À genoux dans l'herbe fraîche, ma chère petite femme nous fixe de ses grands yeux bleus.
Ses doigts s'activent timidement sur son sexe et son regard perdu semble nous interroger sur le sort que nous lui réservons. Après l'avoir bien regardée de son regard vicelard, le gars se met lui aussi à poil, se plante juste devant elle, écarte les jambes pour bien assoir sa domination et place sa bite dressée sous son nez.
"Maintenant ma petite chienne, tu va te faire jouir en regardant ma bite et en imaginant ce qu'elle va te faire tout à l'heure !"
Et joignant l'acte à la parole, il attrape sa bite et la frotte lentement sur le visage rouge de honte de ma chérie. Il alterne bien vite les caresses sur ses joues et ses lèvres, et la contemplation de son formidable engin lorsqu'il le tient devant elle. Les doigts de ma femme s'occupent à merveille de son minou. Elle se branle maintenant avec ses deux mains, prend des tours et commence bien vite à gémir en s'approchant de l'orgasme. Il faut dire qu'elle est bien excitée par le traitement qu'elle reçoit depuis tout à l'heure. Notre ami attrape maladroitement son visage de ses grosses mains calleuses et enfonce puissamment sa bite dans la bouche de ma femme sans lui demander son avis. D'ailleurs elle se laisse faire une nouvelle fois sans la moindre protestation.
"Toujours aussi soumise hein, ma cochonne... Tiens, je vais baiser ta bouche de petite pute et tu vas te laisser faire sans rien dire et en continuant de te branler !!"
Il attaque ses vas-et viens lentement mais sans la moindre hésitation. Ma chérie me regarde fixement, mais elle continue de se masturber malgré la honte que ses yeux laissent deviner. Comme elle continue de gémir la bouche pleine, il accélère lui aussi le mouvement et commence à vraiment lui baiser la bouche. Son sexe sort presque entièrement et s'enfonce jusqu'à la garde entre les lèvres qu'il possède maintenant totalement. Elle semble bien accepter ce traitement et des sons gutturaux s'échappent de sa bouche, accompagnés de filets de bave de plus en plus copieux. Sous les coups de butoir qui l'assaillent maintenant, des larmes coulent de ses yeux et elle suffoque à moitié, mais elle tient bon et surtout continue de branler sa chatte avec ardeur. Des cris étouffés s'échappent alors de sa bouche car elle jouit à nouveau copieusement. Le gars s'en aperçoit, perd lui aussi les pédales et lui défonce maintenant la bouche en la couvrant d'insultes élogieuses. Puis il écrase la tête de Séverine sur son gros ventre, la bite bien plantée au fond de sa bouche et jouit par grosses giclées dans sa gorge. Des râles puissants accompagnent chacun de ses spasmes, mais il ne relâche pas son étreinte avant d'avoir cesser de se vider les couilles. Ses mains se détachent alors des cheveux de ma femme et il se laisse tomber en arrière dans l'herbe grasse. Sa queue sursaute sur son gros ventre mais elle reste bien raide et continue de déverser le reste de son sperme sur la peau imberbe.
J'attrape alors ma femme et la mets à genoux, le cul en l'air et la tête entre les jambes de ce gros cochon qui peine à reprendre son souffle et respire bruyamment. Je me place derrière elle, présente ma queue devant ses fesses et la plante violemment dans sa chatte béante. Elle laisse échapper un cri et se laisse tomber sur la queue qui lui fait face. Son sexe est bien sûr trempé et je peux de suite la pilonner à mon aise. Elle embrasse et lèche le gros ventre tout rose, faisant le tour du sexe qui sursaute à nouveau, léchant le sperme qui luit au-dessus du formidable gland. Bien vite, elle le lèche sa queue comme elle peut, au gré des coups de bite que je lui inflige. Je lui ordonne alors de lui lécher le cul. Sans sourciller, elle recule un peu, et j'ai le plaisir de voir sa bouche descendre entre les deux grosses cuisses et disparaitre sous les couilles. Cette jolie chienne se délecte de son trou du cul. Elle le bouffe sans gêne, comme une fille s'occupant d'une chatte et ne veut plus s'en séparer. Au bout d'un moment, elle attrape sa bite et la branle comme elle peut.
Ce merveilleux spectacle continue de me rendre dingue et je l'exprime en claquant vertement son joli petit cul sous une volée de mots obscènes qui ne la gène pas le moins du monde. Pire, elle va jouir à nouveau et ses cris impudiques nous font un effet boeuf. Comme il va jouir lui aussi, elle recule sa bouche un instant, lui plante sans crier gare un doigt dans le cul, le fait tourner comme un soleil pour le dilater et recolle sa bouche sur le tout, léchant abondamment ce qu'elle peut encore atteindre. Le pauvre bougre n'en peut plus et jouit dans la main de mon épouse qui, merveilleuse vaincue, se redresse avant de s'écrouler sur le sexe dégoulinant en jouissant elle aussi, la bouche entrouverte devant le gland qui continue de l'honorer des ses jets brûlants. Bien évidemment, je me déverse moi aussi dans son sexe, en lui claquant les fesses du mieux que je peux, avant de m'y cramponner pour ne pas m'écrouler moi aussi.
Un million d'année plus tard, je reprend doucement mes esprits. Ma femme est allongée sur son amant d'un jour. Son visage posé sur son gros ventre est couvert de sperme et sa langue glisse doucement sur ses lèvres maculées. Elle semble totalement absente mais elle est radieuse. L'homme qu'elle a finalement dominé est lui aussi groggy, étalé de tout son long dans l'herbe grasse. Nous reprenons nos esprits en silence. Il se relève, se rhabille sans parler et file en laissant échapper un timide merci.
Ma femme et moi nous regardons avec complicité, nous rhabillons nous aussi sans un mot et filons dans la voiture, direction la maison. Elle a oublié de s'essuyer le visage et je me garde bien de le lui faire remarquer
