Lors d'une soirée d'été sur Paris, nous avons été trainer dans le secteur du bois de Boulogne, il faisait très beau et tout en flânant, jai eu envie de lui faire l'amour, là dans notre voiture. Tout en conduisant je lui caressais son genou gauche. Martine était en robe très légère. Ma main a continué son aventure arrivant entre ses cuisses près de sa vulve, enfin son petit string si doux au toucher.
Elle ouvrit bien ses jambes m'autorisant à écarter sa petite étoffe pour caresser son petit abricot que j'aime tant. Elle était déjà bien humide et je compris son envie. Je jouais avec ses lèvres et titillait en alternance son petit bouton. Elle s'avança sur le siège afin que je puisse plus facilement la pénétrer avec un doigt, puis deux. Pour info madame aime se doigter, elle pratique assez souvent lorsque l'on fait l'amour, mais aussi seule... Elle me l'a avoué il y a bien longtemps. Trop excités tout les deux, je trouvais tant bien que mal un endroit pour m'arrêter un peu à l'écart. Elle degrafa mon pantalon et sorti ma bite. Elle me branla tout en me regardant. Il faisait nuit noire mais les phares des voitures nous croisant me permettait de voir son excitation. On ne se disait rien.
Elle pris en bouche ma queue bien dure et commença une bonne fellation comme elle aime les faire, car oui Martine adore cela, bien décalotter le gland, l'aspirer, faire des lichettes, prendre en bouche les testicules... Pour ma part je ne me suis jamais fait mieux sucer que par Martine.
Maintenant j'avais trop envie de la prendre là dans ce lieu insolite. J'ai reculé mon siège et lui ai demandé de venir sur moi, face à moi. Elle écarta son string et s'empala sur ma queue. Humm que c'était bon et super excitant vu le lieu où nous étions. J'ai sorti ses seins... Elle me baissai, je prenais à tour de rôle sa bouche puis ses seins. C'était très intense jusqu'au moment où on s'est aperçu qu'un véhicule venait de se garer brusquement derrière nous. Merde !!! Nous avons pris peur, Martine s'est vite retiré et moi j'ai redémarré la voiture en ayant toujours la bite à l'air et elle les seins à l'air. Pas rassurés nous sommes vite sorti du bois... Là je ne bandai plus...

ll. nous sommes rentrés à la maison et nous avons fait l'amour en y repensant. Je lui ai dit on se s'est pas qui c'était, elle pensa à des flics, moi non car il aurait mis leur gyro... Peut être un voyeur, cela aurait pu être très agréable, revivre notre expérience antérieure de ce même bois !!! Mais bon trop risqué vu le contexte...
Un bon souvenir en perspective.
A suivre.