sexe qui grossit à vu d’œil.
Tout a coup je vois une silhouette, qui se rapproche.
-« Attention, il y a quelqu’un qui s’approche »
Nathalie se redresse, arrange rapidement son maillot, la silhouette est devant la porte maintenant, je constate que Ludovic reste impassible son sexe toujours bandant qui sort de son maillot.
-«Attention Ludo, il ouvre la porte »
Mais il ne bouge pas, la porte s’ouvre sur un homme en maillot noir de belle corpulence, Nathalie et moi regardons Ludovic, nous sommes abasourdis, il ne bouge pas, il sourit tout simplement.
-« rentre Fred, il reste une place… »
Nous regardons alors le fameux Fred, je reconnais alors le réceptionniste, celui qui le matin même a dit à ma femme …A ce soir…
-« Je vous présente Frédéric, c’est un ami, depuis le temps, que je viens dans cet hôtel nous avons sympathisé, et je l’ai mis dans la confidence quand je lui ai donné la lettre. »
Après un rapide bonjour il s’assoit ma femme se retrouve alors entres les deux hommes.
-« désolé de vous avoir interrompu, vous en étiez ou ? »
Ludovic prend la main de Nathalie et l’applique sur son sexe. Elle recommence à le masturber, son autre main va à la rencontre du maillot de Frédéric, elle saisit son sexe, tourne la tête et le regarde, il est énorme plus long et plus épais que celui de Ludovic, je n’en reviens pas moi-même… un véritable Roco,
-« Nous, nous en étions arrêté la, avant que vous n’arriviez »
et elle se jette littéralement sur ce sexe démesuré tout en continuant à masturber Ludovic. Elle change de queue a deux ou trois reprises non sans me regarder et me faire savoir que le désir est en elle, qu’elle n’en peu plus, à chaque fois elle me dit un je t’aime qui me fait fondre et replonge sur un des deux sexes dressés.
C’est Ludovic qui met fin à ce trio, et il nous propose d’aller dans notre chambre avançant que tout le monde en veut plus.
Nous, nous rajustons, j’ouvre la porte vais chercher le peignoir de ma femme et le lui passe-
Les deux hommes m’ignorent, je ne suis rien que le cocu servile, qui accompagne sa femme
Arrivé dans la chambre, Nathalie se fait caresser par les deux hommes qui la couche rapidement les maillots volent, le peignoir et jeté par terre, un ramasse, me ramène à la réalité.
Nathalie est maintenant sur le ventre les deux hommes à genoux devant elle, elle passe d‘une queue à l’autre je viens alors poser ma bouche sur son intimité, elle est trempée, jamais je ne l’ai vu comme çà, elle n’est que plaisirs et gémissements, nous restons ainsi plusieurs minutes jusqu'à Ludovic dise :
-« Je crois que nous avons un problème…. »
Tout le monde se regarde, Il nous fait s’avoir qu’il n’a pas de capote ce que confirme Frédéric qui n’en a pas lui non plus et pourquoi en aurions-nous.
-« ho non ! j’ai envie de me faire baiser moi… Surtout par de si belle bittes rien que pour moi… »
Elle me regarde et me dit
-« tu sais ce qu’il te reste à faire mon chéri, tu te rhabille et tu va chercher un distributeur de capotes et tu te dépêche de rentrer que je me face baiser par mes deux étalons, nous t’attendons… »
Nous voulant pas qu’elle soit frustrée d’une partie chaude non aboutie, je me rhabille et vais à la recherche d’une pharmacie, je parcoure les rues à la recherche d’un distributeur, les commerces étant tous fermées à cette heure j’en trouve un qui est bien sur hors services.
Je pense à ma femme qui est restée avec les deux hommes, je trouve enfin une pharmacie et un distributeur et tire deux paquets, je me dépêche de rentrer.
Arrivé devant la porte de notre chambre, je suis surpris, la porte est entrouverte, je la pousse il n’y a personne sur le lit défait un simple mot, attend moi j’arrive… La salope elle en a profité pour sortir…Je reste la, bras ballants, toutes les sensations m’assaillent, jalousie, dégoût, honte… Je suis tiré de cette angoisse par le téléphone de l’hôtel, je décroche :
-« Allo…Allo » Mais il n’y à personne au bout du fil, je perçois au loin des sourires étouffés.
-« Il a décroché ? passe le moi… »
C’est Nathalie que j’entends.
-« Mon chéri, tu as trouvé les préservatifs ? » Je réponds par l’affirmative et essaye de lui demander ou elle est.
-« tu ne dis rien, tu écoute c’est tout… Ils ont des capotes, ils en on toujours eu, ils ont juste envie de me baiser sans toi, et j’ai très envie d’eux, Frédéric a une bitte énorme il a commencé à me la mettre et il revient à la charge, je suis en levrette, hummm j’adore, il se frotte contre mon sexe….Woua, hummm il est en moi, je te laisse Ludo veut que je le suce…Une chose avant que….Hummm c’est trop bon…avant que je lâche le combiné si tu veux nous rejoindre, Tu devras attendre et surtout bien écouter… »
Je compris aux sons qui me parvenaient qu’elle avait bel et bien lâché le combiné et qu’elle était prise par les deux, je n’entendais que déglutition, gémissements et bruits de sucions les paroles arrivèrent très vite entre les - que tu es bonne et autre putain de cul j’entends ma femme maintenant totalement épanouie faire des commentaires – J’adore ta queue, baise-moi bien, tu me défonce à merveille…Ludo revient… je veux te la dévorer…Elle doit avoir le combiné juste devant elle car j’entend sa respiration, ses gémissements elle me dit alors :c’est trop bon mon amour j’en veux encore, encore et encore … c’est d’enfer, C’est génial vient nous rejoindre nous sommes au-dessus…
-« Oui baise moi c’est trop bon… »
Je me précipite sur la porte mais réalise qu’il y a deux étages au-dessus… au-dessus, au-dessus… mais ou ? Juste au-dessus ? je cours dans l’escalier et colle mon oreille à la porte de la chambre qui est juste au-dessus de la notre mais je n’entends rien, je tends l’oreille mais rien ne transpire des portes closes, je redescends dépité et reprend le téléphone et écoute,
-« Oui vos deux queux, je viens sur toi et fréd tu me baises par derrière, j’en ai toujours rêvé … » je n’en reviens pas elle se donne complètement, elle leur offre tout ce qu’elle a ;
Allé, on lui dit … J’entends un : - « non pas encore laisse nous te baiser tous les deux… »
-« Je lui dis juste que nous sommes au 4 éme, s’il nous trouve, il devra gratter à la porte et on lui ouvrira peut être… Je suis à vous baisé moi »
Je l’imagine descendre alors sur la queue de Ludovic, il doit caresser ses seins, elle tend son cul prête à recevoir celle de fréd. Mon imagination est favorisée par le « doucement vous allé me déchirer
« …Douceeeeeeeeeee Hooooo haaaaa ho oui….Ho putain … »
Elle est déchaînée, elle doit avoir les deux bittes en elle, je l’entends gémir, puis crier, il n’y a aucuns commentaires je n’entends presque rien que quelques-uns hooo, haaa ! Cela dure plusieurs minutes je suis toujours dans l’attente du prochain indice puis, je l’entends jouir, cette jouissance caractéristique ou elle hurle sa jouissance sans retenue ce crie révélateur ou elle ne bouge plus, ou elle apprécie les ondes qui parcourent son corps, je suis tétanisé combiné à l’oreille sexe en érection et j’entends alors un - je viens… accompagné d’un : Moi aussi…et deux râles qui me confirment que tous on prit leur pied.
Plus rien ne bouge, jusqu'à ce que j’entende ma femme me dire :
« Nous sommes au 4 éme, chambre 45, viens nous rejoindre, nous t’attendons »
et elle raccroche en moins de deux Minutes je suis devant la porte je gratte comme le ferrait notre chien, Ludo m’ouvre la porte accompagne d’un
« Rentre, elle t’attend.
Quand je pénètre dans la chambre la vision que j’ai de ma femme est tous simplement merveilleuse elle est allongée de tout son long cuisses largement écartées à sa gauche se trouve Frédéric qui lui caresse un sein, Ludovic s’allonge à sont tour à sa droite et pose lui aussi une main sur sa poitrine tous les trois m’observe, le silence est rompu par Frédéric.
-« Alors paraît-il que le cocu est un bon lécheur, faute d’une belle queue il offre sa langue, nous allons voir çà, fous-toi à poil et viens lécher ta femme »
Je me déshabille, Nathalie me fait signe d’approcher, elle saisi mon sexe et le soupèse, elle regarde ses deux amants…
-« vous comprenez pourquoi je me suis fait baiser, en missionnaire ça va encore, mais en levrette impossible sa bitte n’est pas asses longue et à chaque fois il gicle à peine rentrée… »
Les deux sourient, ludo prend son sexe entres les mains et le redresse me regarde afin de bien me montrer qu’il est le male dominant, Ludo fait de même et rajoute…
-« On comprend, on comprend, allé la petite bitte tu peux lécher ta femme »
Je ne me fais pas prier, me moquant des quolibets et insultes je fonce sur le sexe de ma femme et le dévore, mon visage est collé à son entres jambes je léche, je bois, une main me tire les cheveux Ludo me regarde –« C’est bon de lécher sa femme qui vient de se faire baiser » il me fixe et en souriant, il rajoute –« Mais tu ne suce pas que le sexe de ta femme, tu suce les bittes aussi » il me tend son sexe, Nathalie frappe des mains
–« Oui va-y mon chéri suce la queue qui m’a fait jouir comme jamais, donne-lui, ses récompenses »
Je ne peux rien rajouter, Ludo pose son sexe sur mes lèvres
-« Allé ouvre, et avale » il me tire les cheveux, j’ouvre la bouche et me retrouve avec son sexe dans la gorge il applique lui-même le mouvement en me tirant et me repoussant, il s’arrête et me fait lécher ma femme, il intervertit ce que j’ai à lécher, pendant plusieurs minutes, son sexe est redevenu énorme je n’en reviens pas de sa résistance et de la vitesse ou il se remet en condition. Il offre alors son sexe à sucer à Nathalie qui le déglutie avec passion, après être resté à contempler son sexe prendre possession de la bouche de la femme, je reprends mon léchage de l’entres jambes, après une autre jouissance de Nathalie ainsi que de Ludovic qui en profite pour asperger sa poitrine, elle me repousse en refermant ses cuisses je reste sur ma démunie, le sexe douloureux, les couilles plaines, un filet de bave s’écoulant entres mes jambes…
Après une pose langoureuse ou les trois retrouvent leurs esprits Nathalie leur dit :
-« Nous allons prendre congé, nous allons retourner dans notre chambre »
Les deux acquiescent, en faisant des commentaires plus que flatteur des prestations de mon amour. De retour dans notre chambre elle se déshabille, ne m’adresse aucun mot, elle s’allonge nue sur le lit, je la contemple
-« chérie dit quelque chose… »
elle me regarde et de son air mutin me dit le plus naturellement du monde…
-« Je ne parle pas au cocus…. »
Je reste sans réaction elle me rabaisse à l’extrême.
-« allé idiot, vient prêt de moi, j’ai passé une excellente soirée que je compte bien réitérer, branle toi tu l’as bien mérité… »
Me voilà à mon tour autorisé à éprouver du plaisir, je ne me fais pas prier et me masturbe comme un dingue, elle accompagne mon plaisir en me décrivant à l’oreille tous ce qu’ils lui ont fait, je ne connaîtrais ce soir la qu’une toute petite partie de son escapade dans la chambre de Frédéric tant ma jouissance est rapide.
Elle me prend dans ses bras.
-« Allé, on dort maintenant, je veux que l’on profite de notre dernière journée de ski… »
Frustré, sûrement mais tellement comblé pas ce qui vient de nous arriver que je ferme les yeux, sans avoir au préalable ajouter que j’ai moi aussi adoré et que c’est, quand elle veut, que nous recommencerons.
-« Bien sur mon amour…Bonne-nuit… »